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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 51

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    • 1 Corinthiens 7

      1 Passons maintenant aux sujets dont vous m’avez parlé dans votre lettre. Il est bon pour un homme de ne pas se marier.
      2 Cependant, en raison de l’immoralité si répandue, il vaut mieux que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari.
      3 Le mari doit remplir son devoir d’époux envers sa femme et la femme, de même, doit remplir son devoir d’épouse envers son mari.
      4 La femme ne peut pas faire ce qu’elle veut de son propre corps : son corps est à son mari ; de même, le mari ne peut pas faire ce qu’il veut de son propre corps : son corps est à sa femme.
      5 Ne vous refusez pas l’un à l’autre, à moins que, d’un commun accord, vous n’agissiez ainsi momentanément pour vous consacrer à la prière ; mais ensuite, reprenez une vie conjugale normale, sinon vous risqueriez de ne plus pouvoir vous maîtriser et de céder aux tentations de Satan.
      6 Ce que je vous dis là n’est pas un ordre, mais une concession.
      7 En réalité, je préférerais que tout le monde soit célibataire comme moi ; mais chacun a le don particulier que Dieu lui a accordé, l’un ce don-ci, l’autre ce don-là.
      8 Voici ce que je déclare aux célibataires et aux veuves : il serait bon pour vous que vous continuiez à vivre seuls, comme moi.
      9 Mais si vous ne pouvez pas vous maîtriser, mariez-vous : il vaut mieux se marier que de brûler de désir.
      10 A ceux qui sont mariés, je donne cet ordre (qui ne vient pas de moi, mais du Seigneur) : la femme ne doit pas se séparer de son mari,
      11 – au cas où elle en serait séparée, qu’elle ne se remarie pas, ou bien qu’elle se réconcilie avec son mari – et un mari ne doit pas renvoyer sa femme.
      12 Aux autres, voici ce que je dis (moi-même, et non le Seigneur) : si un mari chrétien a une femme non croyante et qu’elle soit d’accord de continuer à vivre avec lui, il ne doit pas la renvoyer ;
      13 de même, si une femme chrétienne a un mari non croyant et qu’il soit d’accord de continuer à vivre avec elle, elle ne doit pas le renvoyer.
      14 En effet, le mari non croyant est proche de Dieu à cause de son union avec sa femme ; de même, la femme non croyante est proche de Dieu à cause de son union avec son mari chrétien. Autrement, vos enfants seraient considérés comme impurs, alors que, en réalité, ils sont proches de Dieu.
      15 Cependant, si celui qui n’est pas croyant veut se séparer de son conjoint chrétien, qu’on le laisse agir ainsi. Dans un tel cas le conjoint chrétien, que ce soit l’époux ou l’épouse, est libre, car Dieu vous a appelés à vivre en paix.
      16 Comment pourrais-tu être sûre, toi, femme chrétienne, que tu sauveras ton mari ? Ou comment pourrais-tu être sûr, toi, mari chrétien, que tu sauveras ta femme ?
      17 Ce cas excepté, il faut que chacun continue à vivre conformément au don que le Seigneur lui a accordé et conformément à ce qu’il était quand Dieu l’a appelé. Telle est la règle que j’établis dans toutes les Églises.
      18 Si un homme était circoncis lorsque Dieu l’a appelé, il ne doit pas chercher à dissimuler sa circoncision ; si un autre était incirconcis lorsque Dieu l’a appelé, il ne doit pas se faire circoncire.
      19 Être circoncis ou ne pas l’être n’a pas d’importance : ce qui importe, c’est d’obéir aux commandements de Dieu.
      20 Il faut que chacun demeure dans la condition où il était lorsque Dieu l’a appelé.
      21 Étais-tu esclave quand Dieu t’a appelé ? Ne t’en inquiète pas ; mais si une occasion se présente pour toi de devenir libre, profites-en.
      22 Car l’esclave qui a été appelé par le Seigneur est un homme libéré qui dépend du Seigneur ; de même, l’homme libre qui a été appelé par le Christ est son esclave.
      23 Dieu vous a acquis, il a payé le prix pour cela ; ne devenez donc pas esclaves des hommes.
      24 Oui, frères, il faut que chacun demeure devant Dieu dans la condition où il était lorsqu’il a été appelé.
      25 En ce qui concerne les personnes non mariées, je n’ai pas d’ordre du Seigneur ; mais je donne mon opinion en homme qui, grâce à la bonté du Seigneur, est digne de confiance.
      26 En raison de la détresse présente, voici ce que je pense : il est bon pour chacun de demeurer comme il est.
      27 As-tu une femme ? Alors, ne cherche pas à t’en séparer. N’es-tu pas marié ? Alors, ne cherche pas de femme.
      28 Cependant, si tu te maries, tu ne commets pas de péché ; et si une jeune fille se marie, elle ne commet pas de péché. Mais ceux qui se marient auront des tracas dans leur vie quotidienne, et je voudrais vous les épargner.
      29 Voici ce que je veux dire, frères : il reste peu de temps ; dès maintenant, il faut que les hommes mariés vivent comme s’ils n’étaient pas mariés,
      30 ceux qui pleurent comme s’ils n’étaient pas tristes, ceux qui rient comme s’ils n’étaient pas joyeux, ceux qui achètent comme s’ils ne possédaient pas ce qu’ils ont acheté,
      31 ceux qui usent des biens de ce monde comme s’ils n’en usaient pas. Car ce monde, tel qu’il est, ne durera plus très longtemps.
      32 J’aimerais que vous soyez libres de tout souci. Celui qui n’est pas marié se préoccupe des affaires du Seigneur, il cherche à plaire au Seigneur ;
      33 mais celui qui est marié se préoccupe des affaires du monde, il cherche à plaire à sa femme,
      34 et il est ainsi partagé entre deux préoccupations. De même, une femme qui n’est pas mariée ou une jeune fille se préoccupe des affaires du Seigneur, car elle désire être à lui dans tout ce qu’elle fait et pense ; mais celle qui est mariée se préoccupe des affaires du monde, elle cherche à plaire à son mari.
      35 Je dis cela pour votre bien et non pour vous imposer une contrainte ; je désire que vous fassiez ce qui convient le mieux, en demeurant totalement attachés au service du Seigneur.
      36 Maintenant, si un jeune homme pense qu’il cause du tort à sa fiancée en ne l’épousant pas, s’il est dominé par le désir et estime qu’ils devraient se marier, eh bien, qu’ils se marient, comme il le veut ; il ne commet pas de péché.
      37 Par contre, si le jeune homme, sans subir de contrainte, a pris intérieurement la ferme résolution de ne pas se marier, s’il est capable de dominer sa volonté et a décidé en lui-même de ne pas avoir de relations avec sa fiancée, il fait bien.
      38 Ainsi, celui qui épouse sa fiancée fait bien, mais celui qui y renonce fait mieux encore.
      39 Une femme est liée à son mari aussi longtemps qu’il vit ; mais si son mari meurt, elle est libre d’épouser qui elle veut, à condition que ce soit un mariage chrétien.
      40 Pourtant, elle sera plus heureuse si elle demeure comme elle est. C’est là mon opinion et j’estime avoir, moi aussi, l’Esprit de Dieu.
    • 1 Corinthiens 7

      1 Au sujet de ce que vous m'avez écrit, il est bon pour l'homme de ne pas prendre de femme.
      2 Toutefois, pour éviter toute immoralité sexuelle, que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari.
      3 Que le mari rende à sa femme l’affection qu'il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari.
      4 Ce n’est pas la femme qui est maîtresse de son corps, mais son mari. De même, ce n’est pas le mari qui est maître de son corps, mais sa femme.
      5 Ne vous privez pas l'un de l'autre, si ce n'est d'un commun accord pour un temps, afin de vous consacrer [au jeûne et] à la prière ; puis retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente à cause de votre manque de maîtrise.
      6 Je dis cela comme une concession, et non comme un ordre.
      7 Je voudrais que tous soient comme moi ; mais chacun tient de Dieu un don particulier, l'un d'une manière, l'autre d'une autre.
      8 A ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis qu'il est bien pour eux de rester comme moi.
      9 Mais s'ils ne peuvent pas se maîtriser, qu'ils se marient, car il vaut mieux se marier que de brûler de désir.
      10 A ceux qui sont mariés j’adresse, non pas moi, mais le Seigneur, cette instruction : que la femme ne se sépare pas de son mari
      11 – si elle est séparée de lui, qu'elle reste sans se remarier ou qu'elle se réconcilie avec son mari – et que le mari ne divorce pas de sa femme.
      12 Aux autres, ce n'est pas le Seigneur, c'est moi qui dis : si un frère a une femme non croyante et qu'elle soit d'accord d'habiter avec lui, qu'il ne divorce pas d’elle ;
      13 et si une femme a un mari non croyant et qu'il soit d'accord d'habiter avec elle, qu'elle ne divorce pas de son mari.
      14 En effet, le mari non croyant bénéficie de la sainteté de sa femme, et la femme non croyante bénéficie de la sainteté de son mari ; autrement, vos enfants ne seraient pas purs, alors qu'en réalité ils sont saints.
      15 Si le non-croyant veut se séparer, qu'il le fasse ; le frère ou la sœur n’est pas lié dans un tel cas. Dieu nous a appelés à vivre en paix.
      16 En effet, comment peux-tu savoir, femme, si tu sauveras ton mari ? Ou comment peux-tu savoir, mari, si tu sauveras ta femme ?
      17 Par ailleurs, que chacun vive selon la part que le Seigneur lui a attribuée, selon l'appel qu'il a reçu de Dieu. C'est ce que je prescris dans toutes les Eglises.
      18 Quelqu'un était-il circoncis quand il a été appelé ? Qu'il ne cherche pas à le cacher. Quelqu'un était-il incirconcis quand il a été appelé ? Qu'il ne se fasse pas circoncire.
      19 La circoncision n'est rien et l'incirconcision n'est rien non plus, mais ce qui compte, c'est le respect des commandements de Dieu.
      20 Que chacun reste dans la condition qui était la sienne lorsqu'il a été appelé.
      21 Etais-tu esclave quand tu as été appelé ? Ne t'en inquiète pas mais, si tu peux devenir libre, profites-en plutôt.
      22 En effet, l'esclave qui a été appelé par le Seigneur est un affranchi du Seigneur ; de même, l'homme libre qui a été appelé est un esclave de Christ.
      23 Vous avez été rachetés à un grand prix : ne devenez pas esclaves des hommes.
      24 Frères et sœurs, que chacun reste devant Dieu dans la condition qui était la sienne lorsqu'il a été appelé.
      25 Au sujet des personnes non mariées, je n'ai pas d'ordre du Seigneur, mais je donne un avis, en homme qui a reçu du Seigneur la grâce d'être digne de confiance.
      26 Voici donc ce que j'estime bon, à cause des temps actuels de détresse : il est bon pour chacun de rester comme il est.
      27 Es-tu lié à une femme ? Ne cherche pas à rompre ce lien. N'es-tu pas lié à une femme ? Ne cherche pas de femme.
      28 Si toutefois tu te maries, tu ne pèches pas, et si la jeune fille se marie, elle ne pèche pas. Cependant, les personnes mariées connaîtront des souffrances dans leur vie, et je voudrais vous les épargner.
      29 Ce que je veux dire, frères et sœurs, c’est que le temps est court. Désormais, que ceux qui ont une femme soient comme s'ils n'en avaient pas,
      30 ceux qui pleurent comme s'ils ne pleuraient pas, ceux qui se réjouissent comme s'ils ne se réjouissaient pas, ceux qui achètent comme s'ils ne possédaient pas,
      31 et ceux qui jouissent de ce monde comme s'ils n'en jouissaient pas, car le monde dans sa forme actuelle passe.
      32 Or, je voudrais que vous soyez sans inquiétude. Celui qui n'est pas marié se préoccupe des affaires du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur,
      33 alors que celui qui est marié se préoccupe des affaires de ce monde, des moyens de plaire à sa femme.
      34 Il y a aussi une différence entre la femme non mariée et la jeune fille : celle qui n’est pas mariée se préoccupe des affaires du Seigneur, afin d'être sainte de corps et d'esprit, alors que celle qui est mariée se préoccupe des affaires de ce monde, des moyens de plaire à son mari.
      35 Je dis cela dans votre intérêt ; ce n'est pas pour vous imposer des contraintes, mais pour vous montrer ce qui est convenable et à même de vous attacher au Seigneur sans tiraillements.
      36 Si quelqu'un estime agir de façon inconvenante envers sa fiancée en la laissant dépasser la fleur de l’âge et si tel doit être le cas, qu'il fasse comme il le veut. Il ne pèche pas, qu'ils se marient.
      37 Quant à celui qui tient ferme dans son cœur, sans contrainte et avec l’exercice de sa propre volonté, et qui a décidé en lui-même de garder le célibat, il fait bien.
      38 Ainsi, celui qui se marie [avec sa fiancée] fait bien, et celui qui ne se marie pas fait mieux.
      39 Une femme est liée ? par la loi ? à son mari aussi longtemps qu'il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition que ce soit dans le Seigneur.
      40 Cependant, à mon avis, elle est plus heureuse si elle reste comme elle est. Et moi aussi, je crois avoir l'Esprit de Dieu.
    • 1 Corinthiens 7

      1 J’en viens à présent aux questions que vous m’avez posées dans votre lettre : « C’est une excellente chose, dites-vous, qu’un homme se passe de femme ».
      2 Oui, mais que de dangers menacent les célibataires et que les tentations sont puissantes ! C’est pourquoi, pour éviter tout dérèglement, il est préférable que chaque homme ait sa femme, et chaque femme son mari.
      3 Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari.
      4 En effet, le corps de la femme ne lui appartient plus : il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus : il est à sa femme.
      5 Ne vous refusez donc pas l’un à l’autre. Vous pouvez, certes, convenir mutuellement de renoncer pour un certain temps à vos relations conjugales afin de vous consacrer davantage à la prière, mais que ce soit pour une courte période après laquelle vous reprendrez vos rapports comme auparavant. Il ne faut pas donner à Satan le moyen d’exploiter votre incapacité à dominer vos instincts.
      6 Notez bien qu’il s’agit d’un simple conseil, d’une concession et nullement d’un ordre.
      7 Personnellement, je souhaiterais que tout le monde soit comme moi, mais je sais que chacun reçoit de Dieu son don particulier, l’un le don (du célibat), l’autre celui (du mariage).
      8 J’aimerais cependant dire aux non-mariés, et en particulier aux veuves, que c’est une bonne chose de vivre seul comme moi.
      9 Toutefois, s’ils trouvent qu’ils n’ont pas reçu le don de continence et ne peuvent se maîtriser en ce domaine, qu’ils se marient, car mieux vaut se marier que de se consumer en désirs insatisfaits.
      10 Quant aux personnes mariées, voici ce que j’ordonne, ou plutôt, ce que le Seigneur lui-même leur commande : que la femme ne se sépare pas de son mari.
      11 Au cas où elle en serait séparée, qu’elle reste sans se remarier ou qu’elle se réconcilie avec son mari. Le mari, de son côté, ne doit pas divorcer d’avec sa femme.
      12 Pour les autres couples, je n’ai pas d’indication expresse de la part du Seigneur, mais je leur donne mon avis : si un frère chrétien est lié à une femme non croyante qui consente à rester avec lui, qu’il ne divorce pas.
      13 De même, si une femme a un mari non croyant qui consente à habiter avec elle, qu’elle ne se sépare pas de son mari.
      14 Car le mari non croyant est bien un mari légitime, du fait de son union avec sa femme ; et de même, la femme non croyante est bien une épouse légitime, du fait de son union avec un mari croyant. Si cela n’était pas, vos enfants seraient des bâtards, alors qu’en réalité, ce sont des enfants légitimes.
      15 Mais si le conjoint non croyant est déterminé à demander la séparation, eh bien ! qu’il s’en aille ; dans ce cas, ni le frère ni la sœur ne sont liés : Dieu vous a appelés à vivre dans la paix.
      16 Certes, (par le maintien du lien conjugal,) toi, femme, tu peux amener ton mari au salut, mais sais-tu si tu y parviendras ? De même, toi mari, tu peux devenir le moyen de conversion de ta femme, mais comment en avoir la certitude ?
      17 En dehors de ce cas, tenez-vous en à la règle générale que j’enseigne partout : que chacun continue à vivre dans la condition que le Seigneur lui a assignée comme son lot, qu’il organise sa vie conformément à la vocation qui lui a été adressée et suivant les dons qu’il a reçus ; qu’il demeure dans le cadre où l’a trouvé l’appel de Dieu. C’est là ce que je prescris dans toutes les Églises.
      18 Par exemple, quelqu’un était-il circoncis lors de son appel ? Qu’il ne cherche pas à le dissimuler. L’appel l’a-t-il trouvé incirconcis ? Qu’il ne se fasse pas circoncire.
      19 Les rites extérieurs ne signifient rien : que l’on soit juif ou non juif n’a aucune importance. Ce qui importe, c’est d’obéir aux commandements de Dieu.
      20 Que chacun demeure dans l’état où l’appel de Dieu l’a touché.
      21 Étais-tu esclave lors de ton appel ? Ne te fais pas de souci à ce sujet. Même si tu peux devenir libre, vois les avantages de ta condition présente et mets-les à profit.
      22 Car un esclave qui vit dans la communion du Seigneur, parce que Dieu l’y a appelé, est en réalité un affranchi du Seigneur. Inversement, l’homme libre qui a été appelé devient un esclave du Christ.
      23 C’est à un grand prix que vous avez été rachetés ! Ne devenez pas esclaves des hommes.
      24 Donc, frères, que chacun serve Dieu dans les conditions où il était lorsque Dieu l’a appelé.
      25 Pour ceux ou celles qui n’ont jamais été mariés, je n’ai pas d’indication précise de la part du Seigneur, mais je leur donne mon avis, c’est celui d’un homme à qui le Seigneur a témoigné sa miséricorde et qui, par conséquent, est tenu de lui être fidèle, d’un homme qui, par la grâce de Dieu, a droit à votre confiance.
      26 À cause des difficultés de l’heure présente et des calamités imminentes, j’estime qu’il est bon que chacun demeure dans la situation où il se trouve.
      27 Es-tu fiancé ou marié ? Ne cherche pas à rompre. N’as-tu aucun engagement ? Reste libre.
      28 En revanche, si tu te maries, tu ne commets pas de péché. Ce n’est pas un péché pour un jeune homme ou une jeune fille de se marier, mais ces personnes-là auront à subir maintes épreuves dans la vie courante et elles connaîtront bien des souffrances, et je voudrais vous les épargner.
      29 Je vous assure, frères : le temps est bien limité ; que, désormais, ceux qui sont mariés vivent comme s’ils étaient libres de tout lien ;
      30 que ceux qui pleurent ne s’abandonnent pas à leur douleur, et que ceux qui se réjouissent ne s’oublient pas dans leur joie ; que ceux qui achètent ne se cramponnent pas à leurs possessions, qu’ils ne les considèrent pas comme leur propriété : qui sait pour combien de temps elles leur appartiennent ?
      31 Bref, que tous ceux qui sont engagés dans les affaires de ce monde en vivent détachés et que ceux qui jouissent de ses biens apprennent à s’en passer. Car la figure de ce monde passe et le présent ordre des choses s’achemine vers son déclin.
      32 C’est pourquoi je voudrais vous savoir exempts de tout souci et libres de préoccupations et d’inquiétudes. Celui qui n’est pas marié se préoccupe des intérêts du Seigneur. Son seul souci est de lui plaire et de lui donner entière satisfaction.
      33 Celui qui est marié doit s’occuper des questions matérielles, des affaires de ce monde, il cherche à plaire à sa femme ;
      34 et le voilà partagé, tiraillé entre des intérêts opposés. Il en est de même de la femme non mariée ou de la jeune fille. Elles n’ont d’autre souci que de prendre à cœur les intérêts du Seigneur, visant à se consacrer à lui corps et esprit. Tandis que la femme mariée doit se consacrer aux affaires de ce monde, car elle veut plaire à son mari.
      35 Je dis cela dans votre propre intérêt, et non pour vous tendre un piège ou pour vous imposer un joug supplémentaire. Je ne veux pas restreindre votre liberté, mais seulement promouvoir parmi vous une vie digne et bien ordonnée. J’aimerais vous encourager à vous consacrer au Seigneur sans réserve, à vous attacher à lui sans partage et à le servir sans que rien ne vienne vous en détourner.
      36 Mais si quelqu’un pense qu’il y a trop d’inconvénients à rester célibataire, si ses désirs le subjuguent et qu’il s’estime déshonoré en dépassant seul la fleur de l’âge, eh bien ! qu’il suive l’inclination de son cœur et fasse ce qui lui semble bon : il ne pèche pas. Que ces gens-là se marient donc !
      37 Toutefois, si quelqu’un se sent libre de toute contrainte extérieure et capable de tenir son corps en bride, si, après avoir pesé le pour et le contre, il est arrivé en son for intérieur à une ferme conviction et qu’il a pris, dans la pleine liberté de sa volonté, la décision de rester célibataire, il fait bien.
      38 En somme, celui qui renonce à son célibat et se marie fait bien, et celui qui ne se marie pas fait mieux encore.
      39 Un dernier mot : une femme demeure liée à son mari pour toute sa vie ; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien et qu’elle en décide dans la communion avec le Seigneur.
      40 Toutefois elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; c’est du moins mon avis, et je pense, moi aussi, avoir l’Esprit de Dieu.
    • 1 Corinthiens 7

      1

      L'apôtre répond à plusieurs questions relatives au mariage. (1 Corinthiens 7:1-9)
      Les chrétiens mariés ne doivent pas chercher à se séparer de leur époux incrédule. (1 Corinthiens 7:10-16)
      Chacun doit rester dans l'état où il était, lorsqu'il a été appelé. (1 Corinthiens 7:17-24)
      Il est bon, en ces temps difficiles, que chacun soit détaché de ce monde. (1 Corinthiens 7:25-35)
      Une grande prudence doit être observée dans le mariage ; il ne doit être opéré que devant le Seigneur. (1 Corinthiens 7:36-40)

      L'apôtre annonce aux Corinthiens, en cette conjoncture de troubles, qu’il était bon pour un chrétien, de rester célibataire.

      Paul souligne cependant, les joies relatives au mariage, ce dernier étant défini par la sagesse divine.

      Bien que nul ne soit autorisé à contrecarrer la loi divine, cette ordonnance parfaite, relative au mariage, laisse néanmoins aux hommes la liberté de servir le Seigneur, avec leurs dons et selon les circonstances, malgré l’avis parfois divergent et incompétent de leur entourage. Chacun doit déterminer le meilleur choix qui lui convienne, dans la prière, selon la volonté du Seigneur.

      10 Un mari et son épouse ne doivent pas se séparer, pour toute autre cause que celles permises par Christ. Le divorce, à l’époque de l’apôtre, était déjà très commun, aussi bien parmi les Juifs que chez les païens (les gentils), sous des prétextes les plus futiles.

      Le mariage est une institution divine ; c'est un engagement pour la vie, devant Dieu. Nous sommes tenus, autant que faire se peut, à vivre pacifiquement avec tous les hommes, Romains 12:18 ; cherchons donc à promouvoir la paix et la sérénité au sein de notre famille, même s’il s’y trouve des non-croyants.

      Ceux qui sont mariés doivent s'évertuer à mener une vie mutuelle aussi douce et heureuse que possible. Un chrétien peut-il abandonner un mari ou une épouse, alors qu'il y a dans le mariage, l'occasion de donner la plus grande preuve d'amour ? Reste ferme, et œuvre de tout ton cœur pour la conversion de ton conjoint !

      Dans tous les cas, dans toutes nos relations, le Seigneur nous a demandé à être en paix avec les autres ; tout doit être fait pour promouvoir l'harmonie de la famille, aussi loin que la vérité et la sainteté le permettront.

      17 Les règles du Christianisme sont valables dans toute condition : quel que soit l'état dans lequel un homme puisse se trouver, il doit se satisfaire de son sort. Il est du devoir de chaque chrétien de vivre dans le contentement et d’établir sa conduite en fonction.

      Notre réconfort et notre bonheur spirituels dépendent de notre état vis-à-vis de Christ, mais non de celui envers le monde. Nul ne doit penser faire de sa foi ou de sa piété, un argument pour s’abstenir de toutes les obligations naturelles ou civiles. L’enfant de Dieu doit, dans le calme et le contentement, demeurer dans la condition dans laquelle il est placé par la Providence divine.

      25 Étant donné les difficultés relatives au mariage et au divorce, qui régnaient à l'époque où fut rédigée cette épître, le fait de rester célibataire représentait la meilleure solution ! Néanmoins, l'apôtre ne condamne pas le mariage.

      Quel contraste entre ces recommandations de Paul et celles de ceux qui interdisaient à tous de se marier...

      L’apôtre exhorte tous les chrétiens à manifester une « sainte indifférence » envers les pensées philosophiques de ce monde. - En ce qui concerne la famille : ils ne doivent pas chercher à « construire leur bonheur » sur des bases d’origine païennes. - Pour ce qui est des afflictions : ils ne doivent pas céder à la peine engendrée par les souffrances qu’endure cette terre : même dans la peine, le cœur peut rester dans la joie spirituelle. - En ce qui concerne les plaisirs ici-bas : ils ne trouveront aucune paix, ni repos durable. - Au sujet de leur profession ici-bas : ceux qui prospèrent et accroissent leurs richesses, doivent estimer que tout ce qu’ils possèdent leur est accordé par le Seigneur : tout Lui appartient. - Quant à toutes les inquiétudes du monde : ils ne doivent pas s’en soucier outre mesure, afin de ne pas être soumis à toutes sortes d’afflictions.

      Toutes les valeurs de ce monde sont éphémères : aucune n’est vraiment garantie. Tout finira par disparaître ici-bas. Il est sage de prendre conscience des différents intérêts qui dirigent le monde ; s’ils prennent par contre la première place en notre cœur, nous laissant soucieux, anxieux et perplexe, c’est un péché.

      Par ces quelques recommandations, l'apôtre répond à la question de savoir s'il était bon de se marier. La meilleure condition de vie pour tout homme, est celle qui préserve au mieux son âme, qui le garde des soucis et des pièges de ce monde. Examinons les bénédictions dont nous jouissons, les pièges dans lesquels nous tombons : puissions-nous jouir et améliorer les premières, et nous écarter le plus possible de toute blessure causée par ces derniers. Quels que soient nos soucis, gardons encore du temps pour honorer le Seigneur !

      36 Dans ce texte, l'apôtre donne certains conseils aux jeunes, relativement au mariage. Le sens général de cet exposé est clair : les enfants, en ce qui concerne leur mariage, doivent rechercher et suivre les directives de leurs parents. Ces derniers doivent en plus, tenir compte des souhaits de leurs enfants, ne devant en aucune manière, abuser de leur autorité...

      Le chapitre se termine par des recommandations données aux veuves. Le remariage n’est pas illégitime, si l’on garde à l'esprit la ferme intention de se marier sous le regard du Seigneur. Dans le choix de notre futur conjoint, ce qui implique de nombreux changements dans nos conditions de vie, nous devons toujours être guidés par la crainte de Dieu et par Ses ordonnances, nous soumettant à Sa Providence.

      Tout changement de condition familiale ne doit se faire qu'après mûre réflexion, sur les bases d’une « bonne santé spirituelle ».

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