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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
10.5 à 12.6 La chute de l'Assyrie et le règne du Messie.
5 à 34 La chute de l'Assyrie.
Samarie est déjà détruite (10.9-11) ; mais le royaume de Juda est encore tributaire de l'Assyrie (10.27). Notre discours a donc été composé entre la prise de Samarie (722) et le moment où Ezéchias refusa le tribut à Sanchérib (après 705).
Ce discours se compose de quatre strophes (versets 5 à 11, 12 à 19, 20 à 26, 27 à 34) annoncées chacune (sauf la première) par un : il arrivera... Le thème du morceau précédent, (9.7-10.4) était le nom, menaçant pour Ephraïm, de Maherschalal-Chaschbaz (8.3-4) ; le thème de celui-ci est le nom, consolant pour Juda, de Schéarjaschub (versets 20 à 22 ; 7.3).
5 à 11 Assur est l'instrument de la colère de Dieu pour purifier Israël, non pour le détruire, comme il se le propose.
Malheur à Assur, verge... Dieu s'est servi d'Assur pour punir Israël. Mais comme l'instrument a oublié qu'il n'était qu'instrument, et n'a servi les desseins de Dieu que pour satisfaire ses passions, tout le mal qu'il a fait lui sera redemandé (47.6-7 ; Zacharie 1.15). Même jugement prononcé sur Jéhu et sa maison, Osée 1.4.
Le bâton qui est dans sa main. Comparez 9.3 ; 10.24,27. Dans la première partie du verset, Assur est lui-même la verge de Dieu ; dans la seconde, il tient cette verge en main pour frapper de sa part. L'image se transforme pour se rapprocher de la réalité : car Dieu ne frappe pas directement son peuple ; ce sont les Assyriens qui donnent les coups.
Remarquez les changements que peut opérer le péché ! Le roi d'Assyrie, dans son orgueil, était persuadé d'agir selon sa propre volonté. Les tyrans de ce monde sont en fait des « outils » utilisés par la Providence divine. Dieu désirait corriger Son peuple de son hypocrisie, Il voulait qu'il se rapproche de Lui ; était-ce le vœu de Sennachérib ? Bien sûr que non ! Il ne cherchait en fait qu'à satisfaire sa propre convoitise et son ambition. Ce roi d'Assyrie, par sa politique et sa puissance, se vantait de ses projets réalisés parmi les nations environnantes. Il ne savait pas, qu'en fait, Dieu l'avait placé sur ce trône, en lui donnant tous les sujets de sa cour. Le roi accomplit tous les actes décrits dans ce passage, sans problème, personne ne chercha à s'opposer à lui. Une fois Samarie conquise, il pensait que Jérusalem tomberait rapidement. Il était lamentable de constater que Jérusalem possédait encore des images taillées, et que sans aucun doute, elle se trouvait tout à fait semblable au monde païen environnant.
N'en est-il pas de même pour les Chrétiens qui tentent d'imiter les personnes du monde, dans leurs vanités, au lieu de se consacrer aux choses qui les honorent vraiment, par leur piété ? Il n'y avait pas de pire défi de la part de Sennachérib, que de se vanter, ou de se rebeller contre le Créateur, Jéhovah en personne ! Quand Dieu met Son peuple à l'épreuve, c'est dans le but de lui faire constater son péché et de l'humilier, afin de lui rappeler son devoir et qu'il cesse de commettre toute iniquité.
Quand l'affliction divine est à son comble, elle se transforme ensuite en Miséricorde. Cette atteinte contre Sion et Jérusalem pouvait réduire ces villes à néant. Dieu est en effet un feu dévorant, capable de consumer ceux qui pratiquent l'iniquité. Une telle désolation est un peu le prélude d'une ruine prochaine, et ceux qui persistent dans leur péché ne peuvent que courir vers une confusion totale.
Qui peut se tenir devant ce Dieu et Seigneur, trois fois Saint ?