Vivre sans frustration (2/2) - Joyce Meyer - Vivre au quotidien
Fidélité à toute épreuve
Etre fidĂšle, c'est facile quand tout va bien. Mais, que survienne l'Ă©preuve ou la tentation, et tout devient diffĂ©rent ! âŠ
JĂ©sus nâa jamais abordĂ© certaines questions essentielles : pourquoi ??
Pourquoi JĂ©sus nâa-t-il rien enseignĂ© au sujet du ministĂšre des femmes ? Pourquoi nâa-t-il pas combattu ni mĂȘme dĂ©noncĂ© lâesclavage âŠ
Bertrand Huetz - "Ivre" du Saint-Esprit
Au mĂȘme titre qu'une personne ivre n'a pas besoin de le dire, cela se voit dans son attitude, quelqu'un qui âŠ
Jean Peterschmitt - Le grand repas
Heureux celui qui prendra son repas dans le royaume de Dieu,lui dit un homme Ă table avec lui. Mais JĂ©sus âŠ
Récit de la résurrection du Christ
Selon l'évangile de Marc chapitre 16. Une comédienne lit le texte biblique.
Ăvangile de Marc Chapitre 16 (pour enfants Ă partir de 10 ans)
Texte dit par Marie Ray et dessinĂ© par Martine Bacher. ThĂšmes: JĂ©sus sâest rĂ©veillĂ© de la mort, JĂ©sus se montre âŠ
Avons-nous oublié le 11e commandement ?
Avons-nous oubliĂ© le 11e commandement ? 1Corinthiens 9.16b Introduction TĂ©moigner, ma raison d'ĂȘtre⊠sur terre ! - ChrĂ©tien, appel : âŠ
Fais-le !
Je me rappellerai toujours de ce bienaimĂ© qui, 20 ans aprĂšs avoir rencontrĂ© le Seigneur, sâinterrogeait passivement sur le ministĂšre âŠ
L'esprit de générosité
1. C'est une façon de penser. La gĂ©nĂ©rositĂ© est plus qu'une action. C'est une façon de penser, de voir et âŠ
La PriĂšre de Jaebets
Lecture : 1 Chr. 4 : 9-10. "Jaebets Ă©tait plus considĂ©rĂ© que ses frĂšres; sa mĂšre lui donna le nom âŠ
Le grand ordre de mission
Le commandement de JeÌsus qui nous est rapporteÌ dans les eÌvangiles est on ne peut plus clair et direct : âŠ
Le tombeau est vide !
Ces femmes se sont levĂ©es tĂŽt ce matin. Tout autour dâelles est sans teint. Elles ne comptent, ombres des hommes. âŠ
Qui peut imposer les mains ?
De nombreux pasteurs rĂ©servent la pratique de l'imposition des mains aux Anciens, y compris eux-mĂȘmes, probablement en l'assimilant Ă celle âŠ
Volons comme des aigles
Lecture : Eph. 1 : 3 et 1 : 15 â23. Col. 3 : 1- "Si donc vous ĂȘtes ressuscitĂ©s âŠ
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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Les critiques les plus dignes de confiance n'en admettent pas l'authenticité. Leurs raisons, dont voici les principales, sont du plus grand poids.
1° Cette fin de l'évangile manque dans Sin. et dans B, ainsi que dans quelques versions.
2° Un manuscrit du huitiÚme siÚcle et plusieurs versions latines ont une courte conclusion de l'évangile, tout autre que celle qui nous a été conservée ici.
3° Dans une trentaine de manuscrits de l'Ă©vangile de Marc, en lettres cursives, se trouvent des remarques indiquant que les plus anciens documents s'arrĂȘtaient Ă notre verset 8.
4° Plusieurs PÚres de l'Eglise, entre autres EusÚbe et JérÎme, déclarent positivement que cette fin de notre évangile n'était pas renfermée dans les plus anciennes copies.
"Les manuscrits exacts, dit EusÚbe, terminent le récit de Marc aux paroles du jeune homme qui apparut aux femmes et leur dit : Ne vous effrayez point, jusqu'aux mots : car elles avaient peur. Ce qui suit se trouve dans quelques rares copies."
"La fin de l'évangile de Marc se trouve dans fort peu de manuscrits ; presque tous les exemplaires grecs ne la contiennent pas." Ainsi parle JérÎme.
- Outre ces tĂ©moignages si convaincants, un examen attentif de notre fragment conduit Ă la mĂȘme conclusion. On n'y retrouve ni le style de Marc ni sa maniĂšre pittoresque et dĂ©taillĂ©e de raconter. Il ne renferme que quelques faits isolĂ©s, Ă peine indiquĂ©s et Ă©videmment empruntes aux autres Ă©vangiles, ainsi que nous le ferons remarquer dans les notes.
- Cependant, si ce morceau n'est pas de Marc, il est certain qu'il remonte à une haute antiquité ; car le plus grand nombre des versions et des manuscrits le renferment, et il était déjà connu d'Irénée, qui en cite un passage. Par ces raisons, plusieurs théologiens de nos jours persistent à attribuer à Marc cette de son évangile. Il est plus probable que, peu aprÚs le temps des apÎtres, une main pieuse voulut achever le récit de Marc et pour cela, consigner ici les principales apparitions de Jésus-Christ ressuscité et son ascension. (Voir les notes critiques de Tischendorf et le Nouveau Testament de Rilliet, à la fin de Marc.)
La simple lecture de ce verset fait sentir que c'est ici le commencement d'un Ă©crit nouveau, et non la continuation du rĂ©cit de Marc par Marc lui-mĂȘme. Celui-ci aurait-il rĂ©pĂ©tĂ© ainsi l'indication du jour et du moment de la rĂ©surrection de JĂ©sus aprĂšs l'avoir racontĂ©e ? (Comparer versets 1,2) Puis n'aurait-il pas rapportĂ© l'apparition de JĂ©sus Ă Marie, de maniĂšre Ă faire suite au verset 8, ce qui n'est point le cas ici ?
- Du reste, cette apparition, admirablement racontée par Jean, (Jean 20.11 et suivants) est simplement rappelée ici. La mention des sept démons dont Jésus avait délivré Marie de Magdala est un souvenir de l'évangile de Luc. (Luc 8.2)
On ne pouvait apporter de meilleure nouvelle aux disciples en larmes, en leur annonçant la résurrection de Christ !
Nous devrions nous appliquer Ă rĂ©conforter les serviteurs de Dieu qui souffrent, en leur contant tout ce que nous avons « vu » spirituellement en Christ. La Providence divine, dans sa sagesse, fit en sorte que les preuves de la rĂ©surrection de Christ furent prĂ©sentĂ©es graduellement et reconnues avec toute la prudence nĂ©cessaire, afin que l'assurance avec laquelle les apĂŽtres prĂȘchĂšrent cette doctrine par la suite, soit indiscutable.
Nous devons avouer que nous acceptons avec rĂ©ticence les diverses consolations que la Parole de Dieu nous offre ! Pour cette raison, pendant que Christ console Son peuple, Il voit souvent qu'il est nĂ©cessaire de le rĂ©primander et de le corriger pour sa duretĂ© de cĆur : bien peu ont en effet confiance en Ses promesses, et n'obĂ©issent pas Ă Ses saints prĂ©ceptes...