2
Ils se sont tous ensemble ligués pour venir attaquer Jérusalem et lui causer du dommage.
3
Nous avons prié notre Dieu et avons mis une garde en place pour nous défendre jour et nuit contre leurs attaques.
4
Toutefois, les Judéens disaient : « La force des porteurs de fardeaux va faiblissant et il y a tellement de décombres que nous ne parviendrons pas à reconstruire la muraille. »
6
Cependant, il ne jugea pas suffisant de porter la main contre Mardochée seul. En effet, on lui avait révélé à quel peuple celui-ci appartenait et il chercha à exterminer tous les Juifs installés dans tout le royaume d'Assuérus, à savoir le peuple de Mardochée.
7
La douziĂšme annĂ©e du rĂšgne dâAssuĂ©rus, le premier mois, câest-Ă -dire le mois de Nisan, on jeta le « pour » â c'est-Ă -dire le sort â devant Haman pour chaque jour et chaque mois successivement, et le sort dĂ©signa le douziĂšme mois, câest-Ă -dire celui d'Adar.
8
Haman dit alors au roi AssuĂ©rus : « Il y a dans lâensemble des provinces de ton royaume un peuple unique, bien que dispersĂ©, qui reste bien Ă part parmi les peuples. Il a des lois diffĂ©rentes de celles de tous les autres peuples et n'applique pas celles du roi. Le roi nâa aucun intĂ©rĂȘt Ă le laisser tranquille.
13
Tu vends ton peuple pour rien, tu ne lâestimes pas Ă une grande valeur.
14
Tu nous exposes aux insultes de nos voisins, Ă la moquerie et aux railleries de ceux qui nous entourent.
11
Ils disent : « Dieu lâabandonne. Poursuivez-le, attrapez-le ! Il nây a personne pour le dĂ©livrer. »
4
Ils forment de perfides complots contre ton peuple, ils conspirent contre ceux que tu protÚges :
14
LâEternel ne dĂ©laisse pas son peuple, il nâabandonne pas son hĂ©ritage ;
3
Fais-nous grĂące, Eternel, fais-nous grĂące, car nous nâen pouvons plus dâĂȘtre mĂ©prisĂ©s,
4
nous en avons plus quâassez des moqueries des orgueilleux, du mĂ©pris des hautains !
17
En revanche, je provoquerai ton rĂ©tablissement, je guĂ©rirai tes blessures, dĂ©clare l'Eternel, car ils tâont appelĂ©e « lâexpatriĂ©e, la Sion dont plus personne ne se soucie ».
21
alors mon alliance serait aussi rompue avec mon serviteur David et il nâaurait plus de fils pour occuper son trĂŽne. Il en irait de mĂȘme pour mon alliance avec les LĂ©vites, les prĂȘtres qui sont Ă mon service.
22
De mĂȘme qu'on ne peut compter tous les corps cĂ©lestes ni peser le sable de la mer, de mĂȘme je rendrai innombrable la descendance de mon serviteur David et les LĂ©vites qui sont Ă mon service. »
24
« N'as-tu pas remarquĂ© ce que dit ce peuple ? Ils affirment que lâEternel a rejetĂ© les deux familles quâil avait choisies. Ils mĂ©prisent ainsi mon peuple, au point de ne plus le considĂ©rer comme une nation.
15
Tous les passants applaudissent en te voyant. Ils sifflent, ils secouent leur tĂȘte au sujet de la fille de JĂ©rusalem : « Est-ce bien la ville que lâon prĂ©sentait comme une beautĂ© parfaite, la joie de toute la terre ? »
16
Tous tes ennemis ouvrent la bouche contre toi, ils sifflent, ils grincent des dents. Ils disent : « Nous l'avons engloutie ! C'est bien le jour que nous attendions. Nous l'avons atteint, nous le voyons ! »
15
« Eloignez-vous, impurs ! leur criait-on. Eloignez-vous, éloignez-vous, ne nous touchez pas ! » Ils sont en fuite, ils errent çà et là . On dit parmi les nations : « Ils ne séjourneront pas plus longtemps chez nous ! »
3
Tu annonceras aux Ammonites : âEcoutez la parole du Seigneur, de l'Eternel !âVoici ce que dit le Seigneur, l'Eternel : Tu as affirmé : âCâest bien fait !âĂ propos de mon sanctuaire parce quâil Ă©tait profanĂ©, du territoire d'IsraĂ«l parce quâil Ă©tait dĂ©vastĂ© et de la communautĂ© de Juda parce quâelle partait en exil.
2
« Fils de lâhomme, Tyr a dit au sujet de JĂ©rusalem : âCâest bien fait ! Elle est brisĂ©e, la porte des peuples ! On se tourne vers moi, je vais mâenrichir puisquâelle est en ruine !â
10
» Tu as affirmé : âLes deux nations, les deux pays seront Ă moi, nous en prendrons possessionâ, alors que l'Eternel Ă©tait lĂ .
11
Câest pourquoi â aussi vrai que je suis vivant, dĂ©clare le Seigneur, l'Eternel â j'agirai avec la colĂšre et lâacharnement dont tu as fait preuve dans ta haine contre eux. Ainsi je me ferai connaĂźtre au milieu d'eux, quand je te jugerai.
12
Tu sauras que moi, l'Eternel, j'ai entendu toutes les insultes que tu as profĂ©rĂ©es contre les montagnes d'IsraĂ«l lorsque tu as dit : âElles sont dĂ©vastĂ©es, elles nous sont donnĂ©es en guise de nourriture.â
13
Vous vous ĂȘtes attaquĂ©s Ă moi par votre bouche, vous avez multipliĂ© vos paroles contre moi. Moi, jâai entendu.
14
» Voici ce que dit le Seigneur, l'Eternel : Lorsque toute la terre sera dans la joie, je ferai de toi un endroit dévasté.
15
Puisque tu tâes rĂ©jouie lorsque lâhĂ©ritage de la communautĂ© dâIsraĂ«l Ă©tait dĂ©vastĂ©, je te traiterai exactement de la mĂȘme maniĂšre : tu deviendras un endroit dĂ©vastĂ©, rĂ©gion montagneuse de SĂ©ir, ainsi quâEdom tout entier. Ils reconnaĂźtront alors que je suis l'Eternel.
2
Voici ce que dit le Seigneur, l'Eternel : L'ennemi a dit Ă propos de vous : âCâest bien fait ! Ces hauteurs millĂ©naires sont en notre possession.â
22
Je ferai d'eux une seule nation dans le pays, dans les montagnes d'IsraĂ«l. Ils auront tous un mĂȘme roi, ils ne formeront plus deux nations et ne seront plus divisĂ©s en deux royaumes.
1
Je demande donc : « Dieu aurait-il rejetĂ© son peuple ? » Certainement pas ! En effet, je suis moi-mĂȘme israĂ©lite, de la descendance d'Abraham, de la tribu de Benjamin.
2
Dieu n'a pas rejeté son peuple, qu'il a connu d'avance. Ne savez-vous pas ce que l'Ecriture rapporte au sujet d'Elie, quand le prophÚte adresse à Dieu cette plainte contre Israël :
3
Seigneur, ils ont tuĂ© tes prophĂštes, ils ont dĂ©moli tes autels ; moi seul, je suis restĂ©, et ils cherchent Ă mâenlever la vie ?
4
Mais quelle réponse Dieu lui donne-t-il ? Je me suis réservé 7000 hommes qui n'ont pas plié les genoux devant Baal.
5
De mĂȘme, dans le temps prĂ©sent aussi, il y a un reste conformĂ©ment Ă lâĂ©lection de la grĂące.
6
Or, si c'est par grĂące, ce n'est plus par les Ćuvres, autrement la grĂące n'est plus une grĂące. [Et si c'est par les Ćuvres, ce n'est plus une grĂące, autrement l'Ćuvre n'est plus une Ćuvre. ]
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Les deux familles. AprÚs tout ce qui précÚde, cette expression s'applique non aux deux peuples de Juda et des dix tribus, mais aux deux postérités de David et de Lévi.
C'était Îter à Israël sa dignité de peuple de Dieu, que de s'imaginer que la royauté de David et le sacerdoce lévitique allaient cesser pour toujours avec l'exil.
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