Il est l’Eternel qui guérit
Connaissez-vous la signification de "Yaveh-Rapha" ? Cela signifie : l'Eternel guérit. Dans Exode 15.22-27 Dieu fait une première alliance avec …
Le cantique de Moïse,
au sujet de la délivrance d'Israël. (Exode 15:1-21)
Les eaux amères de Mara,
les Israélites arrivent à Élim. (Exode 15:22-27)
Le Seigneur est un Dieu Tout Puissant, Il maudit ceux qui se rebellent contre Lui, le Créateur ! Il est un Dieu d'une incomparable perfection ; Il est glorieux dans toute Sa Sainteté ; cette Sainteté représente Sa Gloire. Elle lutte contre le péché et Sa colère attaque les pécheurs endurcis. Cette Sainteté est la délivrance d'Israël, Ses promesses sont infaillibles. Cette Sainteté fait l'objet de toutes les louanges des serviteurs de l'Éternel, Elle est terrible quand Ses ennemis la subissent. Elle fait des merveilles, Elle accomplit des choses surnaturelles ; cette Sainteté confond par Sa puissance, ceux qui placent en Elle leur confiance, tout en étant convaincus d'être indignes d'en bénéficier. Ce cantique de Moïse souligne les merveilles de Sa Puissance et de Sa Grâce ; dans tout cela, Dieu doit être adoré, en toute humilité !
Dieu peut rendre amères certaines de nos convoitises ; Il le fait lorsque nous traversons le « désert » de ce monde, de façon à détourner nos regards de nos désirs charnels, créatures que nous sommes, vers le Créateur, le Seul à pouvoir nous apporter le réconfort nécessaire.
Dans sa détresse, Israël était inquiet, il se querellait avec Moïse. Les hypocrites peuvent témoigner d'une certaine affection et faire preuve d'un zèle relatif dans l'exercice de la piété, mais lors de la tentation, ils tombent.
Même les croyants sincères, lors d'une sévère épreuve, peuvent être inquiets, se méfier de tout et murmurer. Dans chaque expérience de ce type, nous devons placer notre confiance dans le Seigneur et Lui dévoiler le contenu de nos cœurs. Nous pourrons ainsi constater qu'une volonté soumise, une conscience paisible et le réconfort du Saint-Esprit rendront tolérable, voire même positive, la plus amère des épreuves. Dans ce texte, Moïse fit ce que le peuple aurait dû faire : il s'adressa à l’Éternel. Ce dernier, dans Sa Grâce, répondit favorablement à cette requête. Dieu ordonna à Moïse de prendre un bois et de le jeter dans les eaux, ce qui les rendit douces instantanément.
Certains assimilent ce bois à une image de la croix, qui seule peut adoucir les eaux amères de nos afflictions et peut nous rendre joyeux quand nous traversons l'épreuve. Mais les Israélites rebelles ne s'en tirèrent pas mieux que les Égyptiens incrédules ! Là où un problème apparaît, se trouve toujours une Promesse pour le résoudre. Dieu est le grand Médecin. Si nous nous portons bien, c'est grâce à Lui ! C'est Lui qui nous fait vivre et qui nous donne la force de tous les jours. N'oublions pas que nous avons été préservés de la destruction et délivrés de nos ennemis, en vue de servir le Seigneur.
Sur le site d'Élim, les enfants d'Israël trouvèrent de l'eau potable en quantité suffisante. Bien que Dieu ait ordonné pour un temps, au peuple, de camper près des eaux amères de Mara, ce n'était pas leur destination finale. Ne soyons pas déprimés lors de l'épreuve !
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22 à 27 De Mara à Elim
Le voyage d'Israël dans le désert pourrait se jalonner par les murmures du peuple. Il y en a trois avant l'arrivée au Sinaï (dans l'Exode) et sept après le Sinaï (dans les Nombres). Les trois premiers, ayant eu lieu avant l'Alliance, n'ont pas été punis ; les autres le furent sévèrement : comparez la première et la dernière apparition des cailles (Exode 16.13 et Nombres 11.31) ; la première et la dernière disette d'eau (Exode 17.1 et Nombres 20.2).
De l'autre côté de la mer, un peu au sud de l'endroit où avait eu lieu le passage, se trouve une oasis qui porte encore aujourd'hui le nom de Ayoun-Mousa, source de Moïse. Le regard se repose sur les tamarix, les palmiers et les acacias et sur un frais tapis de verdure entretenu par l'eau d'une source assez abondante. Cet endroit fut sans doute le centre du premier campement du peuple dans la presqu'île du Sinaï. Il devait être à ce moment de l'année dans toute la beauté de sa parure printanière et correspondre au sentiment de joie et de reconnaissance qui remplissait le cœur des Fils d'Israël. Ce fut certainement là que fut célébrée la fête nationale, dont il vient d'être parlé.
Le désert de Sur, appelé désert d'Etham Nombres 33.8 (voir 13.20). C'est la plaine basse et sablonneuse qui s'étend de la Méditerranée (à l'est du Delta) jusqu'à la latitude du milieu de la mer Rouge,
Dieu peut rendre amères certaines de nos convoitises ; Il le fait lorsque nous traversons le « désert » de ce monde, de façon à détourner nos regards de nos désirs charnels, créatures que nous sommes, vers le Créateur, le Seul à pouvoir nous apporter le réconfort nécessaire.
Dans sa détresse, Israël était inquiet, il se querellait avec Moïse. Les hypocrites peuvent témoigner d'une certaine affection et faire preuve d'un zèle relatif dans l'exercice de la piété, mais lors de la tentation, ils tombent.
Même les croyants sincères, lors d'une sévère épreuve, peuvent être inquiets, se méfier de tout et murmurer. Dans chaque expérience de ce type, nous devons placer notre confiance dans le Seigneur et Lui dévoiler le contenu de nos cœurs. Nous pourrons ainsi constater qu'une volonté soumise, une conscience paisible et le réconfort du Saint-Esprit rendront tolérable, voire même positive, la plus amère des épreuves. Dans ce texte, Moïse fit ce que le peuple aurait dû faire : il s'adressa à l’Éternel. Ce dernier, dans Sa Grâce, répondit favorablement à cette requête. Dieu ordonna à Moïse de prendre un bois et de le jeter dans les eaux, ce qui les rendit douces instantanément.
Certains assimilent ce bois à une image de la croix, qui seule peut adoucir les eaux amères de nos afflictions et peut nous rendre joyeux quand nous traversons l'épreuve. Mais les Israélites rebelles ne s'en tirèrent pas mieux que les Égyptiens incrédules ! Là où un problème apparaît, se trouve toujours une Promesse pour le résoudre. Dieu est le grand Médecin. Si nous nous portons bien, c'est grâce à Lui ! C'est Lui qui nous fait vivre et qui nous donne la force de tous les jours. N'oublions pas que nous avons été préservés de la destruction et délivrés de nos ennemis, en vue de servir le Seigneur.
Sur le site d'Élim, les enfants d'Israël trouvèrent de l'eau potable en quantité suffisante. Bien que Dieu ait ordonné pour un temps, au peuple, de camper près des eaux amères de Mara, ce n'était pas leur destination finale. Ne soyons pas déprimés lors de l'épreuve !