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Matthieu 3.7

Et voyant plusieurs des pharisiens et des sadducéens qui venaient à son baptême, il leur dit : Race de vipères, qui vous a avertis de fuir la colère qui vient ?
Mais voyant plusieurs des Pharisiens et des Saducéens venir à son baptême, il leur dit : race de vipères, qui vous a avertis de fuir la colère à venir ?
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      Genèse 3

      Psaumes 58

      6 David prie pour que les ennemis de l'église et du peuple de Dieu ne continuent pas à exercer leur méchanceté.

      Nous pouvons, par la foi, prier contre les desseins des ennemis de l'église. Dieu prédit leur ruine. Qui peut connaître la force de la colère divine ?

      Les victoires de Jésus-Christ ainsi que celles des élus envers les ennemis du salut, procurent une joie qui découle non pas d'une idée de revanche mais d'une vue sur la miséricorde divine, sur la justice, sur la vérité manifestée par la rédemption des élus, la punition des impies et l'accomplissement de Ses promesses. Celui qui considère ces éléments en temps voulu va rechercher avec diligence la récompense de sa droiture et aura un esprit de reconnaissance devant cette Providence divine qui régit toutes choses dans les cieux et sur la terre.

      Esaïe 57

      3 Dans ce texte, l'Éternel appelle les apostats et les hypocrites, afin qu'ils comparaissent devant lui. Mais même après avoir été réprimandés pour leurs péchés, et menacés de jugement, ces personnes continuèrent à ridiculiser la Parole de Dieu.

      Les Juifs, avant leur captivité, étaient coupables d'idolâtrie, mais pas après. Leur ardeur dans le culte de « faux dieux », devrait exciter notre honte, face à notre manque de zèle pour adorer le Seigneur ! La pratique continuelle du péché est en fait, un véritable esclavage ; ceux qui nient l'horreur de l'enfer, finiront par y avoir leur place !

      Les hommes privilégient les religions qui flattent leurs passions ici-bas. Ces mouvements sont alors menés pour accomplir le mal, même sous des apparences trompeuses, leurs auteurs étant persuadés que leurs crimes finiront par être considérés « sans gravité », même s'ils satisfont leur convoitise. Ce genre de démarche est à l'origine de l'idolâtrie, du paganisme, de l'antisémitisme, et des mouvements antichrétiens. Ceux qui ont procédé à l'élaboration d'un « faux dieu », en lui vouant leurs attentes et leur confiance, ne connaîtront que la ruine.

      Ceux qui abandonnent le « droit chemin » unique, finissent par errer dans d'interminables labyrinthes ! Les plaisirs du péché finissent tôt ou tard par lasser, ils ne donnent aucune satisfaction durable. Ceux qui méprisent la Parole, et la Providence divine, montrent bien qu'ils n'éprouvent aucune crainte de Dieu, ce qu'ils paieront tôt ou tard.

      Le péché ne profite en rien ; il ruine et détruit !

      Esaïe 59

      Jérémie 6

      Jérémie 51

      Ezéchiel 3

      Ezéchiel 33

      Matthieu 3

      7 Le rôle de la prédication est de mettre en application la doctrine divine : tel était le but de l’exhortation de Jean.

      Les Pharisiens se souciaient d’abord d’observer et de respecter le côté apparent de la piété, en négligeant les points les plus importants de la loi morale, et la signification spirituelle de leurs cérémonies légales. Certains d'entre eux étaient de détestables hypocrites, faisant de leurs prétentions à la sainteté, une parure inique.

      Les sadducéens avaient une démarche tout à fait opposée, niant l'existence des esprits et d’une vie spirituelle future. Ils étaient à cette époque et dans ce pays, des « infidèles » méprisables.

      Il y a inéluctablement une colère divine à venir. Chacun devrait chercher à la fuir. Dieu, qui ne prend aucun plaisir à notre ruine, nous a avertis à ce sujet ; Il nous prévient par Sa Parole, par Ses serviteurs, ainsi que par le biais de notre conscience. Ceux qui se disent désolés par le constat de leurs péchés, et qui cependant, persistent dans leurs voies, ne sont pas dignes d’être appelés des repentants, et n’ont de ce fait aucun privilège spirituel. Le véritable repentant est humble et abaissé à ses propres yeux, reconnaissant pour la moindre miséricorde qui lui est accordée, patient lors des afflictions sévères, vigilant contre toute apparence de péché, appliqué dans son devoir, et charitable quant aux jugements de son prochain.

      Ce texte énonce une parole de prudence : ne pas se baser aveuglément sur des privilèges extérieurs acquis. Nous courons un grand danger quand nos cœurs tentent d’étouffer toute conviction de péché, en mettant de côté la Puissance révélatrice de la Parole de Dieu. On trouve de nombreuses personnes, qui, en se fiant abusivement sur les honneurs et les avantages que peuvent avoir les membres d'une église, sont en fait bien loin du ciel...

      Ce texte contient une terrible menace à l’encontre de l'insouciant et de celui qui se croit faussement en sécurité. Nos cœurs corrompus ne peuvent, par nature, produire du bon fruit, à moins que l'Esprit régénérateur de Christ ne greffe en eux la perfection de la Parole de Dieu. Tout arbre, même le plus haut, le plus majestueux ou le plus verdoyant, qui ne produit pas de bon fruit, à savoir celui de la repentance, sera abattu et jeté dans le feu de la colère divine, l’endroit le plus propice pour recevoir les « plantes stériles » : à quoi d'autre pourrait-il servir ? S'il ne fournit aucun fruit, il sera un parfait combustible !

      Jean annonce la venue de Christ, le rôle et les desseins de ce Dernier : cet avènement était imminent.

      Notre comportement et notre apparence extérieure, ne peuvent aucunement nous rendre purs. Nulle ordonnance, quel qu’en soit l’auteur ou le mode, ne peut suppléer au besoin du baptême du Saint-Esprit et de feu. Seul le pouvoir purificateur du Saint-Esprit peut produire cette pureté de cœur et ces « saintes affections » qui accompagnent le salut ! C'est Christ qui baptise de l’Esprit Saint. C'est ce qu'Il a fait ne manière extraordinaire envers les apôtres, Actes 2:4. C'est ce qu'Il fait aussi dans les grâces et les réconforts octroyés par l'Esprit, à ceux qui le Lui demandent, Luc 11:13, Jean 7:38,39, Actes 11:16.

      Observons ici que l'église des « Gentils » est « l'aire de battage » de Christ, Esa 21:10. Les véritables croyants sont comme le blé : substantiel, utile, et précieux ; les hypocrites sont comme une balle de paille : légers et vides, inutiles et sans valeur, emportés au loin par le moindre souffle ; le monde est constitué de « bons » et de « mauvais », tous dans le même cheminement ; un jour viendra, malgré tout, où le blé et la paille seront séparés...

      Le dernier jugement sera un jour remarquable : les saints et les pécheurs seront séparés pour toujours. Dans le ciel, les saints seront rassemblés, ils ne seront plus jamais disséminés ; ils seront en sécurité, loin de tout danger, séparés de leurs voisins corrompus et esclaves de leurs vaines convoitises.

      L'enfer est un feu inextinguible ; il sera certainement la « part » et la punition des hypocrites et des impies.

      La vie et la mort, le bien et le mal, sont placés devant nous : selon notre conduite ici-bas, « dans le champ », nous serons alors étendus sur « l'aire de battage ».

      Matthieu 5

      Matthieu 12

      Matthieu 15

      Matthieu 16

      Matthieu 22

      15 Les pharisiens envoyèrent à Jésus leurs disciples, avec les Hérodiens, (un parti parmi les Juifs) ; tous étaient partisans d'une soumission totale à l'empereur romain.

      Bien qu'opposés l'un à l'autre, ces partis se sont rejoints, pour s’opposer à Christ. Ce qu'ils annonçaient à Son sujet était juste ; le savaient ils vraiment ? En tout cas, béni soit Dieu, car en ce qui nous concerne nous savons qu’Il est la Vérité !

      Jésus-Christ était un enseignant parfait, Il savait réprouver fermement. Christ a reconnu la méchanceté de ces hommes.

      Quel que soit le masque que revêt l'hypocrite, notre Seigneur Jésus discerne tout. Christ ne s'est pas imposé comme un juge, car Son royaume n'est pas de ce monde, mais Il enjoint la soumission paisible aux pouvoirs qui sont en place.

      Ses adversaires furent blâmés, et Ses disciples enseignèrent que la religion chrétienne n'est pas l'ennemi du gouvernement civil en place.

      Christ est, et sera toujours, un sujet d’étonnement, non seulement pour Ses amis, mais aussi pour Ses ennemis. Tous admirent Sa Sagesse, mais peu s’y soumettent ; tous reconnaissent Sa puissance, mais peu acceptent de Lui obéir.

      23 La doctrine de Christ déplut aux sadducéens irréligieux, ainsi qu'aux pharisiens et aux hérodiens. Elle annonçai les grandes vérités de la résurrection et celles d'un Royaume futur, plus qu'elles n'avaient jamais été révélées. Il est vain de chercher à contester systématiquement l'état des choses ici-bas, ni ce qui prendra place dans le futur.

      Que la vérité soit claire, et elle apparaîtra dans toute sa force ! Ayant ainsi réduit au silence les incroyants, notre Seigneur a continué de montrer la vérité de la doctrine de la Résurrection, à partir des livres de Moïse. Dieu a déclaré à Moïse qu’Il était le Dieu des patriarches, morts depuis bien longtemps ; ceci montre qu'ils étaient alors capables de jouir de Ses faveurs, et prouve que la doctrine de la résurrection est clairement enseignée dans l'Ancien Testament, comme dans le Nouveau. Mais cette doctrine était jusqu’alors partiellement masquée, pour être complètement révélée, après la résurrection de Christ, Celui qui allait être les « prémices » de ceux qui étaient « endormis ».

      Toute erreur provient de la méconnaissance des Écritures et de la Puissance divine. Dans ce monde, la mort enlève chacun, l'un après l'autre ; ainsi se terminent toutes les espérances terrestres, les joies, les peines, etc.

      Combien sont misérables ceux qui n’ont aucune espérance dans l’au-delà, une fois dans la tombe !

      34 Un docteur de la loi posa une question à notre Seigneur pour L'éprouver, tant sur Ses connaissances, que sur Son jugement. L'amour pour Dieu est le premier et le plus grand commandement, l’essentiel de la première table de la loi.

      Notre amour pour Dieu doit être sincère, il ne doit pas être constitué uniquement de paroles.

      Notre amour sera toujours bien modeste, comparé à celui du Seigneur pour nous ; nous devons en conséquence, engager tous les moyens dont dispose notre âme pour nous tourner vers Lui, dans la consécration.

      Aimer notre prochain comme nous-mêmes est le deuxième grand commandement. L’amour du « moi », source des plus grands péchés, doit être étouffé, il doit être chassé et mortifié ; il existe, malgré tout, un amour de notre propre personne, qui régit le plus grand de nos devoirs : celui de nous préoccuper du salut de notre âme et de notre être.

      Nous devons aimer notre prochain avec la même ferveur et la même droiture que nous-mêmes ; dans de nombreux cas nous devrions faire abnégation de nous-mêmes... pour le bien des autres.

      Que ces deux commandements puissent « façonner » nos cœurs !

      Matthieu 23

      13 Les scribes et les pharisiens étaient des ennemis de l'évangile de Christ, donc, par voie de conséquence, du salut des âmes.

      Il est mauvais de nous tenir loin de Christ, mais il est encore plus grave d’éloigner les autres de Sa Personne. Il n'est pas rare de voir certaines apparences, ou formes de piété, servir de « couverture » aux plus grandes énormités. Mais une telle attitude hypocrite sera jugée deux fois plus sévèrement.

      Ces scribes et Pharisiens cherchaient avant tout à amener le peuple à leur doctrine : ni pour la Gloire de Dieu, ni pour le bien des âmes, mais pour avoir le crédit et l'avantage d'avoir procédé à des conversions. Le gain étant leur « piété », ils essayaient par mille manières, de faire de la religion, le moyen de servir leurs intérêts ici-bas. Ils étaient très stricts et précis, quant aux plus petits détails de la loi, mais néanmoins insouciants et superficiels, quant aux bases les plus importantes.

      Au verset Matthieu 23:24*, Christ ne blâme pas le fait d'accuser ceux qui commettent des péchés légers, ces derniers n’étant en fait que de simples « moucherons », devant être chassés ; Il réprimande, par contre les mêmes personnes, lorsqu’elles tolèrent des fautes graves, engloutissant ainsi, de manière imagée, un « chameau ».

      Alors qu'ils paraissaient être des hommes pieux, les scribes et les Pharisiens n'étaient en pratique, ni sobres ni vertueux. Notre aspect réel n’est en fait que le reflet de notre état « intérieur ». Des apparences peuvent nous donner un côté recommandable, alors que notre être reste néanmoins répugnant ; si notre cœur et notre esprit sont « rénovés » en Christ, il y aura alors nouveauté de vie ; nous devons commencer par nous examiner nous-mêmes, avant de juger les autres !

      La justice des scribes et des pharisiens n’était symboliquement qu’un ornement funéraire, (verset Matthieu 23:29)*, ou qu’une toilette mortuaire, une simple façade. Les cœurs qui demeurent sous l’emprise du péché, suivent manifestement des « chemins trompeurs », s'imaginant qu'ils se seraient opposés aux tendances iniques des temps qui les ont précédés.

      Nous pensons parfois que si nous avions vécu à l’époque où Christ était ici-bas, nous ne L'aurions ni méprisé, ni repoussé, à l’inverse de ce que firent les scribes et les Pharisiens d'alors ; cependant Christ, dans Son Esprit, comme dans Sa Parole, n’est hélas pas mieux considéré actuellement, par certains de Ses serviteurs hypocrites...

      Et il est tout à fait normal que Dieu accorde une rétribution méritée à ceux qui ne cherchent qu’à satisfaire les convoitises de leur cœur. En fait, Christ révèle la véritable nature du cœur de l’homme.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Marc 7

      Marc 8

      Marc 12

      13 On pourrait penser que les ennemis de Christ soient désireux de connaître quel était leur devoir ; en fait ils espéraient trouver une occasion d'accuser Jésus, quel que soit l'angle sous lequel ce Dernier répondrait à la question qui Lui fut posée dans ce texte.

      Rien n'est plus facile, pour piéger les serviteurs de Christ, que de les conduire à se mêler ici-bas, des disputes au sujet de la politique. Jésus évita le piège en se référant à la soumission que Ses ennemis devaient observer devant la nation, en tant que citoyens : tous ceux qui l'entendirent, furent émerveillés de la grande sagesse de Sa réponse !

      Beaucoup font l'éloge des paroles d'un sermon, mais hélas, ne sont pas respectueux des doctrines qu’il enseigne...

      18 La meilleure protection contre toute erreur relative aux Écritures, consiste à bien connaitre ces dernières : Elles sont la véritable « source » de toute vie spirituelle authentique, Elles sont le fondement sur lequel on peut vraiment se baser.

      Dans ce texte, Christ ne répond pas directement à l'objection des sadducéens : ils n’étaient à cette époque que des moqueurs hypocrites, cherchant à faire valoir leur propre doctrine, sur le devenir de la postérité, lors de la résurrection des morts. La relation entre mari et femme ici-bas, n'existera pas dans le paradis céleste.

      Il n’est pas étonnant que nous puissions nous « perdre » dans de vaines erreurs d’interprétation, lorsque nous imaginons le monde de l’au-delà, au travers de ce que nous pouvons en percevoir ici-bas. Il est absurde de penser que le Dieu Tout Puissant puisse être la part et le bonheur d'un homme, qui finisse dans la mort éternelle : il est donc certain que l'âme d'Abraham existe toujours et agit, bien qu’elle soit pour un temps, séparée de son corps.

      Ceux qui nient la résurrection se trompent gravement, on devrait d’ailleurs les prévenir de leur erreur. Cherchons à « transiter » dans ce monde périssable, dans l’espérance joyeuse d'un bonheur éternel, et d'une glorieuse résurrection !

      Luc 3

      Luc 7

      Luc 11

      Luc 16

      Luc 18

      Jean 1

      Jean 7

      Jean 8

      Jean 9

      Actes 4

      1

      Pierre et Jean sont emprisonnés. (Actes 4:1-4)
      Les apôtres témoignent hardiment pour Christ. (Actes 4:5-14)
      Pierre et Jean témoignent, refusant de se taire. (Actes 4:15-22)
      Les croyants s'unissent dans la prière et dans la louange. (Actes 4:23-31)
      La sainte charité des chrétiens. (Actes 4:32-37)

      Les apôtres prêchaient Jésus, ressuscité des morts. Toute la joie de la « bonne nouvelle » allait en fait dépendre de cette résurrection ; ils ne prêchèrent que la Personne de Christ.

      Celui pour qui la gloire du Royaume de Christ est vaine, est vraiment misérable ; il restera dans ce triste état éternellement car la gloire du Seigneur est infinie !

      Les fidèles et paisibles serviteurs de Christ, tels les apôtres, furent souvent l'objet de persécutions dans leur ministère d’amour, alors que certaines personnes belliqueuses échappèrent à tout problème. De nos jours, les exemples ne manquent pas, où l’on rencontre des désapprobateurs des Écritures, de la prière en commun, et de la repentance...

      Si nous obéissons aux préceptes de Christ, Il nous soutiendra !

      Actes 5

      17 Il n'y a aucune prison qui ne soit trop sombre ni impénétrable, pour que Dieu ne puisse y visiter Son peuple, et, s'Il le désire, l'en faire sortir. La guérison d'une maladie, la délivrance de nos épreuves ne nous sont pas accordées pour que nous puissions jouir du confort de la vie, mais pour que Dieu puisse en être honoré, et pour que nous Le servions ensuite.

      Les prédicateurs de l'Évangile n'ont pas à se dissimuler, au contraire, ils doivent profiter de toute opportunité de prêcher lors de rassemblements. Ils doivent même porter la Parole aux plus modestes, leur âme est aussi précieuse aux yeux de Christ que celle des plus grands de ce monde ! On doit annoncer l’Évangile à tous, car tous sont concernés. Il faut témoigner à ceux qui sont résolus à entendre l’Évangile, à vivre et mourir pour lui. Il faut porter à tous les paroles de cette vie céleste et divine, à côté de laquelle, la vie présente ici-bas est bien terne... Il faut annoncer les paroles de vie, selon l’inspiration du Saint-Esprit. La parole de l'Évangile est la vie ; par elle, nous pouvons être sauvés !

      Ceux qui sont mécontents du succès de l'Évangile sont bien misérables ! Ils ne peuvent que constater que la Parole et la Puissance du Seigneur sont contre eux ; ils tremblent en pensant aux conséquences de cette antipathie, mais cependant, ils continuent dans leur triste obstination...

      Actes 15

      Actes 20

      Actes 23

      6 Les pharisiens respectaient à la lettre, la loi de l'église juive naissante. Les sadducéens, de leur côté, n'admettaient pas en totalité la véracité de l'Écriture ou de la révélation divine ; ils niaient toute existence d’un royaume divin ; ils n'avaient ni espérance d'un bonheur éternel, ni crainte d'un châtiment futur.

      Quand Paul fut interrogé pour savoir pourquoi il était devenu chrétien, il put répondre que c'était vraiment pour vivre avec l'espérance de la résurrection des morts. Le fait de confesser sa foi aurait dû empêcher les pharisiens de l’attaquer et aurait dû permettre que l’apôtre soit protégé de toute violence illicite.

      Qu’il est simple pour Dieu de défendre Sa propre cause ! Bien que les Juifs semblaient être dans un parfait accord de conspiration contre la religion, ils étaient cependant déstabilisés par divers motifs d’interprétations différentes de la Loi.

      On ne peut trouver de réelle entente d’amitié parmi les méchants, et parfois, Dieu peut très facilement transformer leur union temporaire en une franche inimitié.

      Les consolations divines fortifièrent et gardèrent Paul ; le tribun, dirigeant de la troupe, le soustrait aux mains de ses cruels accusateurs, sans connaître réellement l‘exactitude des faits.

      Nous ne devons pas avoir peur de ceux qui s’opposent à nous, tant que le Seigneur nous ouvre la voie. Christ désire que Ses serviteurs, ceux qui Lui sont fidèles, soient toujours heureux. Paul pouvait réellement penser qu'il ne verrait jamais Rome ; mais Dieu annonça que le vœu de l’apôtre lui serait accordé, pour l'honneur de Christ, et pour pratiquer le bien.

      Actes 26

      Romains 1

      18 L'apôtre commence par montrer que toute l'humanité a besoin du salut annoncé par l'Évangile, car nul ne peut obtenir la faveur de Dieu, ni échapper à Son courroux, par ses propres œuvres. Aucun homme ne peut se défendre de la culpabilité de son péché en prétextant qu'il a accompli toutes ses obligations envers Dieu et son prochain ; nul ne peut vraiment prétendre qu'il s’est totalement soumis à la Lumière spirituelle qui lui a été manifestée.

      La culpabilité de l'homme est décrite dans ce texte, comme étant similaire à l’impiété ou à l'incrédulité, à l’égard des tables de la loi ; cette culpabilité est une véritable iniquité, un manque de respect des ordonnances de l’Évangile. Elle consiste à mêler la Vérité à la perversité.

      Tous les hommes pratiquent, dans une certaine mesure, les œuvres qu'ils savent être mauvaises, ils négligent plus ou moins la droiture ; ils sont donc inexcusables. Le pouvoir de notre Créateur et Sa Divinité sont si clairement démontrés dans Ses œuvres, que même les païens et les idolâtres sont sans excuse !

      Beaucoup ont suivi sottement l'idolâtrie ; nombre de personnes ici-bas se sont détournées de l'adoration du Créateur, plein de Gloire, pour se consacrer à celle de certains animaux, comme les reptiles, et a des images sans vie... Elles se sont éloignées de Dieu, jusqu'à ce que toute trace de véritable religion en eux disparaisse ; en fait, elles n'avaient pas de révélation authentique de l'Évangile en leur cœur pour les en détourner...

      Beaucoup ont prétendu que la raison de l'homme était capable de découvrir à elle seule, la Vérité divine et l'obligation morale, voire, de gouverner correctement un pays : ces déclarations ne peuvent être niées. Cela montre clairement que les hommes ont déshonoré Dieu par des idolâtries et des superstitions, plus absurdes les une que les autres ; ils se sont souillés par les affections les plus viles et les actions les plus abominables.

      Romains 5

      1 Thessaloniciens 1

      2 Thessaloniciens 1

      Hébreux 6

      Hébreux 11

      1 Jean 3

      Apocalypse 6

      Apocalypse 12

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