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Matthieu 11.21

"Woe to you, Chorazin! Woe to you, Bethsaida! For if the mighty works had been done in Tyre and Sidon which were done in you, they would have repented long ago in sackcloth and ashes.
Οὐαί σοι, Χοραζίν· οὐαί σοι, Βηθσαϊδά· ὅτι εἰ ἐν Τύρῳ καὶ Σιδῶνι ἐγένοντο αἱ δυνάμεις αἱ γενόμεναι ἐν ὑμῖν, πάλαι ἂν ἐν σάκκῳ καὶ σποδῷ μετενόησαν.
Jésus leur dit : « Quel malheur pour toi, ville de Corazin ! Quel malheur pour toi, ville de Bethsaïda ! C’est chez vous que Dieu a fait des choses extraordinaires, et non à Tyr et à Sidon. S’il avait fait ces choses là-bas, leurs habitants auraient changé leur vie depuis longtemps. Ils l’auraient montré en prenant des sacs comme habits et en mettant de la cendre sur leur corps !
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      Job 42

      Jérémie 13

      Ezéchiel 3

      Matthieu 11

      Matthieu 12

      Matthieu 15

      21 Les endroits les plus reculés et les plus ténébreux du pays d’Israël allaient premièrement pouvoir partager les bénédictions offertes par Christ ; ensuite, toutes les extrémités de la terre allaient voir Son salut !

      La détresse et les ennuis de la famille de cette femme cananéenne, poussèrent celle-ci à s’approcher de Christ ; bien que ce genre de situation puisse parfois, par nécessité, nous conduire à Lui, nous pouvons être certains qu’Il ne nous repoussera jamais !

      Cette femme, dont la fille était tourmentée par un démon, ne s’est pas approchée de Christ dans le but d’obtenir un soutien spécifique, elle a en fait, simplement imploré Sa Miséricorde : elle n’a pas vanté ses mérites, étant convaincue qu’elle ne pouvait dépendre que de cette Miséricorde divine.

      Il est du devoir des parents de prier pour leurs enfants, de le faire sérieusement, en particulier pour leur âme. Avez-vous un enfant, douloureusement tourmenté par un démon orgueilleux, un démon impur, un démon méchant, rendant l’enfant captif de sa volonté ? Il s’agit d’un cas bien plus déplorable que celui de la possession corporelle : vous devez, par la foi et dans la prière, apporter cet enfant, à Christ, le Seul qui soit vraiment capable de le guérir.

      Si de nombreux moyens employés par la Providence et la Grâce de Christ à l’égard des Siens, nous laissent parfois dans un certain embarras, ils peuvent s’expliquer par l’histoire relatée dans ce texte : elle nous enseigne en effet que l'Amour réside dans le « cœur » de Christ, alors qu'on pourrait constater spirituellement un air désapprobateur sur Son « visage » ; au lieu de rester abattus, cela doit nous encourager : nous devons avoir une entière confiance en Jésus !

      Quand le Seigneur a l'intention d'honorer vraiment l’un des Siens, Il l’humilie parfois pour qu'il ressente sa propre indignité. Un cœur orgueilleux et arrogant, n'aurait pas supporté la réponse que Jésus fit à cette femme cananéenne ; mais cette dernière a su discerner le sens des paroles du Maître, pour en extraire tout l’enseignement.

      L'état d’âme de cette femme est une image de la situation du pécheur, véritablement conscient de sa misère spirituelle. Le moindre sentiment émanant de Christ est précieux pour le croyant, même les « miettes du Pain de vie » ! De toutes les actions de grâces, c'est la foi qui honore le plus Christ : en toute logique, c'est donc cette foi qu’Il récompense le plus, en retour !

      Jésus guérit la fille de cette Cananéenne : Il annonça sa guérison, et celle-ci se réalisa. Que par cet exemple, ceux qui demandent de l'aide au Seigneur sans recevoir de Sa part, une réponse qui puisse les satisfaire directement, apprennent à transformer leur indignité et leurs découragements, en implorant Sa Miséricorde...

      Matthieu 18

      7 Quand on considère, d’une part, la ruse et la malice de Satan, et d’autre part, la faiblesse et la dépravation de l’homme, les scandales ne peuvent qu’être inévitables. Dieu, dans Sa Sainteté et Sa Sagesse, en autorise l’existence, afin que ceux qui sont sincères et droits dans leur conduite, puissent être distingués de ceux qui ne le sont pas.

      Puisqu'il nous est dit dans l’Écriture, qu'il y aura des séducteurs, des tentateurs, des persécuteurs, et de mauvais exemples, soyons sur nos gardes ! Nous devons, dans la limite de la légalité, renoncer à tout ce que pourrait nous entraîner dans la voie du péché. Les occasions qui mènent à l’iniquité doivent être évitées. Si nous vivons selon « la chair », nous mourrons. Si, par le biais de l'Esprit, nous mortifions les actions du corps, nous vivrons !

      Christ est venu dans le monde pour sauver les âmes ; Il agira sévèrement à l’encontre de ceux qui entravent le progrès que pourraient faire ceux qui « tournent leur visage » vers les cieux. Détournerions-nous notre attention de ceux que le Fils de Dieu est venu chercher et sauver ? Un père prend soin de tous ses enfants, de plus, il éprouve une tendresse particulière pour les plus petits...

      Matthieu 23

      13 Les scribes et les pharisiens étaient des ennemis de l'évangile de Christ, donc, par voie de conséquence, du salut des âmes.

      Il est mauvais de nous tenir loin de Christ, mais il est encore plus grave d’éloigner les autres de Sa Personne. Il n'est pas rare de voir certaines apparences, ou formes de piété, servir de « couverture » aux plus grandes énormités. Mais une telle attitude hypocrite sera jugée deux fois plus sévèrement.

      Ces scribes et Pharisiens cherchaient avant tout à amener le peuple à leur doctrine : ni pour la Gloire de Dieu, ni pour le bien des âmes, mais pour avoir le crédit et l'avantage d'avoir procédé à des conversions. Le gain étant leur « piété », ils essayaient par mille manières, de faire de la religion, le moyen de servir leurs intérêts ici-bas. Ils étaient très stricts et précis, quant aux plus petits détails de la loi, mais néanmoins insouciants et superficiels, quant aux bases les plus importantes.

      Au verset Matthieu 23:24*, Christ ne blâme pas le fait d'accuser ceux qui commettent des péchés légers, ces derniers n’étant en fait que de simples « moucherons », devant être chassés ; Il réprimande, par contre les mêmes personnes, lorsqu’elles tolèrent des fautes graves, engloutissant ainsi, de manière imagée, un « chameau ».

      Alors qu'ils paraissaient être des hommes pieux, les scribes et les Pharisiens n'étaient en pratique, ni sobres ni vertueux. Notre aspect réel n’est en fait que le reflet de notre état « intérieur ». Des apparences peuvent nous donner un côté recommandable, alors que notre être reste néanmoins répugnant ; si notre cœur et notre esprit sont « rénovés » en Christ, il y aura alors nouveauté de vie ; nous devons commencer par nous examiner nous-mêmes, avant de juger les autres !

      La justice des scribes et des pharisiens n’était symboliquement qu’un ornement funéraire, (verset Matthieu 23:29)*, ou qu’une toilette mortuaire, une simple façade. Les cœurs qui demeurent sous l’emprise du péché, suivent manifestement des « chemins trompeurs », s'imaginant qu'ils se seraient opposés aux tendances iniques des temps qui les ont précédés.

      Nous pensons parfois que si nous avions vécu à l’époque où Christ était ici-bas, nous ne L'aurions ni méprisé, ni repoussé, à l’inverse de ce que firent les scribes et les Pharisiens d'alors ; cependant Christ, dans Son Esprit, comme dans Sa Parole, n’est hélas pas mieux considéré actuellement, par certains de Ses serviteurs hypocrites...

      Et il est tout à fait normal que Dieu accorde une rétribution méritée à ceux qui ne cherchent qu’à satisfaire les convoitises de leur cœur. En fait, Christ révèle la véritable nature du cœur de l’homme.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 26

      Marc 3

      Marc 6

      45 L'Église ressemble souvent à un bateau en pleine mer, agité par le tempête et plus ou moins en sécurité : nous pouvons avoir Christ avec nous, cependant vents et marées demeurent contre nous. Quand les serviteurs de Christ traversent la tempête, ils sont réconfortés de savoir que leur Maître se trouve sur la « montagne céleste », intercédant pour eux. Quand le temps fixé est venu, aucun obstacle ne peut entraver l'apparition de Christ à Son peuple. Il apaise ses frayeurs en se faisant connaître à lui. Nos craintes sont rapidement apaisées, si nos manquements et nos fautes sont lavés par le sang du Seigneur.

      Quand les disciples ont leur Maître à proximité, tout va bien ! C'est pour mieux comprendre les œuvres que Christ a précédemment accomplies, que nous avons l’impression de voir de manière toute nouvelle, Ses agissements actuels.

      Si les serviteurs de Christ pouvaient aujourd’hui guérir les malades avec autant de puissance qu’à l’époque relatée dans ce texte, quelle multitude s'assemblerait auprès d’eux ! Il est triste de constater que la plupart des gens se préoccupent davantage de leur corps que de leur âme...

      Marc 7

      24 Christ n'a jamais repoussé celui qui se jette à Ses pieds : même une âme tremblante peut le faire sans crainte.

      La femme mentionnée dans ce texte était une mère bonne et attentionnée : pour sauver sa fille, elle alla vers Christ qui, par Sa parole : « laisse d'abord les enfants se rassasier », montra qu’Il avait de la compassion pour les Gentils, proches de Lui. Elle s’exprima, non pour souligner l'importance de la Grâce, mais pour magnifier l'abondance de miracles parmi les Juifs : la seule guérison de sa fille n'allait être en fait, qu'une « miette ».

      Alors que le Sauveur béni, délaisse les pharisiens orgueilleux, Il manifeste sa compassion envers de pauvres et humbles pécheurs, qui regardent à Lui, pour le « pain » des enfants. Christ s'affaire toujours à rechercher et sauver celui qui est perdu !

      31 Ce texte décrit la guérison d'un sourd muet. Ceux qui amenèrent ce pauvre homme à Christ, Le supplièrent de prendre son cas en considération et d'agir par Son pouvoir. Notre Seigneur utilisa bon nombre d'actions visibles, pour accomplir cette guérison : cela révélait seulement le pouvoir qu’avait Jésus de guérir cet homme, afin d’encourager sa foi, et celle de ceux qui l'amenèrent.

      Bien que nous trouvions beaucoup de variétés dans les maladies et différentes méthodes de délivrance pour ceux qui s'adressèrent à Jésus, tous obtinrent néanmoins le secours recherché.

      Il en est ainsi pour notre âme, quand on s’approche de Christ !

      Marc 8

      22 Nous voici en présence d’un aveugle, amené à Christ par ses amis : cette démarche révèle la foi de ceux qui l'amenèrent. Si ceux qui sont « aveugles » spirituellement, ne prient pas pour eux-mêmes, leur famille et leurs amis devraient le faire pour eux : Christ serait heureux de les « toucher ».

      La guérison de cet homme fut faite par étapes, ce qui n'était pas habituel dans les miracles opérés par le Seigneur. Christ montra par quelle méthode sont généralement guéris, ceux qui par nature sont « aveugles » spirituellement : en premier lieu, leur connaissance est embrouillée ; mais, comme la lumière du matin brille de plus en plus jusqu'au jour complet, de même, ces « aveugles » perçoivent alors les choses clairement.

      Quand on ne prend pas en considération les faveurs de Christ, on en perd alors tout le bénéfice qui peut en résulter ; en de tels cas, le Seigneur fera connaître à ceux qui agissent de la sorte, la véritable valeur de Ses privilèges, provoquant la « soif » de les acquérir.

      Luc 4

      Luc 6

      Luc 9

      10 Les foules suivaient Jésus, et bien que tous soient venus à un moment peu propice, Il leur a cependant donné ce qu’ils désiraient : Il leur a parlé du Royaume de Dieu. Jésus guérit aussi les malades et avec cinq pains et deux poissons, Il nourrit cinq mille hommes ! Il ne voulait pas que ceux qui Le respectaient et qui Le servaient fidèlement, manquent de quoi que ce soit.

      Lorsque nous recevons des bénédictions matérielles qui nous réconfortent, nous devons reconnaître qu’elles proviennent de Dieu ; par nature, nous sommes d’ailleurs indignes de les recevoir ; en réalité, nous devons à Dieu tout ce que nous avons, avec la joie que cela peut procurer : cela ne s’opère que par la médiation de Christ, Celui qui nous a préservés de la malédiction divine.

      Comme ce texte le montre, le peu de nourriture dont disposaient les disciples au départ, s’est transformé en abondance. Christ comble toute âme affamée, et la satisfait abondamment. Après que tous eurent mangé, il en est resté : dans la maison de notre Père, se trouve suffisamment de pain spirituel, et il en reste même après que chacun soit nourri ! « En Christ », nous ne sommes ni rationnés ni limités !

      Luc 10

      Luc 11

      Jean 1

      Jean 3

      9 La déclaration de Christ, de la doctrine et de la nécessité de la régénération, ne semblait pas très claire à Nicodème. Ainsi les choses de l'Esprit de Dieu sont folies pour l'homme naturel. Beaucoup pensent que ce qu’ils ne peuvent pas croire est impossible à prouver. Les paroles de Christ sur les vérités de l'Évangile, Jean 3:11-13, montrent l’aveuglement de ceux qui considèrent ces choses comme « étranges » ; Jésus nous recommande de les rechercher avec soin.

      Jésus-Christ est le véritable « chemin », capable de nous révéler la volonté divine, car étant descendu du ciel, Il y est ensuite retourné lors de Son ascension. Nous avons ici une remarque sur les deux « natures » distinctes de Christ, en une seule et même personne : alors qu'Il est le Fils de l'homme, Il est cependant dans le ciel. Dieu est « Celui qui Est », et les cieux sont la demeure de Sa sainteté. La connaissance de cet état doit venir d'en haut, et ne peut être reçue que par la foi !

      Jean 12

      Actes 12

      20 Beaucoup de monarques païens demandèrent et reçurent au cours du temps, des honneurs venant du ciel, mais en ce qui concerne Hérode, absolument impie, bien que connaissant la Parole du Dieu vivant, il était impensable qu’il soit honoré de la faveur divine ; le croire était une pure folie de sa part...

      Lorsque des hommes, tels qu'Hérode, sont enflés d’orgueil et de vanité, ils deviennent rapidement « mûrs » pour l’accomplissement de la vengeance céleste. Dieu est vraiment jaloux de Son propre honneur, Il tirera Sa gloire de ceux par lesquels Il a été blasphémé.

      Remarquons au passage la nature vile de notre corps ; il porte la semence de sa propre corruption, (le péché) par laquelle il sera détruit lors de la mort, selon la Volonté divine.

      Remarquons également dans ce texte, la sagesse des peuples de Tyr et Sidon : sachons revenir aux pieds du Seigneur quand nous L’avons offensé. Nous dépendons de Lui pour notre vie et tout ce qui nous concerne ; il est alors certain qu'il convient de nous humilier devant Lui : Il est le Médiateur attitré auprès du Père, toujours prêt à nous traiter en ami, afin que nous puissions être réconciliés avec Dieu, et nous épargner de Sa colère.

      Actes 13

      Actes 27

      Actes 28

      Jude 1

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