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Matthieu 3.7

Et voyant plusieurs des pharisiens et des sadducĂ©ens qui venaient Ă  son baptĂȘme, il leur dit : Race de vipĂšres, qui vous a avertis de fuir la colĂšre qui vient ?
Et voyant plusieurs des pharisiens et des sadducĂ©ens qui venaient Ă  son baptĂȘme, il leur dit : Race de vipĂšres, qui vous a avertis de fuir la colĂšre qui vient ?
Mais 1161, voyant 1492 5631 venir 2064 5740 Ă  1909 son 846 baptĂȘme 908 beaucoup 4183 de pharisiens 5330 et 2532 de sadducĂ©ens 4523, il leur 846 dit 2036 5627 : Races 1081 de vipĂšres 2191, qui 5101 vous 5213 a appris 5263 5656 Ă  fuir 5343 5629 575 la colĂšre 3709 Ă  venir 3195 5723 ?
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      GenĂšse 3

      Psaumes 58

      6 David prie pour que les ennemis de l'église et du peuple de Dieu ne continuent pas à exercer leur méchanceté.

      Nous pouvons, par la foi, prier contre les desseins des ennemis de l'église. Dieu prédit leur ruine. Qui peut connaßtre la force de la colÚre divine ?

      Les victoires de Jésus-Christ ainsi que celles des élus envers les ennemis du salut, procurent une joie qui découle non pas d'une idée de revanche mais d'une vue sur la miséricorde divine, sur la justice, sur la vérité manifestée par la rédemption des élus, la punition des impies et l'accomplissement de Ses promesses. Celui qui considÚre ces éléments en temps voulu va rechercher avec diligence la récompense de sa droiture et aura un esprit de reconnaissance devant cette Providence divine qui régit toutes choses dans les cieux et sur la terre.

      EsaĂŻe 57

      3 Dans ce texte, l'Éternel appelle les apostats et les hypocrites, afin qu'ils comparaissent devant lui. Mais mĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© rĂ©primandĂ©s pour leurs pĂ©chĂ©s, et menacĂ©s de jugement, ces personnes continuĂšrent Ă  ridiculiser la Parole de Dieu.

      Les Juifs, avant leur captivité, étaient coupables d'idolùtrie, mais pas aprÚs. Leur ardeur dans le culte de « faux dieux », devrait exciter notre honte, face à notre manque de zÚle pour adorer le Seigneur ! La pratique continuelle du péché est en fait, un véritable esclavage ; ceux qui nient l'horreur de l'enfer, finiront par y avoir leur place !

      Les hommes privilĂ©gient les religions qui flattent leurs passions ici-bas. Ces mouvements sont alors menĂ©s pour accomplir le mal, mĂȘme sous des apparences trompeuses, leurs auteurs Ă©tant persuadĂ©s que leurs crimes finiront par ĂȘtre considĂ©rĂ©s « sans gravité », mĂȘme s'ils satisfont leur convoitise. Ce genre de dĂ©marche est Ă  l'origine de l'idolĂątrie, du paganisme, de l'antisĂ©mitisme, et des mouvements antichrĂ©tiens. Ceux qui ont procĂ©dĂ© Ă  l'Ă©laboration d'un « faux dieu », en lui vouant leurs attentes et leur confiance, ne connaĂźtront que la ruine.

      Ceux qui abandonnent le « droit chemin » unique, finissent par errer dans d'interminables labyrinthes ! Les plaisirs du péché finissent tÎt ou tard par lasser, ils ne donnent aucune satisfaction durable. Ceux qui méprisent la Parole, et la Providence divine, montrent bien qu'ils n'éprouvent aucune crainte de Dieu, ce qu'ils paieront tÎt ou tard.

      Le péché ne profite en rien ; il ruine et détruit !

      EsaĂŻe 59

      Jérémie 6

      Jérémie 51

      Ezéchiel 3

      Ezéchiel 33

      Matthieu 3

      7 Le rĂŽle de la prĂ©dication est de mettre en application la doctrine divine : tel Ă©tait le but de l’exhortation de Jean.

      Les Pharisiens se souciaient d’abord d’observer et de respecter le cĂŽtĂ© apparent de la piĂ©tĂ©, en nĂ©gligeant les points les plus importants de la loi morale, et la signification spirituelle de leurs cĂ©rĂ©monies lĂ©gales. Certains d'entre eux Ă©taient de dĂ©testables hypocrites, faisant de leurs prĂ©tentions Ă  la saintetĂ©, une parure inique.

      Les sadducĂ©ens avaient une dĂ©marche tout Ă  fait opposĂ©e, niant l'existence des esprits et d’une vie spirituelle future. Ils Ă©taient Ă  cette Ă©poque et dans ce pays, des « infidĂšles » mĂ©prisables.

      Il y a inĂ©luctablement une colĂšre divine Ă  venir. Chacun devrait chercher Ă  la fuir. Dieu, qui ne prend aucun plaisir Ă  notre ruine, nous a avertis Ă  ce sujet ; Il nous prĂ©vient par Sa Parole, par Ses serviteurs, ainsi que par le biais de notre conscience. Ceux qui se disent dĂ©solĂ©s par le constat de leurs pĂ©chĂ©s, et qui cependant, persistent dans leurs voies, ne sont pas dignes d’ĂȘtre appelĂ©s des repentants, et n’ont de ce fait aucun privilĂšge spirituel. Le vĂ©ritable repentant est humble et abaissĂ© Ă  ses propres yeux, reconnaissant pour la moindre misĂ©ricorde qui lui est accordĂ©e, patient lors des afflictions sĂ©vĂšres, vigilant contre toute apparence de pĂ©chĂ©, appliquĂ© dans son devoir, et charitable quant aux jugements de son prochain.

      Ce texte Ă©nonce une parole de prudence : ne pas se baser aveuglĂ©ment sur des privilĂšges extĂ©rieurs acquis. Nous courons un grand danger quand nos cƓurs tentent d’étouffer toute conviction de pĂ©chĂ©, en mettant de cĂŽtĂ© la Puissance rĂ©vĂ©latrice de la Parole de Dieu. On trouve de nombreuses personnes, qui, en se fiant abusivement sur les honneurs et les avantages que peuvent avoir les membres d'une Ă©glise, sont en fait bien loin du ciel...

      Ce texte contient une terrible menace Ă  l’encontre de l'insouciant et de celui qui se croit faussement en sĂ©curitĂ©. Nos cƓurs corrompus ne peuvent, par nature, produire du bon fruit, Ă  moins que l'Esprit rĂ©gĂ©nĂ©rateur de Christ ne greffe en eux la perfection de la Parole de Dieu. Tout arbre, mĂȘme le plus haut, le plus majestueux ou le plus verdoyant, qui ne produit pas de bon fruit, Ă  savoir celui de la repentance, sera abattu et jetĂ© dans le feu de la colĂšre divine, l’endroit le plus propice pour recevoir les « plantes stĂ©riles » : Ă  quoi d'autre pourrait-il servir ? S'il ne fournit aucun fruit, il sera un parfait combustible !

      Jean annonce la venue de Christ, le rÎle et les desseins de ce Dernier : cet avÚnement était imminent.

      Notre comportement et notre apparence extĂ©rieure, ne peuvent aucunement nous rendre purs. Nulle ordonnance, quel qu’en soit l’auteur ou le mode, ne peut supplĂ©er au besoin du baptĂȘme du Saint-Esprit et de feu. Seul le pouvoir purificateur du Saint-Esprit peut produire cette puretĂ© de cƓur et ces « saintes affections » qui accompagnent le salut ! C'est Christ qui baptise de l’Esprit Saint. C'est ce qu'Il a fait ne maniĂšre extraordinaire envers les apĂŽtres, Actes 2:4. C'est ce qu'Il fait aussi dans les grĂąces et les rĂ©conforts octroyĂ©s par l'Esprit, Ă  ceux qui le Lui demandent, Luc 11:13, Jean 7:38,39, Actes 11:16.

      Observons ici que l'Ă©glise des « Gentils » est « l'aire de battage » de Christ, Esa 21:10. Les vĂ©ritables croyants sont comme le blé : substantiel, utile, et prĂ©cieux ; les hypocrites sont comme une balle de paille : lĂ©gers et vides, inutiles et sans valeur, emportĂ©s au loin par le moindre souffle ; le monde est constituĂ© de « bons » et de « mauvais », tous dans le mĂȘme cheminement ; un jour viendra, malgrĂ© tout, oĂč le blĂ© et la paille seront sĂ©parĂ©s...

      Le dernier jugement sera un jour remarquable : les saints et les pécheurs seront séparés pour toujours. Dans le ciel, les saints seront rassemblés, ils ne seront plus jamais disséminés ; ils seront en sécurité, loin de tout danger, séparés de leurs voisins corrompus et esclaves de leurs vaines convoitises.

      L'enfer est un feu inextinguible ; il sera certainement la « part » et la punition des hypocrites et des impies.

      La vie et la mort, le bien et le mal, sont placés devant nous : selon notre conduite ici-bas, « dans le champ », nous serons alors étendus sur « l'aire de battage ».

      Matthieu 5

      Matthieu 12

      Matthieu 15

      Matthieu 16

      Matthieu 22

      15 Les pharisiens envoyÚrent à Jésus leurs disciples, avec les Hérodiens, (un parti parmi les Juifs) ; tous étaient partisans d'une soumission totale à l'empereur romain.

      Bien qu'opposĂ©s l'un Ă  l'autre, ces partis se sont rejoints, pour s’opposer Ă  Christ. Ce qu'ils annonçaient Ă  Son sujet Ă©tait juste ; le savaient ils vraiment ? En tout cas, bĂ©ni soit Dieu, car en ce qui nous concerne nous savons qu’Il est la VĂ©rité !

      Jésus-Christ était un enseignant parfait, Il savait réprouver fermement. Christ a reconnu la méchanceté de ces hommes.

      Quel que soit le masque que revĂȘt l'hypocrite, notre Seigneur JĂ©sus discerne tout. Christ ne s'est pas imposĂ© comme un juge, car Son royaume n'est pas de ce monde, mais Il enjoint la soumission paisible aux pouvoirs qui sont en place.

      Ses adversaires furent blùmés, et Ses disciples enseignÚrent que la religion chrétienne n'est pas l'ennemi du gouvernement civil en place.

      Christ est, et sera toujours, un sujet d’étonnement, non seulement pour Ses amis, mais aussi pour Ses ennemis. Tous admirent Sa Sagesse, mais peu s’y soumettent ; tous reconnaissent Sa puissance, mais peu acceptent de Lui obĂ©ir.

      23 La doctrine de Christ déplut aux sadducéens irréligieux, ainsi qu'aux pharisiens et aux hérodiens. Elle annonçai les grandes vérités de la résurrection et celles d'un Royaume futur, plus qu'elles n'avaient jamais été révélées. Il est vain de chercher à contester systématiquement l'état des choses ici-bas, ni ce qui prendra place dans le futur.

      Que la vĂ©ritĂ© soit claire, et elle apparaĂźtra dans toute sa force ! Ayant ainsi rĂ©duit au silence les incroyants, notre Seigneur a continuĂ© de montrer la vĂ©ritĂ© de la doctrine de la RĂ©surrection, Ă  partir des livres de MoĂŻse. Dieu a dĂ©clarĂ© Ă  MoĂŻse qu’Il Ă©tait le Dieu des patriarches, morts depuis bien longtemps ; ceci montre qu'ils Ă©taient alors capables de jouir de Ses faveurs, et prouve que la doctrine de la rĂ©surrection est clairement enseignĂ©e dans l'Ancien Testament, comme dans le Nouveau. Mais cette doctrine Ă©tait jusqu’alors partiellement masquĂ©e, pour ĂȘtre complĂštement rĂ©vĂ©lĂ©e, aprĂšs la rĂ©surrection de Christ, Celui qui allait ĂȘtre les « prĂ©mices » de ceux qui Ă©taient « endormis ».

      Toute erreur provient de la mĂ©connaissance des Écritures et de la Puissance divine. Dans ce monde, la mort enlĂšve chacun, l'un aprĂšs l'autre ; ainsi se terminent toutes les espĂ©rances terrestres, les joies, les peines, etc.

      Combien sont misĂ©rables ceux qui n’ont aucune espĂ©rance dans l’au-delĂ , une fois dans la tombe !

      34 Un docteur de la loi posa une question Ă  notre Seigneur pour L'Ă©prouver, tant sur Ses connaissances, que sur Son jugement. L'amour pour Dieu est le premier et le plus grand commandement, l’essentiel de la premiĂšre table de la loi.

      Notre amour pour Dieu doit ĂȘtre sincĂšre, il ne doit pas ĂȘtre constituĂ© uniquement de paroles.

      Notre amour sera toujours bien modeste, comparé à celui du Seigneur pour nous ; nous devons en conséquence, engager tous les moyens dont dispose notre ùme pour nous tourner vers Lui, dans la consécration.

      Aimer notre prochain comme nous-mĂȘmes est le deuxiĂšme grand commandement. L’amour du « moi », source des plus grands pĂ©chĂ©s, doit ĂȘtre Ă©touffĂ©, il doit ĂȘtre chassĂ© et mortifié ; il existe, malgrĂ© tout, un amour de notre propre personne, qui rĂ©git le plus grand de nos devoirs : celui de nous prĂ©occuper du salut de notre Ăąme et de notre ĂȘtre.

      Nous devons aimer notre prochain avec la mĂȘme ferveur et la mĂȘme droiture que nous-mĂȘmes ; dans de nombreux cas nous devrions faire abnĂ©gation de nous-mĂȘmes... pour le bien des autres.

      Que ces deux commandements puissent « façonner » nos cƓurs !

      Matthieu 23

      13 Les scribes et les pharisiens étaient des ennemis de l'évangile de Christ, donc, par voie de conséquence, du salut des ùmes.

      Il est mauvais de nous tenir loin de Christ, mais il est encore plus grave d’éloigner les autres de Sa Personne. Il n'est pas rare de voir certaines apparences, ou formes de piĂ©tĂ©, servir de « couverture » aux plus grandes Ă©normitĂ©s. Mais une telle attitude hypocrite sera jugĂ©e deux fois plus sĂ©vĂšrement.

      Ces scribes et Pharisiens cherchaient avant tout Ă  amener le peuple Ă  leur doctrine : ni pour la Gloire de Dieu, ni pour le bien des Ăąmes, mais pour avoir le crĂ©dit et l'avantage d'avoir procĂ©dĂ© Ă  des conversions. Le gain Ă©tant leur « piĂ©té », ils essayaient par mille maniĂšres, de faire de la religion, le moyen de servir leurs intĂ©rĂȘts ici-bas. Ils Ă©taient trĂšs stricts et prĂ©cis, quant aux plus petits dĂ©tails de la loi, mais nĂ©anmoins insouciants et superficiels, quant aux bases les plus importantes.

      Au verset Matthieu 23:24*, Christ ne blĂąme pas le fait d'accuser ceux qui commettent des pĂ©chĂ©s lĂ©gers, ces derniers n’étant en fait que de simples « moucherons », devant ĂȘtre chassĂ©s ; Il rĂ©primande, par contre les mĂȘmes personnes, lorsqu’elles tolĂšrent des fautes graves, engloutissant ainsi, de maniĂšre imagĂ©e, un « chameau ».

      Alors qu'ils paraissaient ĂȘtre des hommes pieux, les scribes et les Pharisiens n'Ă©taient en pratique, ni sobres ni vertueux. Notre aspect rĂ©el n’est en fait que le reflet de notre Ă©tat « intĂ©rieur ». Des apparences peuvent nous donner un cĂŽtĂ© recommandable, alors que notre ĂȘtre reste nĂ©anmoins rĂ©pugnant ; si notre cƓur et notre esprit sont « rĂ©novĂ©s » en Christ, il y aura alors nouveautĂ© de vie ; nous devons commencer par nous examiner nous-mĂȘmes, avant de juger les autres !

      La justice des scribes et des pharisiens n’était symboliquement qu’un ornement funĂ©raire, (verset Matthieu 23:29)*, ou qu’une toilette mortuaire, une simple façade. Les cƓurs qui demeurent sous l’emprise du pĂ©chĂ©, suivent manifestement des « chemins trompeurs », s'imaginant qu'ils se seraient opposĂ©s aux tendances iniques des temps qui les ont prĂ©cĂ©dĂ©s.

      Nous pensons parfois que si nous avions vĂ©cu Ă  l’époque oĂč Christ Ă©tait ici-bas, nous ne L'aurions ni mĂ©prisĂ©, ni repoussĂ©, Ă  l’inverse de ce que firent les scribes et les Pharisiens d'alors ; cependant Christ, dans Son Esprit, comme dans Sa Parole, n’est hĂ©las pas mieux considĂ©rĂ© actuellement, par certains de Ses serviteurs hypocrites...

      Et il est tout Ă  fait normal que Dieu accorde une rĂ©tribution mĂ©ritĂ©e Ă  ceux qui ne cherchent qu’à satisfaire les convoitises de leur cƓur. En fait, Christ rĂ©vĂšle la vĂ©ritable nature du cƓur de l’homme.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Marc 7

      Marc 8

      Marc 12

      13 On pourrait penser que les ennemis de Christ soient désireux de connaßtre quel était leur devoir ; en fait ils espéraient trouver une occasion d'accuser Jésus, quel que soit l'angle sous lequel ce Dernier répondrait à la question qui Lui fut posée dans ce texte.

      Rien n'est plus facile, pour piĂ©ger les serviteurs de Christ, que de les conduire Ă  se mĂȘler ici-bas, des disputes au sujet de la politique. JĂ©sus Ă©vita le piĂšge en se rĂ©fĂ©rant Ă  la soumission que Ses ennemis devaient observer devant la nation, en tant que citoyens : tous ceux qui l'entendirent, furent Ă©merveillĂ©s de la grande sagesse de Sa rĂ©ponse !

      Beaucoup font l'Ă©loge des paroles d'un sermon, mais hĂ©las, ne sont pas respectueux des doctrines qu’il enseigne...

      18 La meilleure protection contre toute erreur relative aux Écritures, consiste Ă  bien connaitre ces derniĂšres : Elles sont la vĂ©ritable « source » de toute vie spirituelle authentique, Elles sont le fondement sur lequel on peut vraiment se baser.

      Dans ce texte, Christ ne rĂ©pond pas directement Ă  l'objection des sadducĂ©ens : ils n’étaient Ă  cette Ă©poque que des moqueurs hypocrites, cherchant Ă  faire valoir leur propre doctrine, sur le devenir de la postĂ©ritĂ©, lors de la rĂ©surrection des morts. La relation entre mari et femme ici-bas, n'existera pas dans le paradis cĂ©leste.

      Il n’est pas Ă©tonnant que nous puissions nous « perdre » dans de vaines erreurs d’interprĂ©tation, lorsque nous imaginons le monde de l’au-delĂ , au travers de ce que nous pouvons en percevoir ici-bas. Il est absurde de penser que le Dieu Tout Puissant puisse ĂȘtre la part et le bonheur d'un homme, qui finisse dans la mort Ă©ternelle : il est donc certain que l'Ăąme d'Abraham existe toujours et agit, bien qu’elle soit pour un temps, sĂ©parĂ©e de son corps.

      Ceux qui nient la rĂ©surrection se trompent gravement, on devrait d’ailleurs les prĂ©venir de leur erreur. Cherchons Ă  « transiter » dans ce monde pĂ©rissable, dans l’espĂ©rance joyeuse d'un bonheur Ă©ternel, et d'une glorieuse rĂ©surrection !

      Luc 3

      Luc 7

      Luc 11

      Luc 16

      Luc 18

      Jean 1

      Jean 7

      Jean 8

      Jean 9

      Actes 4

      1

      Pierre et Jean sont emprisonnés. (Actes 4:1-4)
      Les apÎtres témoignent hardiment pour Christ. (Actes 4:5-14)
      Pierre et Jean témoignent, refusant de se taire. (Actes 4:15-22)
      Les croyants s'unissent dans la priĂšre et dans la louange. (Actes 4:23-31)
      La sainte charité des chrétiens. (Actes 4:32-37)

      Les apĂŽtres prĂȘchaient JĂ©sus, ressuscitĂ© des morts. Toute la joie de la « bonne nouvelle » allait en fait dĂ©pendre de cette rĂ©surrection ; ils ne prĂȘchĂšrent que la Personne de Christ.

      Celui pour qui la gloire du Royaume de Christ est vaine, est vraiment misérable ; il restera dans ce triste état éternellement car la gloire du Seigneur est infinie !

      Les fidĂšles et paisibles serviteurs de Christ, tels les apĂŽtres, furent souvent l'objet de persĂ©cutions dans leur ministĂšre d’amour, alors que certaines personnes belliqueuses Ă©chappĂšrent Ă  tout problĂšme. De nos jours, les exemples ne manquent pas, oĂč l’on rencontre des dĂ©sapprobateurs des Écritures, de la priĂšre en commun, et de la repentance...

      Si nous obéissons aux préceptes de Christ, Il nous soutiendra !

      Actes 5

      17 Il n'y a aucune prison qui ne soit trop sombre ni impĂ©nĂ©trable, pour que Dieu ne puisse y visiter Son peuple, et, s'Il le dĂ©sire, l'en faire sortir. La guĂ©rison d'une maladie, la dĂ©livrance de nos Ă©preuves ne nous sont pas accordĂ©es pour que nous puissions jouir du confort de la vie, mais pour que Dieu puisse en ĂȘtre honorĂ©, et pour que nous Le servions ensuite.

      Les prĂ©dicateurs de l'Évangile n'ont pas Ă  se dissimuler, au contraire, ils doivent profiter de toute opportunitĂ© de prĂȘcher lors de rassemblements. Ils doivent mĂȘme porter la Parole aux plus modestes, leur Ăąme est aussi prĂ©cieuse aux yeux de Christ que celle des plus grands de ce monde ! On doit annoncer l’Évangile Ă  tous, car tous sont concernĂ©s. Il faut tĂ©moigner Ă  ceux qui sont rĂ©solus Ă  entendre l’Évangile, Ă  vivre et mourir pour lui. Il faut porter Ă  tous les paroles de cette vie cĂ©leste et divine, Ă  cĂŽtĂ© de laquelle, la vie prĂ©sente ici-bas est bien terne... Il faut annoncer les paroles de vie, selon l’inspiration du Saint-Esprit. La parole de l'Évangile est la vie ; par elle, nous pouvons ĂȘtre sauvĂ©s !

      Ceux qui sont mĂ©contents du succĂšs de l'Évangile sont bien misĂ©rables ! Ils ne peuvent que constater que la Parole et la Puissance du Seigneur sont contre eux ; ils tremblent en pensant aux consĂ©quences de cette antipathie, mais cependant, ils continuent dans leur triste obstination...

      Actes 15

      Actes 20

      Actes 23

      6 Les pharisiens respectaient Ă  la lettre, la loi de l'Ă©glise juive naissante. Les sadducĂ©ens, de leur cĂŽtĂ©, n'admettaient pas en totalitĂ© la vĂ©racitĂ© de l'Écriture ou de la rĂ©vĂ©lation divine ; ils niaient toute existence d’un royaume divin ; ils n'avaient ni espĂ©rance d'un bonheur Ă©ternel, ni crainte d'un chĂątiment futur.

      Quand Paul fut interrogĂ© pour savoir pourquoi il Ă©tait devenu chrĂ©tien, il put rĂ©pondre que c'Ă©tait vraiment pour vivre avec l'espĂ©rance de la rĂ©surrection des morts. Le fait de confesser sa foi aurait dĂ» empĂȘcher les pharisiens de l’attaquer et aurait dĂ» permettre que l’apĂŽtre soit protĂ©gĂ© de toute violence illicite.

      Qu’il est simple pour Dieu de dĂ©fendre Sa propre cause ! Bien que les Juifs semblaient ĂȘtre dans un parfait accord de conspiration contre la religion, ils Ă©taient cependant dĂ©stabilisĂ©s par divers motifs d’interprĂ©tations diffĂ©rentes de la Loi.

      On ne peut trouver de rĂ©elle entente d’amitiĂ© parmi les mĂ©chants, et parfois, Dieu peut trĂšs facilement transformer leur union temporaire en une franche inimitiĂ©.

      Les consolations divines fortifiĂšrent et gardĂšrent Paul ; le tribun, dirigeant de la troupe, le soustrait aux mains de ses cruels accusateurs, sans connaĂźtre rĂ©ellement l‘exactitude des faits.

      Nous ne devons pas avoir peur de ceux qui s’opposent Ă  nous, tant que le Seigneur nous ouvre la voie. Christ dĂ©sire que Ses serviteurs, ceux qui Lui sont fidĂšles, soient toujours heureux. Paul pouvait rĂ©ellement penser qu'il ne verrait jamais Rome ; mais Dieu annonça que le vƓu de l’apĂŽtre lui serait accordĂ©, pour l'honneur de Christ, et pour pratiquer le bien.

      Actes 26

      Romains 1

      18 L'apĂŽtre commence par montrer que toute l'humanitĂ© a besoin du salut annoncĂ© par l'Évangile, car nul ne peut obtenir la faveur de Dieu, ni Ă©chapper Ă  Son courroux, par ses propres Ɠuvres. Aucun homme ne peut se dĂ©fendre de la culpabilitĂ© de son pĂ©chĂ© en prĂ©textant qu'il a accompli toutes ses obligations envers Dieu et son prochain ; nul ne peut vraiment prĂ©tendre qu'il s’est totalement soumis Ă  la LumiĂšre spirituelle qui lui a Ă©tĂ© manifestĂ©e.

      La culpabilitĂ© de l'homme est dĂ©crite dans ce texte, comme Ă©tant similaire Ă  l’impiĂ©tĂ© ou Ă  l'incrĂ©dulitĂ©, Ă  l’égard des tables de la loi ; cette culpabilitĂ© est une vĂ©ritable iniquitĂ©, un manque de respect des ordonnances de l’Évangile. Elle consiste Ă  mĂȘler la VĂ©ritĂ© Ă  la perversitĂ©.

      Tous les hommes pratiquent, dans une certaine mesure, les Ɠuvres qu'ils savent ĂȘtre mauvaises, ils nĂ©gligent plus ou moins la droiture ; ils sont donc inexcusables. Le pouvoir de notre CrĂ©ateur et Sa DivinitĂ© sont si clairement dĂ©montrĂ©s dans Ses Ɠuvres, que mĂȘme les paĂŻens et les idolĂątres sont sans excuse !

      Beaucoup ont suivi sottement l'idolĂątrie ; nombre de personnes ici-bas se sont dĂ©tournĂ©es de l'adoration du CrĂ©ateur, plein de Gloire, pour se consacrer Ă  celle de certains animaux, comme les reptiles, et a des images sans vie... Elles se sont Ă©loignĂ©es de Dieu, jusqu'Ă  ce que toute trace de vĂ©ritable religion en eux disparaisse ; en fait, elles n'avaient pas de rĂ©vĂ©lation authentique de l'Évangile en leur cƓur pour les en dĂ©tourner...

      Beaucoup ont prĂ©tendu que la raison de l'homme Ă©tait capable de dĂ©couvrir Ă  elle seule, la VĂ©ritĂ© divine et l'obligation morale, voire, de gouverner correctement un pays : ces dĂ©clarations ne peuvent ĂȘtre niĂ©es. Cela montre clairement que les hommes ont dĂ©shonorĂ© Dieu par des idolĂątries et des superstitions, plus absurdes les une que les autres ; ils se sont souillĂ©s par les affections les plus viles et les actions les plus abominables.

      Romains 5

      1 Thessaloniciens 1

      2 Thessaloniciens 1

      Hébreux 6

      Hébreux 11

      1 Jean 3

      Apocalypse 6

      Apocalypse 12

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