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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 155

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    • Apocalypse 6

      1

      L'ouverture des sceaux : le premier, deuxième, troisième, et quatrième. (Apocalypse 6:1-8)
      Le cinquième. (Apocalypse 6:9-11)
      Le sixième. (Apocalypse 6:12-17)

      Christ, l'Agneau, ouvre le premier sceau. Analysons ce qui apparut :

      - Un cavalier sur un cheval blanc. L’allure de ce cheval blanc semble indiquer un temps de paix, ou de premier progrès de la religion chrétienne ; ce cheminement s’effectue dans la pureté, au temps où son Fondateur céleste, envoyant les apôtres enseigner toutes les nations, annonçait : « voici ! Je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde ». La « Religion divine » est couronnée, étant parée de la faveur céleste, et armée spirituellement contre Ses ennemis ; son destin final est la victoire !

      - À l'ouverture du deuxième sceau, un cheval roux apparaît ; il représente les jugements et la désolation. L'épée pour faire la guerre et la persécution, est un jugement épouvantable ; elle ôte la paix de la terre, une des plus grandes bénédictions ; les hommes, qui auraient dû s'aimer les uns les autres et s'aider mutuellement, sont poussés à s’entretuer. De telles scènes se déroulèrent déjà, dans la période qui suivit la naissance du Christianisme, lorsque négligeant la charité et les liens de la paix, les responsables chrétiens, divisés entre eux, ont tiré l'épée, s’enlisant ainsi dans leur culpabilité.

      - À l'ouverture du troisième sceau, un cheval noir apparut ; cette couleur dénote le deuil et le malheur, les ténèbres et l'ignorance. Le cavalier avait une balance en sa main. Des tentatives ont été faites pour porter atteinte à la réputation des disciples, les accusant de pratiquer des coutumes superstitieuses. À mesure que le « ruisseau » du Christianisme s’est éloigné de sa source de pureté, il s’est de plus en plus corrompu. Durant la progression de ce cheval noir, la nourriture de base est hors de prix, alors que les denrées les plus onéreuses ne sont pas touchées... Selon le langage prophétique, symboliquement, ces paroles peuvent signifier la « nourriture » de la connaissance religieuse, avec laquelle les âmes des hommes sont alimentées, jusqu'à leur entrée dans la vie éternelle ; c’est cette nourriture que nous sommes invités à acheter, dans Esa 55:1. Mais lorsque les « sombres nuages » de l'ignorance et de la superstition, imagés par ce cheval noir, se sont étendus sur le monde chrétien, la connaissance et la pratique de la véritable piété se sont raréfiées. Quand un peuple rejette sa nourriture spirituelle, Dieu peut le priver, en toute justice, de son pain quotidien. La privation de pain est un jugement terrible ; mais celle de la Parole de Dieu l'est encore plus...

      À l'ouverture du quatrième sceau, un autre cheval parut, de couleur livide. Son cavalier était « la Mort », inspirant toutes les terreurs possibles. Les serviteurs, ou partisans de ce cavalier, étaient les habitants du « séjour des morts », un lieu de misère éternelle pour tous ceux qui meurent dans leurs péchés ; dans les périodes de tuerie générale, des multitudes descendent dans cet abîme, sans y être préparées... La période du quatrième sceau est une période de destruction et de dévastation, détruisant tout ce qui peut rendre une existence heureuse, faisant des ravages dans la vie spirituelle des hommes.

      Le « mystère de l'iniquité » était ainsi révélé, et son pouvoir étendu à la fois, sur les vies et sur les consciences des hommes. Les périodes de déroulement de ces quatre époques ne peuvent être déterminées avec précision, car les changements opérés sont relativement progressifs. Dieu a donné à ces cavaliers un certain pouvoir : ils sont les instruments de Sa Colère, ou ceux de Ses Jugements ; toutes les calamités ici-bas arrivent selon Son Commandement ; elles ne surgissent que lorsque Dieu les envoie, et pas au-delà de ce qu'Il permet.

      9 La vision de l'apôtre, à l'ouverture du cinquième sceau est très émouvante : il voit en effet sous l'autel, les âmes des martyrs ; elles se tiennent au pied de l'autel, dans les cieux, aux pieds de Christ.

      Les persécuteurs ne peuvent tuer que le corps ; ils ne peuvent rien faire de plus : l'âme vit toujours ! Dieu a réservé une bonne place, dans un monde meilleur, pour ceux qui sont fidèles jusqu'à la mort. Ce n'est pas leur propre mort, mais le sacrifice de Christ qui leur assure leur entrée dans le ciel. Ces âmes ont souffert à cause de la Parole de Dieu. Le meilleur des hommes peut donner sa vie pour cette cause : la foi dans la Parole de Dieu, ainsi qu’une confession inaltérable de cette ferme espérance. Les âmes sous l’autel, soumettent leur cause à Celui à qui appartient la vengeance.

      Le Seigneur est le « consolateur » de ses serviteurs affligés, et leur sang est précieux à Sa vue. Alors que la mesure du péché des persécuteurs augmente, il en est de même du nombre des serviteurs de Christ, persécutés et martyrisés. Quand cette mesure sera à son comble, Dieu enverra la tribulation à ceux qui les auront tourmentés, ainsi qu'une félicité et un repos sans faille, à ceux qui auront connu le martyr pour Christ.

      12 Quand le sixième sceau fut ouvert, il y eut un grand tremblement de terre, à tel point, que les fondations des églises et des différents états furent terriblement ébranlées.

      On trouve en abondance, dans les prophéties de l'Écriture, des descriptions aussi claires des changements futurs ; ces événements sont des figures symboliques qui annoncent la fin du monde et le jour du Jugement. La crainte et la terreur saisiront les hommes de tous rangs. Ni la grandeur, ni la richesse, ni la valeur, ni la force, ne pourront protéger les hommes en ce temps. Ils désireront que personne ne puisse les voir dans leur terreur ; ils chercheront même à ne plus exister !

      Bien que Christ soit « l’Agneau », Il peut néanmoins se fâcher, et Sa colère peut être extrêmement virulente ; car si le Rédempteur en personne, Celui qui apaise le courroux de Dieu, est notre Ennemi, où pourrons-nous alors trouver un ami pour plaider notre cause ?

      De même que les hommes ont « leur » jour d'opportunité, et leurs saisons de grâce, Dieu a aussi, en toute justice, « Son » jour, pour manifester Sa Colère.

      Il semble que le renversement du paganisme de l'empire Romain soit ici annoncé. Ce texte décrit les idolâtres cherchant à se dissimuler dans leurs repaires et dans leurs cavernes secrètes, tentant vainement d’échapper à la ruine. Dans la perspective de ce jour particulier, alors les signes des temps démontrent à ceux qui croient en la Parole de Dieu, que le Roi des rois approche, les chrétiens sont appelés à un « parcours » précis, à une confession totale de Christ et de Sa Vérité, à ceux qui les entourent.

      Quelles que soient les épreuves que ces fidèles devront endurer, il leur sera préférable de supporter le mépris momentané de l'homme, plutôt que la honte éternelle...

    • Apocalypse 6

      1 Je vis alors l'Agneau ouvrir un des sept sceaux et j'entendis l'un des quatre êtres vivants dire d'une voix de tonnerre : « Viens. »
      2 Je regardai et je vis apparaître un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée et il partit en vainqueur et pour remporter la victoire.
      3 Quand il ouvrit le deuxième sceau, j'entendis le deuxième être vivant dire : « Viens. »
      4 Et un autre cheval, rouge feu, apparut. Celui qui le montait reçut le pouvoir d'enlever la paix de la terre afin que les hommes s’entretuent, et une grande épée lui fut donnée.
      5 Quand l’Agneau ouvrit le troisième sceau, j'entendis le troisième être vivant dire : « Viens. » Je regardai et je vis apparaître un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance à la main.
      6 Et j'entendis [comme] une voix dire, au milieu des quatre êtres vivants : « Une mesure de blé pour une pièce d’argent et trois mesures d'orge pour une pièce d’argent, mais ne touche pas à l'huile et au vin. »
      7 Quand il ouvrit le quatrième sceau, j'entendis le quatrième être vivant dire : « Viens. »
      8 Je regardai et je vis un cheval verdâtre. Celui qui le montait avait pour nom « la Mort », et le séjour des morts l'accompagnait. Ils reçurent le pouvoir, sur le quart de la terre, de faire mourir les hommes par l'épée, par la famine, par la peste et par les bêtes sauvages de la terre.
      9 Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel l’âme de ceux qui avaient été mis à mort à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu.
      10 Ils crièrent d'une voix forte : « Jusqu'à quand, Maître saint et véritable, tarderas-tu à faire justice et à venger notre sang sur les habitants de la terre ? »
      11 Une robe blanche fut donnée à chacun d'eux et ils reçurent l’ordre de rester en repos un petit moment encore, jusqu'à ce que le nombre de leurs compagnons de service et de leurs frères et sœurs qui devaient être mis à mort comme eux soit au complet.
      12 Je regardai quand l’Agneau ouvrit le sixième sceau, et il y eut un grand tremblement de terre. Le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang,
      13 et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme les figues vertes d'un figuier secoué par un vent violent.
      14 Le ciel se retira comme un livre qu'on enroule et toutes les montagnes et les îles furent écartées de leur place.
      15 Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes.
      16 Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : « Tombez sur nous et cachez-nous loin de celui qui est assis sur le trône et loin de la colère de l'Agneau.
      17 En effet, le grand jour de sa colère est venu, et qui peut résister ? »
    • Apocalypse 6

      1 Puis je vis l’Agneau briser le premier des sept sceaux, et j’entendis l’un des quatre êtres vivants dire d’une voix qui résonnait comme le tonnerre : « Viens ! »
      2 Je regardai et je vis un cheval blanc. Celui qui le montait tenait un arc, et on lui donna une couronne. Il partit en vainqueur et pour vaincre encore.
      3 Quand l’Agneau brisa le deuxième sceau, j’entendis le deuxième être vivant qui disait : « Viens ! »
      4 Alors un autre cheval s’avança, il était de couleur rouge. Celui qui le montait reçut le pouvoir d’écarter toute paix de la terre, pour que les hommes se massacrent les uns les autres. On lui remit une grande épée.
      5 Quand l’Agneau brisa le troisième sceau, j’entendis le troisième être vivant qui disait : « Viens ! » Je regardai et je vis un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance à la main.
      6 J’entendis comme une voix qui venait du milieu des quatre êtres vivants et qui disait : « Un kilo de blé pour le salaire d’une journée, et trois kilos d’orge pour le salaire d’une journée. Mais ne cause aucun dommage à l’huile et au vin. »
      7 Quand l’Agneau brisa le quatrième sceau, j’entendis le quatrième être vivant qui disait : « Viens ! »
      8 Je regardai et je vis un cheval de couleur verdâtre. Celui qui le montait se nomme la Mort, et le monde des morts le suivait. On leur donna le pouvoir sur le quart de la terre, pour faire mourir ses habitants par la guerre, la famine, les épidémies et les bêtes féroces.
      9 Quand l’Agneau brisa le cinquième sceau, je vis sous l’autel les âmes de ceux qui avaient été exécutés pour leur fidélité à la parole de Dieu et le témoignage qu’ils lui avaient rendu.
      10 Ils criaient avec force : « Maître saint et véritable, jusqu’à quand tarderas-tu à juger les habitants de la terre pour leur demander des comptes au sujet de notre mort ? »
      11 On donna à chacun d’eux une robe blanche, et on leur demanda de patienter encore un peu de temps, jusqu’à ce que soit complété le nombre de leurs frères et compagnons de service qui devaient être mis à mort comme eux-mêmes.
      12 Puis je vis l’Agneau briser le sixième sceau. Il y eut alors un violent tremblement de terre ; le soleil devint noir comme une étoffe de deuil et la lune tout entière devint rouge comme du sang ;
      13 les étoiles tombèrent du ciel sur la terre, comme les fruits encore verts qui tombent d’un figuier secoué par un fort vent.
      14 Le ciel disparut comme un livre qu’on enroule sur lui-même ; toutes les montagnes et les îles furent arrachées de leur place.
      15 Les rois de la terre, les dirigeants, les chefs militaires, les riches, les puissants, et tous les autres, esclaves ou libres, se cachèrent dans les cavernes et parmi les rochers des montagnes.
      16 Ils disaient aux montagnes et aux rochers : « Tombez sur nous et cachez-nous loin du regard de celui qui siège sur le trône et loin de la colère de l’Agneau.
      17 Car le grand jour de leur colère est arrivé et qui pourrait lui résister ? »
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