Jésus payait-il la dîme (2) ?
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Jésus entre en Judée. (Matthieu 19:1,2)
La question des pharisiens au sujet du divorce. (Matthieu 19:3-12)
De jeunes enfants sont amenés à Jésus. (Matthieu 19:13-15)
La demande du jeune homme riche. (Matthieu 19:16-22)
Les récompenses des partisans de Christ. (Matthieu 19:23-30)
La foule trouvait toujours en Christ, une grande capacité et une grande disponibilité à aider quiconque, en tous lieux, comme Il l'avait fait auparavant, en Galilée ; là où le « Soleil de Justice » se lève, Il ne peut que guérir par Ses rayons !
Les cas épineux, relatifs au mariage, étaient nombreux, et parfois difficiles à traiter ; cet état de fait était dû, non pas à la complexité de la loi divine, mais aux convoitises et à la folie des hommes : souvent d’ailleurs, le peuple déterminait quelle conduite tenir, sans demander un quelconque conseil.
Jésus répondit en demandant aux pharisiens s'ils n'avaient pas lu dans la Genèse, le récit de la création, et le premier exemple de mariage, indiquant ainsi que tout écart sur ce point était une faute. La meilleure condition pour nous, celle qui doit être choisie et gardée en conséquence, est celle qui est la meilleure pour nos âmes, qui tend le plus à nous préparer pour le royaume céleste, et qui nous préserve pour cette destinée.
Quand la doctrine de l'évangile est vraiment suivie, les hommes deviennent alors des parents bienveillants et de fidèles amis ; elle leur enseigne à porter le fardeau et les infirmités de ceux qui les entourent, à considérer la paix et le bonheur de leur prochain comme prioritaires sur leur bien personnel.
Il est normal que les impies soient « gérés » par des lois, pour que la paix de la société ne soit pas brisée. Ce texte nous enseigne qu'il faut considérer le mariage avec un grand sérieux, par le biais d’une prière fervente.
Nous ne pouvons simplement qu’implorer une bénédiction pour eux : Christ est le Seul qui puisse l’octroyer. Il nous est bénéfique que Christ nous accorde Son amour et Sa tendresse, Il le fera mieux que le meilleur de Ses disciples.
Soyons attentif à l’enseignement du Seigneur qui ressort de ce texte : veillons à ne pas décourager toute âme bien disposée à Le recevoir, à Le rechercher, même si cette dernière éprouve une certaine difficulté spirituelle.
Christ ne rejettera jamais ceux qui désirent s’approcher de Lui pour obtenir le salut. En conséquence, Il désapprouve toute personne qui tenterait de repousser ceux qui s’approchent de Lui.
Tous les chrétiens doivent présenter leurs enfants au Sauveur, afin qu'Il puisse les bénir spirituellement.
Les promesses de Christ facilitent l’obéissance à Ses préceptes, et rendent Son joug agréable à supporter ; cependant la promesse faite dans ce texte était comme beaucoup d’autres, une véritable épreuve de foi pour ce jeune homme : elle encourageait son exercice à la charité, en même temps que son mépris du monde.
Le fait de suivre Christ, exige que nous appliquions dûment Ses ordonnances, que nous suivions strictement Son exemple, et que nous nous soumettions avec joie à Ses directives : ceci par amour pour Lui, et dans une complète dépendance de Sa Personne.
Vendre nos biens et tout donner aux pauvres ne sert à rien, quant à l’acquisition de notre salut, par contre c’est conforme à la voie que nous demande de suivre Christ.
L'évangile est le seul remède pour les pécheurs perdus. Beaucoup s'abstiennent de céder à des vices pernicieux, sans toutefois s'occuper de leurs obligations spirituelles envers Dieu.
Des milliers d'exemples de désobéissance, qu’il s’agisse de mauvaises pensées, de paroles, et d’actions, sont cités dans la Parole de Dieu. Beaucoup abandonnent ainsi Christ, préférant le monde présent ; ils ressentent certaines convictions et désirs de s’approcher du Seigneur, mais ils repartent tout tristes, peut-être désabusés.
Il convient de nous examiner quant à notre obéissance aux principes enseignés dans ce texte : le Seigneur nous demandera des comptes...
Bien rares sont les pauvres qui n’envient pas la fortune ! Toute l’énergie que les hommes dépensent, en vue d’être riches, ne contribue en fait qu’à les éloigner du ciel, eux et leurs enfants.
Quelle satisfaction, pour ceux qui sont de condition modeste, de ne pas être exposés aux tentations que peut susciter une position élevée et prospère ! S'ils vivent plus difficilement que les riches ici-bas, et s’ils aspirent volontiers à un monde meilleur, ils n'ont en fait aucune raison de se plaindre : les paroles de Jésus, dans ce texte, annoncent qu'il est difficile pour un riche, d'être un bon chrétien et d'être sauvé.
Le chemin du ciel est pour chacun, un chemin étroit ; la porte qui y conduit l’est également, en particulier pour les gens riches. Pour ces derniers, différents devoirs les attendent, ils sont de plus facilement tentés par de nombreux péchés. Il est difficile de ne pas être séduit par ce monde et par son attrait trompeur.
Les gens riches ont beaucoup à faire pour se réconcilier avec ceux qu’ils ont pu escroquer ! Il est vraiment impossible pour celui qui se confie entièrement en sa richesse, de parvenir au ciel : Christ utilisa à ce sujet, l’image du chameau, tentant d’entrer par le trou d’une aiguille, dénotant ainsi cette difficulté totalement insurmontable par l'homme. Seule la Grâce toute-puissante de Dieu permettra à un homme riche de franchir cette difficulté.
En fait, qui peut être sauvé ? Si la fortune est une entrave au salut des riches, ne risque-t-on pas de trouver une certaine fierté, voire une convoitise coupable, chez les plus démunis, avec tout le danger que cela peut comporter ? « Qui donc, peut être sauvé » ? Demandèrent les disciples. Personne, répondit Jésus, par aucun pouvoir ici-bas. Le début, la progression, et l’accomplissement de l'œuvre du salut, dépendent entièrement du Dieu Tout-Puissant, à qui toutes choses sont possibles. Les gens riches ne peuvent pas être sauvés au sein de leur mondanité, ils doivent, par contre, être sauvés de l’emprise de ce monde.
Pierre s’exclama : « nous avons tout quitté ». En fait, ce « tout » ne représentait que peu de choses : quelques bateaux munis de filets ! Nous pouvons observer cependant, que l’apôtre souligne indirectement la très grande importance qu’ont pour lui ces éléments. Nous sommes trop prompts à faire valoir aux yeux du Seigneur, nos services, nos épreuves, nos dépenses et nos pertes éventuelles. Christ, cependant, ne fit aucun reproche aux disciples ; bien que ce qu'ils avaient abandonné ne représentait que peu de choses, c'était quand même tout leur bien : c’était donc aussi cher, à leurs yeux, qu’un trésor ! Christ considéra avec bonté qu'ils ont en fait laissé tout leur « matériel » pour Le suivre ; Jésus accepte l’homme tel qu’il est...
Notre Seigneur fit ensuite une promesse aux apôtres : lorsque le Fils de l'homme s'assiéra sur le trône de Sa Gloire, Il fera toutes choses nouvelles, et les disciples s'assiéront avec Lui, afin d’exprimer leur jugement sur ceux qui auront imposé leur doctrine ici-bas. Cette parole de Jésus définit l'honneur, la dignité, l'autorité de la fonction et du ministère de Ses disciples.
Notre Seigneur ajouta que tous ceux qui abandonnent ce qu’ils possédaient (leur confort), pour Sa cause et celle de l'évangile, seront finalement récompensés.
Puisse Dieu nous donner la foi de placer notre espérance sur Ses Promesses ; alors nous serons prêts pour tout service ou sacrifice spirituels.
Notre Sauveur, dans le dernier verset de ce texte, souligne une erreur fréquemment commise par quelques-uns : l'héritage céleste n'est pas donné comme celui qui l’est ici-bas ; il est octroyé selon la volonté de Dieu !
Ne jugeons pas sur des apparences trompeuses ou des affirmations flatteuses : plusieurs peuvent, autant que nous sachions, devenir des « grands » dans la foi et dans la sainteté !
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Des pharisiens (voir sur ce parti Matthieu 3.7, note) la lui posent ici pour le tenter. Ce qui en faisait une question captieuse, c'est qu'elle était alors vivement débattue entre deux écoles juives, celle de Hillel et celle de Schamaï, le premier très relâché, le second plus sévère sur le divorce.
En outre, l'exemple donné par Hérode Antipas, qui régnait sur la Pérée, et la fin de Jean-Baptiste qui l'avait repris, (Matthieu 14.1 et suivants) rendaient assez dangereuse une solution rigoureuse de la question, tandis qu'une solution plus libre aurait mis Jésus en contradiction avec le précurseur.
- Pour quelque sujet (ou cause) que ce soit, c'est-à-dire pour tout sujet de plainte que le mari aurait contre sa femme. Telle était la fausse opinion de Hillel, qu'il croyait fondée sur Deutéronome 24.1.
Et c'est surtout dans ce mot que se trouve la tentation, le piège tendu à Jésus par ses adversaires.
Les cas épineux, relatifs au mariage, étaient nombreux, et parfois difficiles à traiter ; cet état de fait était dû, non pas à la complexité de la loi divine, mais aux convoitises et à la folie des hommes : souvent d’ailleurs, le peuple déterminait quelle conduite tenir, sans demander un quelconque conseil.
Jésus répondit en demandant aux pharisiens s'ils n'avaient pas lu dans la Genèse, le récit de la création, et le premier exemple de mariage, indiquant ainsi que tout écart sur ce point était une faute. La meilleure condition pour nous, celle qui doit être choisie et gardée en conséquence, est celle qui est la meilleure pour nos âmes, qui tend le plus à nous préparer pour le royaume céleste, et qui nous préserve pour cette destinée.
Quand la doctrine de l'évangile est vraiment suivie, les hommes deviennent alors des parents bienveillants et de fidèles amis ; elle leur enseigne à porter le fardeau et les infirmités de ceux qui les entourent, à considérer la paix et le bonheur de leur prochain comme prioritaires sur leur bien personnel.
Il est normal que les impies soient « gérés » par des lois, pour que la paix de la société ne soit pas brisée. Ce texte nous enseigne qu'il faut considérer le mariage avec un grand sérieux, par le biais d’une prière fervente.