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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 42

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    • Romains 14

      1 (Encore un conseil important :) accueillez aussi celui dont la foi est encore timorée et dont les convictions sont mal affermies. Ne le critiquez pas s’il a des scrupules ou des opinions différentes des vôtres. Évitez de faire de vos divergences d’idées un sujet de discussion.
      2 L’un, par exemple, est persuadé qu’il peut manger de tout. Sa foi est assez solide pour ne pas s’embarrasser de scrupules alimentaires. Celui dont la foi est plus craintive se restreint à un régime végétarien.
      3 Que celui qui pense pouvoir manger de tout ne méprise pas celui qui s’abstient de viande. Inversement, que celui qui s’impose des restrictions ne se permette pas de critiquer celui qui se sent libre de manger de tout ; qu’il s’abstienne de le juger et qu’il n’essaie pas de le prendre en défaut, car Dieu l’a accueilli dans sa communion.
      4 L’autre est au service de Dieu… et non au tien ! De quel droit le juges-tu ? Qui es-tu donc pour te poser en censeur de ton prochain ? Qu’il marche droit ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. C’est à Dieu qu’il doit des comptes, pas à toi. Cependant, sois tranquille, il marchera droit, car son maître lui en donnera la force. Il est capable de faire de lui un serviteur donnant entière satisfaction.
      5 Pour celui-ci, certains jours sont plus sacrés que d’autres ; pour celui-là, ils se valent tous : que chacun se forme là-dessus une opinion personnelle et s’y tienne. Il s’agit de bien savoir ce qu’on fait et pourquoi on le fait.
      6 Celui qui met tel jour à part veut par là honorer et servir le Seigneur. Celui qui mange de tout sans scrupules de conscience le fait aussi à cause du Seigneur. La preuve, c’est qu’il remercie Dieu pour sa nourriture. Quant à celui qui s’abstient de certains aliments, il le fait encore par amour du Seigneur, car lui aussi est reconnaissant à Dieu.
      7 Aucun de nous ne vit pour lui-même et aucun ne meurt pour lui-même. Notre vie ne nous appartient plus.
      8 Notre vie durant, pour notre Seigneur, nous voulons vivre. Au dernier moment, pour notre Seigneur, nous voulons mourir. Dans la vie ou dans la mort, entre les mains du Seigneur nous demeurerons.
      9 En effet, le Christ est mort et revenu à la vie afin d’établir sa domination sur tous, morts et vivants.
      10 Comment donc peux-tu te mettre à juger ton frère ? De quel droit le critiques-tu ? Et toi, pourquoi jettes-tu, du haut de ta suffisance, un regard méprisant sur ton frère ? Ne devons-nous pas comparaître, les uns comme les autres, devant le tribunal de Dieu ?
      11 Il est écrit : Aussi vrai que je vis, dit le Seigneur, tout genou fléchira devant moi, et toute langue reconnaîtra la justice de ma sentence.
      12 Ainsi chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même.
      13 Cessons donc de nous critiquer les uns les autres et de nous juger mutuellement. Appliquons plutôt notre intelligence à éviter toute occasion de chute à notre frère. Prenons garde, afin de ne pas être pour lui un piège qui le plonge dans le désarroi, un obstacle sur lequel il risque de buter.
      14 Personnellement, je suis certain, parce que le Seigneur Jésus me l’a enseigné, que rien n’est impur en soi. Néanmoins, si quelqu’un tient une chose pour impure, elle l’est pour lui.
      15 Si donc, en mangeant ce que ton frère estime impur, tu blesses ses sentiments, ce n’est plus l’amour qui t’inspire. Si tu le troubles par ta liberté, tu ne l’aimes pas comme le commandement te le prescrit. Pour un vulgaire aliment, ne va pas causer le déclin spirituel ou même la perte de ton frère, car le Christ est mort aussi pour lui.
      16 Que ce qui est bon pour vous ne puisse pas être considéré comme mauvais par les autres ; ne leur donnez pas l’occasion de critiquer vos privilèges. Que votre avantage ne soit pas discrédité ou calomnié.
      17 Car ce n’est pas en réglementant le manger et le boire que vous allez promouvoir le règne de Dieu sur vous. Ce règne consiste à nous rendre justes et à nous donner la paix et la joie par l’Esprit saint.
      18 Celui qui agit ainsi est un vrai serviteur du Christ, agréable à Dieu et estimé des hommes.
      19 Pensons donc toujours à favoriser la paix et la bonne entente. Appliquons nos efforts à nous faire progresser les uns les autres : ainsi, nous contribuerons à l’avancement de l’édifice de Dieu.
      20 En aucun cas, ne compromets l’œuvre de Dieu en ton frère pour une question alimentaire. Tu as raison : « En soi, tout est pur ». Cependant, si quelqu’un mange avec mauvaise conscience un aliment qu’il estime interdit, il se fait du tort, et celui qui l’y entraîne commet une mauvaise action.
      21 Tu agis bien si tu renonces à la viande, au vin ou à autre chose pour ne pas inciter ton frère en tentation, pour le préserver au contraire de toute chute.
      22 Tu as une ferme conviction personnelle ? C’est bien. Garde-la pour toi devant Dieu, mais ne la brandis pas devant les autres, sois content de pouvoir prendre tes décisions sans être troublé par des scrupules, et sans avoir besoin de tranquilliser ta conscience. Oui, heureux celui qui ne se juge pas condamnable dans le parti qu’il adopte !
      23 Mais celui qui mange malgré ses doutes prononce sa propre condamnation, car son acte ne procède pas de sa foi. Or, si nous agissons sans avoir la conviction d’être approuvés de Dieu, nous péchons.
    • Romains 14

      1

      Les Juifs convertis sont mis en garde contre le jugement, et les païens croyants, (les gentils), contre le mépris mutuel. (Romains 14:1-13)
      Les païens sont exhortés à ne pas offenser leur prochain, avec des éléments sans importance. (Romains 14:14-23)

      Au temps où a été rédigé ce texte, différentes opinions ont prédominé, même parmi les partisans immédiats de Christ et de leurs disciples. Paul n’entreprit pas de mettre fin à ces divergences.

      Un assentiment par la contrainte, à une doctrine, ou une recherche de conformité à différentes tendances, sans réelle conviction, serait hypocrite et n’aurait guère de crédibilité. Toute tentative de recherche d’unité d'esprit absolue, parmi les chrétiens est assez illusoire. Que la fraternité chrétienne ne soit pas remise en question, par de simples querelles verbales.

      Il serait bon de nous demander, quand nous sommes tentés de dédaigner et de blâmer nos frères : « appartiennent-ils réellement au Seigneur ? Dans l’affirmative, puis-je oser les désavouer » ?

      Que le chrétien qui se sent entièrement libre, ne méprise pas son frère, pour sa faiblesse, le considérant comme ignorant ou superstitieux. Que le croyant scrupuleux ne trouve pas de faute chez son frère, car Dieu l'a accepté en tant que tel, sans considération spéciale, ni distinction, quant au choix de sa nourriture.

      Quand nous jugeons ainsi les pensées et les intentions de ceux qui n’ont pas les mêmes points de vue que les nôtres, nous usurpons pour ainsi dire, la place de Dieu. Il en est de même pour ceux qui préfèrent certains jours à d’autres. Ceux qui savaient que tous les rites inhérents à la loi étaient caduques, par la venue de Christ, ne tenaient même pas compte des fêtes des Juifs.

      Il n'est pas suffisant que notre conscience soit en accord avec nos actes ; il est essentiel qu’ils soient aussi conformes à ce que prescrit la Parole de Dieu. Veillons à ce que toute action ne s'oppose pas à ce que notre conscience nous dicte. Nous avons rapidement tendance à faire de nos propres opinions, le standard de la vérité, en jugeant négativement les actes de notre prochain. Souvent les chrétiens méprisent ou condamnent les autres sur des sujets douteux, sans réelle importance.

      Un regard reconnaissant vers Dieu, l'Auteur et le Donateur de toutes grâces, les sanctifie et nous pousse à reconnaître qu’elles sont merveilleuses !

      7 Bien que certains soient faibles, et d'autres, plus vigoureux, tous cependant doivent consentir à ne pas vivre pour eux-mêmes.

      Ceux qui ont donné leur vie à Christ ne doivent pas être égoïstes : c'est contraire au véritable christianisme. Le but de notre vie n'est pas de satisfaire toutes nos convoitises, mais de plaire à Dieu ! Voilà ce que représente le véritable christianisme : Christ en toutes choses.

      Bien que les chrétiens soient différents, en termes de vigueur morale, de capacités, de dons personnels, tous appartiennent cependant au Seigneur ; ils portent leur regard vers Christ et Le servent, dans le but de Lui plaire. Christ est le Seigneur de ceux qui vivent pour Lui, Il les gouverne ; quant à ceux qui sont morts spirituellement, Il les ranime et les relève.

      Les chrétiens ne doivent pas se juger ni se mépriser mutuellement, car tous devront bientôt rendre des comptes. Le simple fait d’imaginer ce que sera le grand jour du Jugement devrait étouffer toute pensée irréfléchie. Que chacun examine son cœur ; celui qui se juge personnellement avec rigueur et qui s'humilie, ne cherchera pas à juger et à mépriser son frère.

      Veillons à ne pas dire ni commettre ce qui pourrait être pour d'autres une occasion de chute. Sachons nous abaisser devant notre frère, cherchons à lui éviter toute peine ou toute culpabilité par nos propos.

      14 Christ agit avec douceur envers ceux qui possèdent Sa Grâce, même s'ils sont encore faibles dans la foi. Considérez le but de la mort de Christ : ôter d’une âme le péché qui la menace de la destruction.

      Christ a-t-Il refusé le salut à nos frères ? A-t-Il refusé de mourir pour eux ? Les renierions-nous pour une cause quelconque, sans leur accorder quelque indulgence ? Nous ne pouvons pas empêcher ceux qui ne maîtrisent pas leurs paroles de dire du mal des autres ; par contre, ne leur en donnons pas, la moindre occasion.

      Sachons nous blâmer nous-mêmes, quand nos actes heurtent notre frère. Le bien que nous cherchons à faire peut parfois être considéré comme du mal, parce que nous sommes en fait peu charitables, voire même égoïstes. Lorsque nous évaluons le bien que nous professons avoir accompli, nous ne devons trouver aucune critique des autres.

      Justice, paix, et joie, sont des termes vraiment significatifs. Nous devons chercher à paraître devant Dieu, justifiés par la mort de Christ, sanctifiés par l'Esprit de Sa Grâce ; le Seigneur est la Justice.

      Quant à nos frères, ils doivent vivre mutuellement en paix, dans l'amour et la charité ; il faut faire de même avec tous les hommes. En ce qui nous concerne, vivons dans la plénitude du Saint-Esprit qui demeure en nous ! Ce Dernier apporte dans le cœur du croyant, réconcilié avec le Père, la félicité spirituelle ; le ciel est la demeure qu'ils attendent.

      Regarder à Christ dans tout ce que nous entreprenons, est le seul moyen de nous faire accepter, dans le cadre de notre devoir. Ceux qui plaisent le plus à Dieu sont ceux qui éprouvent une joie profonde en Sa présence et qui abondent le plus dans la paix et la joie offertes par le Saint-Esprit. Ils sont approuvés par tous les hommes bons, quelle que soit l'opinion des autres !

      19 Nombreux sont ceux qui souhaitent ouvertement la paix, mais qui ne font rien pour l’obtenir. La douceur de caractère, l'humilité, le désintéressement, et l'amour, procurent la paix.

      Nous ne pouvons pas nous édifier les uns les autres, tant que nous nous querellons mutuellement ou que nous sommes opposés les uns aux autres. Beaucoup, par l’abus de nourriture et de boisson, détruisent l'œuvre que Dieu a accomplie en eux ; rien n'est plus destructeur pour l'âme, que de choyer et rechercher les satisfactions de la chair et d'en accomplir les convoitises : c’est par de telles offenses opiniâtres, donc par notre témoignage, que d'autres peuvent être blessés.

      Des actes tout à fait légitimes peuvent devenir illégitimes s’ils sont une offense pour des frères. Ceci peut avoir lieu sur des sujets de peu d'importance, mais qui peuvent offenser ou déstabiliser un frère ; il peut même s’en trouver affaibli dans sa vie spirituelle.

      Sommes-nous solides dans la foi, c'est-à-dire, en toute connaissance et clarté de notre liberté chrétienne ? Apprécions-en le réconfort, mais ne troublons pas les autres, par une mauvaise conduite. N'agissons pas, en cas de doute, contre notre conscience.

      Que les bénédictions du Royaume de Christ sont excellentes ! Elles ne sont pas l’objet de rites, ni de manifestations extérieures, mais de pratique de la justice, de la paix et de la joie, dans la présence du Saint-Esprit !

      Le service de Dieu est préférable à tous les autres ! En Le servant, nous ne sommes pas appelés à vivre et mourir pour nous-mêmes, mais pour Christ, à qui nous appartenons, Celui que nous devons servir !

    • Romains 14

      1 Accueillez celui qui est faible dans la foi sans discuter ses opinions.
      2 L'un a la conviction de pouvoir manger de tout ; l'autre, qui est faible dans la foi, ne mange que des légumes.
      3 Que celui qui mange de tout ne méprise pas celui qui ne le fait pas, et que celui qui ne mange pas de tout ne juge pas celui qui le fait, car Dieu l'a accueilli.
      4 Qui es-tu pour juger le serviteur d'un autre ? Qu'il tienne bon ou qu'il tombe, cela regarde son seigneur. Mais il tiendra bon, car Dieu a le pouvoir de l'affermir.
      5 L'un fait une différence entre les jours, un autre les estime tous égaux. Que chacun ait dans son esprit une pleine conviction.
      6 Celui qui fait une distinction entre les jours le fait pour le Seigneur [et celui qui ne fait pas de distinction le fait aussi pour le Seigneur]. Celui qui mange de tout, c’est pour le Seigneur qu’il le fait, puisqu’il exprime sa reconnaissance à Dieu. Celui qui ne mange pas de tout le fait aussi pour le Seigneur, et il est reconnaissant envers Dieu.
      7 En effet, aucun de nous ne vit pour lui-même et aucun ne meurt pour lui-même :
      8 si nous vivons, c'est pour le Seigneur que nous vivons, et si nous mourons, c'est pour le Seigneur que nous mourons. Ainsi, soit que nous vivions, soit que nous mourions, nous appartenons au Seigneur.
      9 En effet, Christ est mort et [il est ressuscité, ] il est revenu à la vie pour être le Seigneur des morts et des vivants.
      10 Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère ? Ou toi, pourquoi méprises-tu ton frère ? Nous comparaîtrons tous, en effet, devant le tribunal de Christ,
      11 car il est écrit : Je suis vivant, dit le Seigneur, chacun pliera le genou devant moi et toute langue rendra gloire à Dieu.
      12 Ainsi donc, chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même.
      13 Ne nous jugeons donc plus les uns les autres, mais veillez plutôt à ne pas placer d’obstacle ou de piège devant votre frère.
      14 Je sais et je suis convaincu dans le Seigneur Jésus que rien n'est impur en soi, mais si quelqu’un considère telle chose comme impure, alors elle est impure pour lui.
      15 Si ton frère est attristé à cause de ce que tu manges, tu ne marches plus selon l'amour. Ne cause pas, par ta nourriture, la perte de celui pour lequel Christ est mort.
      16 Que ce qui est bon pour vous ne devienne pas un sujet de calomnie.
      17 En effet, le royaume de Dieu, ce n'est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit.
      18 Celui qui sert Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes.
      19 Ainsi donc, recherchons ce qui contribue à entretenir la paix et à nous faire grandir mutuellement dans la foi.
      20 Pour de la nourriture, ne détruis pas l'œuvre de Dieu. Certes, tout est pur, mais il est mal de manger quelque chose si cela représente un obstacle pour quelqu’un.
      21 Il est bien de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin et de t'abstenir de ce qui peut être pour ton frère un obstacle, [un piège ou une source de faiblesse].
      22 Cette foi que tu as, garde-la pour toi devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même par ce qu'il approuve !
      23 Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu'il mange est condamné, parce qu'il n'agit pas par une conviction de foi. Tout ce qui ne provient pas d’une conviction de foi est péché.
    • Romains 14

      1 Or quant à celui qui est faible en foi, recevez-le ; non pas pour la décision de questions douteuses.
      2 L'un croit pouvoir manger de toutes choses ; l'autre qui est faible, mange des herbes :
      3 que celui qui mange ne méprise pas celui qui ne mange pas ; et que celui qui ne mange pas ne juge pas celui qui mange, car Dieu l'a reçu.
      4 Qui es-tu, toi qui juges le domestique d'autrui ? Il se tient debout ou il tombe pour son propre maître ; et il sera tenu debout, car le Seigneur est puissant pour le tenir debout.
      5 L'un estime un jour plus qu'un autre jour, et l'autre estime tous les jours égaux : que chacun soit pleinement persuadé dans son propre esprit.
      6 Celui qui a égard au jour, y a égard à cause du Seigneur ; et celui qui mange, mange à cause du Seigneur, car il rend grâces à Dieu ; et celui qui ne mange pas, ne mange pas à cause du Seigneur, et il rend grâces à Dieu.
      7 Car nul de nous ne vit ayant égard à lui-même, et nul ne meurt ayant égard à lui-même :
      8 mais soit que nous vivions, nous vivons ayant égard au Seigneur, soit que nous mourions, nous mourons ayant égard au Seigneur ; soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes du Seigneur.
      9 Car c'est pour cela que Christ est mort et qu'il a revécu, afin qu'il dominât et sur les morts et sur les vivants.
      10 Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère ? Ou aussi toi, pourquoi méprises-tu ton frère ? Car nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu ;
      11 car il est écrit : "Je suis vivant, dit le Seigneur, que tout genou se ploiera devant moi, et que toute langue confessera hautement Dieu".
      12 Ainsi donc, chacun de nous rendra compte pour lui-même à Dieu.
      13 Ne nous jugeons donc plus l'un l'autre ; mais jugez plutôt ceci, de ne pas mettre une pierre d'achoppement ou une occasion de chute devant votre frère.
      14 Je sais, et je suis persuadé dans le Seigneur Jésus, que rien n'est souillé par soi-même, sauf qu'à celui qui croit qu'une chose est souillée, elle lui est souillée.
      15 Car si, à cause d'une viande, ton frère est attristé, tu ne marches plus selon l'amour. Ne détruis pas par ta viande celui pour lequel Christ est mort.
      16 Que ce qui est bien en vous ne soit donc pas blâmé.
      17 Car le royaume de Dieu n'est pas manger et boire, mais justice, et paix, et joie dans l'Esprit Saint.
      18 Car celui qui en cela sert le Christ est agréable à Dieu et approuvé des hommes.
      19 Ainsi donc poursuivons les choses qui tendent à la paix et celles qui tendent à l'édification mutuelle.
      20 A cause d'une viande, ne détruis pas l'oeuvre de Dieu. Toutes choses, il est vrai, sont pures ; mais il y a du mal pour l'homme qui mange en bronchant.
      21 Il est bon de ne pas manger de chair, de ne pas boire de vin, et de ne faire aucune chose en laquelle ton frère bronche, ou est scandalisé, ou est faible.
      22 Toi, tu as de la foi ; aie-la par devers toi-même devant Dieu ; bienheureux est celui qui ne se juge pas lui-même en ce qu'il approuve ;
      23 mais celui qui hésite, s'il mange, est condamné, parce qu'il n'agit pas sur un principe de foi. Or tout ce qui n'est pas sur le principe de la foi est péché.
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