Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Un outil révolutionnaire de lecture et d'étude de la Bible en ligne. Démarrez dès aujourd'hui le plan de lecture offert dont vous avez besoin.

Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 40

Sommaire

Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Versets relatifs

    • Romains 12

      1 Je vous demande donc, frères, à cause de la bonté que Dieu vous a témoignée, de lui consacrer votre être tout entier : que votre corps, vos forces et toutes vos facultés soient mis à sa disposition comme une offrande vivante, sainte et qui plaise à Dieu. C’est là le culte spirituel qui a un sens, un culte logique, conforme à ce que la raison vous demande.
      2 Ne vous coulez pas simplement dans le moule de tout le monde. Ne conformez pas votre vie aux principes qui régissent le siècle présent ; ne copiez pas les modes et les habitudes du jour. Laissez-vous plutôt entièrement transformer par le renouvellement de votre mentalité. Adoptez une attitude intérieure différente. Donnez à vos pensées une nouvelle orientation afin de pouvoir discerner ce que Dieu veut de vous. Ainsi, vous serez capables de reconnaître ce qui est bon à ses yeux, ce qui lui plaît et qui vous conduit à une réelle maturité.
      3 Dieu m’a fait grâce, il m’a accordé un ministère et des dons ; c’est pourquoi j’aimerais vous faire quelques recommandations : n’ayez pas une opinion exagérée de votre importance, mais que chacun de vous s’efforce de se faire une idée juste sur lui-même ; ne surestimez pas vos capacités, n’aspirez pas à ce qui dépasse vos possibilités ou qui déborde votre vocation. Acceptez vos limites, celles que vous tracent les dons particuliers qui vous ont été départis en vertu de votre foi.
      4 Vous savez que tous nos membres et organes constituent un corps unique. Pourtant, tous n’ont pas la même fonction.
      5 De même, nous tous qui sommes en communion avec le Christ, malgré notre pluralité, nous ne formons ensemble qu’un seul corps. Individuellement, chacun a besoin de tous pour être complet, nous sommes mutuellement interdépendants ; en effet, comme les organes entre eux, nos fonctions nous lient les uns aux autres.
      6 Et pourtant, nous sommes tous différents, exactement comme les organes et les membres du corps ; nos talents varient suivant la grâce qui nous a été conférée. L’un a reçu le don d’adresser des messages inspirés : que ses paroles découlent de sa communion avec Dieu et qu’elles restent conformes à la règle de notre foi.
      7 Un autre a le don d’exercer des activités pratiques, il s’est vu confier le ministère du diaconat ou la gérance de biens matériels : qu’il prenne ses responsabilités au sérieux (et serve les frères de tout son cœur). Un autre est doué pour expliquer la parole de Dieu et exposer la doctrine : qu’il se consacre à cette tâche et qu’il utilise son don pour instruire ses frères.
      8 Un autre sait exhorter et consoler : qu’il prenne fidèlement soin de ceux qui lui sont confiés et que ses paroles leur apportent un réel réconfort. Que celui à qui Dieu a confié des richesses matérielles en fasse part généreusement ; qu’il donne en toute simplicité, sans calcul ni arrière-pensée ; que celui qui est chargé de distribuer les secours soit impartial. Que celui qui sait diriger le fasse avec autorité et zèle ; que celui qui préside les réunions, y mette tout son cœur. Si vous visitez les malades, apportez-leur la joie. Si vous exercez la bienfaisance, faites-le avec le sourire.
      9 L’amour ne supporte pas les masques : que le vôtre soit donc authentique et sans affectation ; aimez en toute sincérité. Haïssez le mal ; ayez-le en horreur et détournez-vous-en. Laissez-vous attirer par le bien ; attachez-vous-y fortement.
      10 Comme les membres d’une même famille, aimez-vous en frères, d’une affection vraie et profonde. Estimez-vous mutuellement. Placez toujours l’autre au-dessus de vous et honorez-le comme vous étant supérieur. Soyez les premiers à témoigner des égards.
      11 Ne devenez pas nonchalants dans votre travail, faites-le avec énergie et zèle. Ne laissez jamais votre ardeur se refroidir, maintenez vive et claire la flamme que l’Esprit a allumée en vous. Servez le Seigneur.
      12 Que votre joie découle de votre espérance. Si l’affliction survient, portez avec patience les fardeaux qui vous sont imposés. Exercez-vous à maintenir votre esprit dans une attitude de prière constante. Priez avec régularité et persévérance.
      13 Considérez-vous comme solidaires des chrétiens dans le besoin. Soutenez-les de vos dons. Prenez l’habitude d’être hospitaliers. Exercez vos devoirs d’hôtes avec empressement et bonne grâce.
      14 S’il y a des gens qui vous rendent la vie impossible, gardez-vous de proférer des malédictions contre eux : demandez plutôt à Dieu de les bénir.
      15 Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent. Pleurez avec ceux qui pleurent.
      16 Que vos sentiments vous rapprochent les uns des autres. Vivez ensemble en bonne harmonie. Ne frayez pas seulement avec les gens importants ; complaisez-vous dans la compagnie des humbles. Méfiez-vous de l’orgueil et de l’ambition. N’aspirez pas à réaliser de grandes choses ; adonnez-vous aux tâches modestes. Ne vous surestimez pas ; ne soyez pas de ceux qui savent tout mieux que les autres. Ne vous croyez ni meilleurs ni plus sages que vous ne l’êtes et n’ayez pas l’outrecuidance de penser que vous avez déjà tout compris.
      17 Si l’on vous fait du mal, ne le rendez pas. Cherchez, au contraire, à faire du bien à tous. Quel que soit l’autre, trouvez ce qui serait bon pour lui. Ayez le souci de mener une vie honorable aux yeux de tout le monde : que votre comportement soit au-dessus de toute critique.
      18 Autant que possible, et dans la mesure où cela dépend de vous, vivez en paix avec tous les hommes.
      19 Mes amis, ne vous faites point justice vous-mêmes, ne prenez jamais votre revanche. Laissez à Dieu le soin de faire peser son courroux sur qui il veut, car il est écrit : C’est à moi qu’appartient la vengeance, c’est moi qui rendrai à chacun son dû.
      20 Pour vous, agissez suivant cet autre texte : Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger. S’il a soif, donne-lui à boire. Par là, tu l’aideras à prendre conscience de sa manière d’agir envers toi et à trouver le moyen de changer.
      21 Ne laissez jamais les rênes de votre conduite entre les mains du mal ; au contraire, prenez l’offensive et triomphez de lui par le bien.
    • Romains 12

      1

      Les croyants doivent se consacrer à Dieu. (Romains 12:1,2)
      Ils doivent être humbles, et utiliser fidèlement leurs dons spirituels, à leur place respective. (Romains 12:3-8)
      Exhortations à divers devoirs. (Romains 12:9-16)
      Exhortations à une conduite paisible envers tous les hommes, avec indulgence et bienveillance. (Romains 12:17-21)

      L'apôtre, ayant terminé la partie de son épître, dans laquelle il exposait et expliquait diverses doctrines couramment appliquées, insiste, dans ce texte, sur les devoirs importants dictés par l'Évangile.

      Il a imploré les Romains, ses frères en Christ, par la miséricorde divine, à présenter à Dieu, leur corps, comme un sacrifice vivant. C’est en fait un appel puissant. Nous recevons tous les jours du Seigneur les fruits de Sa Miséricorde ! Offrons-Lui tout notre être en retour, tout ce que nous avons, tout ce que nous pouvons faire : d’ailleurs, que cela peut-il représenter, par rapport à toutes les grandes richesses spirituelles qu’Il nous accorde ?

      Que peut accepter Dieu, de notre part ? Un culte raisonnable, (un service intelligent) verset Romains 12:2*, auquel nous sommes capables de donner une raison, par la foi. La conversion et la sanctification sont le renouvellement de l'esprit ; elles consistent en un changement, non pas de la nature, mais des qualités de l'âme. Les progrès de la sanctification, conduisent de plus en plus à « la mort au péché », à une vie droite, éléments qui sont opérés dans un renouvellement spirituel, jusqu'à ce que tout cela soit parachevé dans la Gloire céleste.

      Le grand ennemi de ce renouvellement est l’attirance de notre être vers les attraits de ce monde. Soyons prudents, lorsque nous élaborons des plans, même soi disant positifs : veillons à ce que ces projets ne reposent pas sur les fondements éphémères de ce monde. Ne tombons pas dans les habitudes de ceux qui marchent selon les convoitises de la chair, et qui ont leur esprit braqué sur les désirs terrestres.

      L'œuvre du Saint Esprit commence d'abord par l’ouverture de la compréhension, puis elle opère sur la volonté, les affections et les conversations qui nous animent, jusqu'à ce qu'il y ait un changement dans l'ensemble de notre être, dans la recherche de la ressemblance avec Dieu, dans Sa connaissance, Sa justice et Sa véritable sainteté. Être pieux, c'est nous abandonner à Dieu !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      3 L’orgueil est un péché naturel dont nous avons besoin d'être avertis.

      Tous les saints forment un corps en Christ, Celui qui en est la Tête et le Centre. Dans le corps spirituel quelques-uns sont parfaitement aptes à accomplir certaines tâches, auxquelles ils sont appelés ; d'autres sont destinés à des services différents.

      Nous devons accomplir tout le bien dont nous sommes capables, les uns envers les autres, dans l'intérêt commun. Si nous prenions conscience sérieusement des capacités dont nous sommes dotés, (et que nous sommes loin d’exploiter correctement), cela nous rendrait plus reconnaissants envers Dieu. Mais comme nous ne devons pas être fiers de nos talents, nous ne devons pas, de la même manière, sous prétexte d'humilité, devenir oisifs, afin de ne pas chercher à « vivre aux crochets » des autres. Nous ne devons pas dire : « je ne suis rien, donc je vais rester encore assis et ne rien faire » ; tenons plutôt ces propos : « je ne suis rien par moi-même, mais je me donnerai à l'extrême, dans la force de la Grâce de Christ » !

      Quels que soient nos dons, notre situation, cherchons à servir humblement, avec diligence, dans la joie et en toute simplicité, non pas en recherchant notre propre intérêt, mais celui des autres, pour ce monde et celui qui est à venir !

      9 L'amour mutuel entre les chrétiens, doit être sincère, sans hypocrisie, sans arrière pensée, ni flatteries. Dépendant de la Grâce divine, il doit détester tout mal, aimer et se plaire dans tout ce qui est bon et utile.

      Nous ne devons pas seulement pratiquer ce qui est bon, mais nous devons nous y attacher. Tout notre devoir envers notre prochain se résume en un mot : l'amour. Ce dernier se manifeste chez les parents, envers leurs enfants, il est plus tendre et naturel que tout autre, il n’est pas hypocrite, il n’a pas de contrainte.

      L'amour pour Dieu et notre prochain, avec du zèle pour l'Évangile, rendra le chrétien sage, appliqué à toutes ses occupations ici-bas, en lui permettant d'obtenir, à l’occasion, une bonne compétence professionnelle. Dieu doit être servi, sous l’influence du Saint-Esprit. Il est honoré par notre espérance et notre confiance en Lui, particulièrement quand nous nous réjouissons dans de telles pensées. Nous servons le Seigneur, non seulement quand nous travaillons pour Lui, mais aussi lorsque nous restons sereins, face aux souffrances de l’épreuve.

      La patience à l'égard de Dieu est la véritable piété. Ceux qui se réjouissent dans l'espérance céleste seront vraisemblablement patients dans la tribulation. Ne négligeons pas la pratique de la prière, sans nous lasser.

      Non seulement les chrétiens doivent savoir exprimer de la gentillesse pour leurs amis et leurs frères, mais ils ne doivent pas céder à la colère, même contre leurs ennemis. Celui qui n’adresse que de simples paroles d’encouragement à son frère dans le besoin, se moque de lui : en fait, il doit pourvoir à son soutien. Soyez prêt à aider ceux qui pratiquent le bien : si l'occasion se présente, nous devons accueillir des étrangers. Bénissez-les, ne maudissez pas. Cela exige beaucoup de bonne volonté ; il ne s’agit pas de ne les bénir que dans nos prières, en les maudissant en d'autres temps : il faut les aimer en permanence, n’ayant aucune pensée négative à leur égard.

      Le véritable amour chrétien nous fera prendre part aux peines et aux joies des uns et des autres. Cherchez, dans toute la mesure du possible, à vous entendre avec vos frères, dans les mêmes vérités spirituelles ; quand vous constatez que cela est parfois difficile, soyez au moins unis dans votre amour mutuel. Considérez l’orgueil de ce monde et tous ses fastes, avec un saint mépris. N'y portez pas attention ; ne le convoitez pas.

      Contentez-vous de la position où Dieu vous a placés, dans Sa sainte Providence. Rien ne pourra plus nous nuire que le péché. Nous n’éprouverons jamais de condescendance envers les autres, si nous sommes dépassés par nos propres iniquités ; c'est pourquoi tout péché qui subsiste en nous doit être mortifié.

      17 Dès que les hommes sont devenus hostiles à Dieu, ils n’ont pas tardé à se battre entre eux. Ceux qui exercent la piété, doivent s’attendre à rencontrer des ennemis, dans un monde où les « sourires et les amabilités hypocrites » sont rarement en accord avec l’Amour de Christ.

      Il ne faut rendre à personne le mal pour le mal. La vengeance appartient aux « primitifs », inconscients de la présence d'un être suprême au-dessus de leur tête, ou d'une existence future. Nous devons non seulement pratiquer le bien, mais aussi rechercher à faire tout ce qui est respectable, ce qui, par notre témoignage, incite à la piété, tous ceux que nous côtoyons.

      Veillez à pratiquer ce qui procure la paix ; si possible sans offenser Dieu, ni heurter votre conscience. Ne vous vengez pas vous-même. C’est une tâche vile, cependant, un remède existe : laissez agir la colère divine !

      Quand un homme est excité, et que la tension est à son comble, laissez cela passer, de peur que cette fureur ne se tourne contre vous. Notre ligne de conduite, dans ce domaine, est clairement indiquée dans la Parole : si nos ennemis ne sont pas « attendris » par notre bienveillance persévérante, ne cherchons pas vengeance ; ils seront « consommés » par le courroux de Dieu, « à qui appartient la vengeance et la rétribution ».

      Le dernier verset de ce texte exhorte l’homme à avoir des sentiments difficilement acceptables en ce monde : dans toute lutte ou dispute, celui qui se venge est conquis, celui qui pardonne étant le conquérant. Ne soyez pas vaincus par le mal. Apprenez à vous battre contre les mauvais desseins érigés contre vous, en conservant votre âme en paix. Celui qui observe cette règle, sera finalement le plus fort. Les enfants de Dieu sont en droit de se demander s'il n'est pas préférable de posséder une telle sagesse, vis-à-vis de la vengeance, par le biais de l’Esprit saint, plutôt que toutes les richesses de ce monde...

    • Romains 12

      1 Je vous encourage donc, frères et sœurs, par les compassions de Dieu, à offrir votre corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu. Ce sera de votre part un culte raisonnable.
      2 Ne vous conformez pas au monde actuel, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence afin de discerner quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.
      3 Par la grâce qui m'a été donnée, je dis à chacun de vous de ne pas avoir une trop haute opinion de lui-même, mais de garder des sentiments modestes, chacun selon la mesure de foi que Dieu lui a donnée.
      4 En effet, de même que nous avons plusieurs membres dans un seul corps et que tous les membres n'ont pas la même fonction,
      5 de même, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ et nous sommes tous membres les uns des autres, chacun pour sa part.
      6 Nous avons des dons différents, selon la grâce qui nous a été accordée. Si quelqu’un a le don de prophétie, qu'il l'exerce en accord avec la foi ;
      7 si un autre est appelé à servir, qu'il se consacre à son service. Que celui qui enseigne se donne à son enseignement,
      8 et celui qui a le don d’encourager à l'encouragement. Que celui qui donne le fasse avec générosité, celui qui préside, avec zèle, et que celui qui exerce la bienveillance le fasse avec joie.
      9 Que l'amour soit sans hypocrisie. Ayez le mal en horreur, attachez-vous au bien.
      10 Par amour fraternel soyez pleins d'affection les uns pour les autres et rivalisez d'estime réciproque.
      11 Ayez du zèle, et non de la paresse. Soyez fervents d'esprit et servez le Seigneur.
      12 Réjouissez-vous dans l'espérance et soyez patients dans la détresse. Persévérez dans la prière.
      13 Pourvoyez aux besoins des saints et exercez l'hospitalité avec empressement.
      14 Bénissez ceux qui vous persécutent, bénissez et ne maudissez pas.
      15 Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent, pleurez avec ceux qui pleurent.
      16 Vivez en plein accord les uns avec les autres. N'aspirez pas à ce qui est élevé, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne vous prenez pas pour des sages.
      17 Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes.
      18 Si cela est possible, dans la mesure où cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes.
      19 Ne vous vengez pas vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère de Dieu, car il est écrit : C’est à moi qu’appartient la vengeance, c’est moi qui donnerai à chacun ce qu’il mérite, dit le Seigneur.
      20 Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s'il a soif, donne-lui à boire, car en agissant ainsi, tu amasseras des charbons ardents sur sa tête.
      21 Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais sois vainqueur du mal par le bien.
    • Romains 12

      1 Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à présenter vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui est votre service intelligent.
      2 Et ne vous conformez pas à ce siècle ; mais soyez transformés par le renouvellement de votre entendement, pour que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, bonne et agréable et parfaite.
      3 Car, par la grâce qui m'a été donnée, je dis à chacun de ceux qui sont parmi vous de ne pas avoir une haute pensée de lui-même, au-dessus de celle qu'il convient d'avoir, mais de penser de manière à avoir de saines pensées, selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun.
      4 Car comme dans un seul corps nous avons plusieurs membres, et que tous les membres n'ont pas la même fonction,
      5 ainsi nous qui sommes plusieurs, sommes un seul corps en Christ, et chacun individuellement membres l'un de l'autre.
      6 Or ayant des dons de grâce différents, selon la grâce qui nous a été donnée, soit la prophétie, prophétisons selon la proportion de la foi ;
      7 le service, soyons occupés du service : soit celui qui enseigne, qu'il s'applique à l'enseignement ;
      8 soit celui qui exhorte, à l'exhortation ; -celui qui distribue, qu'il le fasse en simplicité ; celui qui est à la tête, qu'il conduise soigneusement ; celui qui exerce la miséricorde, qu'il le fasse joyeusement.
      9 Que l'amour soit sans hypocrisie ; ayez en horreur le mal, tenez ferme au bien ;
      10 quant à l'amour fraternel, soyez pleins d'affection les uns pour les autres ; quant à l'honneur, étant les premiers à le rendre aux autres ;
      11 quand à l'activité, pas paresseux ; fervents en esprit ; servant le Seigneur ;
      12 vous réjouissant dans l'espérance ; patients dans la tribulation ; persévérants dans la prière :
      13 subvenant aux nécessités des saints ;
      14 vous appliquant à l'hospitalité. Bénissez ceux qui vous persécutent ;
      15 bénissez et ne maudissez pas. Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent, et pleurez avec ceux qui pleurent ;
      16 ayant, les uns envers les autres, un même sentiment ; ne pensant pas aux choses élevées, mais vous associant aux humbles. Ne soyez pas sages à vos propres yeux ;... ne rendant à personne mal pour mal ;
      17 vous proposant ce qui est honnête devant tous les hommes ;
      18 s'il est possible, autant que cela dépend de vous, vivant en paix avec tous les hommes ;
      19 ne vous vengeant pas vous-mêmes, bien-aimés ; mais laissez agir la colère, car il est écrit :" A moi la vengeance ; moi je rendrai, dit le Seigneur ".
      20 Si donc ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s'il a soif, donne-lui à boire ; car en faisant cela tu entasseras des charbons de feu sur sa tête".
      21 Ne sois pas surmonté par le mal, mais surmonte le mal par le bien.
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.