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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 55

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Versets relatifs

    • 1 Corinthiens 11

      1 Soyez mes imitateurs, comme je [le suis] moi-même de Christ.
      2 Or, mes frères, je vous loue de ce que vous vous souvenez de tout ce qui me concerne, et de ce que vous gardez mes ordonnances, comme je vous les ai données.
      3 Mais je veux que vous sachiez que le Chef de tout homme, c'est Christ ; et que le Chef de la femme, c'est l'homme ; et que le Chef de Christ, c'est Dieu.
      4 Tout homme qui prie, ou qui prophétise, ayant [quelque chose] sur la tête, déshonore sa tête.
      5 Mais toute femme qui prie, ou qui prophétise sans avoir la tête couverte, déshonore sa tête : car c'est la même chose que si elle était rasée.
      6 Si donc la femme n'est pas couverte, qu'on lui coupe les cheveux. Or s'il est déshonnête à la femme d'avoir les cheveux coupés, ou d'être rasée, qu'elle soit couverte.
      7 Car pour ce qui est de l'homme, il ne doit point couvrir sa tête, vu qu'il est l'image et la gloire de Dieu ; mais la femme est la gloire de l'homme.
      8 Parce que l'homme n'a point [été tiré] de la femme, mais la femme [a été tirée] de l'homme.
      9 Et aussi l'homme n'a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l'homme.
      10 C'est pourquoi la femme à cause des Anges doit avoir sur la tête une marque qu'elle est sous la puissance [de son mari].
      11 Toutefois ni l'homme n'est point sans la femme, ni la femme sans l'homme en notre Seigneur.
      12 Car comme la femme [est] par l'homme, aussi l'homme est par la femme ; mais toutes choses procèdent de Dieu.
      13 Jugez-en entre vous-mêmes : est-il convenable que la femme prie Dieu sans être couverte ?
      14 La nature même ne vous enseigne-t-elle pas que si l'homme nourrit sa chevelure, ce lui est du déshonneur ;
      15 Mais que si la femme nourrit sa chevelure, ce lui est de la gloire, parce que la chevelure lui est donnée pour couverture.
      16 Que si quelqu'un aime à contester, nous n'avons pas une telle coutume, ni aussi les Eglises de Dieu.
      17 Or en ce que je vais vous dire, je ne vous loue point : c'est que vos assemblées ne sont pas mieux réglées qu'elles l'étaient ; elles le sont moins.
      18 Car premièrement, quand vous vous assemblez dans l'Eglise, j'apprends qu'il y a des divisions parmi vous ; et j'en crois une partie :
      19 Car il faut qu'il y ait même des hérésies parmi vous, afin que ceux qui sont dignes d'approbation, soient manifestés parmi vous.
      20 Quand donc vous vous assemblez [ainsi] tous ensemble, ce n'est pas manger la Cène du Seigneur.
      21 Car lorsqu'il s'agit de prendre le repas, chacun prend par avance son souper particulier, en sorte que l'un a faim, et l'autre fait bonne chère.
      22 N'avez-vous donc pas de maisons pour manger et pour boire ? ou méprisez-vous l'Eglise de Dieu ? et faites-vous honte à ceux qui n'ont rien ? que vous dirai-je ? vous louerai-je ? je ne vous loue point en ceci.
      23 Car j'ai reçu du Seigneur ce qu'aussi je vous ai donné ; c’est que le Seigneur Jésus la nuit qu'il fut trahi, prit du pain ;
      24 Et après avoir rendu grâces il le rompit, et dit : prenez, mangez : ceci est mon corps [qui est] rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi.
      25 De même aussi après le souper, il prit la coupe, en disant : cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci toutes les fois que vous en boirez, en mémoire de moi.
      26 Car toutes les fois que vous mangerez de ce pain, et que vous boirez de cette coupe, vous annoncerez la mort du Seigneur jusques à ce qu'il vienne.
      27 C'est pourquoi quiconque mangera de ce pain, ou boira de la coupe du Seigneur indignement, sera coupable du corps et du sang du Seigneur.
      28 Que chacun donc s'éprouve soi-même, et ainsi qu'il mange de ce pain, et qu'il boive de cette coupe ;
      29 Car celui qui [en] mange et qui [en] boit indignement, mange et boit sa condamnation, ne distinguant point le corps du Seigneur.
      30 Et c'est pour cela que plusieurs sont faibles et malades parmi vous, et que plusieurs dorment.
      31 Car si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions point jugés.
      32 Mais quand nous sommes jugés, nous sommes enseignés par le Seigneur, afin que nous ne soyons point condamnés avec le monde.
      33 C'est pourquoi, mes frères, quand vous vous assemblez pour manger, attendez-vous l'un l'autre.
      34 Et si quelqu'un a faim, qu'il mange en sa maison, afin que vous ne vous assembliez pas pour votre condamnation. Touchant les autres points, j'en ordonnerai quand je serai arrivé.
    • 1 Corinthiens 11

      1 Soyez mes imitateurs, comme moi aussi je le suis de Christ.
      2 Or je vous loue de ce que vous vous souvenez de moi en toutes choses, et de ce que vous gardez les enseignements, comme je vous les ai donnés.
      3 Mais je veux que vous sachiez que le chef de tout homme, c'est le Christ, et que le chef de la femme, c'est l'homme, et que le chef du Christ, c'est Dieu.
      4 Tout homme qui prie ou qui prophétise en ayant quelque chose sur la tête, déshonore sa tête ;
      5 et toute femme qui prie ou qui prophétise, la tête découverte, déshonore sa tête, car c'es la même chose qu'une femme qui serait rasée.
      6 Car si la femme n'est pas couverte, qu'on lui coupe aussi les cheveux. Mais s'il est déshonnête pour une femme d'avoir les cheveux coupés ou d'être rasée, qu'elle soit couverte.
      7 Car l'homme, étant l'image et la gloire de Dieu, ne doit pas se couvrir la tête ; mais la femme est la gloire de l'homme.
      8 Car l'homme ne procède pas de la femme, mais la femme de l'homme ;
      9 car aussi l'homme n'a pas été crée à cause de la femme, mais la femme à cause de l'homme.
      10 C'est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l'autorité à laquelle est est soumise.
      11 Toutefois ni la femme n'est sans l'homme, ni l'homme sans la femme, dans le Seigneur ;
      12 car comme la femme procède de l'homme, ainsi aussi l'homme est par la femme ; mais toutes choses procèdent de Dieu.
      13 Jugez-en vous-mêmes : est-t-il convenable qu'une femme prie Dieu sans être couverte ?
      14 La nature même ne vous enseigne-t-elle pas que, si un homme a une longue chevelure, c'est un déshonneur pour lui ?
      15 Mais si une femme a une longue chevelure, c'est une gloire pour elle, parce que la chevelure lui est donnée en guise de voile.
      16 Mais si quelqu'un paraît vouloir contester, nous, nous n'avons pas une telle coutume, ni les assemblées de Dieu.
      17 Or, en prescrivant ceci, je ne vous loue pas, -c'est que vous vous réunissez, non pas pour votre profit, mais à votre détriment.
      18 Car d'abord, quand vous vous réunissez en assemblée, j'entends dire qu'il y a des divisions parmi vous, et je le crois en partie ;
      19 car il faut aussi qu'il y ait des sectes parmi vous, afin que ceux qui sont approuvés soient manifestes parmi vous.
      20 Quand donc vous vous réunissez ensemble, ce n'est pas manger la cène dominicale :
      21 car lorsqu'on mange, chacun prend par avance son propre souper, et l'un a faim, et l'autre s'enivre.
      22 N'avez-vous donc pas des maisons pour manger et pour boire ? Ou méprisez-vous l'assemblée de Dieu, et faites-vous honte à ceux qui n'ont rien ? Que vous dirai-je ? Vous louerai-je ? En cela, je ne vous loue pas.
      23 Car moi, j'ai reçu du Seigneur ce qu'aussi je vous ai enseigné : c'est que le Seigneur Jésus, la nuit qu'il fut livré, prit du pain,
      24 et après avoir rendu grâces, il le rompit et dit : "Ceci est mon corps, qui est pour vous ; faites ceci en mémoire de moi."
      25 De même il prit la coupe aussi, après le souper, en disant : "Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang : faites ceci, toutes les fois que vous la boirez, en mémoire de moi."
      26 Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez la coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne.
      27 Ainsi quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement sera coupable à l'égard du corps et du sang du Seigneur.
      28 Mais que chacun s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange du pain et boive de la coupe ;
      29 car celui qui mange et qui boit, mange et boit un jugement contre lui-même, ne distinguant pas le corps.
      30 C'est pour cela que plusieurs sont faibles et malades parmi vous, et qu'un assez grand nombre dorment.
      31 Mais si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
      32 Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
      33 Ainsi, mes frères, quand vous vous réunissez pour manger, attendez-vous l'un l'autre ;
      34 si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour être jugés. Or, quant aux autres points, je les réglerai quand j'irai vers vous.
    • 1 Corinthiens 11

      1

      L'apôtre, après une exhortation, (1 Corinthiens 11:1)
      corrige quelques abus. (1 Corinthiens 11:2-16)
      Les disputes, divisions, et désordres au sujet de la Sainte Cène. (1 Corinthiens 11:17-22)
      L’apôtre rappelle aux Corinthiens la nature et le but de l’institution de la Sainte Cène. (1 Corinthiens 11:23-26)
      Il leur indique ce qu'ils doivent en attendre, et comment se conduire à ce sujet. (1 Corinthiens 11:27-34)

      Le premier verset de ce chapitre paraît être en réalité la conclusion du chapitre précédent. L'apôtre prêchait non seulement la doctrine que les Corinthiens devaient reconnaître, mais surtout celle qu’ils devaient mettre en pratique, dans leur vie courante.

      Christ est notre « Exemple » parfait ; la conduite des hommes, relatée dans les Écritures, ne peut être suivie que si elle reflète parfaitement celle du Seigneur.

      2 Dans ce texte, jusqu’au chapitre 1Co 14, nous découvrons les détails relatifs à la tenue et à la conduite que l’on doit avoir dans l’assemblée.

      Parmi l'abondance de dons spirituels octroyés aux Corinthiens, quelques abus étaient néanmoins remarquables ; de même que Christ accomplissait la volonté de Dieu, tout en Le glorifiant, le chrétien doit reconnaître sa soumission à Christ, faire Sa volonté et rechercher Sa gloire.

      Nous devons, dans notre tenue vestimentaire, comme dans nos habitudes, éviter tout ce qui pourrait déshonorer Christ. La femme a été assujettie à l'homme, pour l'aider et le réconforter. Elle ne doit rien faire, dans l’assemblée, qui puisse ressembler à une revendication de l'égalité des sexes. Elle doit porter une « marque de l'autorité », un voile sur sa tête, à cause des anges, (verset 1 Corinthiens 11:10*) : leur présence doit préserver les chrétiens de tout mauvais pas, durant le culte d'adoration à Dieu.

      L'homme et la femme ont été faits l'un pour l'autre. Ils devaient se réconforter et s’entraider mutuellement, sans être l’esclave, ni le tyran de l’autre. Dieu a institué ces préceptes, à la fois dans le domaine de la Providence et celui de la Grâce, pour que l'autorité ou la soumission de chacun puisse être une aide à son conjoint.

      Il était d’usage dans les églises, que les femmes se montrent voilées en public, pour se joindre au culte d'adoration ; Paul estime que c’est tout à fait convenable. La religion chrétienne est en accord avec les usages d’un pays, là où ceux-ci ne sont pas opposés aux grands principes de vérité et de sainteté enseignés par la Parole ; toute déviation ou singularité quant au respect des ordonnances de la Bible, doit être évitée.

      * Référence ajoutée par le traducteur, pour faciliter la compréhension du texte.

      17 L'apôtre dénonce les désordres constatés chez les Corinthiens, lors de leur participation au repas du Seigneur. Si les ordonnances de ce Dernier ne servent pas à nous sanctifier, nous aurons rapidement tendance à nous dégrader spirituellement. Si la pratique de Ses commandements ne nous améliore pas, elle finira par nous endurcir...

      Bien qu'unis en apparence, les Corinthiens étaient en fait divisés, tombant dans de nombreux schismes. Les chrétiens peuvent être dénués de toute communion fraternelle authentique, tout en pratiquant cependant une certaine charité mutuelle ; ils peuvent hélas rester longtemps dans cet état, cette situation étant favorable à la naissance de schismes...

      Il est possible de participer irrégulièrement au repas du Seigneur, avec une certaine insouciance : cela ne peut qu’alourdir notre culpabilité.

      Beaucoup de Corinthiens aisés semblaient s’être mal comportés à la table du Seigneur, ou lors de certaines agapes, ces deux types de repas bien distincts, ayant lieu en même temps. Les riches avaient une attitude méprisante envers les pauvres : ils mangeaient et buvaient en priorité ce qu’ils avaient préparé, avant que les pauvres ne puissent accéder à ces repas ; certains n'avaient pas suffisamment, alors que d'autres en avaient trop... Ce repas, destiné à fortifier les liens d'amour mutuel et d'affection, était alors une source de désaccords et de désunions.

      Nous devons prendre garde à ce que notre comportement à la table du Seigneur, ne puisse souffrir d’aucune légèreté de conduite, face à cette institution sacrée. Le repas du Seigneur n'est pas une occasion de gloutonnerie ou d'ivrognerie ; ne souligne-t-il pas parfois hélas, l’orgueil ou l’hypocrisie, chez le « justifié » ?

      Ne pratiquons jamais certaines formes d'adoration, qui n’ont d’apparence, que l’extérieur ; regardons plutôt l’état de notre cœur !

      23 L'apôtre décrit l'ordonnance sacrée de la cène, qui lui avait été révélée par le Seigneur. Les éléments visibles de la cène sont le pain et le vin. Quand on participe à ce repas, on mange du pain ; ce dernier « représente » le corps du Seigneur. Ceci expose clairement la pensée de l'apôtre, qui excluait toute transformation de cette nourriture en chair.

      Matthieu nous rapporte que notre Seigneur a invité tous Ses disciples à boire de la coupe, Matthieu 26:27, mentionnant par ce verset, qu'aucun croyant ne devait être privé de la coupe. Ces éléments, le pain et le vin, représentent le corps brisé et le sang versé de Christ, avec tous les bienfaits qui découlent pour nous, de Sa mort et de Son sacrifice.

      Notre Sauveur prit le pain et la coupe, rendit grâces et présenta ces éléments à Ses disciples. Ces derniers n’avaient ensuite qu’à manger de ce pain et boire de cette coupe, en mémoire de Christ. Ces actes visibles ne sont pas les plus importants, ils ne représentent pas toute la signification de cette sainte ordonnance. Ceux qui y participent, doivent considérer Jésus en tant que Seigneur et Maître de leur Vie : ils peuvent s’approcher de Lui et vivre « en » Lui. Tels sont ici décrits, les buts de cette ordonnance.

      La cène doit être prise en mémoire de Christ, pour que nous gardions à l’esprit qu'Il est mort pour nous et qu’Il intercède pour nous, en vertu de Sa mort, à la droite de Dieu. Il ne s’agit pas simplement de se souvenir de Christ, de Son œuvre et de toutes Ses souffrances, mais de célébrer également Sa Grâce, nécessaire à notre rédemption.

      Nous déclarons par ce repas que la mort du Seigneur est à la base de notre vie spirituelle, qu’elle est la source de tous nos réconforts et de notre espérance. Dans une telle déclaration, nous glorifions Christ et témoignons de Sa mort, acceptant Son sacrifice comme rançon de nos péchés.

      Le repas du Seigneur n'est pas une ordonnance épisodique, il doit être pratiqué régulièrement. L'apôtre souligne devant les Corinthiens, le danger de prendre ce repas de manière inconsidérée, ou en étant dans une situation de péché, tout en déclarant confirmer et renouveler l'alliance avec Dieu. Il n'y a aucun doute : cela engendre une grande culpabilité, et rend ceux qui agissent ainsi, redevables de jugements spirituels.

      Cela ne doit pas décourager les croyants « timides » de participer à cette sainte ordonnance. Le Saint-Esprit n’a jamais voulu que ce texte soit transmis pour dissuader les véritables chrétiens d’accomplir leur devoir en ce sens, bien que le diable les en ait parfois dissuadés.

      L'apôtre s'adressait aux chrétiens, les avertissant de se méfier des jugements par lesquels Dieu punissait Ses serviteurs qui l'offensaient. Mais malgré ces châtiments, Dieu rappelle Sa Miséricorde : Il punit souvent ceux qu'Il aime. Il vaut mieux subir l’épreuve ici-bas, plutôt que d'être spirituellement misérable, à jamais...

      L'apôtre indique quel est le devoir de ceux qui s’approchent de la table du Seigneur : un examen de conscience est essentiel pour participer correctement à cette sainte ordonnance. Si nous prenons la peine de chercher au fond de nous-mêmes tous nos manquements, pour les confesser à Dieu, nous pourrons ainsi éviter Ses jugements.

      L'apôtre termine par une mise en garde relative aux irrégularités dont les Corinthiens étaient coupables, devant la table du Seigneur. Que chacun puisse considérer cet avertissement, de façon à ne pas venir présenter un culte provocant devant Dieu, ce qui ne pourrait qu’attirer un jugement sévère.

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