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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 37

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    • Romains 9

      1 Ἀλήθειαν λέγω ἐν Χριστῷ, οὐ ψεύδομαι, συμμαρτυρούσης μοι τῆς συνειδήσεώς μου ἐν πνεύματι ἁγίῳ,
      2 ὅτι λύπη μοί ἐστιν μεγάλη καὶ ἀδιάλειπτος ὀδύνη τῇ καρδίᾳ μου·
      3 ηὐχόμην γὰρ ἀνάθεμα εἶναι αὐτὸς ἐγὼ ἀπὸ τοῦ Χριστοῦ ὑπὲρ τῶν ἀδελφῶν μου τῶν συγγενῶν μου κατὰ σάρκα,
      4 οἵτινές εἰσιν Ἰσραηλῖται, ὧν ἡ υἱοθεσία καὶ ἡ δόξα καὶ αἱ διαθῆκαι καὶ ἡ νομοθεσία καὶ ἡ λατρεία καὶ αἱ ἐπαγγελίαι,
      5 ὧν οἱ πατέρες, καὶ ἐξ ὧν ὁ χριστὸς τὸ κατὰ σάρκα, ὁ ὢν ἐπὶ πάντων, θεὸς εὐλογητὸς εἰς τοὺς αἰῶνας· ἀμήν.
      6 Οὐχ οἷον δὲ ὅτι ἐκπέπτωκεν ὁ λόγος τοῦ θεοῦ. οὐ γὰρ πάντες οἱ ἐξ Ἰσραήλ, οὗτοι Ἰσραήλ·
      7 οὐδ’ ὅτι εἰσὶν σπέρμα Ἀβραάμ, πάντες τέκνα, ἀλλ’· Ἐν Ἰσαὰκ κληθήσεταί σοι σπέρμα.
      8 τοῦτ’ ἔστιν, οὐ τὰ τέκνα τῆς σαρκὸς ταῦτα τέκνα τοῦ θεοῦ, ἀλλὰ τὰ τέκνα τῆς ἐπαγγελίας λογίζεται εἰς σπέρμα·
      9 ἐπαγγελίας γὰρ ὁ λόγος οὗτος· Κατὰ τὸν καιρὸν τοῦτον ἐλεύσομαι καὶ ἔσται τῇ Σάρρᾳ υἱός.
      10 οὐ μόνον δέ, ἀλλὰ καὶ Ῥεβέκκα ἐξ ἑνὸς κοίτην ἔχουσα, Ἰσαὰκ τοῦ πατρὸς ἡμῶν·
      11 μήπω γὰρ γεννηθέντων μηδὲ πραξάντων τι ἀγαθὸν ἢ φαῦλον, ἵνα ἡ κατ’ ἐκλογὴν πρόθεσις τοῦ θεοῦ μένῃ,
      12 οὐκ ἐξ ἔργων ἀλλ’ ἐκ τοῦ καλοῦντος, ἐρρέθη αὐτῇ ὅτι Ὁ μείζων δουλεύσει τῷ ἐλάσσονι·
      13 καθὼς γέγραπται· Τὸν Ἰακὼβ ἠγάπησα, τὸν δὲ Ἠσαῦ ἐμίσησα.
      14 Τί οὖν ἐροῦμεν; μὴ ἀδικία παρὰ τῷ θεῷ; μὴ γένοιτο·
      15 τῷ Μωϋσεῖ γὰρ λέγει· Ἐλεήσω ὃν ἂν ἐλεῶ, καὶ οἰκτιρήσω ὃν ἂν οἰκτίρω.
      16 ἄρα οὖν οὐ τοῦ θέλοντος οὐδὲ τοῦ τρέχοντος ἀλλὰ τοῦ ἐλεῶντος θεοῦ.
      17 λέγει γὰρ ἡ γραφὴ τῷ Φαραὼ ὅτι Εἰς αὐτὸ τοῦτο ἐξήγειρά σε ὅπως ἐνδείξωμαι ἐν σοὶ τὴν δύναμίν μου, καὶ ὅπως διαγγελῇ τὸ ὄνομά μου ἐν πάσῃ τῇ γῇ.
      18 ἄρα οὖν ὃν θέλει ἐλεεῖ, ὃν δὲ θέλει σκληρύνει.
      19 Ἐρεῖς μοι οὖν· Τί οὖν ἔτι μέμφεται; τῷ γὰρ βουλήματι αὐτοῦ τίς ἀνθέστηκεν;
      20 ὦ ἄνθρωπε, μενοῦνγε σὺ τίς εἶ ὁ ἀνταποκρινόμενος τῷ θεῷ; μὴ ἐρεῖ τὸ πλάσμα τῷ πλάσαντι Τί με ἐποίησας οὕτως;
      21 ἢ οὐκ ἔχει ἐξουσίαν ὁ κεραμεὺς τοῦ πηλοῦ ἐκ τοῦ αὐτοῦ φυράματος ποιῆσαι ὃ μὲν εἰς τιμὴν σκεῦος ὃ δὲ εἰς ἀτιμίαν;
      22 εἰ δὲ θέλων ὁ θεὸς ἐνδείξασθαι τὴν ὀργὴν καὶ γνωρίσαι τὸ δυνατὸν αὐτοῦ ἤνεγκεν ἐν πολλῇ μακροθυμίᾳ σκεύη ὀργῆς κατηρτισμένα εἰς ἀπώλειαν,
      23 καὶ ἵνα γνωρίσῃ τὸν πλοῦτον τῆς δόξης αὐτοῦ ἐπὶ σκεύη ἐλέους, ἃ προητοίμασεν εἰς δόξαν,
      24 οὓς καὶ ἐκάλεσεν ἡμᾶς οὐ μόνον ἐξ Ἰουδαίων ἀλλὰ καὶ ἐξ ἐθνῶν;—
      25 ὡς καὶ ἐν τῷ Ὡσηὲ λέγει· Καλέσω τὸν οὐ λαόν μου λαόν μου καὶ τὴν οὐκ ἠγαπημένην ἠγαπημένην·
      26 καὶ ἔσται ἐν τῷ τόπῳ οὗ ἐρρέθη αὐτοῖς· Οὐ λαός μου ὑμεῖς, ἐκεῖ κληθήσονται υἱοὶ θεοῦ ζῶντος.
      27 Ἠσαΐας δὲ κράζει ὑπὲρ τοῦ Ἰσραήλ· Ἐὰν ᾖ ὁ ἀριθμὸς τῶν υἱῶν Ἰσραὴλ ὡς ἡ ἄμμος τῆς θαλάσσης, τὸ ὑπόλειμμα σωθήσεται·
      28 λόγον γὰρ συντελῶν καὶ συντέμνων ποιήσει κύριος ἐπὶ τῆς γῆς.
      29 καὶ καθὼς προείρηκεν Ἠσαΐας· Εἰ μὴ κύριος Σαβαὼθ ἐγκατέλιπεν ἡμῖν σπέρμα, ὡς Σόδομα ἂν ἐγενήθημεν καὶ ὡς Γόμορρα ἂν ὡμοιώθημεν.
      30 Τί οὖν ἐροῦμεν; ὅτι ἔθνη τὰ μὴ διώκοντα δικαιοσύνην κατέλαβεν δικαιοσύνην, δικαιοσύνην δὲ τὴν ἐκ πίστεως·
      31 Ἰσραὴλ δὲ διώκων νόμον δικαιοσύνης εἰς νόμον οὐκ ἔφθασεν.
      32 διὰ τί; ὅτι οὐκ ἐκ πίστεως ἀλλ’ ὡς ἐξ ἔργων· προσέκοψαν τῷ λίθῳ τοῦ προσκόμματος,
      33 καθὼς γέγραπται· Ἰδοὺ τίθημι ἐν Σιὼν λίθον προσκόμματος καὶ πέτραν σκανδάλου, καὶ ὁ πιστεύων ἐπ’ αὐτῷ οὐ καταισχυνθήσεται.
    • Romains 9

      1 Je dis la vérité en Christ, je ne mens pas, ma conscience m'en rend témoignage par le Saint-Esprit :
      2 j'éprouve une grande tristesse et j'ai dans le cœur un chagrin continuel.
      3 Oui, je voudrais être moi-même maudit et séparé de Christ pour mes frères, mes propres compatriotes,
      4 les Israélites ; c'est à eux qu'appartiennent l'adoption, la gloire, les alliances, la loi, le culte, les promesses
      5 et les patriarches ; c'est d'eux que le Christ est issu dans son humanité, lui qui est au-dessus de tout, Dieu béni éternellement. Amen !
      6 Ce n'est pas que la parole de Dieu soit sans effet. Non, car ceux qui sont issus d'Israël ne sont pas tous Israël,
      7 et bien qu'étant de la descendance d'Abraham, ils ne sont pas tous ses enfants. Au contraire, il est dit : C'est par Isaac qu’une descendance te sera assurée.
      8 Cela signifie que ce ne sont pas les descendants simplement biologiques qui sont enfants de Dieu, mais que ce sont les enfants de la promesse qui sont considérés comme sa descendance.
      9 La parole que voici était en effet une promesse : Je reviendrai à la même époque et Sara aura un fils.
      10 De plus, tel a aussi été le cas pour Rebecca qui a eu des enfants d'un seul homme, notre ancêtre Isaac :
      11 les enfants n'étaient pas encore nés et n'avaient donc fait ni bien ni mal – afin que le plan de Dieu subsiste, conformément à son choix et sans dépendre des œuvres mais de celui qui appelle –
      12 quand il a été dit à Rebecca : L'aîné sera asservi au plus jeune. De même, il est écrit :
      13 J'ai aimé Jacob et j'ai détesté Esaü.
      14 Que dirons-nous donc ? Dieu serait-il injuste ? Certainement pas !
      15 En effet, il dit à Moïse : Je ferai grâce à qui je veux faire grâce, et j'aurai compassion de qui je veux avoir compassion.
      16 Ainsi donc, cela ne dépend ni de la volonté ni des efforts de l’homme, mais de Dieu qui fait grâce.
      17 L'Ecriture dit en effet au pharaon : Voilà pourquoi je t'ai suscité : c'est pour montrer en toi ma puissance et afin que mon nom soit proclamé sur toute la terre.
      18 Ainsi, Dieu fait grâce à qui il veut et il endurcit qui il veut.
      19 Tu me diras : « Pourquoi fait-il [donc] encore des reproches ? Qui peut en effet résister à sa volonté ? »
      20 Mais toi, homme, qui es-tu pour entrer en contestation avec Dieu ? L’objet dira-t-il à celui qui l'a façonné : « Pourquoi m'as-tu fait ainsi ? »
      21 Le potier n'est-il pas le maître de l'argile pour faire avec la même pâte un ustensile d’un usage noble et un ustensile d’un usage méprisable ?
      22 Que dire si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une grande patience des vases de colère tout prêts pour la perdition ?
      23 Et que dire s'il a voulu faire connaître la richesse de sa gloire envers des vases de compassion qu'il a d'avance préparés pour la gloire ?
      24 Ainsi il nous a appelés non seulement d'entre les Juifs, mais encore d'entre les non-Juifs.
      25 C'est aussi ce qu'il dit dans le livre d'Osée : J'appellerai ‘mon peuple’celui qui n'était pas mon peuple, et ‘bien-aimée’celle qui n'était pas la bien-aimée.
      26 Et là où on leur disait : ‘Vous n'êtes pas mon peuple’, ils seront appelés fils du Dieu vivant.
      27 Esaïe, de son côté, s'écrie au sujet d'Israël : Même si les Israélites, de par leur nombre, étaient pareils au sable de la mer, un reste seulement sera sauvé.
      28 En effet, le Seigneur accomplira pleinement et rapidement sa parole [avec justice, en effet le Seigneur accomplira rapidement sa parole] sur la terre.
      29 Et comme Esaïe l'avait prédit, si le Seigneur de l’univers ne nous avait pas laissé une descendance, nous serions devenus comme Sodome, nous aurions été semblables à Gomorrhe.
      30 Que dirons-nous donc ? Des non-Juifs qui ne recherchaient pas la justice ont obtenu la justice, celle qui vient de la foi,
      31 tandis qu'Israël, qui cherchait une loi de justice, n'est pas parvenu à cette loi.
      32 Pourquoi ? Parce qu'Israël l'a cherchée non par la foi, mais par les œuvres [de la loi]. Ils se sont heurtés à la pierre qui fait obstacle,
      33 comme il est écrit : Je mets dans Sion une pierre qui fait obstacle, un rocher propre à faire trébucher, mais celui qui croit en lui ne sera pas couvert de honte.
    • Romains 9

      1 Ce que je vais dire est la vérité ; j’en appelle au Christ, je ne mens pas ; ma conscience, en accord avec l’Esprit Saint, me rend ce témoignage :
      2 j’éprouve une profonde tristesse et un chagrin continuel dans mon cœur.
      3 Oui, je demanderais à Dieu d’être maudit et séparé du Christ pour le bien de mes frères, nés du même peuple que moi.
      4 Ce sont les Israélites. C’est à eux qu’appartiennent la condition de fils adoptifs de Dieu, la manifestation glorieuse de la présence divine, les *alliances, le don de la *Loi, le culte et les promesses ;
      5 à eux les patriarches ! Et c’est d’eux qu’est issu le Christ dans son humanité ; il est aussi au-dessus de tout, Dieu béni pour toujours. *Amen !
      6 La Parole de Dieu aurait-elle échoué ? Non ! En effet, ce ne sont pas tous ceux qui descendent du patriarche *Israël qui constituent Israël ;
      7 et ceux qui descendent d’*Abraham ne sont pas tous ses enfants. Car Dieu dit à Abraham : C’est la postérité d’*Isaac qui sera appelée ta descendance.
      8 Cela veut dire que tous les enfants de la descendance naturelle d’Abraham ne sont pas enfants de Dieu. Seuls les enfants nés selon la promesse sont considérés comme sa descendance.
      9 Car Dieu a donné sa promesse en ces termes : Vers cette époque, je viendrai, et Sara aura un fils.
      10 Et ce n’est pas tout : Rébecca eut des jumeaux nés d’un seul et même père, de notre ancêtre Isaac.
      11 Or, Dieu a un plan qui s’accomplit selon son libre choix et qui dépend, non des actions des hommes, mais uniquement de la volonté de celui qui appelle. Et pour que ce plan demeure, c’est avant même la naissance de ces enfants, et par conséquent avant qu’ils n’aient fait ni bien ni mal, que Dieu dit à Rébecca : L’aîné sera assujetti au cadet.
      13 Ceci s’accorde avec cet autre texte de l’Ecriture : J’ai aimé *Jacob et pas Esaü.
      14 Mais alors, que dire ? Dieu serait-il injuste ? Loin de là !
      15 Car il a dit à *Moïse : Je ferai grâce à qui je veux faire grâce, J’aurai pitié de qui je veux avoir pitié.
      16 Cela ne dépend donc ni de la volonté de l’homme, ni de ses efforts, mais de Dieu qui fait grâce.
      17 Dans l’Ecriture, Dieu dit au pharaon : Voici pourquoi je t’ai fait parvenir où tu es : pour montrer en toi ma puissance, et pour que, sur la terre entière, on proclame qui je suis.
      18 Ainsi donc, Dieu fait grâce à qui il veut et il endurcit qui il veut.
      19 Tu vas me dire : pourquoi alors Dieu fait-il encore des reproches ? Car qui a jamais pu résister à sa volonté ?
      20 Mais, qui es-tu donc toi, homme, pour critiquer Dieu ? L’ouvrage demandera-t-il à l’ouvrier : « Pourquoi m’as-tu fait ainsi ? »
      21 Le potier n’a-t-il pas le droit, à partir du même bloc d’argile, de fabriquer un pot d’usage noble et un autre pour l’usage courant ?
      22 Et qu’as-tu à redire si Dieu a voulu montrer sa colère et faire connaître sa puissance en supportant avec une immense patience ceux qui étaient les objets de sa colère, tout prêts pour la destruction ?
      23 Oui, qu’as-tu à redire si Dieu a agi ainsi pour manifester la richesse de sa gloire en faveur de ceux qui sont les objets de sa grâce, ceux qu’il a préparés d’avance pour la gloire ?
      24 C’est nous qui sommes les objets de sa grâce, nous qu’il a appelés non seulement d’entre les Juifs, mais aussi d’entre les non-Juifs.
      25 C’est ce qu’il dit dans le livre du *prophète Osée : Celui qui n’était pas mon peuple, je l’appellerai « mon peuple ». Celle qui n’était pas la bien-aimée, je la nommerai « bien-aimée ».
      26 Au lieu même où on leur avait dit : « Vous n’êtes pas mon peuple », on leur dira alors : « Vous êtes les fils du Dieu vivant. »
      27 Et pour ce qui concerne Israël, *Esaïe déclare de son côté : Même si les descendants d’*Israël étaient aussi nombreux que les grains de sable au bord de la mer, seul un reste sera *sauvé.
      28 Car pleinement et promptement, le Seigneur accomplira sa parole sur la terre.
      29 Et comme Esaïe l’avait dit par avance : Si le Seigneur des armées célestes ne nous avait laissé des descendants, nous ressemblerions à *Sodome, nous serions comme *Gomorrhe.
      30 Que dire maintenant ? Voici ce que nous disons : les païens qui ne cherchaient pas à être déclarés justes par Dieu ont saisi cette justice, mais il s’agit de la justice qui est reçue par la foi.
      31 Les Israélites, eux, qui cherchaient à être déclarés justes en obéissant à une loi, n’y sont pas parvenus.
      32 Pour quelle raison ? Parce qu’ils ont cherché à être déclarés justes non pas en comptant sur la foi, mais comme si la justice pouvait provenir de la pratique de la Loi. Ils ont buté contre la pierre qui fait tomber,
      33 celle dont parle l’Ecriture : Moi, je place en Sion une pierre qui fait tomber, un rocher qui fait trébucher. Celui qui met en lui sa *confiance ne connaîtra jamais le déshonneur.
    • Romains 9

      1

      L'apôtre s’inquiète de voir ses concitoyens, rester étrangers à l'Évangile. (Romains 9:1-5)
      Les promesses sont accomplies pour la postérité spirituelle d'Abraham. (Romains 9:6-13)
      Réponses contre des objections à la conduite souveraine de Dieu dans l'exercice de Sa Miséricorde et Sa Justice. (Romains 9:14-24)
      Cette souveraineté s'exerce dans tout ce que fait Dieu, à la fois pour les Juifs et les païens. (Romains 9:25-29)
      Les Juifs ont « trébuché » spirituellement, ayant recherché la justification, non pas par la foi, mais par les œuvres de la loi. (Romains 9:30-33)

      Étant sur le point de discuter du refus de l’Évangile par les Juifs et de l'appel des païens, en montrant que ceci est en accord avec l’Amour souverain de Dieu, l'apôtre exprime fermement son affection à l’égard de ceux qu’il côtoie.

      Il en appelle solennellement à Christ ; sa conscience, éclairée et dirigée par le Saint-Esprit, témoigne de sa sincérité. Il irait jusqu’à accepter d’être traité de « maudit », d’anathème, d’être en disgrâce, crucifié, et même être pour un temps, en pleine détresse, s'il pouvait sauver sa nation de la destruction spirituelle, à cause de son incrédulité obstinée.

      Rester insensible à la condition éternelle de notre prochain est contraire à l'amour exigé par la loi et à la miséricorde de l'Évangile.

      Les Juifs avaient longtemps professé être des adorateurs de l'Éternel. La loi, et l'alliance nationale fondée sur ces principes, les concernaient. Leur adoration au temple était en harmonie avec le futur salut qu’allait offrir le Messie, elle témoignait de leur communion avec Dieu.

      Toutes les promesses, concernant Christ et Son salut ont été données au peuple juif. Jésus-Christ est non seulement un Médiateur, mais Il est Dieu, béni pour toujours !

      6 Le rejet de l'Évangile par les Juifs, n'a pas empêché l’accomplissement de la promesse que Dieu a faite aux patriarches, au sujet de leur descendance.

      Les promesses de Dieu s’accomplissent toujours, comme d’ailleurs les manifestations de Sa colère, lorsqu’on méprise Ses avertissements. La Grâce ne se manifeste jamais dans la terreur ni le sang et on constate d’ailleurs, les bénédictions que peut apporter le salut, dans le cadre de l'église.

      On peut constater que certains descendants d’Abraham furent choisis par Dieu, alors que d'autres ne l'ont pas été : le Seigneur a œuvré selon Sa propre Volonté. Dieu avait prévu qu’Ésaü et Jacob devaient naître dans le péché, et qu’ils méritaient, par nature, de subir Sa colère, comme tout autre. S’ils avaient été livrés à eux-mêmes, ils auraient continué à vivre dans l’iniquité, tout au long de leur existence ; mais pour de sages et saintes raisons, (qui nous échappent d’ailleurs), Dieu a résolu de changer le cœur de Jacob, et de laisser Ésaü dans sa perversité. Cet exemple d'Ésaü et de Jacob fait la lumière sur la conduite divine envers la race humaine, qui a chuté.

      Toute l'Écriture montre la différence entre celui qui professe, être chrétien sans réelle conviction, et celui qui l’est véritablement. Beaucoup de bénédictions sont octroyées par le ciel à des personnes qui ne veulent pas connaître Dieu. Il y a, cependant, un encouragement à jouir pleinement des bénéfices de la Grâce divine !

      14 Quelles que soient les œuvres que Dieu accomplit, elles sont toutes justes !

      Il n’y a que la Grâce de Dieu qui puisse rendre Son peuple, saint et heureux, différent des autres. Dans Sa Grâce, efficace et merveilleuse, qui n’appartient qu’à Lui seul, Dieu agit avec bonté. Nul ne mérite cette Grâce et les rachetés doivent remercier Dieu pour ce don ; et ceux qui périssent dans leurs péchés ne peuvent que se blâmer eux-mêmes, \\# Ho 13:9\\.

      Dieu n'est pas lié au delà de Ses promesses et de Ses alliances, par lesquelles Sa Volonté a été révélée : cela signifie qu'Il recevra et ne rejettera jamais, ceux qui viennent à Christ ; mais le fait d'attirer ou non les âmes à Lui, n’est qu’une « faveur » conforme à Sa Volonté. Pourquoi rencontre-t-Il des refus de croire, de la part de l’homme ? N'est ce pas une réaction hostile de ce dernier, contre son Créateur ? En fait, quand un homme s’approche de Jésus, il est réduit spirituellement à néant, à moins que rien, confessant que Dieu devient son Seigneur, le Souverain de toutes choses. Qui es-tu, pauvre insensé, si faible et incapable de juger les décisions divines ?

      Il nous appartient de nous soumettre à Dieu et de ne pas contester Sa Volonté. Les hommes n’accorderaient-ils pas au Dieu infini, le même droit souverain de diriger les affaires de la création, que celui que le potier exerce, en disposant de son argile, lorsque du même bloc initial, il produit un vase honorable, ou un autre, destiné à un usage des plus vils ? Dieu ne peut pas pratiquer le mal, malgré l’opinion de certaines personnes. Il montrera toujours qu'Il déteste le péché. Il a formé des « vases » pleins de miséricorde.

      La sanctification est la préparation de l'âme, en vue de sa participation à la gloire céleste. Ceci est l'œuvre de Dieu. Les pécheurs cheminent délibérément vers l'enfer, mais Dieu prépare les saints pour le ciel ; tous ceux qui sont destinés à entrer au ciel, sont dès maintenant préparés spirituellement par Dieu.

      Voulons-nous connaître quels sont ces « vases » de miséricorde ? Ils sont ceux que Dieu a appelés ; ce ne sont pas uniquement des Juifs, mais aussi des païens (les Gentils). Il est certain qu'il ne peut pas y avoir la moindre injustice dans chacune des dispensations divines, Dieu, exerçant toujours Sa longanimité et Sa patience envers les pécheurs qui dégénèrent dans leur culpabilité croissante, avant de sombrer dans une destruction complète. La faute réside dans le pécheur endurci.

      De telles vérités peuvent paraître difficiles à assimiler, même pour tous ceux qui aiment Dieu et Le craignent, cependant à l’encontre de leur raison, ils doivent faire silence devant Lui.

      Seul le Seigneur nous a rendus différents ; nous devons L’adorer pour Sa Miséricorde, Son pardon et Sa Grâce, qui nous font naitre de nouveau ; soyons attentifs et réceptifs à cet appel céleste qui nous transforme spirituellement !

      25 Le rejet du Messie par les Juifs, et l’acceptation, par les païens, du salut qu’Il offre, ont été prédits dans l'Ancien Testament. Ce fait tend réellement à démontrer la véracité de l'Écriture et l’accomplissement de Ses prophéties.

      C'est une merveille de la Puissance et de Miséricorde de Dieu, de constater qu’aujourd’hui, plusieurs acceptent toujours l’offre du salut : si Dieu avait agi envers Son peuple, selon l’ampleur de ses péchés, tous auraient péri.

      L’Écriture nous enseigne cette grande vérité : parmi le vaste nombre de ceux qui professent être chrétiens, il est à craindre qu'une partie seulement soit réellement sauvée...

      30 Les païens (les Gentils) ne connaissaient pas leur culpabilité et leur misère, relative à leurs péchés, ils ne se préoccupaient donc pas d'y apporter un quelconque remède. Ils ont cependant été justifiés par la foi. Non pas en devenant des prosélytes de la religion juive, en se soumettant à la loi, mais en acceptant Christ, en croyant en Lui, et en obéissant à l'Évangile.

      Les Juifs parlaient beaucoup de « justification » et de « sainteté », ils paraissaient être très fiers d'être le « peuple élu » de Dieu. Ils recherchaient Dieu d’une mauvaise manière, ils empruntaient le mauvais chemin, pas celui de l’humilité. Ils ne recherchaient pas la foi, ni l’acceptation de Christ, ni dépendance, ni soumission à l'Évangile. Ils s’attendaient à être justifiés en observant seulement les préceptes et les cérémonies de la loi de Moïse.

      Les Juifs incrédules disposaient d’une offre magnifique de justice, de vie et de salut, qui leur était proposée par l'Évangile : ils ne l'ont pas aimé, ni accepté.

      Avons-nous cherché à savoir comment être justifiés devant Dieu, en désirant la bénédiction, comme il est indiqué dans ce texte, par la foi en Christ, le Seigneur, notre Justice ? Dans l’affirmative, nous ne serons pas honteux au jour terrible, du Jugement, quand tous les « refuges » des mensonges seront balayés, et que la colère divine s’étendra jusqu’aux confins de tout lieu caché ; tous périront, sauf ceux que Dieu aura sauvés, par le sacrifice de Son propre Fils !

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