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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 55

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Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com
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    • 1 Corinthiens 11

      1 μιμηταί μου γίνεσθε, καθὼς κἀγὼ Χριστοῦ.
      2 Ἐπαινῶ δὲ ὑμᾶς ὅτι πάντα μου μέμνησθε καὶ καθὼς παρέδωκα ὑμῖν τὰς παραδόσεις κατέχετε.
      3 θέλω δὲ ὑμᾶς εἰδέναι ὅτι παντὸς ἀνδρὸς ἡ κεφαλὴ ὁ Χριστός ἐστιν, κεφαλὴ δὲ γυναικὸς ὁ ἀνήρ, κεφαλὴ δὲ τοῦ Χριστοῦ ὁ θεός.
      4 πᾶς ἀνὴρ προσευχόμενος ἢ προφητεύων κατὰ κεφαλῆς ἔχων καταισχύνει τὴν κεφαλὴν αὐτοῦ·
      5 πᾶσα δὲ γυνὴ προσευχομένη ἢ προφητεύουσα ἀκατακαλύπτῳ τῇ κεφαλῇ καταισχύνει τὴν κεφαλὴν αὐτῆς, ἓν γάρ ἐστιν καὶ τὸ αὐτὸ τῇ ἐξυρημένῃ.
      6 εἰ γὰρ οὐ κατακαλύπτεται γυνή, καὶ κειράσθω· εἰ δὲ αἰσχρὸν γυναικὶ τὸ κείρασθαι ἢ ξυρᾶσθαι, κατακαλυπτέσθω.
      7 ἀνὴρ μὲν γὰρ οὐκ ὀφείλει κατακαλύπτεσθαι τὴν κεφαλήν, εἰκὼν καὶ δόξα θεοῦ ὑπάρχων· ἡ γυνὴ δὲ δόξα ἀνδρός ἐστιν.
      8 οὐ γάρ ἐστιν ἀνὴρ ἐκ γυναικός, ἀλλὰ γυνὴ ἐξ ἀνδρός·
      9 καὶ γὰρ οὐκ ἐκτίσθη ἀνὴρ διὰ τὴν γυναῖκα, ἀλλὰ γυνὴ διὰ τὸν ἄνδρα.
      10 διὰ τοῦτο ὀφείλει ἡ γυνὴ ἐξουσίαν ἔχειν ἐπὶ τῆς κεφαλῆς διὰ τοὺς ἀγγέλους.
      11 πλὴν οὔτε γυνὴ χωρὶς ἀνδρὸς οὔτε ἀνὴρ χωρὶς γυναικὸς ἐν κυρίῳ·
      12 ὥσπερ γὰρ ἡ γυνὴ ἐκ τοῦ ἀνδρός, οὕτως καὶ ὁ ἀνὴρ διὰ τῆς γυναικός· τὰ δὲ πάντα ἐκ τοῦ θεοῦ.
      13 ἐν ὑμῖν αὐτοῖς κρίνατε· πρέπον ἐστὶν γυναῖκα ἀκατακάλυπτον τῷ θεῷ προσεύχεσθαι;
      14 οὐδὲ ἡ φύσις αὐτὴ διδάσκει ὑμᾶς ὅτι ἀνὴρ μὲν ἐὰν κομᾷ, ἀτιμία αὐτῷ ἐστιν,
      15 γυνὴ δὲ ἐὰν κομᾷ, δόξα αὐτῇ ἐστιν; ὅτι ἡ κόμη ἀντὶ περιβολαίου δέδοται.
      16 εἰ δέ τις δοκεῖ φιλόνεικος εἶναι, ἡμεῖς τοιαύτην συνήθειαν οὐκ ἔχομεν, οὐδὲ αἱ ἐκκλησίαι τοῦ θεοῦ.
      17 Τοῦτο δὲ παραγγέλλων οὐκ ἐπαινῶ ὅτι οὐκ εἰς τὸ κρεῖσσον ἀλλὰ εἰς τὸ ἧσσον συνέρχεσθε.
      18 πρῶτον μὲν γὰρ συνερχομένων ὑμῶν ἐν ἐκκλησίᾳ ἀκούω σχίσματα ἐν ὑμῖν ὑπάρχειν, καὶ μέρος τι πιστεύω.
      19 δεῖ γὰρ καὶ αἱρέσεις ἐν ὑμῖν εἶναι, ἵνα καὶ οἱ δόκιμοι φανεροὶ γένωνται ἐν ὑμῖν.
      20 συνερχομένων οὖν ὑμῶν ἐπὶ τὸ αὐτὸ οὐκ ἔστιν κυριακὸν δεῖπνον φαγεῖν,
      21 ἕκαστος γὰρ τὸ ἴδιον δεῖπνον προλαμβάνει ἐν τῷ φαγεῖν, καὶ ὃς μὲν πεινᾷ, ὃς δὲ μεθύει.
      22 μὴ γὰρ οἰκίας οὐκ ἔχετε εἰς τὸ ἐσθίειν καὶ πίνειν; ἢ τῆς ἐκκλησίας τοῦ θεοῦ καταφρονεῖτε, καὶ καταισχύνετε τοὺς μὴ ἔχοντας; τί εἴπω ὑμῖν; ἐπαινέσω ὑμᾶς; ἐν τούτῳ οὐκ ἐπαινῶ.
      23 Ἐγὼ γὰρ παρέλαβον ἀπὸ τοῦ κυρίου, ὃ καὶ παρέδωκα ὑμῖν, ὅτι ὁ κύριος Ἰησοῦς ἐν τῇ νυκτὶ ᾗ παρεδίδετο ἔλαβεν ἄρτον
      24 καὶ εὐχαριστήσας ἔκλασεν καὶ εἶπεν· Τοῦτό μού ἐστιν τὸ σῶμα τὸ ὑπὲρ ὑμῶν· τοῦτο ποιεῖτε εἰς τὴν ἐμὴν ἀνάμνησιν.
      25 ὡσαύτως καὶ τὸ ποτήριον μετὰ τὸ δειπνῆσαι, λέγων· Τοῦτο τὸ ποτήριον ἡ καινὴ διαθήκη ἐστὶν ἐν τῷ ἐμῷ αἵματι· τοῦτο ποιεῖτε, ὁσάκις ἐὰν πίνητε, εἰς τὴν ἐμὴν ἀνάμνησιν.
      26 ὁσάκις γὰρ ἐὰν ἐσθίητε τὸν ἄρτον τοῦτον καὶ τὸ ποτήριον πίνητε, τὸν θάνατον τοῦ κυρίου καταγγέλλετε, ἄχρι οὗ ἔλθῃ.
      27 Ὥστε ὃς ἂν ἐσθίῃ τὸν ἄρτον ἢ πίνῃ τὸ ποτήριον τοῦ κυρίου ἀναξίως, ἔνοχος ἔσται τοῦ σώματος καὶ τοῦ αἵματος τοῦ κυρίου.
      28 δοκιμαζέτω δὲ ἄνθρωπος ἑαυτόν, καὶ οὕτως ἐκ τοῦ ἄρτου ἐσθιέτω καὶ ἐκ τοῦ ποτηρίου πινέτω·
      29 ὁ γὰρ ἐσθίων καὶ πίνων κρίμα ἑαυτῷ ἐσθίει καὶ πίνει μὴ διακρίνων τὸ σῶμα.
      30 διὰ τοῦτο ἐν ὑμῖν πολλοὶ ἀσθενεῖς καὶ ἄρρωστοι καὶ κοιμῶνται ἱκανοί.
      31 εἰ δὲ ἑαυτοὺς διεκρίνομεν, οὐκ ἂν ἐκρινόμεθα·
      32 κρινόμενοι δὲ ὑπὸ κυρίου παιδευόμεθα, ἵνα μὴ σὺν τῷ κόσμῳ κατακριθῶμεν.
      33 Ὥστε, ἀδελφοί μου, συνερχόμενοι εἰς τὸ φαγεῖν ἀλλήλους ἐκδέχεσθε.
      34 εἴ τις πεινᾷ, ἐν οἴκῳ ἐσθιέτω, ἵνα μὴ εἰς κρίμα συνέρχησθε. Τὰ δὲ λοιπὰ ὡς ἂν ἔλθω διατάξομαι.
    • 1 Corinthiens 11

      1 Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ.
      2 Je vous félicite de ce que vous vous souvenez de moi à tout point de vue et de ce que vous retenez mes instructions telles que je vous les ai transmises.
      3 Je veux cependant que vous sachiez ceci : Christ est le chef de tout homme, l'homme est le chef de la femme, et Dieu est le chef de Christ.
      4 Tout homme qui prie ou qui prophétise la tête couverte déshonore son chef.
      5 Toute femme, en revanche, qui prie ou qui prophétise la tête non couverte déshonore son chef à elle. En effet, c'est exactement comme si elle était rasée.
      6 Si une femme n'a pas la tête couverte, qu'elle se tonde aussi les cheveux. Et s'il est honteux pour une femme d'avoir les cheveux tondus ou d'être rasée, qu'elle se couvre donc la tête.
      7 L'homme n’est pas tenu de se couvrir la tête, puisqu'il est l'image et la gloire de Dieu ; la femme, elle, est la gloire de l'homme.
      8 En effet, ce n’est pas l'homme qui a été tiré de la femme, mais la femme de l'homme ;
      9 et ce n’est pas l'homme qui a été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l'homme.
      10 Voilà pourquoi, à cause des anges, la femme doit porter sur la tête une marque d'autorité.
      11 Toutefois, dans le Seigneur, la femme n'existe pas sans l'homme, ni l'homme sans la femme,
      12 car, de même que la femme a été tirée de l'homme, de même l'homme naît de la femme, et tout vient de Dieu.
      13 Jugez-en vous-mêmes : est-il convenable pour une femme de prier Dieu sans avoir la tête couverte ?
      14 La nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que c'est une honte pour l'homme de porter des cheveux longs,
      15 alors que c'est une gloire pour la femme d'en porter parce que la chevelure lui a été donnée pour servir de voile ?
      16 Si quelqu'un se plaît à contester, nous n'avons pas une telle habitude, et les Eglises de Dieu non plus.
      17 En faisant la remarque suivante, je ne peux pas vous féliciter, car vous vous rassemblez non pour devenir meilleurs, mais pour devenir pires.
      18 Tout d'abord, j'apprends que, lorsque vous vous réunissez en assemblée, il y a parmi vous des divisions – et je le crois en partie.
      19 Il faut bien en effet qu'il y ait aussi des divisions parmi vous, afin que l'on puisse reconnaître ceux qui sont approuvés de Dieu au milieu de vous. –
      20 Ainsi donc, lorsque vous vous réunissez, ce n'est pas pour prendre part au repas du Seigneur,
      21 car, dès que vous vous mettez à table, chacun s'empresse de prendre son propre repas, de sorte que l'un a faim, tandis que l'autre est ivre.
      22 N'avez-vous pas des maisons pour manger et boire ? Ou bien méprisez-vous l'Eglise de Dieu et voulez-vous faire honte à ceux qui n'ont rien ? Que vous dire ? Faut-il vous féliciter ? Sur ce point, je ne vous félicite pas.
      23 En effet, j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai transmis. Le Seigneur Jésus, la nuit où il a été arrêté, a pris du pain.
      24 Après avoir remercié Dieu, il l’a rompu et a dit : [ « Prenez, mangez. ] Ceci est mon corps qui est [rompu] pour vous. Faites ceci en souvenir de moi. »
      25 De même, après le repas, il a pris la coupe et a dit : « Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang. Faites ceci en souvenir de moi toutes les fois que vous en boirez. »
      26 En effet, toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne.
      27 C'est pourquoi, celui qui mange ce pain ou boit la coupe du Seigneur indignement sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
      28 Que chacun donc s'examine lui-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe,
      29 car celui qui mange et boit [indignement], sans discerner le corps [du Seigneur], mange et boit un jugement contre lui-même.
      30 C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et que plusieurs sont morts.
      31 Si nous nous examinions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
      32 Mais quand nous sommes jugés, c’est le Seigneur qui nous corrige afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
      33 Ainsi, mes frères et sœurs, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres.
      34 Si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous. Quant aux autres questions, je les réglerai quand je viendrai chez vous.
    • 1 Corinthiens 11

      1 Suivez donc mon exemple, comme moi, de mon côté, je suis celui du Christ.
      2 Je vous félicite de vous souvenir de moi en toute occasion et de maintenir fidèlement les traditions que je vous ai transmises.
      3 Je voudrais cependant attirer votre attention sur un point : le Christ est le chef de tout homme, l’homme est le chef de la femme, le chef du Christ, c’est Dieu.
      4 Si donc un homme prie ou *prophétise la tête couverte, il outrage son chef.
      5 Mais si une femme prie ou *prophétise la tête non couverte, elle outrage son chef à elle, car elle se place ainsi sur le même plan qu’une « femme tondue ».
      6 Si donc une femme ne se couvre pas la tête, pourquoi, alors, ne se fait-elle pas aussi tondre les cheveux ? Mais s’il est honteux pour une femme d’être tondue ou rasée, qu’elle se couvre donc la tête.
      7 L’homme ne doit pas avoir la tête couverte, puisqu’il est l’image de Dieu et reflète sa gloire. La femme, elle, est la gloire de l’homme.
      8 En effet, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme de l’homme,
      9 et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l’homme.
      10 Voilà pourquoi la femme doit porter sur la tête un signe de son autorité, à cause des *anges.
      11 Toutefois, dans l’ordre établi par le Seigneur, la femme n’existe pas sans l’homme, et l’homme n’existe pas sans la femme,
      12 car si la femme a été tirée de l’homme, celui-ci, à son tour, naît de la femme et, finalement, tous deux doivent leur vie à Dieu.
      13 Jugez vous-mêmes de cela : est-il convenable pour une femme de prier Dieu la tête découverte ?
      14 Ne paraît-il pas naturel à tout le monde que c’est une indignité pour un homme de porter des cheveux longs
      15 mais qu’une longue chevelure fait honneur à la femme ? Car la chevelure lui a été donnée pour lui servir de voile.
      16 Si quelqu’un s’obstine à contester, nous lui répondons que ce qu’il propose n’est ni notre pratique ni celle des Eglises de Dieu.
      17 Puisque j’en suis aux directives, il me faut mentionner un point pour lequel je ne saurais vous féliciter. C’est que vos réunions, au lieu de contribuer à votre progrès, vous font devenir pires.
      18 Tout d’abord j’entends dire que lorsque vous tenez une réunion, il y a parmi vous des divisions. — J’incline à croire qu’il y a une part de vérité dans ce qu’on raconte.
      19 Sans doute faut-il qu’il y ait chez vous des divisions, pour que les chrétiens qui ont fait leurs preuves soient clairement reconnus au milieu de vous !
      20 Ainsi, lorsque vous vous réunissez, on ne peut vraiment plus appeler cela « prendre le repas du Seigneur »,
      21 car, à peine êtes-vous à table, que chacun s’empresse de manger ses propres provisions, et l’on voit des gens manquer de nourriture pendant que d’autres s’enivrent.
      22 S’il ne s’agit que de manger et de boire, n’avez-vous pas vos maisons pour le faire ? Ou bien traitez-vous avec mépris l’Eglise de Dieu et avez-vous l’intention d’humilier les membres pauvres de votre assemblée ? Que puis-je vous dire ? Vais-je vous féliciter ? Certainement pas.
      23 Car voici la tradition que j’ai reçue du Seigneur, et que je vous ai transmise : le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré pour être mis à mort, prit du pain,
      24 et, après avoir prononcé la prière de reconnaissance, il le rompit en disant : « Ceci est mon corps : il est pour vous ; faites ceci en souvenir de moi. »
      25 De même, après le repas, il prit la coupe et dit : « Cette coupe est la nouvelle *alliance *scellée de mon sang ; faites ceci, toutes les fois que vous en boirez, en souvenir de moi. »
      26 Donc, chaque fois que vous mangez de ce pain et que vous buvez de cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, et ceci jusqu’à son retour.
      27 C’est pourquoi quiconque mangerait le pain ou boirait de la coupe du Seigneur d’une manière indigne se rendrait coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
      28 Que chacun donc s’examine sérieusement lui-même et qu’alors il mange de ce pain et boive de cette coupe.
      29 Car celui qui mange et boit sans discerner ce qu’est le corps se condamne lui-même en mangeant et en buvant ainsi.
      30 C’est pour cette raison qu’il y a parmi vous tant de malades et d’infirmes, et qu’un certain nombre sont morts.
      31 Si nous discernions ce que nous sommes, nous ne tomberions pas sous le jugement.
      32 Mais les jugements du Seigneur ont pour but de nous corriger afin que nous ne soyons pas condamnés avec le reste du monde.
      33 Ainsi donc, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas en commun, attendez-vous les uns les autres.
      34 Si quelqu’un a particulièrement faim, qu’il mange d’abord chez lui afin que vos réunions n’attirent pas sur vous le jugement de Dieu. Quant aux autres points, je les réglerai lors de mon passage chez vous.
    • 1 Corinthiens 11

      1

      L'apôtre, après une exhortation, (1 Corinthiens 11:1)
      corrige quelques abus. (1 Corinthiens 11:2-16)
      Les disputes, divisions, et désordres au sujet de la Sainte Cène. (1 Corinthiens 11:17-22)
      L’apôtre rappelle aux Corinthiens la nature et le but de l’institution de la Sainte Cène. (1 Corinthiens 11:23-26)
      Il leur indique ce qu'ils doivent en attendre, et comment se conduire à ce sujet. (1 Corinthiens 11:27-34)

      Le premier verset de ce chapitre paraît être en réalité la conclusion du chapitre précédent. L'apôtre prêchait non seulement la doctrine que les Corinthiens devaient reconnaître, mais surtout celle qu’ils devaient mettre en pratique, dans leur vie courante.

      Christ est notre « Exemple » parfait ; la conduite des hommes, relatée dans les Écritures, ne peut être suivie que si elle reflète parfaitement celle du Seigneur.

      2 Dans ce texte, jusqu’au chapitre 1Co 14, nous découvrons les détails relatifs à la tenue et à la conduite que l’on doit avoir dans l’assemblée.

      Parmi l'abondance de dons spirituels octroyés aux Corinthiens, quelques abus étaient néanmoins remarquables ; de même que Christ accomplissait la volonté de Dieu, tout en Le glorifiant, le chrétien doit reconnaître sa soumission à Christ, faire Sa volonté et rechercher Sa gloire.

      Nous devons, dans notre tenue vestimentaire, comme dans nos habitudes, éviter tout ce qui pourrait déshonorer Christ. La femme a été assujettie à l'homme, pour l'aider et le réconforter. Elle ne doit rien faire, dans l’assemblée, qui puisse ressembler à une revendication de l'égalité des sexes. Elle doit porter une « marque de l'autorité », un voile sur sa tête, à cause des anges, (verset 1 Corinthiens 11:10*) : leur présence doit préserver les chrétiens de tout mauvais pas, durant le culte d'adoration à Dieu.

      L'homme et la femme ont été faits l'un pour l'autre. Ils devaient se réconforter et s’entraider mutuellement, sans être l’esclave, ni le tyran de l’autre. Dieu a institué ces préceptes, à la fois dans le domaine de la Providence et celui de la Grâce, pour que l'autorité ou la soumission de chacun puisse être une aide à son conjoint.

      Il était d’usage dans les églises, que les femmes se montrent voilées en public, pour se joindre au culte d'adoration ; Paul estime que c’est tout à fait convenable. La religion chrétienne est en accord avec les usages d’un pays, là où ceux-ci ne sont pas opposés aux grands principes de vérité et de sainteté enseignés par la Parole ; toute déviation ou singularité quant au respect des ordonnances de la Bible, doit être évitée.

      * Référence ajoutée par le traducteur, pour faciliter la compréhension du texte.

      17 L'apôtre dénonce les désordres constatés chez les Corinthiens, lors de leur participation au repas du Seigneur. Si les ordonnances de ce Dernier ne servent pas à nous sanctifier, nous aurons rapidement tendance à nous dégrader spirituellement. Si la pratique de Ses commandements ne nous améliore pas, elle finira par nous endurcir...

      Bien qu'unis en apparence, les Corinthiens étaient en fait divisés, tombant dans de nombreux schismes. Les chrétiens peuvent être dénués de toute communion fraternelle authentique, tout en pratiquant cependant une certaine charité mutuelle ; ils peuvent hélas rester longtemps dans cet état, cette situation étant favorable à la naissance de schismes...

      Il est possible de participer irrégulièrement au repas du Seigneur, avec une certaine insouciance : cela ne peut qu’alourdir notre culpabilité.

      Beaucoup de Corinthiens aisés semblaient s’être mal comportés à la table du Seigneur, ou lors de certaines agapes, ces deux types de repas bien distincts, ayant lieu en même temps. Les riches avaient une attitude méprisante envers les pauvres : ils mangeaient et buvaient en priorité ce qu’ils avaient préparé, avant que les pauvres ne puissent accéder à ces repas ; certains n'avaient pas suffisamment, alors que d'autres en avaient trop... Ce repas, destiné à fortifier les liens d'amour mutuel et d'affection, était alors une source de désaccords et de désunions.

      Nous devons prendre garde à ce que notre comportement à la table du Seigneur, ne puisse souffrir d’aucune légèreté de conduite, face à cette institution sacrée. Le repas du Seigneur n'est pas une occasion de gloutonnerie ou d'ivrognerie ; ne souligne-t-il pas parfois hélas, l’orgueil ou l’hypocrisie, chez le « justifié » ?

      Ne pratiquons jamais certaines formes d'adoration, qui n’ont d’apparence, que l’extérieur ; regardons plutôt l’état de notre cœur !

      23 L'apôtre décrit l'ordonnance sacrée de la cène, qui lui avait été révélée par le Seigneur. Les éléments visibles de la cène sont le pain et le vin. Quand on participe à ce repas, on mange du pain ; ce dernier « représente » le corps du Seigneur. Ceci expose clairement la pensée de l'apôtre, qui excluait toute transformation de cette nourriture en chair.

      Matthieu nous rapporte que notre Seigneur a invité tous Ses disciples à boire de la coupe, Matthieu 26:27, mentionnant par ce verset, qu'aucun croyant ne devait être privé de la coupe. Ces éléments, le pain et le vin, représentent le corps brisé et le sang versé de Christ, avec tous les bienfaits qui découlent pour nous, de Sa mort et de Son sacrifice.

      Notre Sauveur prit le pain et la coupe, rendit grâces et présenta ces éléments à Ses disciples. Ces derniers n’avaient ensuite qu’à manger de ce pain et boire de cette coupe, en mémoire de Christ. Ces actes visibles ne sont pas les plus importants, ils ne représentent pas toute la signification de cette sainte ordonnance. Ceux qui y participent, doivent considérer Jésus en tant que Seigneur et Maître de leur Vie : ils peuvent s’approcher de Lui et vivre « en » Lui. Tels sont ici décrits, les buts de cette ordonnance.

      La cène doit être prise en mémoire de Christ, pour que nous gardions à l’esprit qu'Il est mort pour nous et qu’Il intercède pour nous, en vertu de Sa mort, à la droite de Dieu. Il ne s’agit pas simplement de se souvenir de Christ, de Son œuvre et de toutes Ses souffrances, mais de célébrer également Sa Grâce, nécessaire à notre rédemption.

      Nous déclarons par ce repas que la mort du Seigneur est à la base de notre vie spirituelle, qu’elle est la source de tous nos réconforts et de notre espérance. Dans une telle déclaration, nous glorifions Christ et témoignons de Sa mort, acceptant Son sacrifice comme rançon de nos péchés.

      Le repas du Seigneur n'est pas une ordonnance épisodique, il doit être pratiqué régulièrement. L'apôtre souligne devant les Corinthiens, le danger de prendre ce repas de manière inconsidérée, ou en étant dans une situation de péché, tout en déclarant confirmer et renouveler l'alliance avec Dieu. Il n'y a aucun doute : cela engendre une grande culpabilité, et rend ceux qui agissent ainsi, redevables de jugements spirituels.

      Cela ne doit pas décourager les croyants « timides » de participer à cette sainte ordonnance. Le Saint-Esprit n’a jamais voulu que ce texte soit transmis pour dissuader les véritables chrétiens d’accomplir leur devoir en ce sens, bien que le diable les en ait parfois dissuadés.

      L'apôtre s'adressait aux chrétiens, les avertissant de se méfier des jugements par lesquels Dieu punissait Ses serviteurs qui l'offensaient. Mais malgré ces châtiments, Dieu rappelle Sa Miséricorde : Il punit souvent ceux qu'Il aime. Il vaut mieux subir l’épreuve ici-bas, plutôt que d'être spirituellement misérable, à jamais...

      L'apôtre indique quel est le devoir de ceux qui s’approchent de la table du Seigneur : un examen de conscience est essentiel pour participer correctement à cette sainte ordonnance. Si nous prenons la peine de chercher au fond de nous-mêmes tous nos manquements, pour les confesser à Dieu, nous pourrons ainsi éviter Ses jugements.

      L'apôtre termine par une mise en garde relative aux irrégularités dont les Corinthiens étaient coupables, devant la table du Seigneur. Que chacun puisse considérer cet avertissement, de façon à ne pas venir présenter un culte provocant devant Dieu, ce qui ne pourrait qu’attirer un jugement sévère.

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