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Matthieu 7.24

« Celui qui écoute toutes ces paroles et m’obéit, celui-là ressemble à un sage. Le sage construit sa maison sur de la pierre.
« Ainsi, quiconque écoute ce que je viens de dire et le met en pratique sera comme un homme intelligent qui a bâti sa maison sur le roc.
"Everyone therefore who hears these words of mine, and does them, I will liken him to a wise man, who built his house on a rock.
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      Job 28

      Psaumes 111

      Psaumes 119

      Proverbes 10

      Proverbes 14

      Matthieu 5

      3 Notre Sauveur donne ici huit catégories de personnes, à même de recevoir des bénédictions ; ces dernières nous sont directement applicables, en tant que chrétiens.

      1. Heureux les « pauvres en esprit ». Ils adaptent leur mentalité à leur modeste condition. Ils sont humbles et vivent dans la simplicité. Ils connaissent leurs différents besoins, ils pleurent sur leur culpabilité, et ont « soif » d'un Rédempteur. Le Royaume de la Grâce est pour de telles personnes ; le Royaume de Gloire est pour eux !

      2. Heureux ceux qui pleurent. Il semble qu'il s'agisse ici d’un chagrin issu de la piété, celui qui produit la véritable repentance, la vigilance vis-à-vis du mal, un esprit contrit, une dépendance continuelle à la miséricorde de Dieu, en Jésus-Christ, avec une recherche constante du Saint-Esprit, et de la sanctification. Le ciel est la joie de notre Seigneur ; une montagne de joie, vers laquelle nous conduit notre chemin à travers une vallée de larmes. Ceux qui sont ainsi affligés seront consolés par « leur » Dieu !

      3. Heureux ceux qui sont pleins de douceur. Les doux, les débonnaires, sont ceux qui se soumettent en toute quiétude à Dieu ; ils peuvent supporter l'insulte : ils restent silencieux, ou répliquent par une réponse pleine de douceur ; ils savent, dans leur patience, garder leur âme, alors qu’ils ne savent garder d’autres choses qu’avec peine. Ces débonnaires sont heureux, même ici-bas. La douceur de caractère amène la richesse, le réconfort, et la sécurité, même en ce monde !

      4. Heureux ceux qui ont faim et soif de justice. Le terme « justice » concerne ici toutes les bénédictions spirituelles. Celles-ci sont acquises pour nous, par la Justice de Christ, confirmées par la fidélité de Dieu. Nos désirs de bénédictions spirituelles doivent être fervents. Bien que tous les désirs d’obtention de la Grâce ne soient pas perçu en tant que tels par le « monde », ils permettent de voir la Gloire de Dieu, car Il ne nous abandonnera pas, nous qui sommes l'œuvre de Ses propres mains !

      5. Heureux les miséricordieux. Nous devons non seulement supporter patiemment nos propres afflictions, mais nous devons aussi faire tout notre possible pour aider ceux qui sont dans la misère. Nous devons avoir compassion pour les âmes de ceux qui nous entourent, nous devons les aider ; nous devons éprouver de la pitié envers ceux qui pratiquent le péché, et chercher à les extirper de ce « feu dévorant ».

      6. Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu. La sainteté et le bonheur sont ici mentionnés : ils forment un tout. Le cœur doit être purifié par la foi, et consacré à Dieu : « crée en moi un tel cœur pur, ô Dieu ». Nul, s’il n’est pas pur, n'est capable de discerner Dieu, et le ciel ne peut être le lieu de félicité des impurs. Dieu ne pouvant pas supporter l’iniquité des hommes, ces derniers sont incapables de voir Sa pureté.

      7. Heureux ceux qui procurent la paix. Ils l’aiment, ils la désirent, et se plaisent en elle ; ils recherchent la tranquillité. Ils gardent la paix lorsqu'elle n'est pas brisée, et travaillent à son rétablissement lorsqu'elle est rompue. Si ces « pacificateurs » sont bénis, malheur à ceux qui la rompent !

      8. Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice. Cette parole est propre au Christianisme : elle est particulièrement soulignée, plus que le reste du texte. Malgré tout, rien dans nos souffrances ne nous permet de mériter quoi que ce soit, de la part de Dieu ; mais ce Dernier pourvoira de Sa Grâce, ceux qui perdent tout pour Lui, même leur vie ; en fin de compte, Il ne les délaissera jamais !

      Béni soit Jésus ! Combien ces enseignements sont différents de ceux des hommes, qui profèrent que l'orgueilleux est heureux et qui admirent celui qui est gai, riche, puissant, et victorieux. Puissions-nous trouver la Miséricorde auprès du Seigneur ; puissions-nous être considérés comme Ses enfants, héritiers de Son Royaume. Armés de ces joies et de cette espérance, nous pouvons affronter en toute sérénité les circonstances les plus douloureuses de l’existence !

      Matthieu 6

      19 L'esprit « du monde » est la manifestation classique, mais hélas fatale, de l'hypocrisie ; par nul autre péché, Satan ne peut avoir un contrôle plus déterminé et plus négatif sur l'âme, sous une apparente piété de cette dernière. Cette âme, quant à elle, considérera que toutes choses vont pour le mieux, éprouvant par ce fait, du plaisir et une certaine paix, surpassant tout.

      Les instructions formulées par Christ sont à l’origine de nombreuses joies, surtout quand il s’agit des perspectives concernant l’au-delà, perspectives aujourd’hui encore invisibles, mais néanmoins éternelles, en lesquelles nous devons placer notre espérance.

      Il y a des trésors dans le ciel. Il n’y a pas de plus grande sagesse que d’accorder toute notre attention à notre assurance pour la vie éternelle, au travers de Jésus-Christ, n’étant que des « spectateurs » en ce qui concerne toutes choses ici-bas, les considérant comme n’étant pas dignes d'être comparées à notre Sauveur, et rejetant tout ce qui nous éloigne de ce Dernier. Malgré les aléas de ce monde, nous avons l’espérance de disposer d'un héritage incorruptible dans les cieux !

      L'homme du monde a des raisonnements basiques qui sont vains ; en conséquence, tout ce qui en découle ne peut être qu’erroné. Ceci s'applique également à la fausse piété : ce qui n'est pas la lumière spirituelle authentique n'est que ténèbres épaisses. C’est un constat terrible, mais néanmoins fréquent ; nous devons donc nous examiner nous-mêmes, selon la Parole de Dieu, en priant avec ferveur qu’Elle nous enseigne, par l’Esprit.

      Un homme peut être d’une certaine utilité envers plusieurs maîtres, mais il ne peut pas se consacrer au service de plus d'un maître à la fois.

      Dieu exige un cœur entier, qui ne doit pas être partagé avec le monde. Quand deux maîtres s'opposent l'un à l'autre, nul homme ne peut servir les deux. Celui qui est au service du monde et qui l'aime, ne peut que mépriser Dieu ; celui qui aime Dieu, doit abandonner l'amitié du monde.

      Matthieu 7

      7 La prière est le moyen approprié pour obtenir ce don nous avons besoin. Priez ; priez souvent ; que cela puisse être une véritable « vocation », faites-le avec sérieux, avec ferveur. Demandez, comme le ferait un mendiant, faisant l’aumône, ou un voyageur, demandant son chemin. Cherchez, comme si vous aviez perdu quelque chose de valeur, comme un marchand cherchant des perles précieuses.

      Frappez, comme le fait à la porte, celui qui désire entrer dans la maison. Le péché a fermé et verrouillé la « porte » spirituelle, devant nous ; par la prière nous frappons à cette porte pour demander d’entrer !

      Quel que soit le sujet que vous abordiez par la prière, selon la promesse divine, il vous sera répondu favorablement, si Dieu constate que cela vous convient parfaitement ; que voulez-vous avoir de plus ?

      Ces recommandations s'appliquent à tous ceux qui prient de tout cœur ; celui qui « demande », reçoit, qu'il soit Juif ou Gentil, jeune ou âgé, riche ou pauvre, haut placé ou de condition humble, maître ou serviteur, savant ou illettré, tous sont de la même façon, les bienvenus devant le trône de la Grâce, s'ils s’en approchent avec foi.

      Ces vérités sont imagées par une comparaison avec des parents, montrant leur empressement à donner à leurs enfants ce qu'ils demandent. Certains parents, par sottise, sont souvent trop indulgents, mais Dieu, quant à Lui, est parfaitement sage ! Il sait ce dont nous avons besoin, ce que nous désirons, et ce qui nous convient parfaitement.

      Puissions-nous ne jamais supposer que notre Père céleste nous propose de prier, en refusant de nous entendre, ou qu'Il puisse nous octroyer, ce qui pourrait nous être nuisible.

      Matthieu 12

      Luc 6

      Luc 11

      Jean 13

      Jean 14

      Jean 15

      Romains 2

      1 Corinthiens 3

      10 L'apôtre était un « sage architecte », (verset 1 Corinthiens 3:10) ; la Grâce de Dieu l’a fait ainsi.

      Toute fierté spirituelle est répréhensible ; elle utilise les plus grandes faveurs divines pour nourrir notre vanité, nous faisant devenir ainsi l’idole de nous-même. Que chacun fasse attention ; il peut y avoir de mauvaises constructions sur un bon fondement : on ne doit construire sur une fondation que ce qu’elle peut supporter ; elle forme un tout avec le corps de bâtiment.

      Prenons soin de ne pas joindre à notre foi, associée à notre témoignage pour Christ, une vie charnelle, corrompue par le péché. Christ est en effet un Roc inébranlable, éternel, toujours capable de supporter le poids que Dieu ou le pécheur peuvent placer sur Lui ; il n'y a de salut en aucun Autre, Actes 4:12*. Excluons toute doctrine de l’expiation qu’offre Jésus, si notre espérance ne repose pas sur Lui. Deux sortes de personnes s'appuient sur le Seigneur : - Celles qui soutiennent sans cesse la Vérité en Jésus, n’annonçant rien d'autre. - Celles également, qui bâtissent leur vie sur un bon fondement spirituel, mais qui ne peuvent résister, hélas, lors de l'épreuve.

      Nous pouvons nous tromper nous-même, comme être dupé par notre prochain ; le jour vient, où nos actes seront démasqués et mis en lumière, devant le Seigneur. Ceux qui répandent véritablement la « bonne nouvelle », sous toutes ses formes, verront leur travail révélé, au grand jour du jugement, ils recevront alors leur récompense du ciel. Cela devrait les motiver, c’est très important ! D’autres, dont les opinions et leur doctrine de base sont corrompues, verront dévoilées leurs vaines pratiques, voire également, leur adoration fictive du Seigneur : ils seront rejetés par ce Dernier et leurs œuvres seront divulguées devant tous, au jour du Jugement.

      Au verset quinze, il est clair qu'il s'agit d'un feu, au sens figuré : quelle fournaise pourrait en effet consumer des doctrines ou des rites religieux ? Ce « feu » doit éprouver les œuvres de chaque homme, celles de Paul et Apollos aussi bien que celles de tous les autres.

      Considérons bien la qualité de notre travail pour le Seigneur : veillons à ce que nous faisons, comparons nos tâches avec ce qu’enseigne la Parole de Dieu ; jugeons-nous honnêtement nous-mêmes, afin de pas l’être défavorablement par Christ...

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Galates 5

      7 La vie d'un chrétien est une véritable « course », dans laquelle il doit courir avec persévérance, s'il veut remporter le prix. Il n'est pas suffisant que nous professions le Christianisme, nous devons aussi « courir » convenablement, pour être dignes de ce que nous professons.

      Beaucoup de personnes, parmi celles qui progressent vraiment spirituellement, sont entravées dans leur « croissance », ou bien sortent du chemin de la piété. Il convient à celui qui commence à s’écarter de cette voie spirituelle, ou qui s’en lasse, d’investiguer sérieusement sur ce qui l’entrave. La dérive mentionnée au verset Galates 5:8, consistait, sans nul doute, à mélanger les œuvres de la loi avec la foi en Christ, sur le sujet de la justification.

      L'apôtre laisse les Galates trouver eux-mêmes l’origine de leurs différents problèmes ; il leur expose toutefois clairement qu'ils ne peuvent les devoir qu’à Satan.

      Il est dangereux pour les églises d'encourager ceux qui suivent de telles idées erronées et destructrices. Tout en blâmant le péché et l'erreur, nous devons toujours distinguer les meneurs, et ceux qui sont menés.

      Les Juifs ont été offensés, en constatant que Christ a été prêché en tant qu’unique moyen, pour les pécheurs, de parvenir au salut.

      Si Paul et les frères qui l’entouraient, avaient admis que l'observation de la loi de Moïse devait être associée à la foi en Christ, élément essentiel au salut, de nombreux croyants auraient pu éviter les souffrances qu'ils ont subies.

      Les premiers effets d'un tel « levain » destructeur doivent être immédiatement combattus. Il est certain que ceux qui persistent à faire dévier l'église de Christ, subiront tôt ou tard un jugement céleste...

      Galates 6

      Jacques 1

      22 Même si nous entendions une prédication chaque jour, fut-elle apportée par un ange, le fait d’uniquement l’écouter ne nous amènerait jamais au ciel. Ceux qui ne mettent pas en pratique la Parole, après l’avoir écoutée, se trompent eux-mêmes ; ils finiront par être victimes de la pire des supercheries...

      Si nous nous flattons nous-mêmes, c'est une faute ; la Vérité, telle que nous La trouvons en Jésus, ne flatte pas l'homme. Que la Parole de vérité soit étudiée avec soin, elle révèlera la corruption de notre nature, les désordres de notre cœur et de notre vie ; elle dévoilera pleinement ce que nous sommes réellement.

      Nos péchés sont « les taches » que la loi dénonce : le sang de Christ est « la purification » qu'expose l'Évangile. Si nous oublions quel est notre devoir spirituel à l’égard de la Parole, c’est dire La mettre en pratique au lieu de simplement L’écouter, c'est en vain que nous entendrons Son message, en examinant « le miroir » de l'Évangile ; en de tels cas, nous oublions « le remède spirituel », au lieu de l'appliquer. Tel est le cas de ceux qui n'écoutent pas la Parole comme ils le devraient. En accordant toute notre attention à la Parole, nous L'examinons pour saisir Ses conseils et directives, nous « alimentons » notre vie spirituelle.

      Ceux qui se confient dans la loi et la Parole de Dieu seront bénis dans toutes leurs voies. Leur récompense spirituelle suivra la paix et la consolation déjà présentes en leur cœur.

      Chaque révélation divine contenue dans la Parole, a son application : elle amène le pécheur à Christ, pour son salut, elle le dirige et l'encourage à marcher dans la liberté, par « l'Esprit d'adoption », d'après les saints commandements d Dieu.

      Nous devons avoir cette pensée : un homme n’est pas béni pour SES actions, mais DANS son action. Ce n'est pas en parlant, mais en marchant (spirituellement) que nous irons vers le ciel. Christ deviendra alors plus précieux pour l'âme du croyant, ce dernier devenant, par Sa Grâce, plus apte à bénir l'héritage des saints, dans la Lumière !

      26 Quand certaines personnes s’évertuent à paraître plus religieuses qu'elles ne le sont vraiment, cela est vain.

      Une mauvaise maîtrise de la langue, l'empressement à souligner les fautes des autres, ou à critiquer leur sagesse ou leur piété, sont des signes d'une religion vaine.

      Un calomniateur ne peut pas avoir un cœur véritablement humble et compatissant. Ceux qui manifestent une fausse piété sont reconnus par leur impudicité et leur manque de charité. La véritable religion nous enseigne à accomplir tous nos devoirs comme si nous étions en présence de Dieu.

      Une vie honnête doit aller de pair avec un amour et une charité sincères. Notre véritable piété reflète quelles sont les priorités en place dans notre cœur, celles qui gèrent notre conduite.

      Souvenons-nous qu'en Jésus-Christ, n’est utile que la foi qui œuvre par amour, qui purifie le cœur, qui subjugue les convoitises charnelles, et obéit aux commandements de Dieu !

      Jacques 2

      Jacques 3

      13 Ces versets montrent ce qui différencie les hommes qui n’ont qu’une apparence de sagesse et ceux qui sont véritablement sages.

      Celui qui a de bonnes pensées, ou de bonnes paroles, n'est pas sage dans le sens de l'Écriture, s'il ne vit pas et n'agit pas en conséquence, convenablement. On reconnaît la véritable sagesse par la douceur de caractère et de tempérament qui anime une personne.

      Ceux qui vivent dans la malice, les convoitises, et la dispute, vivent en fait dans la confusion ; ils sont passibles d'être entraînés en permanence dans de mauvaises voies. Une telle « sagesse » apparente ne vient pas d'en haut, mais jaillit des principes terrestres, agit pour de vains motifs et son but est de asservir le monde.

      Ceux qui sont animés par la sagesse « d'en haut », celle qui est décrite dans ce texte par Jacques, vivent en fait avec l'amour, tel qu’il est exposé par l'apôtre Paul ; cette sagesse et cet amour sont décrits afin que tout homme puisse appliquer complètement ces réalités spirituelles qui les animent. Ces deux qualités sont opposées à toute ruse ou supercherie, opposées aux directives coupables de ce monde ; l’amour est sincère, ouvert, stable, et logique avec lui-même.

      Puissent la pureté, la paix, la douceur et la miséricorde, être reconnues dans toutes nos actions ; que les fruits de la justice abondent dans nos vies, prouvant l’action de Dieu dans nos cœurs !

      1 Jean 2

      3 De quelle connaissance de Christ peut-on se targuer si on ne discerne pas vraiment qu'Il est le seul à être digne de notre entière  obéissance ? Une vie entachée de désobéissante montre qu'il n'y a ni piété, ni honnêteté dans une profession de foi.

      L'Amour de Dieu se manifeste pleinement en celui qui garde Ses commandements. La Grâce atteint alors sa véritable grandeur, en constituant un effet souverain sans limites et en produisant la régénération spirituelle de l'homme pieux, malgré les imperfections inhérentes à ce monde.

      Si l’on cherchait à ressembler universellement à Christ, quant à Sa sainteté et Son excellence, la terre ressemblerait au ciel ! Le commandement de s'aimer les uns les autres avait été donné avec insistance, dès le commencement du monde ; cependant, cette prescription peut être considérée comme nouvelle, pour les chrétiens. À l’époque de l’apôtre, ce commandement était, pour ces derniers, considéré comme« nouveau », quant à ses motifs, ses règles et ses obligations, conformément à la nouvelle situation spirituelle de ces frères en Christ.

      Ceux qui marchent dans la haine et l'inimitié vis-à-vis des croyants, restent dans de véritables ténèbres spirituelles. L'amour, au sens chrétien du terme, nous apprend à sonder l'âme de notre frère, et à redouter tout ce qui pourrait être nuisible à sa pureté et à sa paix. Là où demeurent les ténèbres spirituelles, le jugement et la conscience sont assombris, et font « manquer » le chemin qui mène au salut.

      Tous ces éléments demandent un sérieux examen personnel ; ils nécessitent de ferventes prières, pour que Dieu puisse nous montrer ce que nous sommes réellement et où nous allons...

      1 Jean 3

      22 Lorsque les croyants, réconciliés avec Dieu, accordent leur confiance en Jésus-Christ, par l'Esprit d'adoption et par la foi dans le grand Souverain Sacrificateur, ils peuvent demander, en toute certitude et pour leur bien, ce qu'ils désirent à leur Père.

      La Volonté divine a été proclamée aux hommes, depuis les cieux, et ce, particulièrement pour les frères en Christ ; cette Volonté doit demeurer en leur cœur. Celui qui suit Christ de cette façon, demeure en Lui : Il est son secours, son refuge, et son repos, et le Père demeure également en lui ! Cette union entre Christ et l’âme des croyants leur a été accordée par l'Esprit-Saint.

      Un homme peut croire que Dieu agit selon la Grâce, avant qu'il ne Le connaisse ; cependant lorsque la foi repose véritablement sur les promesses divines, elle se met à l'œuvre en son cœur. Cet Esprit de Dieu opère un réel changement ; chez un véritable chrétien, l’Esprit transforme le pouvoir de Satan, en puissance de Dieu.

      Considère, croyant, comment Il change ton cœur. N'aspires-tu pas à la paix avec Dieu ? Ne veux-tu pas renoncer au monde entier, pour lui ? Aucun profit, aucun plaisir, ou nul attrait ne t'empêchera de suivre Christ. Le salut en Jésus est construit sur le témoignage de Dieu, par Son Esprit !

      1 Jean 5

      Apocalypse 22

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