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À partir de ce jour, Jésus entreprit d’expliquer à ses disciples ce qui lui arriverait : — Il faut que je me rende à Jérusalem. Là-bas, les anciens du peuple, les chefs des prêtres et les interprètes de la loi m’infligeront toutes sortes de mauvais traitements et me feront beaucoup souffrir. Je serai mis à mort, mais je ressusciterai le troisième jour.
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Vraiment, je vous l’assure : plusieurs de ceux qui sont ici ne mourront pas avant d’avoir vu le Fils de l’homme venir comme roi pour régner.
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Or, je vous le déclare : Élie est déjà revenu, mais personne ne l’a reconnu. Au contraire, les gens l’ont traité selon leurs caprices. Et voici qu’ils s’apprêtent à infliger les mêmes traitements au Fils de l’homme qui souffrira entre leurs mains.
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Un jour, pendant qu’ils parcouraient tous ensemble la Galilée, Jésus leur dit : — Le Fils de l’homme est à la veille d’être livré entre les mains des hommes.
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Ils le tueront, mais trois jours plus tard, il ressuscitera. Les disciples furent extrêmement affligés par ces paroles.
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Au moment de monter à Jérusalem, Jésus prit les douze à part et leur dit, tout en marchant : —
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Voilà que nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme va y être livré aux chefs des prêtres et aux interprètes de la loi. Ils vont le condamner à mort,
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puis ils le remettront entre les mains des étrangers qui se moqueront de lui, le battront à coups de fouet et finiront par le clouer sur une croix. Mais le troisième jour, il ressuscitera.
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tout comme le Fils de l’homme, qui n’est pas venu pour se faire servir par les autres, mais pour servir lui-même et donner sa vie pour payer la rançon de beaucoup d’hommes.
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Vous savez que la fête de la Pâque aura lieu dans deux jours. C’est alors que le Fils de l’homme sera livré pour être crucifié.
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Il n’avait pas fini de parler quand Judas, l’un des douze, survint, suivi d’une bande nombreuse armée d’épées et de gourdins. C’était la troupe envoyée par les chefs des prêtres et les responsables du peuple juif.
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Mais ensuite, quand les chefs des prêtres et les responsables du peuple vinrent l’accuser, il ne répondit que par le silence.
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pour lui dire : — Seigneur, nous nous sommes rappelé que de son vivant, cet imposteur a dit : « Après trois jours, je ressusciterai ».
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À partir de ce moment, il commença à leur apprendre que le Fils de l’homme devait beaucoup souffrir, qu’il serait rejeté par les chefs des Juifs, les grands-prêtres et les interprètes de la loi, qu’on le ferait mourir et qu’il ressusciterait trois jours après.
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Il dit tout cela très clairement et ouvertement. Alors, Pierre le prit à part et se mit à lui faire des reproches (pour l’empêcher de s’exposer à un tel sort).
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Mais Jésus se retourna, regarda ses disciples et reprit sévèrement Pierre devant tous : — Va-t’en, tentateur, éloigne-toi de moi, car tu vois les choses du point de vue des hommes, et non de celui de Dieu.
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Là-dessus, Jésus appela la foule ainsi que ses disciples et leur dit : — Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il suive la trace de mes pas.
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En effet, celui qui est préoccupé de sauver sa vie (d’ici-bas), perdra sa vie (véritable), mais celui qui acceptera de perdre sa vie (ici-bas), par amour pour moi et pour l’Évangile, trouvera la (vraie) vie.
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Si un homme gagnait le monde entier au prix de sa vie, à quoi cela lui servirait-il ?
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Que pourrait-il bien donner pour la racheter ?
38
Si quelqu’un a honte de moi et de mes paroles au milieu des hommes infidèles et pervers de ce temps, le Fils de l’homme, à son tour, aura honte de lui quand il apparaîtra, environné de la gloire de son Père et escorté des saints anges.
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— Oui, vraiment, je vous le déclare, ajouta-t-il, quelques-uns de ceux qui sont ici présents ne mourront pas avant d’avoir vu le règne de Dieu faire puissamment irruption dans ce monde.
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car il voulait se consacrer à l’instruction de ses disciples. Il leur répétait : — Le Fils de l’homme va être livré entre les mains des hommes. Ils le feront mourir, mais trois jours après qu’il aura été mis à mort, il ressuscitera.
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Eux ne comprenaient cependant pas le sens de ces paroles et ils n’osaient pas le questionner à ce sujet.
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Les voilà à présent en route pour monter à Jérusalem. Jésus marche en tête, ses disciples sont étonnés et consternés. Ceux qui le suivent encore le font avec crainte. De nouveau, Jésus prend les douze à part et leur annonce ce qui doit lui arriver : —
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Comme vous le voyez, nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme sera livré aux grands-prêtres et aux interprètes de la loi. Ils le condamneront à mort et le remettront entre les mains des étrangers
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qui le ridiculiseront, lui cracheront au visage, le feront battre à coups de fouet et le feront mourir. Mais au bout de trois jours, il ressuscitera.
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Et il ajouta : — Il faut que le Fils de l’homme passe par beaucoup de souffrances, qu’il soit rejeté par les responsables du peuple, les chefs des prêtres et les interprètes de la loi. Il faut qu’il soit mis à mort et qu’il ressuscite le troisième jour.
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Puis, s’adressant à tous, il ajouta : — Si quelqu’un veut être mon disciple et marcher avec moi, il faut qu’il renonce à tous ses droits sur lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix et qu’il marche sur les traces de mes pas.
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En effet, celui qui est préoccupé de sauver sa vie (d’ici-bas), perdra sa vie (véritable). Mais celui qui acceptera de perdre sa vie (ici-bas) par amour pour moi, trouvera la (vraie) vie.
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Si un homme arrivait à posséder le monde entier, mais se perdait lui-même et causait sa propre ruine, à quoi cela lui servirait-il ?
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Si quelqu’un a honte de moi et de mes paroles, le Fils de l’homme, à son tour, aura honte de lui le jour où il viendra dans sa gloire, dans celle du Père et des saints anges.
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Vraiment, je vous l’assure, quelques-uns de ceux qui sont ici ne mourront pas avant d’avoir vu, de leurs yeux, le règne de Dieu.
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tout resplendissants de gloire. Ils parlaient de la mission que Jésus devrait accomplir et de la manière dont il quitterait ce monde et terminerait sa carrière.
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Vous autres, retenez bien ce que je vais vous dire maintenant : le Fils de l’homme sera livré entre les mains des hommes.
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Mais les disciples ne comprenaient rien à ce qu’il leur disait. Le sens de cette parole restait voilé pour eux, de sorte qu’ils n’en saisissaient pas la portée, mais ils n’osaient pas lui poser de questions à ce sujet.
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Mais il faut d’abord qu’il endure beaucoup de souffrances et qu’il soit rejeté par les hommes de cette génération.
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Jésus prit les douze à part et leur dit : — Vous savez que nous montons à Jérusalem où tout ce que les prophètes ont prédit au sujet du Fils de l’homme va s’accomplir.
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En effet, il sera livré aux mains des (autorités) étrangères, on se moquera de lui, on l’insultera, on le maltraitera, on lui crachera au visage.
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Et après l’avoir battu à coups de fouet, on l’exécutera. Mais trois jours plus tard, il ressuscitera.
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Les disciples ne comprirent rien à tout cela, c’était pour eux un langage énigmatique dont le sens leur échappait complètement.
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Il n’est plus ici, il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous annonçait quand il était encore en Galilée.
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Ne disait-il pas ceci : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains d’hommes pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour » ?
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Le Christ ne devait-il pas nécessairement souffrir toutes ces choses avant d’entrer dans sa gloire ?
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Alors, commençant par les livres de Moïse et parcourant tous ceux des prophètes, Jésus leur expliqua ce qui se rapportait à lui dans toutes les Écritures.
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Vous voyez, leur dit-il, il est écrit clairement que le Messie doit souffrir, mais qu’il ressuscitera des morts trois jours après.
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Démolissez ce temple, leur répondit Jésus, et en trois jours, je le relèverai. —
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Comment ? répartirent-ils. Voilà quarante-six ans qu’on travaille à la construction de ce temple, et toi, tu serais capable de le rebâtir en trois jours !
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Mais en parlant de temple, Jésus pensait à celui de son propre corps.
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Eh bien, cet homme a été livré entre vos mains. Notez bien que Dieu en avait décidé ainsi dans son plan et qu’il avait prévu que cela arriverait. Une fois qu’il était en votre pouvoir, qu’en avez-vous fait ? Vous l’avez tué en le faisant crucifier par la main des hommes qui ne connaissent pas Dieu.
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Mais Dieu a brisé les chaînes de la mort : il l’a ressuscité, parce qu’il était impossible que la mort le retienne captif.
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En effet, déjà David prophétisait à son sujet : Constamment j’ai vu le Seigneur devant moi,
car il est à ma droite pour que je ne vacille pas.
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C’est pourquoi mon cœur est rempli de joie,
et mon bonheur éclate en chants d’allégresse. Mon corps lui-même entrera, plein d’espérance, dans le repos,
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car tu n’abandonneras pas mon âme au séjour des morts,
et tu ne permettras pas que ton Élu
se décompose dans le tombeau.
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Tu m’as ouvert le chemin qui mène à la vie.
Tu me combleras de joie, car je verrai ta face.
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Mes frères, permettez-moi de vous parler franchement : le patriarche David est bel et bien mort et enterré. La preuve, c’est que son tombeau nous a été conservé jusqu’à ce jour et il est près d’ici.
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Mais il est clair qu’il parlait là en prophète : il savait que Dieu lui avait promis, sous la foi du serment, qu’il ferait monter l’un de ses descendants directs sur son trône.
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En disant que Dieu n’abandonnerait pas son âme au séjour des morts et qu’il ne permettrait pas que son Élu se décompose dans le tombeau, David parlait donc de la résurrection du Christ qu’il avait prophétiquement vue d’avance. En effet, le Christ n’a pas « été laissé au séjour des morts » et son corps n’a pas « connu la décomposition ».
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Eh bien, ce Jésus dont je parle, Dieu l’a ressuscité des morts. C’est un fait dont nous tous, qui sommes ici, nous pouvons témoigner.
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Rappelez-vous donc que je vous ai transmis avant tout comme enseignement fondamental ce que j’avais moi-même reçu : le Christ est mort pour nos péchés, conformément aux (prophéties des) Écritures
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Il a été mis au tombeau, il est ressuscité le troisième jour, comme l’avaient prédit les Écritures.
Jusqu'alors il n'y avait eu dans ses discours que des allusions vagues et obscures à ses souffrances et à sa mort. (Matthieu 10.38, note ; Jean 2.19 ; 3.14 ; comparez Jean 1.29,36) Maintenant que ses disciples ont cru en lui et l'ont confessé comme le Christ, le Fils de Dieu, il peut leur en parler ouvertement, et même il le doit, afin de dissiper si possible dans leur esprit les fausses idées messianiques qu'ils entretenaient encore, et de les préparer à partager ses humiliations et ses douleurs.
Marc (Marc 8.31) et Luc (Luc 9.20-22) mettent aussi cette prédiction dans un rapport direct avec la confession de Pierre. Marc ajoute (Marc 8.32) qu'il leur dit ouvertement (grec librement, hardiment) cette parole. C'est quand la vraie foi est née que le chrétien doit s'attendre à la contradiction et à la souffrance.
Quant à Jésus, il le fallait, dit-il. Mystérieuse nécessité, fondée sur le décret de la justice et de la miséricorde de Dieu, annoncé dans les Ecritures. Il le fallait, à moins que le monde ne dût périr dans son péché. C'est ce que Dieu ne voulait pas, et Jésus accepte par amour la volonté de son Père. (Matthieu 26.39 comparez Matthieu 26.54 ; Luc 24.26,Jean 3.14)
- Le sanhédrin était composé de ces trois classes d'hommes : les anciens, les grands sacrificateurs et les scribes, ou docteurs de la loi. Il y a quelque chose de solennel dans la manière dont Jésus les nomme en détail et les voit conjurés contre lui pour le mettre à mort (grec le tuer). Ce sera là la rupture tragique de la théocratie avec le Messie et son règne !
Après la défaite, le triomphe, après la mort, la vie ! Si l'une de ces prédictions devait accabler les disciples, l'autre était destinée à les relever. Mais ici la critique trouve une pierre d'achoppement, et l'on ne peut nier qu'il n'y ait une difficulté. Comment se fait-il, demande-t-on, si Jésus a prédit si clairement sa résurrection à ses disciples, que ceux-ci n'en aient plus eu aucune idée après sa mort, et mêmes soient refusés à y croire, jusqu'à ce qu'ils l'eussent vu, vivant, de leurs yeux ?
Ne pouvant résoudre la question, les uns ont révoqué en doute la prédiction, d'autres (Meyer par exemple) ont supposé que cette prédiction avait été vague et obscure (comme dans les passages cités à la note précédente) ou formulée dans le langage poétique de l'Ancien Testament (Psaumes 118.17 ; comparez Osée 6.2), et qu'elle avait revêtu, après l'événement, dans la tradition apostolique, le caractère positif et clair qu'elle porte ici.
Mais les évangélistes eux-mêmes ne nous donnent-ils pas le mot de l'énigme ? Ils nous apprennent que, tout remplis encore de leur préjugé juif concernant un Messie glorieux, ils ne comprirent absolument rien à cette prédiction de ses souffrances et de sa résurrection. (Marc 9.32 ; Luc 18.34) Or, ce qu'on ne comprend pas ne se grave pas dans le souvenir.
L'exemple de Pierre (verset 22) prouve qu'il entend mieux les paroles de Jésus, mais qu'il refuse avec décision d'entrer dans sa pensée. Comment donc un événement aussi extraordinaire que la résurrection ne leur aurait-il pas paru incroyable ? Et alors même qu'ils n'auraient pas manqué à ce point de l'intelligence de ce mystère, n'y a-t-il pas une immense distance entre comprendre et croire ?
Ceux qui suivent Christ ne doivent pas s'attendre à découvrir des « signes extraordinaires » en ce monde. Pierre appréhendait de savoir que Jésus allait souffrir : en fait, nous nous trompons si, comme l’apôtre, nous évaluons l'Amour et la Patience de Christ selon nos propres critères.
Mis à part le contenu des versets Matthieu 16:22,23, on ne trouve nulle part ailleurs, dans l’Écriture, une parole ou un acte commis par les disciples, qui ait à ce point contrarié Christ.
Quiconque considère que tout ce qui émane de notre personne est bon et qui est convaincu de trop agir pour Dieu, parle en fait le « langage de Satan ». Tout ce qui nous paraît être une tentation menant au péché, doit être repoussé avec horreur, et ne doit pas être suivi. Ceux qui refusent de souffrir pour Christ, sont plus près des hommes que de Dieu...