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Matthieu 25.14

Car c'est comme un homme qui, s'en allant hors du pays, appela ses propres esclaves et leur remit ses biens.
» Ce sera en effet pareil au cas d'un homme qui, partant pour un voyage, appela ses serviteurs et leur remit ses biens.
« Le Royaume des cieux ressemble à ceci : Un homme part en voyage. Il appelle ses serviteurs et leur confie ses richesses.
"For it is like a man, going into another country, who called his own servants, and entrusted his goods to them.
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      Matthieu 21

      33 Cette parabole dĂ©nonce clairement le pĂ©chĂ© et la ruine dans lesquelles la nation juive Ă©tait tombĂ©e ; ce qui lui est annoncĂ©, quant Ă  sa culpabilitĂ©, est destinĂ© Ă  servir d’avertissement Ă  tous ceux qui veulent bĂ©nĂ©ficier Ă©goĂŻstement des privilĂšges propres Ă  l'Ă©glise.

      Les hommes traitent le peuple de Dieu de la mĂȘme maniĂšre qu’ils ont traitĂ© Christ ici-bas.

      Comment pouvons-nous, si nous sommes fidĂšles Ă  la cause du Seigneur, attendre d’un monde mauvais, ou des opposants Ă  Christ, une opinion favorable à notre Ă©gard ?

      Nous pouvons nous poser cette question : « nous qui disposons de la vigne (spirituelle), avec tous ses avantages, avons-nous donné nos fruits au bon moment, en tant que peuple, famille, ou individuellement » ?

      Notre Sauveur, dans sa question, déclare que le maßtre de la vigne viendra, et à ce moment, Il détruira inexorablement les méchants.

      Les principaux sacrificateurs et les anciens étaient « les bùtisseurs » mentionnés dans ce texte, ils n'admettaient pas la doctrine ni les lois du Seigneur ; ils Le rejetÚrent, telle une pierre méprisée. Mais Celui qui a été repoussé par les Juifs, fut accueilli par les Païens.

      Christ connait ceux qui porteront les fruits de l’évangile, par l'annonce de la « bonne nouvelle ». L'incrĂ©dulitĂ© des pĂ©cheurs sera leur ruine. Mais Dieu possĂšde de nombreux moyens pour retenir Son courroux ; Il en a d’autres pour disposer les cƓurs Ă  la louange. Puisse Christ devenir de plus en plus prĂ©cieux Ă  nos Ăąmes ; Il est en effet le ferme Fondement et la Pierre angulaire de Son Ă©glise : Soyons disposĂ©s Ă  Le suivre, mĂȘme si nous sommes mĂ©prisĂ©s et haĂŻs Ă  cause de Lui !

      Matthieu 25

      14 Christ ne garde pas les serviteurs paresseux : en effet, ils ont tout reçu de Lui, et n'ont rien qu'ils puissent considérer comme leur appartenant, (mis à part le péché).

      Les dons que nous recevons de Christ doivent ĂȘtre mis Ă  Son service. Au demeurant, la manifestation de l'Esprit est accordĂ©e Ă  tout homme, afin qu’il en tire profit. Le jour approche oĂč nous devrons rendre des comptes au Seigneur : nous devrons tous ĂȘtre jugĂ©s pour la « vigilance spirituelle » que nous aurons accordĂ©e Ă  notre Ăąme, pour le bien que nous aurons fait aux autres, compte tenu de tous les avantages dont nous avons pu profiter ici-bas. Cela ne signifie pas que grĂące au don naturel qu’il a reçu du ciel, un homme puisse accĂ©der de ce fait Ă  la GrĂące divine. Le chrĂ©tien dispose d’une vĂ©ritable libertĂ© et d’un privilĂšge : pouvoir servir son RĂ©dempteur, en promouvant Sa gloire, et le bien qu’Il accorde Ă  Son peuple : l'Amour de Christ contraint Son serviteur Ă  ne pas vivre davantage pour lui-mĂȘme, mais pour Celui qui est mort pour lui, et qui est ressuscité !

      Ceux qui estiment qu'il est impossible de plaire à Dieu, et qu'il est vain de Le servir, ne feront rien qui puisse développer la piété dans leur entourage. Ces mauvais serviteurs se plaignent que Dieu exige d'eux plus qu'ils ne sont capables de donner, et qu'Il les sanctionne en raison de leur incapacité.

      Quoiqu'ils puissent prĂ©tendre, le fait est qu'ils manifestent une certaine aversion pour le caractĂšre et l'Ɠuvre du Seigneur. Le serviteur paresseux est condamnĂ© Ă  ĂȘtre privĂ© du don cĂ©leste qui Ă©tĂ© prĂ©parĂ© Ă  son intention. Il en est de mĂȘme pour les bĂ©nĂ©dictions qu’il pourrait recevoir ici-bas ; en fait il passe « à cĂŽté » de la GrĂące, et de tous Ses bĂ©nĂ©fices.

      Ceux qui ne sont pas en rĂ©elle communion avec le Seigneur, verront trop tard que tout ce qui aurait pu contribuer Ă  la paix de leur cƓur leur a Ă©tĂ© « cachĂ© spirituellement ». Ils connaĂźtront la ruine et seront jetĂ©s dans les « tĂ©nĂšbres du dehors ». C'est le sort des condamnĂ©s qui iront en enfer.

      Notre Sauveur termine cette parabole en rĂ©pĂ©tant l’enseignement qu’Il avait prĂ©cĂ©demment donnĂ©, au sujet des serviteurs fidĂšles : ne soyons jamais envieux des pĂ©cheurs, et ne convoitons aucun de leurs biens : ils ne mĂšnent qu'Ă  la mort !

      Marc 13

      Luc 16

      1

      La parabole de l'économe infidÚle. (Luc 16:1-12)
      Christ blĂąme l'hypocrisie et la convoitise des pharisiens. (Luc 16:13-18)
      L'homme riche et Lazare. (Luc 16:19-31)

      Quel que soit ce que nous pouvons posséder, Dieu est en fait le véritable propriétaire ; nous ne pouvons seulement utiliser ce que nous possédons, que par la Volonté de notre Seigneur ; faisons-le pour Son honneur !

      Cet Ă©conome a dissipĂ© les biens de son maĂźtre, il les a tous gaspillĂ©s. En fait, nous pouvons tous ĂȘtre accusĂ©s de la mĂȘme faute : nous n'avons pas fait croĂźtre ce que Dieu nous a confiĂ©. L'Ă©conome ne pouvait pas nier les faits : il devait rendre des comptes et s'en aller.

      Ceci nous enseigne que la mort nous surprendra tÎt ou tard, nous privant de toute opportunité présente pour servir le Seigneur. Cet économe désirait se faire des amis avec les débiteurs de son seigneur, en effaçant une partie non négligeable de leur dette envers ce dernier. Le maßtre, en louant son économe, ne recommandait pas la fraude, mais la politique de ce dernier. Il n'y a d'ailleurs que cela qui soit remarquable.

      Les hommes du monde sont parfois insensĂ©s quant au choix de leurs desseins, mais leurs activitĂ©s et leur persĂ©vĂ©rance tĂ©moignent qu’ils sont souvent plus sages que les croyants. L'Ă©conome infidĂšle ne nous est pas dĂ©crit comme un tricheur envers son maĂźtre, cherchant Ă  justifier sa malhonnĂȘtetĂ©, mais comme un homme prudent, cherchant soigneusement, comme les hommes de ce monde, Ă  assurer son avenir.

      Il serait bon de voir les enfants de Dieu chercher Ă  apprendre comment les hommes ici-bas usent de sagesse, pour essayer d’atteindre, avec autant d’énergie possible, un but louable. La vĂ©ritable richesse est constituĂ©e de bĂ©nĂ©dictions spirituelles ; si un homme dĂ©pense tout son bien, ou gaspille ce que Dieu lui a confiĂ©, comment pourrons-nous avoir l’évidence qu'il est vĂ©ritablement un « hĂ©ritier » de Dieu, par l’intermĂ©diaire de Christ ?

      Les richesses de ce monde sont trompeuses et incertaines. Soyons convaincus que ceux qui sont vraiment aisĂ©s, voire trĂšs riches, sont ceux qui le sont dans la foi, en Dieu et en Christ, se confiant en leurs promesses. Sachons placer notre trĂ©sor dans le ciel, et ayons la patience d’en attendre la part qui nous sera octroyĂ©e !

      Luc 19

      Luc 20

      9 Christ prononça cette parabole contre ceux qui avaient résolu de ne pas reconnaßtre Son autorité, alors que cette derniÚre était manifeste et évidente.

      Combien de personnes ressemblent Ă  ces Juifs qui assassinĂšrent les prophĂštes et qui crucifiĂšrent Christ : elles ne dĂ©sirent que vivre selon leur convoitise, sans retenue, Ă©prouvant de l’inimitiĂ© contre Dieu, en ayant de l’aversion pour Son service !

      Que tous ceux qui ont la faveur de recevoir la Parole de Dieu, puissent veiller à en faire bon usage, pour leur avantage ! Ceux qui rejettent le Fils, comme ceux qui professent Le révérer, sans en montrer le fruit au moment opportun, connaßtront une terrible ruine.

      Bien que les pharisiens aient reconnu que le chĂątiment Ă©voquĂ© dans cette parabole soit juste, ils ne pouvaient supporter cet enseignement. Quelle folie de voir les pĂ©cheurs persĂ©vĂ©rer dans leurs chemins coupables, alors qu'ils savent pertinemment qu’ils ne les mĂšneront qu’à la destruction...

      Romains 12

      1 Corinthiens 3

      5 Les serviteurs de Dieu, au sujet desquels les Corinthiens étaient divisés, n'étaient que des instruments utilisés par le Seigneur.

      Nous ne devons pas mettre les serviteurs de Dieu Ă  la place du Seigneur ! Celui qui « plante » et celui qui « arrose » ne sont qu'un, tous deux n’ayant qu’un seul MaĂźtre ; ils se basent sur le mĂȘme fondement spirituel, ils doivent avoir le mĂȘme objectif, le mĂȘme travail et le mĂȘme engagement.

      Leurs dons sont diffĂ©rents mais proviennent d'un seul et mĂȘme Esprit, pour servir de tout leur cƓur, vers les mĂȘmes buts. Ceux qui travaillent avec le plus d’énergie iront le plus loin. Ceux qui sont les plus fidĂšles auront la plus grande rĂ©compense. Tous travaillent ensemble avec Dieu, pour promouvoir Sa Gloire, et le salut des Ăąmes ; Le Seigneur connaĂźt leurs Ɠuvres, Il veillera Ă  ce qu'ils ne travaillent pas en vain. Ils sont Ă  Son service et Il veillera sur eux avec soin !

      1 Corinthiens 4

      1

      Le véritable caractÚre des serviteurs de Dieu. (1 Corinthiens 4:1-6)
      Mise en garde contre ceux qui méprisent les apÎtres. (1 Corinthiens 4:7-13)
      Paul demande l’estime des Corinthiens, Ă©tant leur pĂšre spirituel en Christ ; il expose son inquiĂ©tude Ă  leur Ă©gard. (1 Corinthiens 4:14-21)

      Les apĂŽtres n'Ă©taient que de simples serviteurs de Christ, cependant, ils ne devaient pas ĂȘtre pour autant sous-estimĂ©s.

      Ils avaient une grande confiance dans le Seigneur, quant Ă  leur ministĂšre, ce qui Ă©tait fort honorable. Paul s’inquiĂ©tait, Ă  juste raison, de sa propre rĂ©putation ; il savait que celui qui cherchait principalement Ă  plaire aux hommes, ne pouvait ĂȘtre en mĂȘme temps, un fidĂšle serviteur de Christ.

      Il est trĂšs rĂ©confortant de savoir qu'au ciel, les hommes ne seront pas nos juges. Ce n'est d’ailleurs pas en nous jugeant bien nous-mĂȘmes, ou en cherchant Ă  nous justifier, que nous trouverons notre salut, notre paix et la joie de notre cƓur. Notre propre jugement ne doit pas reposer sur notre fidĂ©litĂ©, ni sur nos propres Ɠuvres : elles sont incapables de nous justifier. Le jour vient, oĂč tous les pĂ©chĂ©s cachĂ©s des hommes seront mis au grand jour, tous les secrets de leur cƓur seront dĂ©voilĂ©s. Tout croyant calomniĂ© sera alors justifiĂ©, et tout serviteur fidĂšle sera approuvĂ© et rĂ©compensĂ© par le Seigneur ! La Parole de Dieu est le meilleur fondement sur lequel nous pouvons baser nos jugements, pĂ©cheurs que nous sommes.

      L’orgueil est souvent Ă  l’origine des querelles. La vanitĂ© contribue parfois Ă  sous estimer ceux qui nous enseignent. Nous ne serons pas tentĂ©s de prendre inconsidĂ©rĂ©ment partie pour l'un ou pour l’autre, si nous nous souvenons que nous sommes tous des « instruments » employĂ©s par Dieu, Celui qui nous a dotĂ©s de divers talents.

      1 Corinthiens 12

      12 Christ et Son Ă©glise forment un « corps » ; Lui en est la TĂȘte, elle en constitue les membres. Par le baptĂȘme, institution divine, les chrĂ©tiens deviennent membres de ce corps : ils tĂ©moignent ainsi de leur « nouvelle naissance » ; il s’agit du baptĂȘme de la rĂ©gĂ©nĂ©ration, Tite 3:5.

      Mais c'est uniquement par le renouvellement du Saint-Esprit, que nous devenons membres du corps de Christ. Par la communion avec Christ, lors du repas du Seigneur, nous sommes fortifiĂ©s : non par la consommation du vin, mais en « buvant » d’un mĂȘme Esprit.

      Chaque membre possĂšde ses caractĂ©ristiques, sa place, son rĂŽle. MĂȘme le moindre des membres fait partie du corps. Il doit y avoir une distinction entre chaque membre. Ceux du corps de Christ possĂšdent des capacitĂ©s particuliĂšres avec des responsabilitĂ©s diffĂ©rentes. Nous devons accomplir les devoirs affĂ©rents Ă  notre propre place, sans murmurer ni nous quereller avec les autres.

      Tous les membres du corps sont indispensables pour la vie communautaire : aucun d’entre eux n’est inutile. Comme dans le corps humain, les membres de l’assemblĂ©e doivent ĂȘtre unis fermement, par les liens les plus solides de l'amour ; tous doivent rechercher le bien de l'ensemble du corps de Christ.

      Tous les chrétiens sont dépendants les uns des autres ; chacun est en droit d'attendre et de recevoir l'aide du reste du corps de Christ. Soyons donc vraiment unis dans la piété commune qui nous anime !

      27 Le mĂ©pris, la haine, l'envie, et les luttes ne devraient pas exister chez les chrĂ©tiens : on serait alors tentĂ© de croire que les membres « d'un mĂȘme corps » ne se sentiraient pas concernĂ©s par leurs homologues, qui ne cherchent qu’à se quereller mutuellement.

      L'orgueil et tout esprit belliqueux, relatifs aux dons spirituels sont ainsi condamnĂ©s par l’apĂŽtre. Ce texte notifie par ordre d’importance, les fonctions et les dons dispensĂ©s par le Saint-Esprit : on trouve, d’abord les apĂŽtres (ou serviteurs de Dieu), puis ceux qui savaient interprĂ©ter l'Écriture ; ensuite, on trouve ceux qui travaillaient sur la Parole ou la doctrine, ceux qui avaient le pouvoir de guĂ©rir les maladies, ceux qui aidaient les personnes souffrantes et les faibles, ceux qui gĂ©raient les offrandes de l'Ă©glise et ceux qui Ă©taient capables de parler diverses langues. Le dernier don de cette liste, est le pouvoir de parler en langues ; qu’il est vain de mettre en exergue ce don, simplement pour se faire plaisir ou se mettre en valeur !

      Nous voyons dans ce texte, que l’attribution des dons est spĂ©cifique, 1 Corinthiens 12:29,30. Sans cette distinction, on aurait en fait, une Ă©glise composĂ©e de membres identiques : tout le corps de Christ ne serait alors « qu’une oreille, ou qu’un Ɠil » !

      L'Esprit distribue Ă  chacun selon Sa VolontĂ©. Soyons satisfaits par le don qui nous a Ă©tĂ© octroyĂ©, mĂȘme si ce dernier est plus modeste que celui des autres. D’autre part, nous ne devons pas mĂ©priser les autres membres, si notre don est plus grand que le leur...

      Quelle bĂ©nĂ©diction de rencontrer une Ă©glise, avec tous ses membres qui exercent leur devoir ! Au lieu de convoiter les plus hauts postes, ou les dons les plus « brillants », laissons Ă  Dieu le soin d’utiliser Ses serviteurs, et ceux en qui Il Ɠuvre, par Sa Providence.

      Souvenons-nous que ceux qui recherchent les postes les plus importants de l’assemblĂ©e ne seront pas spĂ©cialement approuvĂ©s par le MaĂźtre ; seuls le seront, les plus fidĂšles, les plus appliquĂ©s Ă  la tĂąche qui leur a Ă©tĂ© assignĂ©e.

      Ephésiens 4

      1 Pierre 4

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