ParamĂštres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci Ă  Bibles et Publications ChrĂ©tiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Matthieu 7.24

Quiconque entend donc ces paroles que je dis, et les met en pratique, je le comparerai à l'homme prudent qui a bùti sa maison sur la roche ;

» C'est pourquoi, toute personne qui entend ces paroles que je dis et les met en pratique, je la comparerai à un homme prudent qui a construit sa maison sur le rocher.
"Everyone therefore who hears these words of mine, and does them, I will liken him to a wise man, who built his house on a rock.
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidĂ©os ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Job 28

      Psaumes 111

      Psaumes 119

      Proverbes 10

      Proverbes 14

      Matthieu 5

      3 Notre Sauveur donne ici huit catĂ©gories de personnes, Ă  mĂȘme de recevoir des bĂ©nĂ©dictions ; ces derniĂšres nous sont directement applicables, en tant que chrĂ©tiens.

      1. Heureux les « pauvres en esprit ». Ils adaptent leur mentalité à leur modeste condition. Ils sont humbles et vivent dans la simplicité. Ils connaissent leurs différents besoins, ils pleurent sur leur culpabilité, et ont « soif » d'un Rédempteur. Le Royaume de la Grùce est pour de telles personnes ; le Royaume de Gloire est pour eux !

      2. Heureux ceux qui pleurent. Il semble qu'il s'agisse ici d’un chagrin issu de la piĂ©tĂ©, celui qui produit la vĂ©ritable repentance, la vigilance vis-Ă -vis du mal, un esprit contrit, une dĂ©pendance continuelle Ă  la misĂ©ricorde de Dieu, en JĂ©sus-Christ, avec une recherche constante du Saint-Esprit, et de la sanctification. Le ciel est la joie de notre Seigneur ; une montagne de joie, vers laquelle nous conduit notre chemin Ă  travers une vallĂ©e de larmes. Ceux qui sont ainsi affligĂ©s seront consolĂ©s par « leur » Dieu !

      3. Heureux ceux qui sont pleins de douceur. Les doux, les dĂ©bonnaires, sont ceux qui se soumettent en toute quiĂ©tude Ă  Dieu ; ils peuvent supporter l'insulte : ils restent silencieux, ou rĂ©pliquent par une rĂ©ponse pleine de douceur ; ils savent, dans leur patience, garder leur Ăąme, alors qu’ils ne savent garder d’autres choses qu’avec peine. Ces dĂ©bonnaires sont heureux, mĂȘme ici-bas. La douceur de caractĂšre amĂšne la richesse, le rĂ©confort, et la sĂ©curitĂ©, mĂȘme en ce monde !

      4. Heureux ceux qui ont faim et soif de justice. Le terme « justice » concerne ici toutes les bĂ©nĂ©dictions spirituelles. Celles-ci sont acquises pour nous, par la Justice de Christ, confirmĂ©es par la fidĂ©litĂ© de Dieu. Nos dĂ©sirs de bĂ©nĂ©dictions spirituelles doivent ĂȘtre fervents. Bien que tous les dĂ©sirs d’obtention de la GrĂące ne soient pas perçu en tant que tels par le « monde », ils permettent de voir la Gloire de Dieu, car Il ne nous abandonnera pas, nous qui sommes l'Ɠuvre de Ses propres mains !

      5. Heureux les miséricordieux. Nous devons non seulement supporter patiemment nos propres afflictions, mais nous devons aussi faire tout notre possible pour aider ceux qui sont dans la misÚre. Nous devons avoir compassion pour les ùmes de ceux qui nous entourent, nous devons les aider ; nous devons éprouver de la pitié envers ceux qui pratiquent le péché, et chercher à les extirper de ce « feu dévorant ».

      6. Heureux ceux qui ont le cƓur pur, car ils verront Dieu. La saintetĂ© et le bonheur sont ici mentionnĂ©s : ils forment un tout. Le cƓur doit ĂȘtre purifiĂ© par la foi, et consacrĂ© Ă  Dieu : « crĂ©e en moi un tel cƓur pur, ĂŽ Dieu ». Nul, s’il n’est pas pur, n'est capable de discerner Dieu, et le ciel ne peut ĂȘtre le lieu de fĂ©licitĂ© des impurs. Dieu ne pouvant pas supporter l’iniquitĂ© des hommes, ces derniers sont incapables de voir Sa puretĂ©.

      7. Heureux ceux qui procurent la paix. Ils l’aiment, ils la dĂ©sirent, et se plaisent en elle ; ils recherchent la tranquillitĂ©. Ils gardent la paix lorsqu'elle n'est pas brisĂ©e, et travaillent Ă  son rĂ©tablissement lorsqu'elle est rompue. Si ces « pacificateurs » sont bĂ©nis, malheur Ă  ceux qui la rompent !

      8. Heureux ceux qui sont persĂ©cutĂ©s pour la justice. Cette parole est propre au Christianisme : elle est particuliĂšrement soulignĂ©e, plus que le reste du texte. MalgrĂ© tout, rien dans nos souffrances ne nous permet de mĂ©riter quoi que ce soit, de la part de Dieu ; mais ce Dernier pourvoira de Sa GrĂące, ceux qui perdent tout pour Lui, mĂȘme leur vie ; en fin de compte, Il ne les dĂ©laissera jamais !

      BĂ©ni soit JĂ©sus ! Combien ces enseignements sont diffĂ©rents de ceux des hommes, qui profĂšrent que l'orgueilleux est heureux et qui admirent celui qui est gai, riche, puissant, et victorieux. Puissions-nous trouver la MisĂ©ricorde auprĂšs du Seigneur ; puissions-nous ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme Ses enfants, hĂ©ritiers de Son Royaume. ArmĂ©s de ces joies et de cette espĂ©rance, nous pouvons affronter en toute sĂ©rĂ©nitĂ© les circonstances les plus douloureuses de l’existence !

      Matthieu 6

      19 L'esprit « du monde » est la manifestation classique, mais hélas fatale, de l'hypocrisie ; par nul autre péché, Satan ne peut avoir un contrÎle plus déterminé et plus négatif sur l'ùme, sous une apparente piété de cette derniÚre. Cette ùme, quant à elle, considérera que toutes choses vont pour le mieux, éprouvant par ce fait, du plaisir et une certaine paix, surpassant tout.

      Les instructions formulĂ©es par Christ sont Ă  l’origine de nombreuses joies, surtout quand il s’agit des perspectives concernant l’au-delĂ , perspectives aujourd’hui encore invisibles, mais nĂ©anmoins Ă©ternelles, en lesquelles nous devons placer notre espĂ©rance.

      Il y a des trĂ©sors dans le ciel. Il n’y a pas de plus grande sagesse que d’accorder toute notre attention Ă  notre assurance pour la vie Ă©ternelle, au travers de JĂ©sus-Christ, n’étant que des « spectateurs » en ce qui concerne toutes choses ici-bas, les considĂ©rant comme n’étant pas dignes d'ĂȘtre comparĂ©es Ă  notre Sauveur, et rejetant tout ce qui nous Ă©loigne de ce Dernier. MalgrĂ© les alĂ©as de ce monde, nous avons l’espĂ©rance de disposer d'un hĂ©ritage incorruptible dans les cieux !

      L'homme du monde a des raisonnements basiques qui sont vains ; en consĂ©quence, tout ce qui en dĂ©coule ne peut ĂȘtre qu’erronĂ©. Ceci s'applique Ă©galement Ă  la fausse piĂ©té : ce qui n'est pas la lumiĂšre spirituelle authentique n'est que tĂ©nĂšbres Ă©paisses. C’est un constat terrible, mais nĂ©anmoins frĂ©quent ; nous devons donc nous examiner nous-mĂȘmes, selon la Parole de Dieu, en priant avec ferveur qu’Elle nous enseigne, par l’Esprit.

      Un homme peut ĂȘtre d’une certaine utilitĂ© envers plusieurs maĂźtres, mais il ne peut pas se consacrer au service de plus d'un maĂźtre Ă  la fois.

      Dieu exige un cƓur entier, qui ne doit pas ĂȘtre partagĂ© avec le monde. Quand deux maĂźtres s'opposent l'un Ă  l'autre, nul homme ne peut servir les deux. Celui qui est au service du monde et qui l'aime, ne peut que mĂ©priser Dieu ; celui qui aime Dieu, doit abandonner l'amitiĂ© du monde.

      Matthieu 7

      7 La priĂšre est le moyen appropriĂ© pour obtenir ce don nous avons besoin. Priez ; priez souvent ; que cela puisse ĂȘtre une vĂ©ritable « vocation », faites-le avec sĂ©rieux, avec ferveur. Demandez, comme le ferait un mendiant, faisant l’aumĂŽne, ou un voyageur, demandant son chemin. Cherchez, comme si vous aviez perdu quelque chose de valeur, comme un marchand cherchant des perles prĂ©cieuses.

      Frappez, comme le fait Ă  la porte, celui qui dĂ©sire entrer dans la maison. Le pĂ©chĂ© a fermĂ© et verrouillĂ© la « porte » spirituelle, devant nous ; par la priĂšre nous frappons Ă  cette porte pour demander d’entrer !

      Quel que soit le sujet que vous abordiez par la priÚre, selon la promesse divine, il vous sera répondu favorablement, si Dieu constate que cela vous convient parfaitement ; que voulez-vous avoir de plus ?

      Ces recommandations s'appliquent Ă  tous ceux qui prient de tout cƓur ; celui qui « demande », reçoit, qu'il soit Juif ou Gentil, jeune ou ĂągĂ©, riche ou pauvre, haut placĂ© ou de condition humble, maĂźtre ou serviteur, savant ou illettrĂ©, tous sont de la mĂȘme façon, les bienvenus devant le trĂŽne de la GrĂące, s'ils s’en approchent avec foi.

      Ces vérités sont imagées par une comparaison avec des parents, montrant leur empressement à donner à leurs enfants ce qu'ils demandent. Certains parents, par sottise, sont souvent trop indulgents, mais Dieu, quant à Lui, est parfaitement sage ! Il sait ce dont nous avons besoin, ce que nous désirons, et ce qui nous convient parfaitement.

      Puissions-nous ne jamais supposer que notre PĂšre cĂ©leste nous propose de prier, en refusant de nous entendre, ou qu'Il puisse nous octroyer, ce qui pourrait nous ĂȘtre nuisible.

      Matthieu 12

      Luc 6

      Luc 11

      Jean 13

      Jean 14

      Jean 15

      Romains 2

      1 Corinthiens 3

      10 L'apĂŽtre Ă©tait un « sage architecte », (verset 1 Corinthiens 3:10) ; la GrĂące de Dieu l’a fait ainsi.

      Toute fiertĂ© spirituelle est rĂ©prĂ©hensible ; elle utilise les plus grandes faveurs divines pour nourrir notre vanitĂ©, nous faisant devenir ainsi l’idole de nous-mĂȘme. Que chacun fasse attention ; il peut y avoir de mauvaises constructions sur un bon fondement : on ne doit construire sur une fondation que ce qu’elle peut supporter ; elle forme un tout avec le corps de bĂątiment.

      Prenons soin de ne pas joindre Ă  notre foi, associĂ©e Ă  notre tĂ©moignage pour Christ, une vie charnelle, corrompue par le pĂ©chĂ©. Christ est en effet un Roc inĂ©branlable, Ă©ternel, toujours capable de supporter le poids que Dieu ou le pĂ©cheur peuvent placer sur Lui ; il n'y a de salut en aucun Autre, Actes 4:12*. Excluons toute doctrine de l’expiation qu’offre JĂ©sus, si notre espĂ©rance ne repose pas sur Lui. Deux sortes de personnes s'appuient sur le Seigneur : - Celles qui soutiennent sans cesse la VĂ©ritĂ© en JĂ©sus, n’annonçant rien d'autre. - Celles Ă©galement, qui bĂątissent leur vie sur un bon fondement spirituel, mais qui ne peuvent rĂ©sister, hĂ©las, lors de l'Ă©preuve.

      Nous pouvons nous tromper nous-mĂȘme, comme ĂȘtre dupĂ© par notre prochain ; le jour vient, oĂč nos actes seront dĂ©masquĂ©s et mis en lumiĂšre, devant le Seigneur. Ceux qui rĂ©pandent vĂ©ritablement la « bonne nouvelle », sous toutes ses formes, verront leur travail rĂ©vĂ©lĂ©, au grand jour du jugement, ils recevront alors leur rĂ©compense du ciel. Cela devrait les motiver, c’est trĂšs important ! D’autres, dont les opinions et leur doctrine de base sont corrompues, verront dĂ©voilĂ©es leurs vaines pratiques, voire Ă©galement, leur adoration fictive du Seigneur : ils seront rejetĂ©s par ce Dernier et leurs Ɠuvres seront divulguĂ©es devant tous, au jour du Jugement.

      Au verset quinze, il est clair qu'il s'agit d'un feu, au sens figuré : quelle fournaise pourrait en effet consumer des doctrines ou des rites religieux ? Ce « feu » doit Ă©prouver les Ɠuvres de chaque homme, celles de Paul et Apollos aussi bien que celles de tous les autres.

      ConsidĂ©rons bien la qualitĂ© de notre travail pour le Seigneur : veillons Ă  ce que nous faisons, comparons nos tĂąches avec ce qu’enseigne la Parole de Dieu ; jugeons-nous honnĂȘtement nous-mĂȘmes, afin de pas l’ĂȘtre dĂ©favorablement par Christ...

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Galates 5

      7 La vie d'un chrĂ©tien est une vĂ©ritable « course », dans laquelle il doit courir avec persĂ©vĂ©rance, s'il veut remporter le prix. Il n'est pas suffisant que nous professions le Christianisme, nous devons aussi « courir » convenablement, pour ĂȘtre dignes de ce que nous professons.

      Beaucoup de personnes, parmi celles qui progressent vraiment spirituellement, sont entravĂ©es dans leur « croissance », ou bien sortent du chemin de la piĂ©tĂ©. Il convient Ă  celui qui commence Ă  s’écarter de cette voie spirituelle, ou qui s’en lasse, d’investiguer sĂ©rieusement sur ce qui l’entrave. La dĂ©rive mentionnĂ©e au verset Galates 5:8, consistait, sans nul doute, Ă  mĂ©langer les Ɠuvres de la loi avec la foi en Christ, sur le sujet de la justification.

      L'apĂŽtre laisse les Galates trouver eux-mĂȘmes l’origine de leurs diffĂ©rents problĂšmes ; il leur expose toutefois clairement qu'ils ne peuvent les devoir qu’à Satan.

      Il est dangereux pour les églises d'encourager ceux qui suivent de telles idées erronées et destructrices. Tout en blùmant le péché et l'erreur, nous devons toujours distinguer les meneurs, et ceux qui sont menés.

      Les Juifs ont Ă©tĂ© offensĂ©s, en constatant que Christ a Ă©tĂ© prĂȘchĂ© en tant qu’unique moyen, pour les pĂ©cheurs, de parvenir au salut.

      Si Paul et les frĂšres qui l’entouraient, avaient admis que l'observation de la loi de MoĂŻse devait ĂȘtre associĂ©e Ă  la foi en Christ, Ă©lĂ©ment essentiel au salut, de nombreux croyants auraient pu Ă©viter les souffrances qu'ils ont subies.

      Les premiers effets d'un tel « levain » destructeur doivent ĂȘtre immĂ©diatement combattus. Il est certain que ceux qui persistent Ă  faire dĂ©vier l'Ă©glise de Christ, subiront tĂŽt ou tard un jugement cĂ©leste...

      Galates 6

      Jacques 1

      22 MĂȘme si nous entendions une prĂ©dication chaque jour, fut-elle apportĂ©e par un ange, le fait d’uniquement l’écouter ne nous amĂšnerait jamais au ciel. Ceux qui ne mettent pas en pratique la Parole, aprĂšs l’avoir Ă©coutĂ©e, se trompent eux-mĂȘmes ; ils finiront par ĂȘtre victimes de la pire des supercheries...

      Si nous nous flattons nous-mĂȘmes, c'est une faute ; la VĂ©ritĂ©, telle que nous La trouvons en JĂ©sus, ne flatte pas l'homme. Que la Parole de vĂ©ritĂ© soit Ă©tudiĂ©e avec soin, elle rĂ©vĂšlera la corruption de notre nature, les dĂ©sordres de notre cƓur et de notre vie ; elle dĂ©voilera pleinement ce que nous sommes rĂ©ellement.

      Nos pĂ©chĂ©s sont « les taches » que la loi dĂ©nonce : le sang de Christ est « la purification » qu'expose l'Évangile. Si nous oublions quel est notre devoir spirituel Ă  l’égard de la Parole, c’est dire La mettre en pratique au lieu de simplement L’écouter, c'est en vain que nous entendrons Son message, en examinant « le miroir » de l'Évangile ; en de tels cas, nous oublions « le remĂšde spirituel », au lieu de l'appliquer. Tel est le cas de ceux qui n'Ă©coutent pas la Parole comme ils le devraient. En accordant toute notre attention Ă  la Parole, nous L'examinons pour saisir Ses conseils et directives, nous « alimentons » notre vie spirituelle.

      Ceux qui se confient dans la loi et la Parole de Dieu seront bĂ©nis dans toutes leurs voies. Leur rĂ©compense spirituelle suivra la paix et la consolation dĂ©jĂ  prĂ©sentes en leur cƓur.

      Chaque révélation divine contenue dans la Parole, a son application : elle amÚne le pécheur à Christ, pour son salut, elle le dirige et l'encourage à marcher dans la liberté, par « l'Esprit d'adoption », d'aprÚs les saints commandements d Dieu.

      Nous devons avoir cette pensĂ©e : un homme n’est pas bĂ©ni pour SES actions, mais DANS son action. Ce n'est pas en parlant, mais en marchant (spirituellement) que nous irons vers le ciel. Christ deviendra alors plus prĂ©cieux pour l'Ăąme du croyant, ce dernier devenant, par Sa GrĂące, plus apte Ă  bĂ©nir l'hĂ©ritage des saints, dans la LumiĂšre !

      26 Quand certaines personnes s’évertuent Ă  paraĂźtre plus religieuses qu'elles ne le sont vraiment, cela est vain.

      Une mauvaise maßtrise de la langue, l'empressement à souligner les fautes des autres, ou à critiquer leur sagesse ou leur piété, sont des signes d'une religion vaine.

      Un calomniateur ne peut pas avoir un cƓur vĂ©ritablement humble et compatissant. Ceux qui manifestent une fausse piĂ©tĂ© sont reconnus par leur impudicitĂ© et leur manque de charitĂ©. La vĂ©ritable religion nous enseigne Ă  accomplir tous nos devoirs comme si nous Ă©tions en prĂ©sence de Dieu.

      Une vie honnĂȘte doit aller de pair avec un amour et une charitĂ© sincĂšres. Notre vĂ©ritable piĂ©tĂ© reflĂšte quelles sont les prioritĂ©s en place dans notre cƓur, celles qui gĂšrent notre conduite.

      Souvenons-nous qu'en JĂ©sus-Christ, n’est utile que la foi qui Ɠuvre par amour, qui purifie le cƓur, qui subjugue les convoitises charnelles, et obĂ©it aux commandements de Dieu !

      Jacques 2

      Jacques 3

      13 Ces versets montrent ce qui diffĂ©rencie les hommes qui n’ont qu’une apparence de sagesse et ceux qui sont vĂ©ritablement sages.

      Celui qui a de bonnes pensĂ©es, ou de bonnes paroles, n'est pas sage dans le sens de l'Écriture, s'il ne vit pas et n'agit pas en consĂ©quence, convenablement. On reconnaĂźt la vĂ©ritable sagesse par la douceur de caractĂšre et de tempĂ©rament qui anime une personne.

      Ceux qui vivent dans la malice, les convoitises, et la dispute, vivent en fait dans la confusion ; ils sont passibles d'ĂȘtre entraĂźnĂ©s en permanence dans de mauvaises voies. Une telle « sagesse » apparente ne vient pas d'en haut, mais jaillit des principes terrestres, agit pour de vains motifs et son but est de asservir le monde.

      Ceux qui sont animĂ©s par la sagesse « d'en haut », celle qui est dĂ©crite dans ce texte par Jacques, vivent en fait avec l'amour, tel qu’il est exposĂ© par l'apĂŽtre Paul ; cette sagesse et cet amour sont dĂ©crits afin que tout homme puisse appliquer complĂštement ces rĂ©alitĂ©s spirituelles qui les animent. Ces deux qualitĂ©s sont opposĂ©es Ă  toute ruse ou supercherie, opposĂ©es aux directives coupables de ce monde ; l’amour est sincĂšre, ouvert, stable, et logique avec lui-mĂȘme.

      Puissent la puretĂ©, la paix, la douceur et la misĂ©ricorde, ĂȘtre reconnues dans toutes nos actions ; que les fruits de la justice abondent dans nos vies, prouvant l’action de Dieu dans nos cƓurs !

      1 Jean 2

      3 De quelle connaissance de Christ peut-on se targuer si on ne discerne pas vraiment qu'Il est le seul Ă  ĂȘtre digne de notre entiĂšre  obĂ©issance ? Une vie entachĂ©e de dĂ©sobĂ©issante montre qu'il n'y a ni piĂ©tĂ©, ni honnĂȘtetĂ© dans une profession de foi.

      L'Amour de Dieu se manifeste pleinement en celui qui garde Ses commandements. La Grùce atteint alors sa véritable grandeur, en constituant un effet souverain sans limites et en produisant la régénération spirituelle de l'homme pieux, malgré les imperfections inhérentes à ce monde.

      Si l’on cherchait Ă  ressembler universellement Ă  Christ, quant Ă  Sa saintetĂ© et Son excellence, la terre ressemblerait au ciel ! Le commandement de s'aimer les uns les autres avait Ă©tĂ© donnĂ© avec insistance, dĂšs le commencement du monde ; cependant, cette prescription peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme nouvelle, pour les chrĂ©tiens. À l’époque de l’apĂŽtre, ce commandement Ă©tait, pour ces derniers, considĂ©rĂ© comme« nouveau », quant Ă  ses motifs, ses rĂšgles et ses obligations, conformĂ©ment Ă  la nouvelle situation spirituelle de ces frĂšres en Christ.

      Ceux qui marchent dans la haine et l'inimitiĂ© vis-Ă -vis des croyants, restent dans de vĂ©ritables tĂ©nĂšbres spirituelles. L'amour, au sens chrĂ©tien du terme, nous apprend Ă  sonder l'Ăąme de notre frĂšre, et Ă  redouter tout ce qui pourrait ĂȘtre nuisible Ă  sa puretĂ© et Ă  sa paix. LĂ  oĂč demeurent les tĂ©nĂšbres spirituelles, le jugement et la conscience sont assombris, et font « manquer » le chemin qui mĂšne au salut.

      Tous ces Ă©lĂ©ments demandent un sĂ©rieux examen personnel ; ils nĂ©cessitent de ferventes priĂšres, pour que Dieu puisse nous montrer ce que nous sommes rĂ©ellement et oĂč nous allons...

      1 Jean 3

      22 Lorsque les croyants, réconciliés avec Dieu, accordent leur confiance en Jésus-Christ, par l'Esprit d'adoption et par la foi dans le grand Souverain Sacrificateur, ils peuvent demander, en toute certitude et pour leur bien, ce qu'ils désirent à leur PÚre.

      La VolontĂ© divine a Ă©tĂ© proclamĂ©e aux hommes, depuis les cieux, et ce, particuliĂšrement pour les frĂšres en Christ ; cette VolontĂ© doit demeurer en leur cƓur. Celui qui suit Christ de cette façon, demeure en Lui : Il est son secours, son refuge, et son repos, et le PĂšre demeure Ă©galement en lui ! Cette union entre Christ et l’ñme des croyants leur a Ă©tĂ© accordĂ©e par l'Esprit-Saint.

      Un homme peut croire que Dieu agit selon la GrĂące, avant qu'il ne Le connaisse ; cependant lorsque la foi repose vĂ©ritablement sur les promesses divines, elle se met Ă  l'Ɠuvre en son cƓur. Cet Esprit de Dieu opĂšre un rĂ©el changement ; chez un vĂ©ritable chrĂ©tien, l’Esprit transforme le pouvoir de Satan, en puissance de Dieu.

      ConsidĂšre, croyant, comment Il change ton cƓur. N'aspires-tu pas Ă  la paix avec Dieu ? Ne veux-tu pas renoncer au monde entier, pour lui ? Aucun profit, aucun plaisir, ou nul attrait ne t'empĂȘchera de suivre Christ. Le salut en JĂ©sus est construit sur le tĂ©moignage de Dieu, par Son Esprit !

      1 Jean 5

      Apocalypse 22

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légÚres variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.