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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 32

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    • Romains 4

      1 Comment ce qui précède s’accorde-t-il avec les Écritures, par exemple avec l’histoire d’Abraham, l’ancêtre de notre peuple, selon la descendance physique ? Comment a-t-il obtenu le salut ? Que pouvons-nous dire à son sujet ?
      2 S’il fut déclaré juste aux yeux de Dieu, le devait-il à ses efforts et à ses mérites ? Dans ce cas, certes, il aurait pu en concevoir quelque fierté. Mais telle ne fut pas son attitude devant Dieu.
      3 En effet, que dit l’Écriture ? Abraham eut confiance en Dieu et, à cause de cela, Dieu a porté sa foi à son crédit et l’a déclaré juste.
      4 Généralement, lorsque quelqu’un a fait un travail, il a droit à son salaire. Ce qu’il perçoit n’est pas une gratification, c’est un dû.
      5 Par contre, si un homme ne s’appuie pas sur ce qu’il a fait, mais qu’il place toute sa confiance en Dieu, alors ce Dieu qui justifie le pécheur tient compte de son acte de foi et déclare cet homme juste en portant sa foi à son crédit.
      6 C’est exactement ce que dit aussi David. Il proclame heureux l’homme que Dieu déclare juste sans qu’il ait aucune œuvre méritoire à présenter :
      7 Heureux ceux dont les offenses ont été pardonnées et dont les péchés ont été couverts.
      8 Heureux l’homme au compte de qui le Seigneur ne porte pas le péché.
      9 Une question se pose : ce bonheur n’est-il réservé qu’aux Juifs ou bien est-il aussi accessible à tous les hommes ? Nous disons qu’Abraham a été déclaré juste parce que Dieu a porté son acte de foi à son crédit.
      10 À quel moment cela s’est-il passé ? Avant ou après le rite de la circoncision ?
      11 Dieu l’a déclaré juste avant qu’il ne soit circoncis, et lui a donné ensuite le signe de la circoncision. Elle devait être un sceau de la justice qu’il avait déjà reçue avant sa circoncision, par sa confiance placée en Dieu. C’est pourquoi il devint le père des croyants de tous les peuples qui sont appelés justes à cause de leur foi, sans être obligés de se faire circoncire.
      12 Et il devint aussi le père des Juifs, de ceux qui ne se contentent pas seulement du signe rituel extérieur, mais qui marchent sur les traces de l’homme de foi que fut Abraham, et qui croient comme il a cru avant d’être circoncis.
      13 Car la promesse de recevoir le monde en héritage ne fut pas donnée à Abraham et à ses descendants à cause de son obéissance à la loi, mais parce qu’il fit confiance à Dieu. Voilà pourquoi il fut agréé par Dieu.
      14 En effet, si l’héritage était réservé à ceux qui satisfont aux exigences de la loi, la foi perdrait son sens et sa valeur, la promesse serait annulée.
      15 Car la loi ne nous attire que la colère de Dieu (puisque tous la transgressent). Par contre, là où il n’y a pas de loi, il n’y a pas non plus de transgression.
      16 Par conséquent, les bénédictions de Dieu dépendent d’un acte de foi, afin que l’héritage soit un don gratuit de la grâce divine. Ainsi seulement, il est accessible et garanti à toute la descendance d’Abraham, non seulement à sa lignée selon la loi, mais encore à tous ceux qui ont la même foi que notre père commun.
      17 N’est-il pas écrit : Je t’ai établi père d’une multitude de peuples ? Il est notre père à tous, et comment l’est-il devenu ? Parce qu’il a fait confiance à Dieu qui donne la vie aux morts et fait sortir l’être du néant.
      18 Là où toute espérance paraissait insensée, il a espéré et s’est cramponné avec foi à cette promesse : Nombreuse sera ta descendance. Ainsi, il est devenu le père d’une multitude de peuples.
      19 Naturellement, il savait qu’étant presque centenaire, son corps n’avait plus le pouvoir de procréer ; il savait aussi que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants. Mais toutes ces considérations ne l’ont pas fait vaciller dans sa foi.
      20 S’appuyant sur la promesse divine, il ne succomba pas au doute. Puisant sa force dans la foi, il fit honneur à Dieu,
      21 étant pleinement persuadé que Dieu est capable de tenir parole et d’accomplir ce qu’il a promis.
      22 C’est précisément cette attitude qui lui attira la bienveillance divine ; cette foi lui fut créditée comme justice et lui valut d’être déclaré juste.
      23 Or, si l’Écriture note que sa foi fut portée à son crédit, ce n’est pas seulement à propos d’Abraham qu’elle le fait,
      24 c’est aussi pour notre instruction. Car nous aussi, nous serons acceptés par Dieu et déclarés justes si nous plaçons notre confiance en celui qui a ressuscité notre Seigneur Jésus-Christ d’entre les morts.
      25 Ne fut-il pas livré à cause de nos fautes et ressuscité afin que nous soyons déclarés justes aux yeux de Dieu ?
    • Romains 4

      1

      La doctrine de la justification par la foi est démontrée dans le cas d'Abraham. (Romains 4:1-12)
      Il a reçu la promesse par la justice de la foi. (Romains 4:13-22)
      Nous sommes justifiés de la même façon par notre foi. (Romains 4:23-25)

      Pour aller à l’encontre des pensées des Juifs, l'apôtre voulut d'abord se référer à l'exemple d'Abraham, qui était pour ces derniers leur aïeul le plus révéré. Bien qu'exalté sous plusieurs aspects, Abraham n'avait aucun motif pour se glorifier d’être dans la présence de Dieu, étant sauvé par la Grâce, par le moyen de la foi, comme tous ceux qui suivent la même voie. Sans tenir compte des années précédant son appel, et des fautes commises dans son obédience, voire même dans sa foi, il a été expressément affirmé dans l'Écriture : « Il a eu confiance en l'Éternel, qui le lui imputa à justice », Ge 15:6.

      À partir de cet exemple, on remarque que si un homme peut agir selon la pleine mesure exigée par la loi, il n’y a pas de raison de le récompenser, ce qui n'était évidemment pas le cas d'Abraham, sa foi lui ayant été imputée à justice.

      Quand les croyants sont justifiés par la foi, « cette dernière leur étant imputée à justice », ils ne sont pas justifiés partiellement ; Ils sont en fait rattachés à Celui qui est appelé « le Seigneur notre Justice ». Seul ceux qui sont ainsi pardonnés peuvent se considérer comme des êtres bénis.

      Il apparaît clairement dans l'Écriture, qu’Abraham a été justifié plusieurs années avant sa circoncision. Il est donc clair que ce rite n'était pas essentiel pour la justification. C’était en fait un signe de la corruption originale de la nature humaine. C’était également un « sceau extérieur », destiné à confirmer, non seulement les promesses de Dieu envers Abraham et sa postérité, avec l’obligation d'appartenir au Seigneur, mais aussi l'assurance d'être déjà un véritable « participant de la Justice, par la foi ».

      Abraham était ainsi l'aïeul spirituel de tous les croyants, de ceux qui ont marché d'après l'exemple de sa foi obéissante. Dans notre sanctification, le sceau du Saint-Esprit, faisant de nous de « nouvelles créatures », est l'évidence intime de la justice de la foi !

      13 La promesse que Dieu fit à Abraham, au sujet de sa postérité, fut faite au patriarche longtemps avant l’établissement de la loi. Cette promesse « pointe » sur Christ, de manière prophétique, elle se réfère au texte de Ge 12:3 : « Toutes les familles de la terre seront bénies en toi ».

      La colère divine est corollaire à la loi, puisque cette dernière montre que chaque transgresseur est exposé au mécontentement divin. Dieu ayant voulu donner aux hommes l'accès aux bénédictions promises, a déterminé que ce serait seulement pour les croyants, par pure Grâce, afin que cette promesse soit certaine pour tous ceux qui avaient la même foi qu'Abraham, qu'ils soient Juifs ou Gentils, en tous temps.

      La justification et le salut des pécheurs, accordés aux Gentils, qui ne formaient pas en fait un « peuple élu », sont des manifestations pleines de Grâce, « qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles l’étaient », Genèse 4:17*. En constatant une existence aux choses qui n'étaient pas, nous avons là une preuve du Pouvoir tout-puissant de Dieu.

      Ce texte nous rappelle la nature et la puissance de la foi d'Abraham. Il a cru au témoignage de Dieu, et a cherché la réalisation de Sa promesse, espérant fermement alors que tout paraissait impossible. La faiblesse de la foi fait trébucher l’homme devant les difficultés d’accomplissement d'une promesse. Abraham prit l’engagement divin à la lettre, engagement qui n'admettait ni discussion, ni débat.

      L'incrédulité est à la base de tous nos doutes, face aux promesses divines. La force de la foi se manifeste dans sa victoire sur les craintes. Dieu honore la foi, cette dernière L’honorant !

      La foi a été imputée à justice à Abraham. C’est une grâce qui rend plus que tout, gloire à Dieu. Elle est clairement le moyen par lequel nous recevons la Justice divine et la rédemption en Jésus-Christ ; elle est « l'instrument » par lequel nous prenons ou nous recevons spirituellement, elle n’est pas un don.

      La foi d'Abraham ne l'a pas justifié devant Dieu suivant son propre mérite ou sa valeur, mais en lui donnant une « part » en Jésus-Christ.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      23 L'histoire d'Abraham et de sa justification, est retracée dans la Parole, pour enseigner les hommes, en tous temps, en particulier ceux à qui l'Évangile a été dévoilé.

      Il est clair que nous ne sommes pas justifiés par notre mérite ou nos propres œuvres, mais par la foi en Jésus-Christ et Sa Justice ; cette vérité nous est annoncée dans ce chapitre ainsi que dans le précédent : elle est la grande source et le fondement de tout réconfort !

      Christ a œuvré d'une façon admirable pour notre justification et notre salut, par Sa mort et Sa passion ; la puissance et la perfection de cet acte, dépendent, en ce qui nous concerne, de Sa résurrection.

      Par sa mort Christ a payé notre dette, par Sa résurrection Il a reçu notre acquittement, Esa 53:8. Dès lors, Il nous décharge de la culpabilité et du châtiment mérité de tous nos péchés. Ce dernier verset est un abrégé, ou un résumé, de tout l'Évangile !

    • Romains 4

      1 Que dirons-nous donc d'Abraham, notre ancêtre ? Qu'a-t-il obtenu par ses propres efforts ?
      2 Si Abraham a été considéré comme juste sur la base de ses œuvres, il a de quoi se montrer fier, mais non devant Dieu.
      3 En effet, que dit l'Ecriture ? Abraham a eu confiance en Dieu et cela lui a été compté comme justice.
      4 Or, si quelqu'un accomplit quelque chose, le salaire est porté à son compte non comme une grâce, mais comme un dû.
      5 Par contre, si quelqu'un ne fait rien mais croit en celui qui déclare juste l’impie, sa foi lui est comptée comme justice.
      6 De même, David exprime le bonheur de l'homme à qui Dieu attribue la justice sans les œuvres :
      7 Heureux ceux dont les fautes sont pardonnées et dont les péchés sont couverts, 8 heureux l'homme à qui le Seigneur ne tient pas compte de son péché !
      9 Ce bonheur n'est-il que pour les circoncis, ou bien est-il également pour les incirconcis ? En effet, nous disons que la foi d'Abraham lui a été comptée comme justice.
      10 Quand donc a-t-elle été portée à son compte ? Etait-ce après ou avant sa circoncision ? Ce n'était pas après sa circoncision, mais bien alors qu'il était incirconcis.
      11 Et il a reçu le signe de la circoncision comme le gage de la justice qu'il avait obtenue par la foi alors qu'il était incirconcis. Il est ainsi le père de tous les incirconcis qui croient, afin que la justice soit aussi portée à leur compte.
      12 Il est aussi le père des circoncis qui ne se contentent pas d’être circoncis mais qui marchent aussi sur les traces de la foi de notre ancêtre Abraham quand il était encore incirconcis.
      13 En effet, ce n'est pas par la loi que la promesse de recevoir le monde en héritage a été faite à Abraham ou à sa descendance, mais c'est par la justice de la foi,
      14 car si l'on devient héritier par la loi, la foi est dépourvue de sens et la promesse sans effets.
      15 En fait, la loi produit la colère de Dieu, puisque là où il n'y a pas de loi, il n'y a pas non plus de transgression.
      16 C'est donc par la foi que l'on devient héritier, pour que ce soit par grâce et que la promesse soit assurée à toute la descendance, non seulement à celle qui dépend de la loi, mais aussi à celle qui a la foi d'Abraham. En effet, Abraham est notre père à tous, comme cela est d’ailleurs écrit :
      17 Je t'ai établi père d'un grand nombre de nations. Il est notre père devant le Dieu en qui il a cru, le Dieu qui donne la vie aux morts et appelle ce qui n'existe pas à l'existence.
      18 Espérant contre toute espérance, Abraham a cru et est ainsi devenu le père d'un grand nombre de nations, conformément à ce qui lui avait été dit : Telle sera ta descendance.
      19 Sans faiblir dans la foi, il n’a pas considéré que son corps était déjà usé, puisqu'il avait près de 100 ans, ni que Sara n'était plus en état d'avoir des enfants.
      20 Il n’a pas douté, par incrédulité, de la promesse de Dieu, mais il a été fortifié par la foi et il a rendu gloire à Dieu,
      21 car il avait la pleine conviction que ce que Dieu promet, il peut aussi l'accomplir.
      22 C'est pourquoi cela lui a été compté comme justice.
      23 Or ce n'est pas pour lui seulement qu'il est écrit que la foi a été portée à son compte,
      24 mais c'est aussi pour nous. Elle sera portée à notre compte, puisque nous croyons en celui qui a ressuscité Jésus notre Seigneur,
      25 lui qui a été donné à cause de nos fautes et qui est ressuscité à cause de notre justification.
    • Romains 4

      1 Que dirons-nous donc que, selon la chair, Abraham notre père a trouvé ?
      2 Car si Abraham a été justifié sur le principe des oeuvres, il a de quoi se glorifier, mais non pas relativement à Dieu ;
      3 car que dit l'Écriture ?" Et Abraham crut Dieu, et cela lui fut compté à justice ".
      4 Or à celui qui fait des oeuvres, le salaire n'est pas compté à titre de grâce, mais à titre de chose due ;
      5 mais à celui qui ne fait pas des oeuvres, mais qui croit en celui qui justifie l'impie, sa foi lui est comptée à justice ;
      6 ainsi que David aussi exprime la béatitude de l'homme à qui Dieu compte la justice sans oeuvres :
      7 " Bienheureux ceux dont les iniquités ont été pardonnées et dont les péchés ont été couverts ;
      8 bienheureux l'homme à qui le Seigneur ne compte point le péché ".
      9 Cette béatitude donc vient-elle sur la circoncision ou aussi sur l'incirconcision ? Car nous disons que la foi fut comptée à Abraham à justice.
      10 Comment donc lui fut-elle comptée ? quand il était dans la circoncision, ou dans l'incirconcision ? -Non pas dans la circoncision, mais dans l'incirconcision.
      11 Et il reçut le signe de la circoncision, comme sceau de la justice de la foi qu'il avait dans l'incirconcision, pour qu'il fût le père de tous ceux qui croient étant dans l'incirconcision, pour que la justice leur fût aussi comptée,
      12 et qu'il fût père de circoncision, non seulement pour ceux qui sont de la circoncision, mais aussi pour ceux qui marchent sur les traces de la foi qu'a eue notre père Abraham, dans l'incirconcision.
      13 Car ce n'est pas par la loi que la promesse d'être héritier du monde a été faite à Abraham ou à sa semence, mais par la justice de la foi.
      14 Car si ceux qui sont du principe de la loi sont héritiers, la foi est rendue vaine et la promesse annulée ;
      15 car la loi produit la colère, mais là où il n'y a pas de loi, il n'y a pas non plus de transgression.
      16 Pour cette raison, c'est sur le principe de la foi, afin que ce soit selon la grâce, pour que la promesse soit assurée à toute la semence, non-seulement à celle qui est de la loi, mais aussi à celle qui est de la foi d'Abraham, lequel est père de nous tous
      17 (selon qu'il est écrit :" Je t'ai établi père de plusieurs nations "), devant Dieu qu'il a cru, -qui fait vivre les morts et appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient,
      18 -qui, contre espérance, crut avec espérance, pour devenir père de plusieurs nations, selon ce qui a été dit :" Ainsi sera ta semence ".
      19 Et n'étant pas faible dans la foi, il n'eut pas égard à son propre corps déjà amorti, âgé qu'il était d'environ cent ans, ni à l'état de mort du sein de Sara ;
      20 et il ne forma point de doute sur la promesse de Dieu par incrédulité, mais il fut fortifié dans la foi, donnant gloire à Dieu,
      21 et étant pleinement persuadé que ce qu'il a promis, il est puissant aussi pour l'accomplir.
      22 C'est pourquoi aussi cela lui a été compté à justice.
      23 Or ce n'est pas pour lui seul qu'il a été écrit que cela lui a été compté,
      24 mais aussi pour nous, à qui il sera compté, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité d'entre les morts Jésus notre Seigneur,
      25 lequel a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification.
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