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Luc 16.1

Jésus dit aussi à ses disciples : Un homme riche avait un économe, qui lui fut dénoncé comme dissipant ses biens.
Jésus raconte cette histoire à ses disciples : « Un homme riche a un serviteur, responsable de sa maison. Des gens viennent lui dire : “Ton serviteur gaspille toutes tes richesses.”
Jésus dit encore à ses *disciples : —Un grand propriétaire avait un gérant. On vint lui dénoncer sa conduite car il gaspillait ses biens.
Jésus dit aussi à ses disciples : Un homme riche avait un économe, qui lui fut dénoncé comme dissipant ses biens.
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      Genèse 15

      2 Bien que nous ne devions jamais nous plaindre de Dieu, nous pouvons cependant Lui exprimer nos requêtes et nos doléances. Un esprit abattu ira volontiers se confier à un ami fidèle et bienveillant. Le problème d'Abram était de ne pas avoir d'enfant ; il n'avait en réalité pratiquement aucune descendance ; ce désir si intense finissait par lui causer des soucis, à tel point qu'il rejetait tout réconfort. On pourrait reprocher à Abram de rejeter toute forme de réconfort extérieur. Mais alors, on pourrait supposer, ce qui est tout à son honneur, qu'il se référait à la Semence promise. Ne soyons pas satisfaits tant que nous n'avons pas, en Christ, de toute évidence, tous nos intérêts accomplis ; que deviendrais-je, loin de Christ ?

      Si nous persévérons dans la prière, avec humilité et en toute soumission à la volonté divine, notre démarche ne sera pas vaine.

      Dieu a fait à Abram la promesse formelle qu'i aurait un fils. Les chrétiens peuvent se confier en Dieu pour tout ce qui concerne les choses courantes de leur vie ; mais la foi par laquelle ils sont justifiés fait toujours référence à la personne et à l'œuvre de Christ. Abram crût en Christ, la Promesse ayant vécu la mort, à travers Dieu, Romains 4:24.

      Par la foi en Son sang, on obtient le pardon des péchés !

      Genèse 43

      1 Chroniques 28

      1

      David exhorte le peuple à craindre l'Éternel. (1 Chroniques 28:1-10)
      Il donne ses instructions, relatives au temple. (1 Chroniques 28:11-21)

      Durant la dernière maladie de David, beaucoup de principaux sacrificateurs et de Lévites étaient à Jérusalem. Se trouvant lui-même capable de construire un temple pour l'Éternel, David constata que cela n'était pas conforme à la volonté divine. Le roi indiqua à son entourage, le plan que l'Éternel avait prévu pour Salomon. Il exhorta ses principaux conseillers à suivre Dieu, tout en veillant à accomplir sérieusement leur devoir. Nous ne pouvons pas effectuer notre travail comme nous le devrions, si nous ne prenons pas la résolution préalable de rechercher la force de la Grâce divine.

      La religion ou la piété possèdent deux particularités distinctes : la première est la connaissance de Dieu, la seconde traite de l'adoration que nous devons Lui porter. David annonce au verset 1 Chroniques 28:9 ; « Connais le Dieu de ton père, et sers-Le avec un cœur parfait et avec une âme qui y prenne plaisir ».

      Dieu s'est révélé par Ses œuvres et Sa Parole. Seule cette révélation est capable de montrer l'ensemble du caractère divin : la Providence, la sainte Parole, la condamnation des pécheurs, l'évangile béni et le rôle de l'Esprit-Saint envers tous les véritables croyants.

      L'homme charnel ne peut pas entrevoir cette connaissance divine. Mais nous pouvons percevoir dans la Bible toute la valeur de l'expiation du Sauveur, et de la sanctification opérée par le Saint-Esprit : nous sommes alors exhortés à marcher conformément aux commandements divins. Cette démarche permet au pécheur de s'agenouiller au pied de la croix, misérable, coupable, nécessiteux, ne méritant que la colère divine, mais s'attendant néanmoins à bénéficier de la pitié et de la grâce de Dieu, notre Père, et du Seigneur Jésus-Christ. Après avoir été ainsi pardonné, le pécheur justifié apprend à aimer à son tour.

      Proverbes 18

      Osée 2

      Matthieu 18

      Matthieu 25

      14 Christ ne garde pas les serviteurs paresseux : en effet, ils ont tout reçu de Lui, et n'ont rien qu'ils puissent considérer comme leur appartenant, (mis à part le péché).

      Les dons que nous recevons de Christ doivent être mis à Son service. Au demeurant, la manifestation de l'Esprit est accordée à tout homme, afin qu’il en tire profit. Le jour approche où nous devrons rendre des comptes au Seigneur : nous devrons tous être jugés pour la « vigilance spirituelle » que nous aurons accordée à notre âme, pour le bien que nous aurons fait aux autres, compte tenu de tous les avantages dont nous avons pu profiter ici-bas. Cela ne signifie pas que grâce au don naturel qu’il a reçu du ciel, un homme puisse accéder de ce fait à la Grâce divine. Le chrétien dispose d’une véritable liberté et d’un privilège : pouvoir servir son Rédempteur, en promouvant Sa gloire, et le bien qu’Il accorde à Son peuple : l'Amour de Christ contraint Son serviteur à ne pas vivre davantage pour lui-même, mais pour Celui qui est mort pour lui, et qui est ressuscité !

      Ceux qui estiment qu'il est impossible de plaire à Dieu, et qu'il est vain de Le servir, ne feront rien qui puisse développer la piété dans leur entourage. Ces mauvais serviteurs se plaignent que Dieu exige d'eux plus qu'ils ne sont capables de donner, et qu'Il les sanctionne en raison de leur incapacité.

      Quoiqu'ils puissent prétendre, le fait est qu'ils manifestent une certaine aversion pour le caractère et l'œuvre du Seigneur. Le serviteur paresseux est condamné à être privé du don céleste qui été préparé à son intention. Il en est de même pour les bénédictions qu’il pourrait recevoir ici-bas ; en fait il passe « à côté » de la Grâce, et de tous Ses bénéfices.

      Ceux qui ne sont pas en réelle communion avec le Seigneur, verront trop tard que tout ce qui aurait pu contribuer à la paix de leur cœur leur a été « caché spirituellement ». Ils connaîtront la ruine et seront jetés dans les « ténèbres du dehors ». C'est le sort des condamnés qui iront en enfer.

      Notre Sauveur termine cette parabole en répétant l’enseignement qu’Il avait précédemment donné, au sujet des serviteurs fidèles : ne soyons jamais envieux des pécheurs, et ne convoitons aucun de leurs biens : ils ne mènent qu'à la mort !

      Luc 8

      Luc 12

      Luc 15

      Luc 16

      1

      La parabole de l'économe infidèle. (Luc 16:1-12)
      Christ blâme l'hypocrisie et la convoitise des pharisiens. (Luc 16:13-18)
      L'homme riche et Lazare. (Luc 16:19-31)

      Quel que soit ce que nous pouvons posséder, Dieu est en fait le véritable propriétaire ; nous ne pouvons seulement utiliser ce que nous possédons, que par la Volonté de notre Seigneur ; faisons-le pour Son honneur !

      Cet économe a dissipé les biens de son maître, il les a tous gaspillés. En fait, nous pouvons tous être accusés de la même faute : nous n'avons pas fait croître ce que Dieu nous a confié. L'économe ne pouvait pas nier les faits : il devait rendre des comptes et s'en aller.

      Ceci nous enseigne que la mort nous surprendra tôt ou tard, nous privant de toute opportunité présente pour servir le Seigneur. Cet économe désirait se faire des amis avec les débiteurs de son seigneur, en effaçant une partie non négligeable de leur dette envers ce dernier. Le maître, en louant son économe, ne recommandait pas la fraude, mais la politique de ce dernier. Il n'y a d'ailleurs que cela qui soit remarquable.

      Les hommes du monde sont parfois insensés quant au choix de leurs desseins, mais leurs activités et leur persévérance témoignent qu’ils sont souvent plus sages que les croyants. L'économe infidèle ne nous est pas décrit comme un tricheur envers son maître, cherchant à justifier sa malhonnêteté, mais comme un homme prudent, cherchant soigneusement, comme les hommes de ce monde, à assurer son avenir.

      Il serait bon de voir les enfants de Dieu chercher à apprendre comment les hommes ici-bas usent de sagesse, pour essayer d’atteindre, avec autant d’énergie possible, un but louable. La véritable richesse est constituée de bénédictions spirituelles ; si un homme dépense tout son bien, ou gaspille ce que Dieu lui a confié, comment pourrons-nous avoir l’évidence qu'il est véritablement un « héritier » de Dieu, par l’intermédiaire de Christ ?

      Les richesses de ce monde sont trompeuses et incertaines. Soyons convaincus que ceux qui sont vraiment aisés, voire très riches, sont ceux qui le sont dans la foi, en Dieu et en Christ, se confiant en leurs promesses. Sachons placer notre trésor dans le ciel, et ayons la patience d’en attendre la part qui nous sera octroyée !

      19 Nous pouvons voir dans ce texte le domaine spirituel représenté par une description des différences que l’on rencontre entre le « bon » et le « mauvais », en ce monde comme dans l'au-delà.

      Il ne nous est pas dit ici que l'homme riche obtint ses biens en fraudant, ou par l'oppression ; Christ montre cependant qu'une personne peut avoir de grandes richesses et beaucoup de plaisirs ici-bas, et périr sous la malédiction divine.

      Cet homme riche a péché : il ne s'occupait que de lui. Il y avait aussi un brave homme, Lazare, qui lui, devait connaître la félicité éternelle, après avoir traversé sur terre le plus profond de l'adversité et de la détresse.

      Il arrive souvent que certains serviteurs de Dieu, même les plus chers à Son cœur, soient grandement affligés ici-bas. Il ne nous est pas dit que l'homme riche ait fait le moindre mal, mais, malgré tout, nous ne lisons pas qu'il se soit préoccupé du sort de Lazare... Nous voyons ensuite la différence de condition dans laquelle se trouvaient ces deux hommes, au séjour des morts. L'homme riche, en enfer, levait ses yeux, étant en plein tourment. Il est impensable qu'il puisse y avoir des dialogues entre les « saints glorifiés » et les « pécheurs damnés », mais cette scène révèle la misère désespérée et les vains désirs qui peuvent animer les esprits condamnés.

      Le jour vient, où ceux qui, aujourd’hui, détestent et méprisent les enfants de Dieu, recevront néanmoins de leur part une certaine marque de prévenance. Le damné, en enfer, n'aura pas le moindre soulagement de ses tourments : les pécheurs sont maintenant prévenus : souvenez-vous-en ! S’ils ne se repentent pas, ils n’auront aucun moyen pour éviter ce tourment. De même que les méchants n’ont de délices qu’ici-bas, et qu'ils seront, à l’heure de la mort, séparés à jamais de tout ce qui leur est cher, les hommes pieux et bons, n’ont à supporter, quant à eux, de pénibles instants que dans cette vie ; à leur mort, ils en seront délivrés, à jamais !

      Béni soit Dieu, qu’il n’y ait pas, en ce monde, le moindre abîme qui sépare l’homme, inique par nature, de la Grâce : nous pouvons passer de notre état de pécheur, à celui de pardonnés par Dieu ; si par contre, nous mourons dans nos péchés, il n'y a plus d’échappatoire à la colère divine.

      Nous voyons dans ce texte que cet homme riche avait cinq frères et qu’il aurait voulu les arrêter dans leur conduite coupable ; leur venue dans ce lieu de tourments allait accentuer davantage la misère de ce triste personnage, et il voulait leur montrer la possibilité de ne pas en prendre le chemin !

      Combien désireraient faire « marche arrière », pour annuler les fautes qu'ils ont pu commettre ! Ceux qui tenteraient de faire ce type de prière, que l'homme riche fit à Abraham pour essayer de justifier les siens, devront chercher bien loin des preuves pour tenter de les disculper : un pécheur damné n’a rien pour être défendu : il n’a que ses fautes à présenter ! Il n'y a certainement aucun encouragement à suivre l’exemple de cet homme riche : toutes ses prières ont été vaines.

      Un « messager » revenant de la mort, ne pourrait pas en dire plus que ce qui est dit dans les Écritures. La même force de dissuasion, capable de briser toute conviction positive de la Parole de Dieu, serait également capable de triompher du témoignage d’un individu revenant du séjour des morts...

      Cherchons « à la loi et au témoignage », comme il nous est dit dans Isa 8:19,20 : c'est en effet la véritable parole de prophétie, sur laquelle nous pouvons nous reposer, 2Pierre 1:19.

      Les circonstances de chaque époque nous montrent qu'aucune frayeur, aucun argument, ne peuvent conduire à la véritable repentance ; cette dernière ne peut se produire sans la Grâce particulière que Dieu nous accorde et qui renouvelle le cœur du pécheur !

      Luc 19

      1 Corinthiens 4

      1

      Le véritable caractère des serviteurs de Dieu. (1 Corinthiens 4:1-6)
      Mise en garde contre ceux qui méprisent les apôtres. (1 Corinthiens 4:7-13)
      Paul demande l’estime des Corinthiens, étant leur père spirituel en Christ ; il expose son inquiétude à leur égard. (1 Corinthiens 4:14-21)

      Les apôtres n'étaient que de simples serviteurs de Christ, cependant, ils ne devaient pas être pour autant sous-estimés.

      Ils avaient une grande confiance dans le Seigneur, quant à leur ministère, ce qui était fort honorable. Paul s’inquiétait, à juste raison, de sa propre réputation ; il savait que celui qui cherchait principalement à plaire aux hommes, ne pouvait être en même temps, un fidèle serviteur de Christ.

      Il est très réconfortant de savoir qu'au ciel, les hommes ne seront pas nos juges. Ce n'est d’ailleurs pas en nous jugeant bien nous-mêmes, ou en cherchant à nous justifier, que nous trouverons notre salut, notre paix et la joie de notre cœur. Notre propre jugement ne doit pas reposer sur notre fidélité, ni sur nos propres œuvres : elles sont incapables de nous justifier. Le jour vient, où tous les péchés cachés des hommes seront mis au grand jour, tous les secrets de leur cœur seront dévoilés. Tout croyant calomnié sera alors justifié, et tout serviteur fidèle sera approuvé et récompensé par le Seigneur ! La Parole de Dieu est le meilleur fondement sur lequel nous pouvons baser nos jugements, pécheurs que nous sommes.

      L’orgueil est souvent à l’origine des querelles. La vanité contribue parfois à sous estimer ceux qui nous enseignent. Nous ne serons pas tentés de prendre inconsidérément partie pour l'un ou pour l’autre, si nous nous souvenons que nous sommes tous des « instruments » employés par Dieu, Celui qui nous a dotés de divers talents.

      Tite 1

      Jacques 4

      1 Pierre 4

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