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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 51

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    • 1 Corinthiens 7

      1 Περὶ δὲ ὧν ἐγράψατε, καλὸν ἀνθρώπῳ γυναικὸς μὴ ἅπτεσθαι·
      2 διὰ δὲ τὰς πορνείας ἕκαστος τὴν ἑαυτοῦ γυναῖκα ἐχέτω, καὶ ἑκάστη τὸν ἴδιον ἄνδρα ἐχέτω.
      3 τῇ γυναικὶ ὁ ἀνὴρ τὴν ὀφειλὴν ἀποδιδότω, ὁμοίως δὲ καὶ ἡ γυνὴ τῷ ἀνδρί.
      4 ἡ γυνὴ τοῦ ἰδίου σώματος οὐκ ἐξουσιάζει ἀλλὰ ὁ ἀνήρ· ὁμοίως δὲ καὶ ὁ ἀνὴρ τοῦ ἰδίου σώματος οὐκ ἐξουσιάζει ἀλλὰ ἡ γυνή.
      5 μὴ ἀποστερεῖτε ἀλλήλους, εἰ μήτι ἂν ἐκ συμφώνου πρὸς καιρὸν ἵνα σχολάσητε τῇ προσευχῇ καὶ πάλιν ἐπὶ τὸ αὐτὸ ἦτε, ἵνα μὴ πειράζῃ ὑμᾶς ὁ Σατανᾶς διὰ τὴν ἀκρασίαν ὑμῶν.
      6 τοῦτο δὲ λέγω κατὰ συγγνώμην, οὐ κατ’ ἐπιταγήν.
      7 θέλω δὲ πάντας ἀνθρώπους εἶναι ὡς καὶ ἐμαυτόν· ἀλλὰ ἕκαστος ἴδιον ἔχει χάρισμα ἐκ θεοῦ, ὁ μὲν οὕτως, ὁ δὲ οὕτως.
      8 Λέγω δὲ τοῖς ἀγάμοις καὶ ταῖς χήραις, καλὸν αὐτοῖς ἐὰν μείνωσιν ὡς κἀγώ·
      9 εἰ δὲ οὐκ ἐγκρατεύονται, γαμησάτωσαν, κρεῖττον γάρ ἐστιν γαμῆσαι ἢ πυροῦσθαι.
      10 Τοῖς δὲ γεγαμηκόσιν παραγγέλλω, οὐκ ἐγὼ ἀλλὰ ὁ κύριος, γυναῖκα ἀπὸ ἀνδρὸς μὴ χωρισθῆναι—
      11 ἐὰν δὲ καὶ χωρισθῇ, μενέτω ἄγαμος ἢ τῷ ἀνδρὶ καταλλαγήτω— καὶ ἄνδρα γυναῖκα μὴ ἀφιέναι.
      12 Τοῖς δὲ λοιποῖς λέγω ἐγώ, οὐχ ὁ κύριος· εἴ τις ἀδελφὸς γυναῖκα ἔχει ἄπιστον, καὶ αὕτη συνευδοκεῖ οἰκεῖν μετ’ αὐτοῦ, μὴ ἀφιέτω αὐτήν·
      13 καὶ γυνὴ εἴ τις ἔχει ἄνδρα ἄπιστον, καὶ οὗτος συνευδοκεῖ οἰκεῖν μετ’ αὐτῆς, μὴ ἀφιέτω τὸν ἄνδρα.
      14 ἡγίασται γὰρ ὁ ἀνὴρ ὁ ἄπιστος ἐν τῇ γυναικί, καὶ ἡγίασται ἡ γυνὴ ἡ ἄπιστος ἐν τῷ ἀδελφῷ· ἐπεὶ ἄρα τὰ τέκνα ὑμῶν ἀκάθαρτά ἐστιν, νῦν δὲ ἅγιά ἐστιν.
      15 εἰ δὲ ὁ ἄπιστος χωρίζεται, χωριζέσθω· οὐ δεδούλωται ὁ ἀδελφὸς ἢ ἡ ἀδελφὴ ἐν τοῖς τοιούτοις, ἐν δὲ εἰρήνῃ κέκληκεν ἡμᾶς ὁ θεός.
      16 τί γὰρ οἶδας, γύναι, εἰ τὸν ἄνδρα σώσεις; ἢ τί οἶδας, ἄνερ, εἰ τὴν γυναῖκα σώσεις;
      17 Εἰ μὴ ἑκάστῳ ὡς ἐμέρισεν ὁ κύριος, ἕκαστον ὡς κέκληκεν ὁ θεός, οὕτως περιπατείτω· καὶ οὕτως ἐν ταῖς ἐκκλησίαις πάσαις διατάσσομαι.
      18 περιτετμημένος τις ἐκλήθη; μὴ ἐπισπάσθω· ἐν ἀκροβυστίᾳ κέκληταί τις; μὴ περιτεμνέσθω.
      19 ἡ περιτομὴ οὐδέν ἐστιν, καὶ ἡ ἀκροβυστία οὐδέν ἐστιν, ἀλλὰ τήρησις ἐντολῶν θεοῦ.
      20 ἕκαστος ἐν τῇ κλήσει ᾗ ἐκλήθη ἐν ταύτῃ μενέτω.
      21 Δοῦλος ἐκλήθης; μή σοι μελέτω· ἀλλ’ εἰ καὶ δύνασαι ἐλεύθερος γενέσθαι, μᾶλλον χρῆσαι.
      22 ὁ γὰρ ἐν κυρίῳ κληθεὶς δοῦλος ἀπελεύθερος κυρίου ἐστίν· ὁμοίως ὁ ἐλεύθερος κληθεὶς δοῦλός ἐστιν Χριστοῦ.
      23 τιμῆς ἠγοράσθητε· μὴ γίνεσθε δοῦλοι ἀνθρώπων.
      24 ἕκαστος ἐν ᾧ ἐκλήθη, ἀδελφοί, ἐν τούτῳ μενέτω παρὰ θεῷ.
      25 Περὶ δὲ τῶν παρθένων ἐπιταγὴν κυρίου οὐκ ἔχω, γνώμην δὲ δίδωμι ὡς ἠλεημένος ὑπὸ κυρίου πιστὸς εἶναι.
      26 νομίζω οὖν τοῦτο καλὸν ὑπάρχειν διὰ τὴν ἐνεστῶσαν ἀνάγκην, ὅτι καλὸν ἀνθρώπῳ τὸ οὕτως εἶναι.
      27 δέδεσαι γυναικί; μὴ ζήτει λύσιν· λέλυσαι ἀπὸ γυναικός; μὴ ζήτει γυναῖκα·
      28 ἐὰν δὲ καὶ γαμήσῃς, οὐχ ἥμαρτες. καὶ ἐὰν γήμῃ ἡ παρθένος, οὐχ ἥμαρτεν. θλῖψιν δὲ τῇ σαρκὶ ἕξουσιν οἱ τοιοῦτοι, ἐγὼ δὲ ὑμῶν φείδομαι.
      29 τοῦτο δέ φημι, ἀδελφοί, ὁ καιρὸς συνεσταλμένος ἐστίν· τὸ λοιπὸν ἵνα καὶ οἱ ἔχοντες γυναῖκας ὡς μὴ ἔχοντες ὦσιν,
      30 καὶ οἱ κλαίοντες ὡς μὴ κλαίοντες, καὶ οἱ χαίροντες ὡς μὴ χαίροντες, καὶ οἱ ἀγοράζοντες ὡς μὴ κατέχοντες,
      31 καὶ οἱ χρώμενοι τὸν κόσμον ὡς μὴ καταχρώμενοι· παράγει γὰρ τὸ σχῆμα τοῦ κόσμου τούτου.
      32 Θέλω δὲ ὑμᾶς ἀμερίμνους εἶναι. ὁ ἄγαμος μεριμνᾷ τὰ τοῦ κυρίου, πῶς ἀρέσῃ τῷ κυρίῳ·
      33 ὁ δὲ γαμήσας μεριμνᾷ τὰ τοῦ κόσμου, πῶς ἀρέσῃ τῇ γυναικί,
      34 καὶ μεμέρισται. καὶ ἡ γυνὴ ἡ ἄγαμος καὶ ἡ παρθένος μεριμνᾷ τὰ τοῦ κυρίου, ἵνα ᾖ ἁγία καὶ τῷ σώματι καὶ τῷ πνεύματι· ἡ δὲ γαμήσασα μεριμνᾷ τὰ τοῦ κόσμου, πῶς ἀρέσῃ τῷ ἀνδρί.
      35 τοῦτο δὲ πρὸς τὸ ὑμῶν αὐτῶν σύμφορον λέγω, οὐχ ἵνα βρόχον ὑμῖν ἐπιβάλω, ἀλλὰ πρὸς τὸ εὔσχημον καὶ εὐπάρεδρον τῷ κυρίῳ ἀπερισπάστως.
      36 Εἰ δέ τις ἀσχημονεῖν ἐπὶ τὴν παρθένον αὐτοῦ νομίζει ἐὰν ᾖ ὑπέρακμος, καὶ οὕτως ὀφείλει γίνεσθαι, ὃ θέλει ποιείτω· οὐχ ἁμαρτάνει· γαμείτωσαν.
      37 ὃς δὲ ἕστηκεν ἐν τῇ καρδίᾳ αὐτοῦ ἑδραῖος μὴ ἔχων ἀνάγκην, ἐξουσίαν δὲ ἔχει περὶ τοῦ ἰδίου θελήματος, καὶ τοῦτο κέκρικεν ἐν τῇ ἰδίᾳ καρδίᾳ, τηρεῖν τὴν ἑαυτοῦ παρθένον, καλῶς ποιήσει·
      38 ὥστε καὶ ὁ γαμίζων τὴν παρθένον ἑαυτοῦ καλῶς ποιεῖ, καὶ ὁ μὴ γαμίζων κρεῖσσον ποιήσει.
      39 Γυνὴ δέδεται ἐφ’ ὅσον χρόνον ζῇ ὁ ἀνὴρ αὐτῆς· ἐὰν δὲ κοιμηθῇ ὁ ἀνήρ, ἐλευθέρα ἐστὶν ᾧ θέλει γαμηθῆναι, μόνον ἐν κυρίῳ·
      40 μακαριωτέρα δέ ἐστιν ἐὰν οὕτως μείνῃ, κατὰ τὴν ἐμὴν γνώμην, δοκῶ δὲ κἀγὼ πνεῦμα θεοῦ ἔχειν.
    • 1 Corinthiens 7

      1 Au sujet de ce que vous m'avez écrit, il est bon pour l'homme de ne pas prendre de femme.
      2 Toutefois, pour éviter toute immoralité sexuelle, que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari.
      3 Que le mari rende à sa femme l’affection qu'il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari.
      4 Ce n’est pas la femme qui est maîtresse de son corps, mais son mari. De même, ce n’est pas le mari qui est maître de son corps, mais sa femme.
      5 Ne vous privez pas l'un de l'autre, si ce n'est d'un commun accord pour un temps, afin de vous consacrer [au jeûne et] à la prière ; puis retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente à cause de votre manque de maîtrise.
      6 Je dis cela comme une concession, et non comme un ordre.
      7 Je voudrais que tous soient comme moi ; mais chacun tient de Dieu un don particulier, l'un d'une manière, l'autre d'une autre.
      8 A ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis qu'il est bien pour eux de rester comme moi.
      9 Mais s'ils ne peuvent pas se maîtriser, qu'ils se marient, car il vaut mieux se marier que de brûler de désir.
      10 A ceux qui sont mariés j’adresse, non pas moi, mais le Seigneur, cette instruction : que la femme ne se sépare pas de son mari
      11 – si elle est séparée de lui, qu'elle reste sans se remarier ou qu'elle se réconcilie avec son mari – et que le mari ne divorce pas de sa femme.
      12 Aux autres, ce n'est pas le Seigneur, c'est moi qui dis : si un frère a une femme non croyante et qu'elle soit d'accord d'habiter avec lui, qu'il ne divorce pas d’elle ;
      13 et si une femme a un mari non croyant et qu'il soit d'accord d'habiter avec elle, qu'elle ne divorce pas de son mari.
      14 En effet, le mari non croyant bénéficie de la sainteté de sa femme, et la femme non croyante bénéficie de la sainteté de son mari ; autrement, vos enfants ne seraient pas purs, alors qu'en réalité ils sont saints.
      15 Si le non-croyant veut se séparer, qu'il le fasse ; le frère ou la sœur n’est pas lié dans un tel cas. Dieu nous a appelés à vivre en paix.
      16 En effet, comment peux-tu savoir, femme, si tu sauveras ton mari ? Ou comment peux-tu savoir, mari, si tu sauveras ta femme ?
      17 Par ailleurs, que chacun vive selon la part que le Seigneur lui a attribuée, selon l'appel qu'il a reçu de Dieu. C'est ce que je prescris dans toutes les Eglises.
      18 Quelqu'un était-il circoncis quand il a été appelé ? Qu'il ne cherche pas à le cacher. Quelqu'un était-il incirconcis quand il a été appelé ? Qu'il ne se fasse pas circoncire.
      19 La circoncision n'est rien et l'incirconcision n'est rien non plus, mais ce qui compte, c'est le respect des commandements de Dieu.
      20 Que chacun reste dans la condition qui était la sienne lorsqu'il a été appelé.
      21 Etais-tu esclave quand tu as été appelé ? Ne t'en inquiète pas mais, si tu peux devenir libre, profites-en plutôt.
      22 En effet, l'esclave qui a été appelé par le Seigneur est un affranchi du Seigneur ; de même, l'homme libre qui a été appelé est un esclave de Christ.
      23 Vous avez été rachetés à un grand prix : ne devenez pas esclaves des hommes.
      24 Frères et sœurs, que chacun reste devant Dieu dans la condition qui était la sienne lorsqu'il a été appelé.
      25 Au sujet des personnes non mariées, je n'ai pas d'ordre du Seigneur, mais je donne un avis, en homme qui a reçu du Seigneur la grâce d'être digne de confiance.
      26 Voici donc ce que j'estime bon, à cause des temps actuels de détresse : il est bon pour chacun de rester comme il est.
      27 Es-tu lié à une femme ? Ne cherche pas à rompre ce lien. N'es-tu pas lié à une femme ? Ne cherche pas de femme.
      28 Si toutefois tu te maries, tu ne pèches pas, et si la jeune fille se marie, elle ne pèche pas. Cependant, les personnes mariées connaîtront des souffrances dans leur vie, et je voudrais vous les épargner.
      29 Ce que je veux dire, frères et sœurs, c’est que le temps est court. Désormais, que ceux qui ont une femme soient comme s'ils n'en avaient pas,
      30 ceux qui pleurent comme s'ils ne pleuraient pas, ceux qui se réjouissent comme s'ils ne se réjouissaient pas, ceux qui achètent comme s'ils ne possédaient pas,
      31 et ceux qui jouissent de ce monde comme s'ils n'en jouissaient pas, car le monde dans sa forme actuelle passe.
      32 Or, je voudrais que vous soyez sans inquiétude. Celui qui n'est pas marié se préoccupe des affaires du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur,
      33 alors que celui qui est marié se préoccupe des affaires de ce monde, des moyens de plaire à sa femme.
      34 Il y a aussi une différence entre la femme non mariée et la jeune fille : celle qui n’est pas mariée se préoccupe des affaires du Seigneur, afin d'être sainte de corps et d'esprit, alors que celle qui est mariée se préoccupe des affaires de ce monde, des moyens de plaire à son mari.
      35 Je dis cela dans votre intérêt ; ce n'est pas pour vous imposer des contraintes, mais pour vous montrer ce qui est convenable et à même de vous attacher au Seigneur sans tiraillements.
      36 Si quelqu'un estime agir de façon inconvenante envers sa fiancée en la laissant dépasser la fleur de l’âge et si tel doit être le cas, qu'il fasse comme il le veut. Il ne pèche pas, qu'ils se marient.
      37 Quant à celui qui tient ferme dans son cœur, sans contrainte et avec l’exercice de sa propre volonté, et qui a décidé en lui-même de garder le célibat, il fait bien.
      38 Ainsi, celui qui se marie [avec sa fiancée] fait bien, et celui qui ne se marie pas fait mieux.
      39 Une femme est liée ? par la loi ? à son mari aussi longtemps qu'il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition que ce soit dans le Seigneur.
      40 Cependant, à mon avis, elle est plus heureuse si elle reste comme elle est. Et moi aussi, je crois avoir l'Esprit de Dieu.
    • 1 Corinthiens 7

      1 J’en viens à présent aux problèmes que vous soulevez dans votre lettre : « C’est une excellente chose, dites-vous, qu’un homme se passe de femme. »
      2 Cependant, pour éviter toute immoralité, il est préférable que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari.
      3 Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari.
      4 Car le corps de la femme ne lui appartient plus, il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus, il est à sa femme.
      5 Ne vous refusez donc pas l’un à l’autre. Vous pouvez, certes, en plein accord l’un avec l’autre, renoncer pour un temps à vos relations conjugales afin de vous consacrer davantage à la prière, mais après cela, reprenez vos rapports comme auparavant. Il ne faut pas donner à *Satan l’occasion de vous tenter par votre incapacité à dominer vos instincts.
      6 Notez bien qu’il s’agit là d’une concession et nullement d’un ordre.
      7 Je voudrais bien que tout le monde soit comme moi, mais chacun reçoit de Dieu son don particulier, l’un le mariage, l’autre le célibat.
      8 J’aimerais cependant dire aux veufs et aux veuves que c’est une bonne chose de continuer à vivre seul, comme moi.
      9 Toutefois, s’ils ne peuvent pas se maîtriser en ce domaine, qu’ils se marient, car mieux vaut se marier que de se consumer en désirs insatisfaits.
      10 Quant aux couples chrétiens, voici ce que j’ordonne, ou plutôt ce que le Seigneur lui-même leur commande : Que la femme ne se sépare pas de son mari.
      11 Au cas où elle en serait séparée, qu’elle reste sans se remarier ou qu’elle se réconcilie avec son mari. Le mari, de son côté, ne doit pas quitter sa femme.
      12 Pour les autres couples, en l’absence d’indication expresse de la part du Seigneur, voici ce que je dis : si un frère chrétien est marié avec une femme non-croyante et qu’elle consente à rester avec lui, qu’il ne la quitte pas.
      13 De même, si une femme a un mari non-croyant et qu’il consente à rester avec elle, qu’elle ne le quitte pas.
      14 Car du fait de son union avec sa femme, le mari non-croyant est bien un mari légitime et de même, du fait de son union avec son mari chrétien, la femme non-croyante est bien une épouse légitime. Autrement, leurs enfants seraient des enfants naturels, alors qu’en réalité ils sont légitimes.
      15 Mais si le conjoint non-croyant est déterminé à demander le divorce, eh bien, qu’il le fasse ; dans ce cas, le frère ou la sœur n’est pas lié. Dieu vous a appelés à vivre dans la paix.
      16 Car toi, femme, tu amèneras peut-être ton mari au salut, mais en fait qu’en sais-tu ? De même, toi, mari, tu amèneras peut-être ta femme au salut, mais en fait, qu’en sais-tu ?
      17 En dehors de ce cas, tenez-vous-en à la règle générale que j’enseigne partout dans toutes les Eglises : que chacun continue à vivre dans la condition que le Seigneur lui a assignée comme sa part, celle dans laquelle il se trouvait au moment où Dieu l’a appelé.
      18 Quelqu’un était-il *circoncis lorsqu’il a été appelé ? Qu’il ne cherche pas à le dissimuler. Ou quelqu’un était-il incirconcis lorsque Dieu l’a appelé ? Qu’il ne se fasse pas circoncire.
      19 Que l’on soit circoncis ou non n’a aucune importance. Ce qui importe, c’est l’obéissance aux commandements de Dieu.
      20 Que chacun demeure dans la situation qui était la sienne lorsque Dieu l’a appelé.
      21 Etais-tu esclave lorsque Dieu t’a appelé ? Ne te fais pas de souci à ce sujet. — Mais si tu peux devenir libre, alors profites-en. —
      22 Car un esclave qui a été appelé à servir le Seigneur est un affranchi du Seigneur. Et de même, l’homme libre que Dieu a appelé est un esclave du Christ.
      23 C’est à un grand prix que vous avez été rachetés ! Alors, ne devenez pas esclaves des hommes.
      24 Donc, frères, que chacun reste devant Dieu dans la situation où il était lorsque Dieu l’a appelé à venir à lui.
      25 Pour ceux qui ne sont pas mariés, je n’ai pas d’indication expresse de la part du Seigneur, mais je leur donne mon avis comme celui d’un homme qui, par la grâce du Seigneur, est digne de confiance :
      26 à cause des détresses de l’heure présente, j’estime qu’il est bon pour chacun de demeurer comme il est.
      27 As-tu une femme ? Ne cherche pas à rompre. N’as-tu aucun engagement ? Ne cherche pas de femme.
      28 Mais si tu te maries, tu ne commets pas de péché. Ce n’est pas non plus un péché pour une jeune fille de se marier. Mais les gens mariés connaîtront bien des souffrances et je voudrais vous les épargner.
      29 Je vous assure, frères : le temps est limité ; que désormais ceux qui sont mariés vivent comme s’ils n’avaient pas de femme,
      30 ceux qui pleurent comme s’ils ne pleuraient pas, ceux qui se réjouissent comme s’ils ne se réjouissaient pas, ceux qui achètent comme s’ils ne possédaient rien.
      31 Bref, que tous ceux qui jouissent des biens de ce monde vivent comme s’ils n’en jouissaient pas. Car le présent ordre des choses va vers sa fin.
      32 C’est pourquoi je voudrais vous savoir libres de toute préoccupation. Celui qui n’est pas marié se préoccupe des intérêts du Seigneur. Son seul souci est de lui plaire.
      33 Celui qui est marié s’occupe des affaires de ce monde, pour plaire à sa femme ;
      34 et le voilà tiraillé de part et d’autre. De même la veuve et la jeune fille n’ont pas d’autre souci que les intérêts du Seigneur, pas d’autre désir que de se dévouer à lui corps et esprit. La femme mariée, elle, se préoccupe des affaires de ce monde, pour plaire à son mari.
      35 Je dis cela dans votre propre intérêt et non pour vous tendre un piège, mais pour que vous meniez une vie bien ordonnée, et que vous soyez attachés au Seigneur sans partage.
      36 Mais si un fiancé craint de mal se comporter envers sa fiancée, et pense que les choses doivent suivre leur cours normal, qu’il fasse ce qui lui semble bon ; il ne commet pas de faute. Que ces fiancés se marient donc !
      37 Si un fiancé a pris en lui-même une ferme résolution, sans y être contraint, mais dans la pleine possession de sa volonté, si la décision qu’il a ainsi prise en lui-même est de rester célibataire, il fera bien.
      38 En somme, celui qui épouse sa fiancée fait bien, et celui qui ne se marie pas fera encore mieux.
      39 Un dernier mot : une femme demeure liée à son mari aussi longtemps qu’il vit ; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien.
      40 Toutefois, à mon avis, elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; et je pense, moi aussi, avoir l’Esprit de Dieu.
    • 1 Corinthiens 7

      1

      L'apôtre répond à plusieurs questions relatives au mariage. (1 Corinthiens 7:1-9)
      Les chrétiens mariés ne doivent pas chercher à se séparer de leur époux incrédule. (1 Corinthiens 7:10-16)
      Chacun doit rester dans l'état où il était, lorsqu'il a été appelé. (1 Corinthiens 7:17-24)
      Il est bon, en ces temps difficiles, que chacun soit détaché de ce monde. (1 Corinthiens 7:25-35)
      Une grande prudence doit être observée dans le mariage ; il ne doit être opéré que devant le Seigneur. (1 Corinthiens 7:36-40)

      L'apôtre annonce aux Corinthiens, en cette conjoncture de troubles, qu’il était bon pour un chrétien, de rester célibataire.

      Paul souligne cependant, les joies relatives au mariage, ce dernier étant défini par la sagesse divine.

      Bien que nul ne soit autorisé à contrecarrer la loi divine, cette ordonnance parfaite, relative au mariage, laisse néanmoins aux hommes la liberté de servir le Seigneur, avec leurs dons et selon les circonstances, malgré l’avis parfois divergent et incompétent de leur entourage. Chacun doit déterminer le meilleur choix qui lui convienne, dans la prière, selon la volonté du Seigneur.

      10 Un mari et son épouse ne doivent pas se séparer, pour toute autre cause que celles permises par Christ. Le divorce, à l’époque de l’apôtre, était déjà très commun, aussi bien parmi les Juifs que chez les païens (les gentils), sous des prétextes les plus futiles.

      Le mariage est une institution divine ; c'est un engagement pour la vie, devant Dieu. Nous sommes tenus, autant que faire se peut, à vivre pacifiquement avec tous les hommes, Romains 12:18 ; cherchons donc à promouvoir la paix et la sérénité au sein de notre famille, même s’il s’y trouve des non-croyants.

      Ceux qui sont mariés doivent s'évertuer à mener une vie mutuelle aussi douce et heureuse que possible. Un chrétien peut-il abandonner un mari ou une épouse, alors qu'il y a dans le mariage, l'occasion de donner la plus grande preuve d'amour ? Reste ferme, et œuvre de tout ton cœur pour la conversion de ton conjoint !

      Dans tous les cas, dans toutes nos relations, le Seigneur nous a demandé à être en paix avec les autres ; tout doit être fait pour promouvoir l'harmonie de la famille, aussi loin que la vérité et la sainteté le permettront.

      17 Les règles du Christianisme sont valables dans toute condition : quel que soit l'état dans lequel un homme puisse se trouver, il doit se satisfaire de son sort. Il est du devoir de chaque chrétien de vivre dans le contentement et d’établir sa conduite en fonction.

      Notre réconfort et notre bonheur spirituels dépendent de notre état vis-à-vis de Christ, mais non de celui envers le monde. Nul ne doit penser faire de sa foi ou de sa piété, un argument pour s’abstenir de toutes les obligations naturelles ou civiles. L’enfant de Dieu doit, dans le calme et le contentement, demeurer dans la condition dans laquelle il est placé par la Providence divine.

      25 Étant donné les difficultés relatives au mariage et au divorce, qui régnaient à l'époque où fut rédigée cette épître, le fait de rester célibataire représentait la meilleure solution ! Néanmoins, l'apôtre ne condamne pas le mariage.

      Quel contraste entre ces recommandations de Paul et celles de ceux qui interdisaient à tous de se marier...

      L’apôtre exhorte tous les chrétiens à manifester une « sainte indifférence » envers les pensées philosophiques de ce monde. - En ce qui concerne la famille : ils ne doivent pas chercher à « construire leur bonheur » sur des bases d’origine païennes. - Pour ce qui est des afflictions : ils ne doivent pas céder à la peine engendrée par les souffrances qu’endure cette terre : même dans la peine, le cœur peut rester dans la joie spirituelle. - En ce qui concerne les plaisirs ici-bas : ils ne trouveront aucune paix, ni repos durable. - Au sujet de leur profession ici-bas : ceux qui prospèrent et accroissent leurs richesses, doivent estimer que tout ce qu’ils possèdent leur est accordé par le Seigneur : tout Lui appartient. - Quant à toutes les inquiétudes du monde : ils ne doivent pas s’en soucier outre mesure, afin de ne pas être soumis à toutes sortes d’afflictions.

      Toutes les valeurs de ce monde sont éphémères : aucune n’est vraiment garantie. Tout finira par disparaître ici-bas. Il est sage de prendre conscience des différents intérêts qui dirigent le monde ; s’ils prennent par contre la première place en notre cœur, nous laissant soucieux, anxieux et perplexe, c’est un péché.

      Par ces quelques recommandations, l'apôtre répond à la question de savoir s'il était bon de se marier. La meilleure condition de vie pour tout homme, est celle qui préserve au mieux son âme, qui le garde des soucis et des pièges de ce monde. Examinons les bénédictions dont nous jouissons, les pièges dans lesquels nous tombons : puissions-nous jouir et améliorer les premières, et nous écarter le plus possible de toute blessure causée par ces derniers. Quels que soient nos soucis, gardons encore du temps pour honorer le Seigneur !

      36 Dans ce texte, l'apôtre donne certains conseils aux jeunes, relativement au mariage. Le sens général de cet exposé est clair : les enfants, en ce qui concerne leur mariage, doivent rechercher et suivre les directives de leurs parents. Ces derniers doivent en plus, tenir compte des souhaits de leurs enfants, ne devant en aucune manière, abuser de leur autorité...

      Le chapitre se termine par des recommandations données aux veuves. Le remariage n’est pas illégitime, si l’on garde à l'esprit la ferme intention de se marier sous le regard du Seigneur. Dans le choix de notre futur conjoint, ce qui implique de nombreux changements dans nos conditions de vie, nous devons toujours être guidés par la crainte de Dieu et par Ses ordonnances, nous soumettant à Sa Providence.

      Tout changement de condition familiale ne doit se faire qu'après mûre réflexion, sur les bases d’une « bonne santé spirituelle ».

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