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et vous dites : « Pourquoi ? » Parce que l'Eternel a été témoin entre toi et la femme de ta jeunesse, que tu as trahie. Et pourtant, elle était ta compagne et la femme avec laquelle tu étais lié par une alliance.
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Personne n'a fait cela, avec un reste de bon sens. Un seul l'a fait, et pourquoi ? Parce qu'il recherchait la descendance que Dieu lui avait promise. Veillez sur votre esprit : que personne ne trahisse la femme de sa jeunesse,
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car je déteste le divorce, dit l'Eternel, le Dieu d'Israël, et celui qui couvre son habit de violence, dit l'Eternel, le maître de l’univers. Veillez sur votre esprit et ne commettez pas cette trahison !
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» Il a été dit : Que celui qui renvoie sa femme lui donne une lettre de divorce.
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Mais moi, je vous dis : Celui qui renvoie sa femme, sauf pour cause d'infidélité, l'expose à devenir adultère, et celui qui épouse une femme divorcée commet un adultère.
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Les pharisiens et les sadducéens abordèrent Jésus et, pour le mettre à l'épreuve, lui demandèrent de leur faire voir un signe venant du ciel.
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Les pharisiens l'abordèrent et, pour lui tendre un piège, ils lui dirent : « Est-il permis à un homme de divorcer de sa femme pour n'importe quel motif ? »
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Ils envoyèrent vers lui leurs disciples avec les hérodiens. Ils lui dirent : « Maître, nous savons que tes paroles sont vraies et que tu enseignes le chemin de Dieu en toute vérité, sans te laisser influencer par personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des personnes.
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Dis-nous donc ce que tu en penses : est-il permis, ou non, de payer l'impôt à l'empereur ? »
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Mais Jésus, connaissant leur méchanceté, répondit : « Pourquoi me tendez-vous un piège, hypocrites ?
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et l'un d'eux, professeur de la loi, lui posa cette question pour le mettre à l'épreuve :
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Les pharisiens l'abordèrent et, pour lui tendre un piège, ils lui demandèrent s'il est permis à un homme de divorcer de sa femme.
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Ils envoyèrent auprès de Jésus quelques pharisiens et des hérodiens, afin de le prendre au piège de ses propres paroles.
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Mais Jésus, connaissant leur hypocrisie, leur répondit : « Pourquoi me tendez-vous un piège ? Apportez-moi une pièce de monnaie afin que je la voie. »
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Comme il leur disait cela, les spécialistes de la loi et les pharisiens commencèrent à s'acharner contre lui et à le faire parler sur bien des sujets ;
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ils lui tendaient des pièges pour surprendre une parole sortie de sa bouche [afin de pouvoir l'accuser].
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Ils disaient cela pour lui tendre un piège, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus se baissa et se mit à écrire avec le doigt sur le sol.
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là, vos ancêtres m’ont provoqué, ils m’ont mis à l'épreuve et ils m’ont vu agir pendant 40 ans.
Des pharisiens (voir sur ce parti Matthieu 3.7, note) la lui posent ici pour le tenter. Ce qui en faisait une question captieuse, c'est qu'elle était alors vivement débattue entre deux écoles juives, celle de Hillel et celle de Schamaï, le premier très relâché, le second plus sévère sur le divorce.
En outre, l'exemple donné par Hérode Antipas, qui régnait sur la Pérée, et la fin de Jean-Baptiste qui l'avait repris, (Matthieu 14.1 et suivants) rendaient assez dangereuse une solution rigoureuse de la question, tandis qu'une solution plus libre aurait mis Jésus en contradiction avec le précurseur.
- Pour quelque sujet (ou cause) que ce soit, c'est-à-dire pour tout sujet de plainte que le mari aurait contre sa femme. Telle était la fausse opinion de Hillel, qu'il croyait fondée sur Deutéronome 24.1.
Et c'est surtout dans ce mot que se trouve la tentation, le piège tendu à Jésus par ses adversaires.
Les cas épineux, relatifs au mariage, étaient nombreux, et parfois difficiles à traiter ; cet état de fait était dû, non pas à la complexité de la loi divine, mais aux convoitises et à la folie des hommes : souvent d’ailleurs, le peuple déterminait quelle conduite tenir, sans demander un quelconque conseil.
Jésus répondit en demandant aux pharisiens s'ils n'avaient pas lu dans la Genèse, le récit de la création, et le premier exemple de mariage, indiquant ainsi que tout écart sur ce point était une faute. La meilleure condition pour nous, celle qui doit être choisie et gardée en conséquence, est celle qui est la meilleure pour nos âmes, qui tend le plus à nous préparer pour le royaume céleste, et qui nous préserve pour cette destinée.
Quand la doctrine de l'évangile est vraiment suivie, les hommes deviennent alors des parents bienveillants et de fidèles amis ; elle leur enseigne à porter le fardeau et les infirmités de ceux qui les entourent, à considérer la paix et le bonheur de leur prochain comme prioritaires sur leur bien personnel.
Il est normal que les impies soient « gérés » par des lois, pour que la paix de la société ne soit pas brisée. Ce texte nous enseigne qu'il faut considérer le mariage avec un grand sérieux, par le biais d’une prière fervente.