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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 48

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    • 1 Corinthiens 4

      1 Vous devez donc nous considérer comme des serviteurs du Christ, chargés de gérer les vérités secrètes de Dieu.
      2 Tout ce que l’on demande à un gérant, c’est d’être fidèle.
      3 Pour ma part, peu importe que je sois jugé par vous ou par un tribunal humain. Je ne me juge pas non plus moi-même.
      4 Ma conscience, il est vrai, ne me reproche rien, mais je n’en suis pas justifié pour autant. Le Seigneur est celui qui me juge.
      5 C’est pourquoi, ne portez de jugement sur personne avant le moment fixé. Attendez que le Seigneur vienne : il mettra en lumière ce qui est caché dans l’obscurité et révélera les intentions secrètes du cœur des hommes. Alors chacun recevra de Dieu la louange qui lui revient.
      6 Frères, j’ai appliqué ce qui précède à Apollos et à moi-même pour votre instruction. J’ai voulu que, par notre exemple, vous appreniez le sens de ce principe : « Il convient de rester dans les limites fixées par ce qui est écrit. » Aucun de vous ne doit être prétentieux en prenant le parti d’un homme contre un autre.
      7 Car en quoi penses-tu être supérieur aux autres ? Tout ce que tu as, ne l’as-tu pas reçu de Dieu ? Puisqu’il en est ainsi, pourquoi te vanter de ce que tu as comme si tu ne l’avais pas reçu ?
      8 Déjà vous avez tout ce que vous désirez ! Déjà vous êtes riches ! Vous êtes devenus rois alors que nous ne le sommes pas ! Vraiment ? J’aimerais bien que vous soyez réellement rois afin que nous aussi nous puissions régner avec vous.
      9 En fait, il me semble que Dieu nous a mis, nous les apôtres, à la dernière place : nous sommes comme des condamnés à mort jetés dans l’arène : nous sommes donnés en spectacle au monde entier, aux anges aussi bien qu’aux êtres humains.
      10 Nous sommes fous à cause du Christ, mais vous êtes sages dans l’union avec le Christ ; nous sommes faibles, mais vous êtes forts ; nous sommes méprisés, mais vous êtes honorés !
      11 A cette heure encore, nous souffrons de la faim et de la soif, nous manquons de vêtements, nous sommes battus, nous passons d’un endroit à l’autre ;
      12 nous travaillons durement pour gagner notre pain. Quand on nous insulte, nous bénissons ; quand on nous persécute, nous supportons ;
      13 quand on dit du mal de nous, nous répondons avec bienveillance. On nous considère maintenant encore comme les balayures du monde, comme le déchet de l’humanité.
      14 Je vous écris ainsi non pas pour vous faire honte, mais pour vous instruire comme mes très chers enfants.
      15 Car même s’il vous arrivait d’avoir dix mille guides dans votre vie avec le Christ, vous ne pouvez avoir qu’un seul père : en effet, quand je vous ai apporté la Bonne Nouvelle, c’est moi qui suis devenu votre père pour votre vie avec Jésus-Christ.
      16 Alors, je vous en supplie, suivez mon exemple.
      17 A cet effet, je vous envoie Timothée, qui est mon fils aimé et fidèle dans la foi au Seigneur. Il vous rappellera les principes qui me dirigent dans la vie avec Jésus-Christ, tels que je les enseigne partout, dans toutes les Églises.
      18 Certains d’entre vous ont fait les prétentieux en pensant que je ne viendrais pas vous voir.
      19 Mais si le Seigneur le permet, j’irai bientôt chez vous. Alors je connaîtrai non pas seulement les paroles de ces prétentieux mais ce dont ils sont capables !
      20 Car le Royaume de Dieu n’est pas une affaire de paroles mais de puissance.
      21 Que préférez-vous ? que je vienne à vous avec un bâton, ou avec un cœur plein d’amour et de douceur ?
    • 1 Corinthiens 4

      1 Ainsi donc, qu'on nous considère comme des serviteurs de Christ et des administrateurs des mystères de Dieu.
      2 Du reste, ce qu'on demande des administrateurs, c'est qu’ils soient trouvés fidèles.
      3 Pour ma part, il m'importe très peu d'être jugé par vous ou par un tribunal humain. Bien plus, je ne me juge pas non plus moi-même.
      4 Ma conscience, il est vrai, ne me reproche rien, mais ce n'est pas pour autant que je peux être considéré comme juste. Celui qui me juge, c'est le Seigneur.
      5 C'est pourquoi ne portez aucun jugement avant le moment fixé, avant le retour du Seigneur, car il mettra en lumière ce qui est caché dans les ténèbres et il dévoilera les intentions des cœurs. Chacun recevra alors de Dieu la louange qui lui revient.
      6 Frères et sœurs, c’est à cause de vous que j'ai appliqué ces images à Apollos et à moi-même, afin que vous appreniez par notre exemple à ne pas aller [dans vos pensées] au-delà de ce qui est écrit et que personne ne s'enfle d'orgueil en prenant parti pour l'un contre l'autre.
      7 En effet, qui est celui qui te distingue ? Qu'as-tu que tu n'aies pas reçu ? Et si tu l'as reçu, pourquoi faire le fier comme si tu ne l'avais pas reçu ?
      8 Déjà vous êtes rassasiés, déjà vous êtes riches, vous avez commencé à régner sans nous. Si seulement vous pouviez régner en effet, pour que nous aussi nous puissions régner avec vous !
      9 En effet, il me semble que Dieu a fait de nous, apôtres, les derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque sorte, puisque nous avons été donnés en spectacle au monde, aux anges et aux hommes.
      10 Nous sommes fous à cause de Christ, mais vous, vous êtes sages en Christ ; nous sommes faibles, mais vous êtes forts. Vous êtes honorés et nous sommes méprisés !
      11 Jusqu'à cette heure, nous souffrons de la faim, de la soif, du dénuement ; nous sommes maltraités, errants ;
      12 nous nous fatiguons à travailler de nos propres mains. Injuriés, nous bénissons ; persécutés, nous supportons ;
      13 calomniés, nous répondons avec bonté. Nous sommes devenus comme les balayures du monde, le déchet de tous, jusqu'à maintenant.
      14 Ce n'est pas pour vous faire honte que j'écris cela, mais je vous avertis comme mes enfants bien-aimés.
      15 En effet, même si vous aviez 10'000 maîtres en Christ, vous n'avez cependant pas plusieurs pères, puisque c'est moi qui vous ai donné la vie en Jésus-Christ par l'Evangile.
      16 Je vous en supplie donc : soyez mes imitateurs.
      17 Pour cela je vous ai envoyé Timothée, qui est mon enfant bien-aimé et fidèle dans le Seigneur. Il vous rappellera quels sont mes principes de vie en Christ, tels que je les enseigne partout, dans toutes les Eglises.
      18 Quelques-uns se sont enflés d'orgueil en pensant que je ne viendrais pas chez vous.
      19 Mais je viendrai bientôt, si c'est la volonté du Seigneur, et je prendrai connaissance non des paroles, mais de la puissance de ceux qui se sont enflés d'orgueil.
      20 En effet, le royaume de Dieu ne consiste pas en paroles, mais en puissance.
      21 Que voulez-vous ? Que je vienne chez vous avec un bâton, ou avec amour et dans un esprit de douceur ?
    • 1 Corinthiens 4

      1 En ce qui nous concerne (Apollos et moi), qu’on nous considère donc comme de simples serviteurs du Christ, des intendants chargés de gérer les vérités cachées et les plans secrets de Dieu.
      2 Or, en fin de compte, que demande-t-on à des intendants ? N’est-ce pas d’accomplir fidèlement la tâche qui leur a été assignée et de se montrer dignes, par leur gérance honnête et désintéressée, de la confiance dont ils sont l’objet ?
      3 (L’avons-nous été ?) Personnellement, que m’importe votre jugement à cet égard ? Que me font les critiques de ceux qui me passent au crible ? Tous ces verdicts émanant d’instances purement humaines me laissent indifférent. D’ailleurs, je me garderai moi-même d’émettre un avis là-dessus : ma propre opinion sur ce point ne signifie rien.
      4 Car, bien que ma conscience ne me reproche rien et que je ne me sente coupable d’aucune infidélité, ce n’est pas pour cela que je serai déclaré juste. Le seul qui ait le droit de porter un jugement sur moi en cette matière, c’est le Seigneur.
      5 C’est pourquoi il vaut mieux vous abstenir de juger de façon hâtive et prématurée un serviteur de Dieu. Attendez que le Seigneur revienne. Il mettra en lumière tout ce qui se cachait dans les ténèbres : il dévoilera les mobiles véritables de nos actions et les desseins secrets des cœurs. Alors, chacun recevra du Seigneur l’approbation qui lui revient.
      6 Dans ce que je viens de dire, j’ai parlé de moi et d’Apollos pour appliquer à un cas concret les principes généraux que j’aimerais vous inculquer. Je voudrais que, par exemple, vous appreniez la leçon donnée par cette maxime : « Rien au-delà de ce qui est écrit », c’est-à-dire que vous soumettiez votre jugement sur les hommes à l’Écriture. Cessez donc de vous opposer les uns aux autres en vous considérant comme les champions de maîtres rivaux. Laissez tomber ces comparaisons vaniteuses, ces engouements déplacés qui vous font exalter l’un aux dépens de l’autre.
      7 Je m’adresse là à chacun en particulier. Toi, mon ami, dis-moi : qui t’a donné une supériorité sur les autres ? Par quoi te distingues-tu ? Tu te vantes de posséder certains privilèges, des connaissances particulières, mais de qui les tiens-tu ? Qu’as-tu qui ne t’ait été donné ? Mais si tu as tout reçu gratuitement, pourquoi t’en vanter comme si tu l’avais acquis par tes propres efforts ?
      8 Chacun de vous semble avoir tout ce que son cœur désire. Dès à présent, vous êtes « rassasiés ». Vous voilà donc des « gens riches », et vous croyez n’avoir plus besoin de rien. Vous nagez dans la suffisance ! Vous êtes tous des rois et vous vous voyez déjà couronnés ! Vous n’avez plus besoin de notre aide. Vous êtes donc entrés dans votre règne, et vous nous avez laissés à la porte ! Ah ! plaise au ciel que vous soyez effectivement entrés dans le royaume ! Comme je voudrais que la royauté vous soit donnée dès à présent ! Peut-être pourrions-nous alors, avec votre aide, accéder nous-mêmes au rang royal et être admis à partager votre triomphe ?
      9 Mais en attendant, j’ai plutôt l’impression que Dieu nous a assigné, à nous autres apôtres, la dernière place. Il nous a relégués, ce me semble, à la fin de la colonne, comme des prisonniers destinés à être mis à mort et qui marchent à la queue de la procession triomphale. Il nous a exposés publiquement comme des criminels, comme le rebut de l’humanité, et nous ressemblons à ces gladiateurs qui attendent le coup fatal, livrés en spectacle aux anges et aux hommes dans le vaste amphithéâtre du monde.
      10 Nous sommes devenus des « fous » à cause du Christ, mais vous, vous êtes des chrétiens admirablement sensés et prudents ! Nous sommes des faibles, toujours exténués, tandis que vous, vous êtes forts et bien portants ! Vous êtes partout fêtés et estimés, on vous comble d’honneurs et de prévenances, alors que nous vivons comme des parias, obscurs et méprisés.
      11 Jusqu’à cette heure, nous souffrons la faim et la soif, nous manquons d’habits convenables, nous sommes exposés aux coups, considérés comme des vagabonds, maltraités et errant de lieu en lieu, sans foyer, sans patrie.
      12 Nous nous épuisons à travailler de nos propres mains pour gagner notre pain quotidien. On nous insulte ? Nous répliquons par des bénédictions. On nous persécute ? Nous l’endurons en silence et avec patience.
      13 On nous accable d’injures et de calomnies ? Nous répondons par des paroles bienveillantes. On traîne notre réputation dans la boue ? Nous prions pour nos calomniateurs et nous essayons de les gagner au Christ. Jusqu’à maintenant, nous sommes considérés comme les ordures du monde et traités comme le rebut de l’univers.
      14 Si j’écris ainsi, comprenez-moi bien, ce n’est pas pour vous peiner ou vous remplir de confusion. Je voudrais seulement vous avertir comme des enfants bien-aimés et vous remettre sur le bon chemin.
      15 En effet, même si vous aviez dix mille instructeurs chrétiens, vous n’auriez cependant qu’un seul père. Car c’est moi qui suis devenu votre père spirituel en vous annonçant la Bonne Nouvelle, moi qui vous ai appelés à la vie dans la communion du Christ Jésus.
      16 Je vous en conjure donc : mettez-vous à mon école et suivez mon exemple !
      17 C’est dans cette intention que je vous ai envoyé Timothée, mon fils bien-aimé et fidèle dans le Seigneur. Il vous rappellera comment je marche avec le Christ, quels sont mes principes de vie chrétienne et mes méthodes de service ; il vous remettra en mémoire l’enseignement que je donne partout dans toutes les Églises où je passe et les règles de conduite que j’inculque aux chrétiens en tous lieux.
      18 Présumant que désormais je ne reviendrais plus chez vous, certains orgueilleux se sont mis à jouer les importants.
      19 Mais croyez-moi, s’il plaît au Seigneur, j’irai au contraire très prochainement vous voir et je me rendrai alors compte de l’envergure de ces prétentieux ; mais ce n’est pas sur leurs beaux discours que je les jugerai, c’est sur leurs actes, et je verrai si derrière toutes leurs paroles se cache une puissance réelle.
      20 Car le royaume de Dieu ne consiste pas en paroles, mais en puissance.
      21 Que préférez-vous ? Que je vienne chez vous avec un bâton pour vous frapper ou avec un esprit d’amour et de douceur ?
    • 1 Corinthiens 4

      1

      Le véritable caractère des serviteurs de Dieu. (1 Corinthiens 4:1-6)
      Mise en garde contre ceux qui méprisent les apôtres. (1 Corinthiens 4:7-13)
      Paul demande l’estime des Corinthiens, étant leur père spirituel en Christ ; il expose son inquiétude à leur égard. (1 Corinthiens 4:14-21)

      Les apôtres n'étaient que de simples serviteurs de Christ, cependant, ils ne devaient pas être pour autant sous-estimés.

      Ils avaient une grande confiance dans le Seigneur, quant à leur ministère, ce qui était fort honorable. Paul s’inquiétait, à juste raison, de sa propre réputation ; il savait que celui qui cherchait principalement à plaire aux hommes, ne pouvait être en même temps, un fidèle serviteur de Christ.

      Il est très réconfortant de savoir qu'au ciel, les hommes ne seront pas nos juges. Ce n'est d’ailleurs pas en nous jugeant bien nous-mêmes, ou en cherchant à nous justifier, que nous trouverons notre salut, notre paix et la joie de notre cœur. Notre propre jugement ne doit pas reposer sur notre fidélité, ni sur nos propres œuvres : elles sont incapables de nous justifier. Le jour vient, où tous les péchés cachés des hommes seront mis au grand jour, tous les secrets de leur cœur seront dévoilés. Tout croyant calomnié sera alors justifié, et tout serviteur fidèle sera approuvé et récompensé par le Seigneur ! La Parole de Dieu est le meilleur fondement sur lequel nous pouvons baser nos jugements, pécheurs que nous sommes.

      L’orgueil est souvent à l’origine des querelles. La vanité contribue parfois à sous estimer ceux qui nous enseignent. Nous ne serons pas tentés de prendre inconsidérément partie pour l'un ou pour l’autre, si nous nous souvenons que nous sommes tous des « instruments » employés par Dieu, Celui qui nous a dotés de divers talents.

      7 Rien ne peut nous permettre d'exhiber une quelconque fierté : tout ce que nous avons, tout ce que nous sommes ou pouvons entreprendre de bon, provient de la Grâce merveilleuse de Dieu.

      Tout pécheur, animé de ses dons spirituels, par la Grâce souveraine, ressentant une quelconque fierté d’être sorti de la destruction, serait vraiment absurde et inconsistant.

      Paul expose son propre cas, au verset 1 Corinthiens 4:9. Il fait allusion aux spectacles cruels des jeux romains, où des hommes étaient forcés de tailler en pièces leurs adversaires pour divertir le peuple ; le vainqueur n'avait pas d’ailleurs la vie sauve, même en tuant son adversaire : il était simplement en sursis, réservé pour un autre combat, et devait finalement être tué.

      Le fait de savoir que beaucoup de regards sont braqués sur les croyants, lorsqu'ils sont assaillis par l’épreuve ou la tentation, doit encourager leur persévérance et leur patience. « Nous sommes faibles, mais vous êtes forts », au verset 1 Corinthiens 4:10. Tous les chrétiens ne sont pas éprouvés de la même façon : certains subissent de plus grandes épreuves que d'autres. Dans ce texte, l'apôtre entre dans les détails de ces souffrances. On peut féliciter de telles âmes, pour leur amour et leur dévouement envers le Seigneur, sentiments qui les ont portés au travers de toutes leurs épreuves ! Ces hommes ont souffert corporellement et moralement, étant considérés comme les plus vils individus ; ils ont été mis au rebut, tels des immondices.

      Celui qui veut rester fidèle en Jésus-Christ, doit se préparer à connaître la pauvreté et le mépris. Quelles que soient les souffrances que les disciples de Christ puissent endurer, ils doivent suivre l'exemple du Seigneur, accomplir Sa volonté et respecter Ses préceptes. Ils doivent se réjouir, avec Lui, pour sa Gloire, même s’ils sont méprisés et abusés ici-bas.

      Il vaut bien mieux être repoussé, méprisé, et maltraité pour le Seigneur, comme ce fut le cas de Paul, plutôt que d'avoir la faveur des foules. Bien que parfois rejetés par le monde, tels de vils personnages, nous sommes cependant précieux aux yeux du Seigneur : Il nous a recueillis de Sa propre main, et préparé une place dans Son Royaume !

      14 Lorsque nous blâmons le péché en général, nous devons faire la distinction entre les pécheurs et leurs propres péchés. Les reproches ou les mises en garde, adressés avec amour, sont souvent susceptibles de corriger les fautifs.

      L'apôtre Paul parlait aux Corinthiens avec une certaine autorité, tel un père s’adressant à ses enfants, cependant, il les implorait néanmoins avec amour. Les serviteurs de Dieu doivent montrer l’exemple à ceux qu’ils côtoient ; ces derniers doivent suivre leur conduite, comme d’ailleurs ils doivent imiter celle de Christ, par la foi.

      Les chrétiens peuvent parfois se tromper sur certains sujets et avoir des opinions différentes, mais Christ et la vérité chrétienne demeurent, hier, aujourd'hui et éternellement !

      Toutes les fois que l'Évangile agit dans le cœur, il est efficace : Il n’agit pas qu’en paroles, mais aussi par la puissance du Saint-Esprit, afin de ramener à la vie, les pécheurs perdus ; Il les délivre de l'esclavage du péché et de Satan, Il les renouvelle entièrement ; Il réconforte et fortifie les saints, par la Puissance divine, ce que ne peut faire le discours le plus persuasif des hommes !

      Quelle joie, de pouvoir corriger son frère, avec amour et douceur, tout en maintenant une juste autorité !

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