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3
Je bénirai ceux qui te béniront, Je maudirai celui qui te maudira. Toutes les familles de la terre Seront bénies en toi.
7
L’Éternel apparut à Abram et dit : Je donnerai ce pays à ta descendance. Abram bâtit là un autel à l’Éternel qui lui était apparu.
15
car tout le pays que tu vois, je te le donnerai, à toi et à ta descendance, pour toujours.
16
Je rendrai ta descendance comme la poussière de la terre, en sorte qu’on ne pourra pas plus la compter que l’on ne peut compter la poussière de la terre.
5
Il le mena dehors et dit : Contemple donc le ciel et compte les étoiles, si tu peux les compter. Il ajouta : Telle sera ta descendance.
7
J’établirai mon alliance avec toi et ta descendance après toi, dans toutes leurs générations : ce sera une alliance perpétuelle, en vertu de laquelle je serai ton Dieu et celui de tes descendants après toi.
8
Je te donnerai, et à tes descendants après toi, le pays dans lequel tu viens d’immigrer, tout le pays de Canaan, en possession perpétuelle, et je serai leur Dieu.
12
Mais Dieu dit à Abraham : N’aie pas de déplaisir, à cause du garçon et de ta servante. Accorde à Sara tout ce qu’elle te demandera ; car c’est par Isaac que tu auras une descendance qui porte ton nom.
17
je te comblerai de bénédictions et je multiplierai ta descendance, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est au bord de la mer. Ta descendance aura le contrôle de ses ennemis.
18
Toutes les nations de la terre se diront bénies par ta descendance, parce que tu as écouté ma voix.
3
Séjourne dans ce pays-ci ; je suis avec toi et je te bénirai, car c’est à toi et à ta descendance que je donnerai toutes ces terres ; je tiendrai ainsi le serment que j’ai prêté à ton père Abraham.
4
Je multiplierai ta descendance comme les étoiles du ciel ; je donnerai à ta descendance toutes ces terres. Toutes les nations de la terre se diront bénies en ta descendance.
13
Or l’Éternel se tenait au-dessus d’elle ; il dit : Je suis l’Éternel, le Dieu d’Abraham, ton père, et le Dieu d’Isaac. La terre sur laquelle tu es couché, je te la donnerai à toi et à ta descendance.
14
Ta descendance sera (innombrable) comme la poussière de la terre ; tu t’étendras à l’ouest et à l’est, au nord et au sud. Toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta descendance.
10
Le bâton (de commandement) ne s’écartera pas de Juda, Ni l’insigne du législateur d’entre ses pieds, Jusqu’à ce que vienne le Chilo Et que les peuples lui obéissent.
55
– comme il l’avait dit à nos pères –, envers Abraham et sa descendance pour toujours.
25
Vous êtes les fils des prophètes et de l’alliance que Dieu a traitée avec nos pères, en disant à Abraham : Toutes les familles de la terre seront bénies en ta descendance.
13
En effet, ce n’est point par la loi que l’héritage du monde a été promis à Abraham ou à sa descendance, c’est par la justice de la foi.
16
Donc c’est par la foi, pour qu’il s’agisse d’une grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la descendance, non seulement à celle qui a la loi, mais aussi à celle qui a la foi d’Abraham notre père à tous, selon qu’il est écrit :
5
ainsi, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ et nous sommes tous membres les uns des autres.
12
En effet, comme le corps est un, tout en ayant plusieurs membres, et comme tous les membres du corps, malgré leur nombre, ne sont qu’un seul corps, – ainsi en est-il du Christ.
27
Vous êtes le corps de Christ, et vous êtes ses membres, chacun pour sa part.
8
Aussi l’Écriture, prévoyant que Dieu justifierait les païens par la foi, a d’avance annoncé cette bonne nouvelle à Abraham : Toutes les nations seront bénies en toi ;
16
Or les promesses ont été faites à Abraham et à sa descendance. Il n’est pas dit : et aux descendances, comme s’il s’agissait de plusieurs, mais comme à une seule : et à ta descendance, c’est-à-dire, à Christ.
27
vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ.
28
Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme, car vous tous, vous êtes un en Christ-Jésus.
29
Et si vous êtes à Christ, alors vous êtes la descendance d’Abraham, héritiers selon la promesse.
15
mais en disant la vérité avec amour, nous croîtrons à tous égards en celui qui est le chef, Christ.
16
De lui, le corps tout entier bien ordonné et cohérent, grâce à toutes les jointures qui le soutiennent fortement, tire son accroissement dans la mesure qui convient à chaque partie, et s’édifie lui-même dans l’amour.
29
Jamais personne, en effet, n’a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme le Christ le fait pour l’Église,
30
parce que nous sommes membres de son corps.
32
Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport à Christ et à l’Église.
19
au lieu de s’attacher au chef par qui tout le corps soutenu et rendu cohérent par les jointures et les articulations, grandit d’une croissance qui vient de Dieu.
11
Il n’y a là ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre ; mais Christ est tout et en tous.
- Parmi les promesses générales adressées à Abraham, (Genèse 12.3 ; 18.18 ; 22.18) Paul fait spécialement allusion à celle qui se lit dans Genèse 13.15. Là, Dieu promet à Abraham et à sa postérité la possession de la terre de Canaan, c'est ce que Paul appelle l'héritage, (verset 18) c'est-à-dire, en premier lieu, le pays de Canaan, puis, spirituellement, "le monde," (Romains 4.13) la terre entière, renouvelée par la rédemption, le règne de Dieu, ce qui revient à l'idée exprimée à verset 14 dans cette parole : "la promesse de l'Esprit."
Le pays de Canaan n'était pas le dernier but de la promesse, il n'en était que le symbole ; c'est pourquoi, longtemps après qu'Israël en eut pris possession, David prophétisa le vrai repos. (Hébreux 4.8 et suivants) De même, la postérité à laquelle s'adressait la promesse de posséder Canaan, n'était pas exclusivement ce peuple d'Israël qui y fut introduit par Josué, mais le vrai peuple de Dieu, les rachetés de Christ, mis par lui en possession du repos éternel qu'il leur a acquis. (verset 29) Cette dernière remarque est essentielle pour l'intelligence des paroles qui suivent dans notre verset.
Voici un des passages de l'Ecriture qui ont donné aux exégètes le plus de travail, et à la critique une abondante pâture. "Voyez, a-telle dit, à quelle interprétation arbitraire et rabbinique l'apôtre a recours ! Il raisonne sur le singulier et le pluriel d'un mot qui n'a jamais de pluriel, il applique à une seule personne (Christ), une expression (postérité, semence) qui ne peut avoir qu'un sens collectif, et tout cela, afin de plier forcément une parole de l'Ecriture à ses propres idées. Que peut-il prouver par là ?"
A ces objections qui, philologiquement, sont parfaitement fondées, voici ce que répond l'exégèse de l'école opposée : Tout ce que veut dire l'apôtre, c'est que, dans la parole qu'il cite, il ne saurait être question de plusieurs postérités, ce qui serait véritablement le cas s'il y en avait une qui obtint l'héritage selon la promesse et une autre qui pût y prétendre par les œuvres de la loi. (versets 17,18)
C'est exactement ce que l'apôtre développe plus au long en parlant d'Abraham dans Romains 4.16, où il mentionne aussi plusieurs postérités :
"C'est donc par la foi," dit-il, après avoir montré que Juifs et païens sont héritiers de la promesse, "afin que ce soit par grâce, pour que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est de la loi, mais aussi à celle qui est de la foi d'Abraham, le père de nous tous." (Romains 4.16)
Il est même un autre sens encore dans lequel l'Ecriture pourrait parfaitement parler des postérités d'Abraham, et de postérités à tous égards très distinctes : celle par Agar et Ketura, et plus tard par Esaü, n'a rien de commun, dans l'histoire du règne de Dieu, avec sa postérité par Isaac et par Jacob.
Et même dans sa postérité par Jacob, "ce ne sont pas tous ceux qui sont de la semence d'Abraham qui sont ses enfants ;" (Romains 9.6 et suivants) mais la seule vraie postérité c'est Christ et ses rachetés, son Eglise qui est son corps, selon l'interprétation de Calvin. Voilà pour l'emploi du mot postérité, ou semence, au pluriel.
Quant à l'application de ce mot, toujours collectif (voir pourtant Genèse 4.25 en hébreu), à une seule personne, Christ, cette objection est déjà réfutée par ce qui précède ; si l'on entend par Christ, non seulement le Christ historique, personnel, mais le Christ idéal, c'est-à-dire Christ et son Eglise, alors l'idée est réellement collective comme le mot, et telle est souvent la pensée de l'apôtre. (Galates 3.29 ; 1Corinthiens 1.13 ; 12.12 ; Ephésiens 1.22,23)
Toutes les promesses faites au peuple de Dieu embrassent Christ, en qui seul elles s'accomplissent, et toutes les prophéties relatives au Sauveur embrassent aussi son Eglise, recueillie par la même foi de tout peuple, de toute langue, de toute nation.
- De ces objections et de cette défense on peut conclure que la pensée de Paul est vraie, lumineuse au point de vue des Ecritures, si même l'argumentation sur laquelle il la fonde est grammaticalement défectueuse.