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Matthieu 16.18

Et moi, je te dis que tu es Pierre et que sur ce rocher je construirai mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne l'emporteront pas sur elle.

I also tell you that you are Peter, and on this rock I will build my assembly, and the gates of Hades will not prevail against it.
Et moi aussi, je te dis que tu es Pierre ; et sur ce roc je bùtirai mon assemblée, et les portes du hadÚs ne prévaudront pas contre elle.
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C’était un moment dĂ©courageant et difficile dans notre Eglise d’Ozoir-la-FerriĂšre en Seine-et-Marne. Le Conseil s’était rĂ©uni pour discuter de la 


Christophe Short
Matthieu 16.18 Matthieu 16.18
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Luc 2 /1-20 Matthieu 2/1-12. 1) UN PEU D'HISTOIRE. Noël représente selon la tradition chrétienne la naissance de Jésus. Cependant, 


Philippe Landrevie
Matthieu 1.1-39

Segond 21 Et moi, je te dis que tu es Pierre et que sur ce rocher je construirai mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne l'emporteront pas sur elle.

Segond 1910 Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bĂątirai mon Église, et que les portes du sĂ©jour des morts ne prĂ©vaudront point contre elle.

Segond 1978 (Colombe) © Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bĂątirai mon Église, et que les portes du sĂ©jour des morts ne prĂ©vaudront pas contre elle.

Parole de Vie © Et moi, je te dis ceci : Tu es Pierre, et sur cette pierre, je construirai mon Église, et la puissance de la mort ne pourra rien contre elle.

Français Courant © Eh bien, moi, je te le dĂ©clare, tu es Pierre et sur cette pierre je construirai mon Église. La mort elle-mĂȘme ne pourra rien contre elle.

Semeur © Et moi, je te dĂ©clare : Tu es Pierre, et sur cette pierre j’édifierai mon Eglise, contre laquelle la mort elle-mĂȘme ne pourra rien.

Parole Vivante © À mon tour, je te dĂ©clare : tu es Pierre (c’est-Ă -dire Roc), et sur cette roche, j’édifierai mon Église, devant laquelle ni le pouvoir de la mort ni les puissances infernales ne rĂ©sisteront. Aucun ennemi ne pourra la dĂ©truire.

Darby Et moi aussi, je te dis que tu es Pierre ; et sur ce roc je bùtirai mon assemblée, et les portes du hadÚs ne prévaudront pas contre elle.

Martin Et je te dis aussi, que tu es Pierre, et sur cette pierre j'édifierai mon Eglise ; et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle.

Ostervald Et moi, je te dis aussi que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bĂątirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prĂ©vaudront point contre elle.

HĂ©breu / Grec - Texte original © ÎșáŒ€ÎłáœŒ Ύέ ÏƒÎżÎč Î»Î­ÎłÏ‰ ᜅτÎč σáœș Δጶ Î Î­Ï„ÏÎżÏ‚, Îșα᜶ ጐπ᜶ Ï„Î±ÏÏ„áżƒ Ï„áż‡ Ï€Î­Ï„ÏáŸł ÎżáŒ°ÎșÎżÎŽÎżÎŒÎźÏƒÏ‰ ÎŒÎżÏ… τᜎΜ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Îœ, Îșα᜶ πύλαÎč áŸ…ÎŽÎżÏ… Îżáœ ÎșατÎčÏƒÏ‡ÏÏƒÎżÏ…ÏƒÎčÎœ Î±áœÏ„áż†Ï‚Î‡

World English Bible I also tell you that you are Peter, and on this rock I will build my assembly, and the gates of Hades will not prevail against it.

La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Grec : "tu es Petros (masculin), un roc : et sur cette petra (féminin), sur ce roc, je bùtirai..." On voit que l'évangéliste a employé en grec ces deux synonymes de maniÚre à ce que l'un soit un nom propre, l'autre un nom commun.

Le français comme le grec rend ce jeu de mots : "Tu es Pierre, et sur cette pierre..." Mais JĂ©sus parlait aramĂ©en et rĂ©pĂ©ta identiquement le mĂȘme terme : "Tu es KĂšphas (roc) et sur ce KĂšphas..." (Jean 1.43)

- On a trouvé une contradiction entre ce dernier passage et notre récit : d'aprÚs Jean, Pierre aurait reçu ce nom dÚs le commencement. Mais ici Jésus ne lui donne pas ce nom, il le lui confirme : tu es Pierre.

- Quel est le sens des paroles si longuement controversées : sur ce roc je bùtirai mon Eglise ? Et d'abord, qu'est-ce ici que l'Eglise, mot qui ne se trouve nulle part dans nos évangiles, sauf dans notre passage et dans Matthieu 18.17 ?

Le terme français Eglise est grec par son Ă©tymologie (ecclĂšsia), et dans la langue originale, il signifie toute assemblĂ©e ou plutĂŽt convocation mĂȘme en dehors d'un but religieux. (Actes 19.39,40) JĂ©sus se servit sĂ»rement du mot hĂ©breu kahal, qui dĂ©signait les convocations solennelles du Peuple israĂ©lite. Par ce terme, il n'entendait pas dĂ©signer une Eglise particuliĂšre, mais l'ensemble de ceux qui croiraient en lui. (Il en est autrement au Matthieu 18.17)

Enfin, il considÚre l'Eglise, suivant une figure de langage qu'emploiera fréquemment l'apÎtre Paul, comme un édifice qu'il s'agit de bùtir.

La critique négative, n'admettant pas que Jésus pût ainsi parler de son Eglise avant qu'elle existùt, révoque en doute l'authenticité de ces paroles, qui, selon elle, appartiennent à un ordre de faits postérieurs.

Comment alors JĂ©sus pourrait-il parler si souvent de son royaume (vers. 19), en dĂ©crire tous les caractĂšres et tous les dĂ©veloppements, jusqu'Ă  la perfection ? La notion d'une telle sociĂ©tĂ© spirituelle Ă©tait d'ailleurs donnĂ©e par la communion des Ăąmes pieuses du milieu du peuple d'IsraĂ«l, qui formaient dĂ©jĂ  une Eglise. Et mĂȘme le petit nombre de croyants rĂ©unis autour du Sauveur n'Ă©taient-ils pas dĂ©jĂ  son Eglise ? Et JĂ©sus n'aurait pu en prĂ©voir tous les dĂ©veloppements futurs ! Il faut s'y rĂ©signer : retrancher du Nouveau Testament la prescience et la divinitĂ© de JĂ©sus-Christ, c'est se condamner Ă  n'y plus trouver qu'une longue suite d'Ă©nigmes.

- Maintenant, quelle prĂ©rogative le Seigneur confĂšre-t-il Ă  Pierre par ces paroles ? Il faut d'abord en Ă©carter toutes les interprĂ©tations contraires Ă  une saine exĂ©gĂšse. Ainsi l'idĂ©e d'Augustin que JĂ©sus, en disant : sur ce roc, se dĂ©signait lui-mĂȘme du geste. Ainsi encore celle de plusieurs PĂšres et de la plupart des interprĂštes protestants que ce roc, c'est la confession de Pierre, ou sa foi considĂ©rĂ©e dans un sens abstrait. Sans doute, c'est a cause de cette foi que le Seigneur le proclame le roc sur lequel il fondera. son Eglise, et l'instant d'aprĂšs quand Pierre ne comprendra point les choses divines, il l'appellera Satan. (verset 23)

Mais il faut bien reconnaßtre que Jésus en lui disant : Tu es Pierre,...sur cette pierre, je bùtirai,...désigne bien la personne de l'apÎtre. C'est sur sa personne, pour autant du moins qu'il se montrera, par l'obéissance et la foi, un rocher, c'est sur son action personnelle, que reposera l'édifice de l'Eglise.

L'événement a confirmé la prophétie. Les premiers chapitres du livre des Actes nous présentent Pierre comme le fondateur de l'Eglise, parmi les Juifs, Matthieu 2 parmi les Samaritains (Matthieu 8.14 et suivants) et parmi les païens. (Matthieu 10) Dans tous les catalogues des apÎtres, Pierre est nommé le premier. (Matthieu 10.2 ; Marc 3.16 ; Luc 6.14 ; Actes 1.13) Il a donc bien occupé aux yeux de l'Eglise primitive le rang que le Maßtre lui avait assigné.

Qu'y a-t-il dans ce fait qui puisse donner le moindre prĂ©texte aux inventions absurdes et impies de l'Eglise de Rome ? Un apĂŽtre n'a point de successeurs, Pierre n'a point fondĂ© l'Eglise de Rome et n'en fut jamais l'Ă©vĂȘque (voir l'introduction Ă  l'Ă©pĂźtre aux Romains) ; mais l'eut-il Ă©tĂ©, la prĂ©tention des papes Ă  hĂ©riter de son rang et de beaucoup plus encore, constitue une impiĂ©tĂ©. Paul sans doute ne craint pas de montrer l'Eglise bĂątie "sur le fondement des apĂŽtres," mais il a soin d'ajouter que JĂ©sus-Christ en reste "la pierre angulaire" (EphĂ©siens 2.20 ; comparez Matthieu 21.42), le seul fondement divin qu'on puisse poser. (1Corinthiens 3.11 ; 1Pierre 2.6)

Quant Ă  Pierre s'il joua un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant tant qu'il s'agit de jeter les premiers fondements de l'Eglise, d'autres apĂŽtres, Paul par son action, Jean par ses Ă©crits, y sont, dans la suite, devenus plus grands que lui. Et lui-mĂȘme n'eut jamais d'autre sentiment. (1Pierre 5.1 ; comparez Matthieu 19.28 ; Apocalypse 21.14) En outre, dans tout le Nouveau Testament, on ne trouve pas trace d'une suprĂ©matie exercĂ©e par Pierre dans le gouvernement de l'Eglise. C'est l'Eglise qui Ă©lit les diacres. (Actes 6) Quand il s'agit de baptiser les premiers paĂŻens, Pierre consulte les disciples, (Actes 10.47) puis il se justifie humblement devant l'Eglise ; (Actes 11.2 et suivants) dans le concile de JĂ©rusalem, il prend une part dĂ©cisive Ă  la discussion mais c'est Jacques qui propose et fait adopter la rĂ©solution ; (Actes 15) enfin cet apĂŽtre accepte la rĂ©prĂ©hension de Paul. (Galates 2)

Ajoutons que tout ce discours de Jésus a Pierre est omis dans le récit de Marc, son "interprÚte," et dans celui de Luc, preuve que ces prérogatives temporaires avaient peu d'importance dans la tradition apostolique. (Voir sur ce passage R. Stier, Discours du Seigneur, tome II, p. 204 et suivants)

Le séjour des morts (grec hadÚs, le lieu invisible, comparez Matthieu 11.23, note) est considéré comme une forteresse ayant des portes si fermes, que nul n'en peut ressortir. (Comparer Job 38.17 ; Esaïe 38.10 ; Psaumes 9.14) Or, Jésus affirme que l'édifice de son Eglise sera plus ferme encore, et qu'elle ne périra jamais. Toutes les interprétations qui supposent ici un combat de la puissance des ténÚbres contre l'Eglise faussent l'image ; des portes n'attaquent pas, mais ces portes de la mort s'ouvrent pour engloutir des victimes, et elles n'engloutiront jamais l'Eglise : celle-ci ne mourra point.

De plus, il ne faut pas, comme nos versions ordinaires, confondre le hadÚs, séjours des morts, avec l'enfer.

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Matthew Henry © traduction Dominique Osché
Et 1161 moi, 2504 je te 4671 dis 3004 5719 que 3754 tu 4771 es 1488 5748 Pierre 4074, et 2532 que sur 1909 cette 5026 pierre 4073 je bùtirai 3618 5692 mon 3450 Eglise 1577, et 2532 que les portes 4439 du séjour des morts 86 ne prévaudront 2729 5692 point 3756 contre elle 846.

86 - hadesHadùs ou Pluton, le dieu des profondeurs de la terre, le monde souterrain Orcus, le 


846 - autoslui-mĂȘme, elle-mĂȘme, eux-mĂȘmes il, elle le mĂȘme

1161 - demais, de plus, et, etc.

1488 - eitu es, vous ĂȘtes

1577 - ekklesiaek : hors de - klésis : appel Eglise de Jésus-Christ, qui de tous temps 


1909 - episur, à, par, avant de position: sur, à par, au dessus, contre à travers, au 


2504 - kagoet je moi aussi, aussi bien, de maniĂšre que je mĂȘme moi

2532 - kaiet, aussi, mĂȘme, en effet, mais

2729 - katischuoĂȘtre fort au dĂ©triment d'un autre, dĂ©cider ĂȘtre supĂ©rieur en force vaincre, l'emporter prĂ©valoir

3004 - legodire, parler affirmer, maintenir, soutenir enseigner exhorter, conseiller, commander, adresser annoncer par la parole, destiner 


3450 - mouJe, moi, mon, de moi

3618 - oikodomeobĂątir une maison, Ă©riger un immeuble, construire bĂątir (depuis les fondations) remettre en Ă©tat, rebĂątir, 


3754 - hotique, parce que, puisque

3756 - ounon, pas; dans des questions directes espérant une réponse affirmative

4073 - petraun roc, falaise ou chaßne rocher escarpé, terrain rocheux un rocher, une grosse pierre métaph. 


4074 - PetrosPierre (Angl. Peter) = « un roc ou une pierre » un des douze disciples 


4439 - puleune porte de grande dimension dans le mur d'une cité d'un palais d'une ville du 


4671 - soiĂ  toi

4771 - sutu

5026 - tautece, cette, le mĂȘme, voir 3778

5692Temps - Futur 5776 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 814

5719Temps - Présent 5774 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 3019

5748Temps - Présent 5774 Voix - Pas de Voix indiquée 5799 Mode - Indicatif 5791 


© Éditions CLÉ, avec autorisation

AMENMot hébr., que l'usage liturgique a fait passer en grec, et qui a subsisté dans tous les cultes chrétiens. La 


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      GenĂšse 22

      17 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ‘ÖžŚšÖ”ÖŁŚšÖ° ŚÖČŚ‘ÖžŚšÖ¶Ś›Ö°ŚšÖžÖ— Ś•Ö°Ś”Ö·ŚšÖ°Ś‘֌֚֞Ś” ŚÖ·ŚšÖ°Ś‘֌ֶրŚ” ŚÖ¶ÖœŚȘÖŸŚ–Ö·ŚšÖ°ŚąÖČŚšÖžÖ™ Ś›ÖŒÖ°Ś›Ś•Ö覛ְŚ‘Ö”ÖŁŚ™ Ś”Ö·Ś©ŚÖŒÖžŚžÖ·Ö”Ś™ÖŽŚ Ś•Ö°Ś›Ö·Ś—Ö•Ś•Ö覜 ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö–Śš ŚąÖ·ŚœÖŸŚ©Ś‚Ö°Ś€Ö·ÖŁŚȘ Ś”Ö·Ś™ÖŒÖžÖ‘Ś Ś•Ö°Ś™ÖŽŚšÖ·ÖŁŚ©Ś Ś–Ö·ŚšÖ°ŚąÖČŚšÖžÖ” ŚÖ”֖ŚȘ Ś©ŚÖ·Ö„ŚąÖ·Śš ŚÖ覙ְŚ‘ÖžÖœŚ™Ś•Śƒ

      2 Samuel 18

      4 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖ€ŚŚžÖ¶Śš ŚÖČŚœÖ”Ś™Ś”Ö¶ŚÖ™ Ś”Ö·ŚžÖŒÖ¶Ö”ŚœÖ¶ŚšÖ° ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ™ÖŽŚ™Ś˜Ö·Ö„Ś‘ Ś‘֌ְŚąÖ”Ś™Ś Ö”Ś™Ś›Ö¶Ö–Ś ŚÖ¶ŚąÖ±Ś©Ś‚Ö¶Ö‘Ś” Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ·ŚąÖČŚžÖčÖ€Ś“ Ś”Ö·ŚžÖŒÖ¶Ö™ŚœÖ¶ŚšÖ°Ö™ ŚÖ¶ŚœÖŸŚ™Ö·ÖŁŚ“ Ś”Ö·Ś©ŚÖŒÖ·Ö”ŚąÖ·Śš Ś•Ö°Ś›ÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžŚÖ™ Ś™ÖžÖœŚŠÖ°ŚÖ”Ś•ÖŒ ŚœÖ°ŚžÖ”ŚÖ–Ś•ÖčŚȘ Ś•Ö°ŚœÖ·ŚÖČŚœÖžŚ€ÖŽÖœŚ™ŚŚƒ

      Job 38

      17 Ś”ÖČŚ ÖŽŚ’Ö°ŚœÖŁŚ•ÖŒ ŚœÖ°Ö­ŚšÖž Ś©ŚÖ·ŚąÖČŚšÖ”Ś™ÖŸŚžÖžÖ‘Ś•Ö¶ŚȘ Ś•Ö°Ś©ŚÖ·ŚąÖČŚšÖ”֖Ś™ ŚŠÖ·ŚœÖ°ŚžÖžÖŁŚ•Ö¶ŚȘ ŚȘ֌֎ŚšÖ°ŚÖ¶ÖœŚ”Śƒ

      Psaumes 9

      13 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ“Ö茚֣֔Ś©Ś Ś“֌֭֞ŚžÖŽŚ™Ś ŚŚ•ÖčŚȘÖžÖŁŚ Ś–ÖžŚ›ÖžÖ‘Śš ŚœÖčÖœŚÖŸŚ©ŚÖžÖŚ›Ö·Ö—Ś— ŚŠÖ·ŚąÖČŚ§Ö·Ö„ŚȘ *ŚąŚ Ś™Ś™Ś **ŚąÖČŚ ÖžŚ•ÖœÖŽŚ™ŚŚƒ

      Psaumes 69

      12 Ś•ÖžŚÖ¶ŚȘ֌ְŚ ÖžÖŁŚ” ŚœÖ°Ś‘Ś•ÖŒŚ©ŚÖŽÖŁŚ™ Ś©Ś‚ÖžÖ‘Ś§ Ś•ÖžŚÖ±Ś”ÖŽÖ–Ś™ ŚœÖžŚ”Ö¶ÖŁŚ ŚœÖ°ŚžÖžŚ©ŚÖžÖœŚœŚƒ

      Psaumes 107

      18 Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚÖčÖ­Ś›Ö¶Śœ ŚȘ֌ְŚȘÖ·ŚąÖ”ÖŁŚ‘ Ś Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖžÖ‘Ś Ś•Ö·ÖŚ™ÖŒÖ·Ś’֌֎֗Ś™ŚąŚ•ÖŒ ŚąÖ·Ś“ÖŸŚ©ŚÖ·Ö„ŚąÖČŚšÖ”Ś™ ŚžÖžÖœŚ•Ö¶ŚȘŚƒ

      Psaumes 125

      1 Ś©ŚÖŽÖ—Ś™Śš Ś”Ö·ÖœŚžÖŒÖ·Ö«ŚąÖČŚœÖ„Ś•ÖčŚȘ Ś”Ö·Ś‘ÖŒÖ茘ְŚ—ÖŽÖ„Ś™Ś Ś‘֌ַŚ™Ś”Ś•ÖžÖ‘Ś” Ś›ÖŒÖ°ÖœŚ”Ö·ŚšÖŸŚŠÖŽŚ™ÖŒÖ„Ś•Ö覟 ŚœÖčŚÖŸŚ™ÖŽÖŚžÖŒÖ—Ś•Ö茘 ŚœÖ°ŚąŚ•ÖčŚœÖžÖ„Ś Ś™Ö”Ś©ŚÖ”ÖœŚ‘Śƒ
      2 Ś™Ö°ÖœŚšŚ•ÖŒŚ©ŚÖžŚœÖ·ÖŽÖ—Ś Ś”ÖžŚšÖŽŚ™ŚÖź ŚĄÖžŚ‘ÖŽÖȘŚ™Ś‘ ŚœÖžÖ„Ś”ÖŒ Ś•Ö·Ö­Ś™Ś”Ś•ÖžŚ” ŚĄÖžŚ‘ÖŽÖŁŚ™Ś‘ ŚœÖ°ŚąÖ·ŚžÖŒÖ‘Ś•Öč ŚžÖ”֝ŚąÖ·ŚȘ֌֞֗Ś” Ś•Ö°ŚąÖ·Ś“ÖŸŚąŚ•ÖčŚœÖžÖœŚŚƒ

      Psaumes 127

      5 ŚÖ·Ś©ŚÖ°ŚšÖ”Ö€Ś™ Ś”Ö·Ś’֌ֶ֗Ś‘Ö¶Śš ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€Śš ŚžÖŽŚœÖŒÖ”Ö„Ś ŚÖ¶ŚȘÖŸŚÖ·Ś©ŚÖ°Ś€ÖŒÖžŚȘ֗Ś•Öč ŚžÖ”Ö«Ś”Ö¶Ö„Ś ŚœÖčÖœŚÖŸŚ™Ö”Ś‘Öč֑Ś©ŚŚ•ÖŒ Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ™Ö°Ś“Ö·Ś‘֌ְŚšÖ–Ś•ÖŒ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚŚ•Ö覙ְŚ‘ÖŽÖŁŚ™Ś Ś‘֌ַŚ©ŚÖŒÖžÖœŚąÖ·ŚšŚƒ

      Proverbes 24

      7 ŚšÖžŚŚžÖŁŚ•ÖčŚȘ ŚœÖ¶ÖœŚÖ±Ś•ÖŽÖŁŚ™Śœ Ś—ÖžŚ›Ö°ŚžÖ‘Ś•ÖčŚȘ Ś‘֌ַ֝Ś©ŚÖŒÖ·Ö—ŚąÖ·Śš ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖŽŚ€Ö°ŚȘ֌ַŚ—ÖŸŚ€ÖŒÖŽÖœŚ™Ś”Ś•ÖŒŚƒ

      EsaĂŻe 28

      6 Ś•ÖŒŚœÖ°ŚšÖ–Ś•ÖŒŚ—Ö· ŚžÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖžÖ‘Ś˜ ŚœÖ·Ś™ÖŒŚ•Ö茩ŚÖ”Ś‘Ö™ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ”Ö·ŚžÖŒÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖžÖ”Ś˜ Ś•Ö°ŚœÖŽÖšŚ’Ö°Ś‘Ś•ÖŒŚšÖžÖ”Ś” ŚžÖ°Ś©ŚÖŽŚ™Ś‘Ö”Ö„Ś™ ŚžÖŽŚœÖ°Ś—ÖžŚžÖžÖ–Ś” Ś©ŚÖžÖœŚąÖ°ŚšÖžŚ”Śƒ
      16 ŚœÖžŚ›Ö”֗ŚŸ Ś›ÖŒÖčÖ€Ś” ŚÖžŚžÖ·ŚšÖ™ ŚÖČŚ“Ö茠֣֞Ś™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖŽÖ”Ś” Ś”ÖŽŚ Ö°Ś ÖŽÖ›Ś™ Ś™ÖŽŚĄÖŒÖ·Ö„Ś“ Ś‘֌ְŚŠÖŽŚ™ÖŒÖ–Ś•Ö覟 ŚÖžÖ‘Ś‘Ö¶ŚŸ ŚÖ¶ÖŁŚ‘Ö¶ŚŸ Ś‘ÖŒÖč֜Ś—Ö·ŚŸ Ś€ÖŒÖŽŚ ÖŒÖ·Ö€ŚȘ Ś™ÖŽŚ§Ö°ŚšÖ·ŚȘ֙ ŚžŚ•ÖŒŚĄÖžÖŁŚ“ ŚžŚ•ÖŒŚĄÖŒÖžÖ”Ś“ Ś”Ö·ÖœŚžÖŒÖ·ŚÖČŚžÖŽÖ–Ś™ŚŸ ŚœÖčÖ„Ś Ś™ÖžŚ—ÖŽÖœŚ™Ś©ŚŚƒ

      EsaĂŻe 38

      10 ŚÖČŚ ÖŽÖŁŚ™ ŚÖžŚžÖ·Ö—ŚšÖ°ŚȘ֌֎Ś™ Ś‘֌֎Ś“Ö°ŚžÖŽÖ„Ś™ Ś™ÖžŚžÖ·Ö›Ś™ ŚÖ”ŚœÖ”֖Ś›ÖžŚ” Ś‘֌ְŚ©ŚÖ·ŚąÖČŚšÖ”ÖŁŚ™ Ś©ŚÖ°ŚÖ‘Ś•Ö覜 Ś€ÖŒÖ»Ś§ÖŒÖ·Ö–Ś“Ö°ŚȘ֌֎Ś™ Ś™Ö¶Ö„ŚȘÖ¶Śš Ś©ŚÖ°Ś Ś•ÖčŚȘÖžÖœŚ™Śƒ

      EsaĂŻe 54

      17 Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ›ÖŒÖ°ŚœÖŽÖžŚ™ Ś™Ś•ÖŒŚŠÖ·Ö€Śš ŚąÖžŚœÖ·Ö™Ś™ÖŽŚšÖ°Ö™ ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖŽŚŠÖ°ŚœÖžÖ”Ś— Ś•Ö°Ś›ÖžŚœÖŸŚœÖžŚ©ŚÖ›Ś•Ö覟 ŚȘ֌֞֜Ś§Ś•ÖŒŚÖŸŚÖŽŚȘ֌֞քŚšÖ° ŚœÖ·ŚžÖŒÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖžÖ–Ś˜ ŚȘ֌ַŚšÖ°Ś©ŚÖŽÖ‘Ś™ŚąÖŽŚ™ Ś–ÖčÖĄŚŚȘ Ś Ö·Ś—ÖČŚœÖ·ŚȘÖ© ŚąÖ·Ś‘Ö°Ś“Ö”ÖšŚ™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ§Ś” Ś•Ö°ŚŠÖŽŚ“Ö°Ś§ÖžŚȘ־֛Ś ŚžÖ”ŚÖŽŚȘ֌֎֖Ś™ Ś Ö°ŚÖ»ŚÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖœŚ”Śƒ

      Zacharie 6

      12 Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·ŚšÖ°ŚȘ֌֞ր ŚÖ”ŚœÖžŚ™Ś•Ö™ ŚœÖ”ŚŚžÖč֔Śš Ś›ÖŒÖčÖ„Ś” ŚÖžŚžÖ·Ö›Śš Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ„Ś” ŚŠÖ°Ś‘ÖžŚÖ–Ś•ÖčŚȘ ŚœÖ”ŚŚžÖč֑Śš Ś”ÖŽŚ ÖŒÖ”Ś”ÖŸŚÖŽÖžŚ™Ś©Ś ŚŠÖ¶Ö€ŚžÖ·Ś— Ś©ŚÖ°ŚžŚ•Öč֙ Ś•ÖŒŚžÖŽŚȘ֌ַŚ—Ö°ŚȘÖŒÖžÖŁŚ™Ś• Ś™ÖŽŚŠÖ°ŚžÖžÖ”Ś— Ś•ÖŒŚ‘ÖžŚ ÖžÖ–Ś” ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö”Ś™Ś›Ö·Ö„Śœ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖœŚ”ÖŒŚƒ
      13 Ś•Ö°Ö Ś”Ś•ÖŒŚ Ś™ÖŽŚ‘Ö°Ś Ö¶ÖžŚ” ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö”Ś™Ś›Ö·Ö€Śœ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ Ś•Ö°Ś”ÖœŚ•ÖŒŚÖŸŚ™ÖŽŚ©Ś‚ÖŒÖžÖŁŚ Ś”Ö”Ś•Ö覓 Ś•Ö°Ś™ÖžŚ©ŚÖ·Ö„Ś‘ Ś•ÖŒŚžÖžŚ©ŚÖ·Ö–Śœ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ›ÖŒÖŽŚĄÖ°ŚÖ‘Ś•Öč Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™ÖžÖ€Ś” Ś›Ö茔֔ŚŸÖ™ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ›ÖŒÖŽŚĄÖ°ŚÖ”Ś•Öč Ś•Ö·ŚąÖČŚŠÖ·ÖŁŚȘ Ś©ŚÖžŚœÖ”Ś•Ö覝 ŚȘ֌֎Ś”Ö°Ś™Ö¶Ö–Ś” Ś‘֌֔քŚ™ŚŸ Ś©ŚÖ°Ś Ö”Ś™Ś”Ö¶ÖœŚŚƒ

      Matthieu 10

      2 Ï„áż¶Îœ ÎŽáœČ ΎώΎΔÎșα áŒ€Ï€ÎżÏƒÏ„ÏŒÎ»Ï‰Îœ τᜰ áœ€ÎœÏŒÎŒÎ±Ï„ÎŹ ጐστÎčÎœ Ï„Î±áżŠÏ„Î±Î‡ Ï€Ïáż¶Ï„ÎżÏ‚ ÎŁÎŻÎŒÏ‰Îœ ᜁ Î»Î”ÎłÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÏ‚ Î Î­Ï„ÏÎżÏ‚ Îșα᜶ ገΜΎρέας ᜁ ጀΎΔλφ᜞ς Î±áœÏ„ÎżáżŠ, áŒžÎŹÎșωÎČÎżÏ‚ ᜁ Ï„ÎżáżŠ ΖΔÎČÎ”ÎŽÎ±ÎŻÎżÏ… Îșα᜶ áŒžÏ‰ÎŹÎœÎœÎ·Ï‚ ᜁ ጀΎΔλφ᜞ς Î±áœÏ„ÎżáżŠ,

      Matthieu 11

      23 Îșα᜶ σύ, ÎšÎ±Ï†Î±ÏÎœÎ±ÎżÏÎŒ, Όᜎ ጕως ÎżáœÏÎ±ÎœÎżáżŠ áœ‘ÏˆÏ‰ÎžÎźÏƒáżƒ; ጕως áŸ…ÎŽÎżÏ… ÎșαταÎČÎźÏƒáżƒÎ‡ ᜅτÎč Δጰ ጐΜ ÎŁÎżÎŽÏŒÎŒÎżÎčς áŒÎłÎ”ÎœÎźÎžÎ·ÏƒÎ±Îœ αጱ ÎŽÏ…ÎœÎŹÎŒÎ”Îčς αጱ ÎłÎ”ÎœÏŒÎŒÎ”ÎœÎ±Îč ጐΜ ÏƒÎżÎŻ, ጔΌΔÎčΜΔΜ ጂΜ ΌέχρÎč Ï„áż†Ï‚ ÏƒÎźÎŒÎ”ÏÎżÎœ.

      Matthieu 16

      18 ÎșáŒ€ÎłáœŒ Ύέ ÏƒÎżÎč Î»Î­ÎłÏ‰ ᜅτÎč σáœș Δጶ Î Î­Ï„ÏÎżÏ‚, Îșα᜶ ጐπ᜶ Ï„Î±ÏÏ„áżƒ Ï„áż‡ Ï€Î­Ï„ÏáŸł ÎżáŒ°ÎșÎżÎŽÎżÎŒÎźÏƒÏ‰ ÎŒÎżÏ… τᜎΜ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Îœ, Îșα᜶ πύλαÎč áŸ…ÎŽÎżÏ… Îżáœ ÎșατÎčÏƒÏ‡ÏÏƒÎżÏ…ÏƒÎčÎœ Î±áœÏ„áż†Ï‚Î‡

      Matthieu 18

      17 ጐᜰΜ ÎŽáœČ παραÎșÎżÏÏƒáżƒ Î±áœÏ„áż¶Îœ, Δጰπ᜞Μ Ï„áż‡ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻáŸłÎ‡ ጐᜰΜ ÎŽáœČ Îșα᜶ Ï„áż†Ï‚ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Ï‚ παραÎșÎżÏÏƒáżƒ, ጔστω ÏƒÎżÎč ᜄσπΔρ ᜁ ጐΞΜÎčÎș᜞ς Îșα᜶ ᜁ τΔλώΜης.

      Jean 1

      42 áŒ€ÎłÎ±ÎłÎ”Îœ αᜐτ᜞Μ πρ᜞ς τ᜞Μ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÎœ. ጐΌÎČλέψας Î±áœÏ„áż· ᜁ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚ ΔጶπΔΜ· ÎŁáœș Δጶ ÎŁÎŻÎŒÏ‰Îœ ᜁ υጱ᜞ς áŒžÏ‰ÎŹÎœÎœÎżÏ…, σáœș ÎșÎ»Î·ÎžÎźÏƒáżƒ Κηφ៶ς (ᜃ ጑ρΌηΜΔύΔταÎč Î Î­Ï„ÏÎżÏ‚).

      Jean 10

      27 τᜰ πρόÎČατα τᜰ ጐΌᜰ Ï„áż†Ï‚ Ï†Ï‰Îœáż†Ï‚ ÎŒÎżÏ… ጀÎșÎżÏÎżÏ…ÏƒÎčÎœ, ÎșáŒ€ÎłáœŒ ÎłÎčΜώσÎșω Î±áœÏ„ÎŹ, Îșα᜶ ጀÎșÎżÎ»ÎżÏ…ÎžÎżáżŠÏƒÎŻÎœ ÎŒÎżÎč,
      28 ÎșáŒ€ÎłáœŒ ÎŽÎŻÎŽÏ‰ÎŒÎč Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚ ζωᜎΜ αጰώΜÎčÎżÎœ, Îșα᜶ Îżáœ Όᜎ ጀπόλωΜταÎč Δጰς τ᜞Μ Î±áŒ°áż¶ÎœÎ±, Îșα᜶ ÎżáœÏ‡ áŒÏÏ€ÎŹÏƒÎ”Îč τÎčς αᜐτᜰ ጐÎș Ï„áż†Ï‚ χΔÎčρός ÎŒÎżÏ….
      29 ᜁ Ï€Î±Ï„ÎźÏ ÎŒÎżÏ… ᜃ ΎέΎωÎșέΜ ÎŒÎżÎč Ï€ÎŹÎœÏ„Ï‰Îœ ÎŒÎ”áż–Î¶Ï‰Îœ ጐστÎčÎœ, Îșα᜶ ÎżáœÎŽÎ”áœ¶Ï‚ ΎύΜαταÎč áŒÏÏ€ÎŹÎ¶Î”ÎčÎœ ጐÎș Ï„áż†Ï‚ χΔÎčρ᜞ς Ï„ÎżáżŠ πατρός.
      30 áŒÎłáœŒ Îșα᜶ ᜁ πατᜎρ ጕΜ ጐσΌΔΜ.

      Actes 2

      47 Î±áŒ°ÎœÎżáżŠÎœÏ„Î”Ï‚ τ᜞Μ ΞΔ᜞Μ Îșα᜶ áŒ”Ï‡ÎżÎœÏ„Î”Ï‚ Ï‡ÎŹÏÎčÎœ πρ᜞ς áœ…Î»ÎżÎœ τ᜞Μ λαόΜ. ᜁ ÎŽáœČ ÎșύρÎčÎżÏ‚ Ï€ÏÎżÏƒÎ”Ï„ÎŻÎžÎ”Îč Ï„Îżáœșς ÏƒáżłÎ¶ÎżÎŒÎ­ÎœÎżÏ…Ï‚ ÎșαΞ’ áŒĄÎŒÎ­ÏÎ±Îœ ጐπ᜶ τ᜞ αᜐτό.

      Actes 8

      1 ÎŁÎ±áżŠÎ»ÎżÏ‚ ÎŽáœČ ጊΜ ÏƒÏ…ÎœÎ”Ï…ÎŽÎżÎșáż¶Îœ Ï„áż‡ ጀΜαÎčρέσΔÎč Î±áœÏ„ÎżáżŠ. áŒ˜ÎłÎ­ÎœÎ”Ï„Îż ÎŽáœČ ጐΜ ጐÎșÎ”ÎŻÎœáżƒ Ï„áż‡ áŒĄÎŒÎ­ÏáŸł ÎŽÎčÏ‰ÎłÎŒáœžÏ‚ ÎŒÎ­ÎłÎ±Ï‚ ጐπ᜶ τᜎΜ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Îœ τᜎΜ ጐΜ áŒčÎ”ÏÎżÏƒÎżÎ»ÏÎŒÎżÎčς· Ï€ÎŹÎœÏ„Î”Ï‚ ÎŽáœČ ÎŽÎčÎ”ÏƒÏ€ÎŹÏÎ·ÏƒÎ±Îœ Îșατᜰ τᜰς χώρας Ï„áż†Ï‚ áŒžÎżÏ…ÎŽÎ±ÎŻÎ±Ï‚ Îșα᜶ ÎŁÎ±ÎŒÎ±ÏÎ”ÎŻÎ±Ï‚ πλᜎΜ Ï„áż¶Îœ áŒ€Ï€ÎżÏƒÏ„ÏŒÎ»Ï‰Îœ.

      Romains 8

      33 Ï„ÎŻÏ‚ áŒÎłÎșαλέσΔÎč Îșατᜰ ጐÎșλΔÎșÏ„áż¶Îœ ΞΔοῊ; ΞΔ᜞ς ᜁ ÎŽÎčÎșαÎčáż¶ÎœÎ‡
      34 Ï„ÎŻÏ‚ ᜁ ÎșαταÎșρÎčÎœáż¶Îœ; ΧρÎčστ᜞ς ᜁ áŒ€Ï€ÎżÎžÎ±ÎœÏŽÎœ, ÎŒáŸ¶Î»Î»ÎżÎœ ÎŽáœČ áŒÎłÎ”ÏÎžÎ”ÎŻÏ‚, ᜅς Îșαί ጐστÎčÎœ ጐΜ ΎΔΟÎč៷ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ, ᜃς Îșα᜶ áŒÎœÏ„Ï…ÎłÏ‡ÎŹÎœÎ”Îč ᜑπáœČρ áŒĄÎŒáż¶ÎœÎ‡
      35 Ï„ÎŻÏ‚ áŒĄÎŒáŸ¶Ï‚ Ï‡Ï‰ÏÎŻÏƒÎ”Îč ጀπ᜞ Ï„áż†Ï‚ áŒ€ÎłÎŹÏ€Î·Ï‚ Ï„ÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ; ÎžÎ»áż–ÏˆÎčς áŒą ÏƒÏ„Î”ÎœÎżÏ‡Ï‰ÏÎŻÎ± áŒą ÎŽÎčÏ‰ÎłÎŒáœžÏ‚ áŒą λÎčΌ᜞ς áŒą ÎłÏ…ÎŒÎœÏŒÏ„Î·Ï‚ áŒą ÎșÎŻÎœÎŽÏ…ÎœÎżÏ‚ áŒą ÎŒÎŹÏ‡Î±Îčρα;
      36 ÎșαΞᜌς ÎłÎ­ÎłÏÎ±Ï€Ï„Î±Îč ᜅτÎč ጝΜΔÎșΔΜ ÏƒÎżáżŠ ÎžÎ±ÎœÎ±Ï„ÎżÏÎŒÎ”ÎžÎ± ᜅληΜ τᜎΜ áŒĄÎŒÎ­ÏÎ±Îœ, áŒÎ»ÎżÎłÎŻÏƒÎžÎ·ÎŒÎ”Îœ áœĄÏ‚ πρόÎČατα ÏƒÏ†Î±Îłáż†Ï‚.
      37 ጀλλ’ ጐΜ Ï„ÎżÏÏ„ÎżÎčς π៶σÎčÎœ ᜑπΔρΜÎčÎșáż¶ÎŒÎ”Îœ ÎŽÎčᜰ Ï„ÎżáżŠ áŒ€ÎłÎ±Ï€ÎźÏƒÎ±ÎœÏ„ÎżÏ‚ áŒĄÎŒáŸ¶Ï‚.
      38 πέπΔÎčσΌαÎč Îłáœ°Ï ᜅτÎč Îżáœ”Ï„Î” ÎžÎŹÎœÎ±Ï„ÎżÏ‚ Îżáœ”Ï„Î” ζωᜎ Îżáœ”Ï„Î” áŒ„ÎłÎłÎ”Î»ÎżÎč Îżáœ”Ï„Î” ጀρχα᜶ Îżáœ”Ï„Î” áŒÎœÎ”ÏƒÏ„áż¶Ï„Î± Îżáœ”Ï„Î” ÎŒÎ­Î»Î»ÎżÎœÏ„Î± Îżáœ”Ï„Î” ÎŽÏ…ÎœÎŹÎŒÎ”Îčς
      39 Îżáœ”Ï„Î” ᜕ψωΌα Îżáœ”Ï„Î” ÎČÎŹÎžÎżÏ‚ Îżáœ”Ï„Î” τÎčς ÎșÏ„ÎŻÏƒÎčς ጑τέρα ÎŽÏ…ÎœÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč áŒĄÎŒáŸ¶Ï‚ Ï‡Ï‰ÏÎŻÏƒÎ±Îč ጀπ᜞ Ï„áż†Ï‚ áŒ€ÎłÎŹÏ€Î·Ï‚ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ Ï„áż†Ï‚ ጐΜ ΧρÎčÏƒÏ„áż· áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ Ï„áż· ÎșÏ…ÏÎŻáżł áŒĄÎŒáż¶Îœ.

      1 Corinthiens 3

      9 ΞΔοῊ ÎłÎŹÏ ጐσΌΔΜ ÏƒÏ…ÎœÎ”ÏÎłÎżÎŻÎ‡ ΞΔοῊ ÎłÎ”ÏŽÏÎłÎčÎżÎœ, ΞΔοῊ ÎżáŒ°ÎșÎżÎŽÎżÎŒÎź ጐστΔ.
      10 Κατᜰ τᜎΜ Ï‡ÎŹÏÎčÎœ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ τᜎΜ ÎŽÎżÎžÎ”áż–ÏƒÎŹÎœ ÎŒÎżÎč áœĄÏ‚ ÏƒÎżÏ†áœžÏ‚ ጀρχÎčτέÎșτωΜ ΞΔΌέλÎčÎżÎœ ጔΞηÎșα, áŒ„Î»Î»ÎżÏ‚ ÎŽáœČ áŒÏ€ÎżÎčÎșÎżÎŽÎżÎŒÎ”áż–. ጕÎșÎ±ÏƒÏ„ÎżÏ‚ ÎŽáœČ ÎČλΔπέτω Ï€áż¶Ï‚ áŒÏ€ÎżÎčÎșÎżÎŽÎżÎŒÎ”áż–Î‡
      11 ΞΔΌέλÎčÎżÎœ Îłáœ°Ï áŒ„Î»Î»ÎżÎœ ÎżáœÎŽÎ”áœ¶Ï‚ ΎύΜαταÎč ÎžÎ”áż–ÎœÎ±Îč παρᜰ τ᜞Μ ÎșÎ”ÎŻÎŒÎ”ÎœÎżÎœ, ᜅς ጐστÎčÎœ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚ ΧρÎčστός·

      1 Corinthiens 15

      55 Ï€ÎżáżŠ ÏƒÎżÏ…, ÎžÎŹÎœÎ±Ï„Î”, τ᜞ Îœáż–ÎșÎżÏ‚; Ï€ÎżáżŠ ÏƒÎżÏ…, ÎžÎŹÎœÎ±Ï„Î”, τ᜞ ÎșÎ­ÎœÏ„ÏÎżÎœ;

      Galates 2

      9 Îșα᜶ ÎłÎœÏŒÎœÏ„Î”Ï‚ τᜎΜ Ï‡ÎŹÏÎčÎœ τᜎΜ ÎŽÎżÎžÎ”áż–ÏƒÎŹÎœ ÎŒÎżÎč, áŒžÎŹÎșωÎČÎżÏ‚ Îșα᜶ Κηφ៶ς Îșα᜶ áŒžÏ‰ÎŹÎœÎœÎ·Ï‚, ÎżáŒ± ÎŽÎżÎșÎżáżŠÎœÏ„Î”Ï‚ ÏƒÏ„áżŠÎ»ÎżÎč ΔጶΜαÎč, ΎΔΟÎčᜰς ጔΎωÎșαΜ áŒÎŒÎżáœ¶ Îșα᜶ ΒαρΜαÎČ៷ ÎșÎżÎčÎœÏ‰ÎœÎŻÎ±Ï‚, ጔΜα áŒĄÎŒÎ”áż–Ï‚ Δጰς τᜰ ጔΞΜη, Î±áœÏ„Îżáœ¶ ÎŽáœČ Δጰς τᜎΜ πΔρÎčÏ„ÎżÎŒÎźÎœÎ‡

      Ephésiens 2

      19 ጄρα Îżáœ–Îœ ÎżáœÎșέτÎč ጐστáœČ ÎŸÎ­ÎœÎżÎč Îșα᜶ Ï€ÎŹÏÎżÎčÎșÎżÎč, ጀλλᜰ ጐστáœČ ÏƒÏ…ÎŒÏ€ÎżÎ»áż–Ï„Î±Îč Ï„áż¶Îœ áŒÎłÎŻÏ‰Îœ Îșα᜶ ÎżáŒ°ÎșΔῖοÎč Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ,
      20 áŒÏ€ÎżÎčÎșÎżÎŽÎżÎŒÎ·ÎžÎ­ÎœÏ„Î”Ï‚ ጐπ᜶ Ï„áż· ÎžÎ”ÎŒÎ”Î»ÎŻáżł Ï„áż¶Îœ áŒ€Ï€ÎżÏƒÏ„ÏŒÎ»Ï‰Îœ Îșα᜶ Ï€ÏÎżÏ†Î·Ï„áż¶Îœ, áœ„ÎœÏ„ÎżÏ‚ ጀÎșÏÎżÎłÏ‰ÎœÎčÎ±ÎŻÎżÏ… Î±áœÏ„ÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ,
      21 ጐΜ ៧ π៶σα ÎżáŒ°ÎșÎżÎŽÎżÎŒáœŽ ÏƒÏ…ÎœÎ±ÏÎŒÎżÎ»ÎżÎłÎżÏ…ÎŒÎ­ÎœÎ· α᜔ΟΔÎč Δጰς Μα᜞Μ áŒ…ÎłÎčÎżÎœ ጐΜ ÎșÏ…ÏÎŻáżł,
      22 ጐΜ ៧ Îșα᜶ áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ ÏƒÏ…ÎœÎżÎčÎșÎżÎŽÎżÎŒÎ”áż–ÏƒÎžÎ” Δጰς ÎșÎ±Ï„ÎżÎčÎșÎ·Ï„ÎźÏÎčÎżÎœ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ ጐΜ πΜΔύΌατÎč.

      Ephésiens 3

      10 ጔΜα ÎłÎœÏ‰ÏÎčÏƒÎžáż‡ ÎœáżŠÎœ Ï„Î±áż–Ï‚ áŒ€ÏÏ‡Î±áż–Ï‚ Îșα᜶ Ï„Î±áż–Ï‚ áŒÎŸÎżÏ…ÏƒÎŻÎ±Îčς ጐΜ Ï„Îżáż–Ï‚ áŒÏ€ÎżÏ…ÏÎ±ÎœÎŻÎżÎčς ÎŽÎčᜰ Ï„áż†Ï‚ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Ï‚ áŒĄ Ï€ÎżÎ»Ï…Ï€ÎżÎŻÎșÎčÎ»ÎżÏ‚ ÏƒÎżÏ†ÎŻÎ± Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ,

      Ephésiens 5

      25 Οጱ ጄΜΎρΔς, áŒ€ÎłÎ±Ï€áŸ¶Ï„Î” τᜰς ÎłÏ…ÎœÎ±áż–Îșας, ÎșαΞᜌς Îșα᜶ ᜁ ΧρÎčστ᜞ς áŒ ÎłÎŹÏ€Î·ÏƒÎ”Îœ τᜎΜ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Îœ Îșα᜶ ጑αυτ᜞Μ παρέΎωÎșΔΜ ᜑπáœČρ Î±áœÏ„áż†Ï‚,
      26 ጔΜα αᜐτᜎΜ áŒÎłÎčÎŹÏƒáżƒ ÎșÎ±ÎžÎ±ÏÎŻÏƒÎ±Ï‚ Ï„áż· Î»ÎżÏ…Ï„Ïáż· Ï„ÎżáżŠ áœ•ÎŽÎ±Ï„ÎżÏ‚ ጐΜ áż„ÎźÎŒÎ±Ï„Îč,
      27 ጔΜα Ï€Î±ÏÎ±ÏƒÏ„ÎźÏƒáżƒ αᜐτ᜞ς áŒ‘Î±Ï…Ï„áż· áŒ”ÎœÎŽÎżÎŸÎżÎœ τᜎΜ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Îœ, Όᜎ áŒ”Ï‡ÎżÏ…ÏƒÎ±Îœ ÏƒÏ€ÎŻÎ»ÎżÎœ áŒą áż„Ï…Ï„ÎŻÎŽÎ± ጀ τÎč Ï„áż¶Îœ Ï„ÎżÎčÎżÏÏ„Ï‰Îœ, ጀλλ’ ጔΜα ៖ áŒÎłÎŻÎ± Îșα᜶ áŒ„ÎŒÏ‰ÎŒÎżÏ‚.
      32 τ᜞ ÎŒÏ…ÏƒÏ„ÎźÏÎčÎżÎœ Ï„ÎżáżŠÏ„Îż ÎŒÎ­ÎłÎ± áŒÏƒÏ„ÎŻÎœ, áŒÎłáœŒ ÎŽáœČ Î»Î­ÎłÏ‰ Δጰς ΧρÎčστ᜞Μ Îșα᜶ Δጰς τᜎΜ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Îœ.

      Colossiens 1

      18 Îșα᜶ αᜐτός ጐστÎčÎœ áŒĄ ÎșΔφαλᜎ Ï„ÎżáżŠ ÏƒÏŽÎŒÎ±Ï„ÎżÏ‚ Ï„áż†Ï‚ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Ï‚Î‡ ᜅς ጐστÎčÎœ áŒ€ÏÏ‡Îź, Ï€ÏÏ‰Ï„ÏŒÏ„ÎżÎșÎżÏ‚ ጐÎș Ï„áż¶Îœ ΜΔÎșÏáż¶Îœ, ጔΜα ÎłÎ­ÎœÎ·Ï„Î±Îč ጐΜ π៶σÎčÎœ αᜐτ᜞ς πρωτΔύωΜ,

      1 Timothée 3

      5 (Δጰ Ύέ τÎčς Ï„ÎżáżŠ áŒ°ÎŽÎŻÎżÏ… ÎżáŒŽÎșÎżÏ… Ï€ÏÎżÏƒÏ„áż†ÎœÎ±Îč ÎżáœÎș ÎżáŒ¶ÎŽÎ”Îœ, Ï€áż¶Ï‚ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Ï‚ ΞΔοῊ ጐπÎčÎŒÎ”Î»ÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč;)
      15 ጐᜰΜ ÎŽáœČ ÎČραΎύΜω, ጔΜα Î”áŒ°ÎŽáż‡Ï‚ Ï€áż¶Ï‚ ΎΔῖ ጐΜ ÎżáŒŽÎșáżł ΞΔοῊ ጀΜαστρέφΔσΞαÎč, ጄτÎčς ጐστ᜶Μ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ± ΞΔοῊ Î¶áż¶ÎœÏ„ÎżÏ‚, ÏƒÏ„áżŠÎ»ÎżÏ‚ Îșα᜶ áŒ‘ÎŽÏÎ±ÎŻÏ‰ÎŒÎ± Ï„áż†Ï‚ áŒ€Î»Î·ÎžÎ”ÎŻÎ±Ï‚Î‡

      HĂ©breux 3

      3 Ï€Î»Î”ÎŻÎżÎœÎżÏ‚ Îłáœ°Ï Îżáœ—Ï„ÎżÏ‚ ΎόΟης παρᜰ ÎœÏ‰Ï‹Ïƒáż†Îœ áŒ ÎŸÎŻÏ‰Ï„Î±Îč ÎșαΞ’ áœ…ÏƒÎżÎœ Ï€Î»Î”ÎŻÎżÎœÎ± τÎčΌᜎΜ ጔχΔÎč Ï„ÎżáżŠ ÎżáŒŽÎșÎżÏ… ᜁ ÎșατασÎșÎ”Ï…ÎŹÏƒÎ±Ï‚ αᜐτόΜ·
      4 π៶ς Îłáœ°Ï ÎżáŒ¶ÎșÎżÏ‚ ÎșατασÎșÎ”Ï…ÎŹÎ¶Î”Ï„Î±Îč ᜑπό τÎčÎœÎżÏ‚, ᜁ ÎŽáœČ Ï€ÎŹÎœÏ„Î± ÎșατασÎșÎ”Ï…ÎŹÏƒÎ±Ï‚ ΞΔός.

      HĂ©breux 12

      28 ÎŽÎč᜞ ÎČασÎčÎ»Î”ÎŻÎ±Îœ áŒ€ÏƒÎŹÎ»Î”Ï…Ï„ÎżÎœ παραλαΌÎČÎŹÎœÎżÎœÏ„Î”Ï‚ ጔχωΌΔΜ Ï‡ÎŹÏÎčÎœ, ÎŽÎč’ ጧς λατρΔύωΌΔΜ Δᜐαρέστως Ï„áż· ΞΔῷ ΌΔτᜰ ΔᜐλαÎČÎ”ÎŻÎ±Ï‚ Îșα᜶ ÎŽÎ­ÎżÏ…Ï‚,

      Apocalypse 11

      15 Κα᜶ ᜁ ጕÎČÎŽÎżÎŒÎżÏ‚ áŒ„ÎłÎłÎ”Î»ÎżÏ‚ áŒÏƒÎŹÎ»Ï€ÎčσΔΜ· Îșα᜶ áŒÎłÎ­ÎœÎżÎœÏ„Îż φωΜα᜶ ÎŒÎ”ÎłÎŹÎ»Î±Îč ጐΜ Ï„áż· ÎżáœÏÎ±Îœáż· Î»Î­ÎłÎżÎœÏ„Î”Ï‚Î‡ áŒ˜ÎłÎ­ÎœÎ”Ï„Îż áŒĄ ÎČασÎčλΔία Ï„ÎżáżŠ ÎșÏŒÏƒÎŒÎżÏ… Ï„ÎżáżŠ ÎșÏ…ÏÎŻÎżÏ… áŒĄÎŒáż¶Îœ Îșα᜶ Ï„ÎżáżŠ χρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ Î±áœÏ„ÎżáżŠ, Îșα᜶ ÎČασÎčλΔύσΔÎč Δጰς Ï„Îżáœșς Î±áŒ°áż¶ÎœÎ±Ï‚ Ï„áż¶Îœ αጰώΜωΜ.

      Apocalypse 21

      1 Κα᜶ Î”áŒ¶ÎŽÎżÎœ ÎżáœÏÎ±ÎœáœžÎœ ÎșαÎčΜ᜞Μ Îșα᜶ Îłáż†Îœ ÎșαÎčÎœÎźÎœÎ‡ ᜁ Îłáœ°Ï Ï€Ïáż¶Ï„ÎżÏ‚ ÎżáœÏÎ±ÎœáœžÏ‚ Îșα᜶ áŒĄ πρώτη γῆ áŒ€Ï€áż†Î»ÎžÎ±Îœ, Îșα᜶ áŒĄ ÎžÎŹÎ»Î±ÏƒÏƒÎ± ÎżáœÎș ጔστÎčÎœ ጔτÎč.
      2 Îșα᜶ τᜎΜ πόλÎčÎœ τᜎΜ áŒÎłÎŻÎ±Îœ áŒžÎ”ÏÎżÏ…ÏƒÎ±Î»áœŽÎŒ ÎșαÎčΜᜎΜ Î”áŒ¶ÎŽÎżÎœ ÎșαταÎČÎ±ÎŻÎœÎżÏ…ÏƒÎ±Îœ ጐÎș Ï„ÎżáżŠ ÎżáœÏÎ±ÎœÎżáżŠ ጀπ᜞ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ, áŒĄÏ„ÎżÎčΌασΌέΜηΜ áœĄÏ‚ ΜύΌφηΜ ÎșΔÎșÎżÏƒÎŒÎ·ÎŒÎ­ÎœÎ·Îœ Ï„áż· ጀΜΎρ᜶ Î±áœÏ„áż†Ï‚.
      3 Îșα᜶ ጀÎșÎżÏ…ÏƒÎ± Ï†Ï‰Îœáż†Ï‚ ÎŒÎ”ÎłÎŹÎ»Î·Ï‚ ጐÎș Ï„ÎżáżŠ ÎžÏÏŒÎœÎżÏ… Î»Î”ÎłÎżÏÏƒÎ·Ï‚Î‡ áŒžÎŽÎżáœș áŒĄ σÎșηΜᜎ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ ΌΔτᜰ Ï„áż¶Îœ ጀΜΞρώπωΜ, Îșα᜶ σÎșηΜώσΔÎč ΌΔτ’ Î±áœÏ„áż¶Îœ, Îșα᜶ Î±áœÏ„Îżáœ¶ Î»Î±Îżáœ¶ Î±áœÏ„ÎżáżŠ áŒ”ÏƒÎżÎœÏ„Î±Îč, Îșα᜶ αᜐτ᜞ς ᜁ ΞΔ᜞ς ΌΔτ’ Î±áœÏ„áż¶Îœ ጔσταÎč,
      4 Îșα᜶ áŒÎŸÎ±Î»Î”ÎŻÏˆÎ”Îč π៶Μ ÎŽÎŹÎșÏÏ…ÎżÎœ ጐÎș Ï„áż¶Îœ áœ€Ï†ÎžÎ±Î»ÎŒáż¶Îœ Î±áœÏ„áż¶Îœ, Îșα᜶ ᜁ ÎžÎŹÎœÎ±Ï„ÎżÏ‚ ÎżáœÎș ጔσταÎč ጔτÎč· Îżáœ”Ï„Î” Ï€Î­ÎœÎžÎżÏ‚ Îżáœ”Ï„Î” ÎșÏÎ±Ï…ÎłáœŽ Îżáœ”Ï„Î” Ï€ÏŒÎœÎżÏ‚ ÎżáœÎș ጔσταÎč ጔτÎč. τᜰ Ï€Ïáż¶Ï„Î± áŒ€Ï€áż†Î»ÎžÎ±Îœ.
      14 Îșα᜶ τ᜞ Ï„Î”áż–Ï‡ÎżÏ‚ Ï„áż†Ï‚ πόλΔως ጔχωΜ ÎžÎ”ÎŒÎ”Î»ÎŻÎżÏ…Ï‚ ΎώΎΔÎșα, Îșα᜶ ጐπ’ Î±áœÏ„áż¶Îœ ΎώΎΔÎșα ᜀΜόΌατα Ï„áż¶Îœ ΎώΎΔÎșα áŒ€Ï€ÎżÏƒÏ„ÏŒÎ»Ï‰Îœ Ï„ÎżáżŠ áŒ€ÏÎœÎŻÎżÏ….
      Hébreu : © Westminster Leningrad Codex - tanach.us --- Grec : © 2010 by the Society of Biblical Literature and Logos Bible Software - sblgnt.com
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