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Nouveau Testament et Psaumes en 1 an - Jour 67

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    • 2 Corinthiens 7

      1 Toutes ces promesses sont valables pour nous, mes chers amis. C’est pourquoi, purifions-nous de tout ce qui salit le corps ou l’âme et efforçons-nous d’être parfaitement saints en vivant dans le respect de Dieu.
      2 Faites-nous une place dans votre cœur ! Nous n’avons causé de tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons exploité personne.
      3 Je ne dis pas cela pour vous condamner. En effet, comme je l’ai déjà affirmé, vous nous êtes si chers que nous sommes unis pour la vie ou pour la mort.
      4 J’ai une grande confiance en vous, je suis très fier de vous. Dans toutes nos détresses, je demeure plein de courage et je déborde de joie.
      5 En fait, même à notre arrivée en Macédoine, nous n’avons connu aucun répit. Nous avons rencontré toutes sortes de difficultés : des conflits autour de nous, des craintes au-dedans de nous.
      6 Mais Dieu, qui relève le courage de ceux qui sont abattus, nous a réconfortés par l’arrivée de Tite.
      7 Et ce n’est pas seulement son arrivée qui a produit cet effet, mais encore son rapport sur la façon dont vous l’avez lui-même réconforté. Il nous a parlé de votre désir de me revoir, de votre tristesse, de votre zèle à me défendre. Et voilà pourquoi ma joie en est d’autant plus grande.
      8 En effet, même si la lettre que je vous ai écrite vous a attristés, je ne le regrette pas maintenant. J’ai pu le regretter quand j’ai constaté que cette lettre vous avait attristés momentanément.
      9 Mais maintenant je me réjouis, non pas de vous avoir attristés, mais de ce que votre tristesse vous a fait changer de comportement. Cette tristesse était telle que Dieu la voulait, si bien que nous ne vous avons causé aucun tort.
      10 Car la tristesse conforme au plan de Dieu produit un changement de comportement qui conduit au salut, sans qu’on ait à le regretter. Mais la tristesse causée par les soucis de ce monde produit la mort.
      11 Voyez maintenant les résultats de votre tristesse selon Dieu : quelle bonne volonté de votre part, quel empressement à présenter votre défense ! Quelle indignation, quelle crainte, quel désir de me revoir, quel zèle, quelle ardeur à punir le mal ! Vous avez prouvé de toutes les manières que vous étiez innocents dans cette affaire.
      12 Si donc je vous ai écrit, ce n’était ni à cause de celui qui a commis le mal, ni à cause de celui qui l’a subi. Mais c’était pour que vous vous rendiez clairement compte, devant Dieu, du dévouement que vous avez pour nous.
      13 C’est pourquoi votre réaction nous a réconfortés. Nous n’avons pas seulement reçu du réconfort ; nous avons ressenti une joie bien plus grande encore en voyant combien Tite était heureux de la façon dont vous tous l’avez rassuré.
      14 Si je me suis un peu vanté à votre sujet auprès de lui, vous ne m’avez pas déçu. Mais, de même que nous vous avons toujours dit la vérité, de même l’éloge que nous avons fait de vous auprès de Tite s’est révélé justifié.
      15 Et ainsi, son affection pour vous est encore plus grande lorsqu’il se rappelle comment vous avez tous obéi et comment vous l’avez accueilli humblement, avec respect.
      16 Je me réjouis de pouvoir compter sur vous en tout.
    • 2 Corinthiens 7

      1 Puisque nous avons de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de tout ce qui souille notre corps et notre esprit et poursuivons jusqu’au bout la sainteté dans la crainte de Dieu.
      2 Faites-nous une place dans votre cœur ! Nous n'avons fait de tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous n'avons exploité personne.
      3 Ce n'est pas pour vous condamner que je parle ainsi, car j'ai déjà dit que vous êtes dans notre cœur à la vie et à la mort.
      4 J'ai une grande confiance en vous, j'ai toute raison d'être fier de vous ; je suis pleinement réconforté, débordant de joie au milieu de toutes nos difficultés.
      5 Depuis notre arrivée en Macédoine en effet, nous n'avons connu aucun repos ; nous étions au contraire pressés de toutes parts : luttes au-dehors, craintes au-dedans.
      6 Mais Dieu, qui réconforte ceux qui sont abattus, nous a encouragés par l'arrivée de Tite,
      7 et non seulement par son arrivée, mais encore par le réconfort qu'il avait reçu de vous. Il nous a raconté votre vive affection, vos larmes, votre zèle pour moi, de sorte que ma joie a été d'autant plus grande.
      8 Même si je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette pas. Et si je l'ai regretté – car je vois que cette lettre vous a momentanément attristés –
      9 je me réjouis maintenant, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a amenés à changer d’attitude, car vous avez été attristés selon Dieu, si bien que vous n’avez subi aucun dommage de notre part.
      10 En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance qui conduit au salut et que l'on ne regrette jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort.
      11 Cette même tristesse selon Dieu, voyez quel empressement elle a produit en vous ! Quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition ! Vous avez démontré à tout point de vue que vous étiez purs dans cette affaire.
      12 Si donc je vous ai écrit, ce n'était ni à cause de celui qui a commis le tort, ni à cause de celui qui l'a subi ; c'était afin de rendre évident à votre esprit, devant Dieu, votre empressement pour nous.
      13 Voilà ce qui nous a réconfortés. Mais nous n’avons pas seulement été réconfortés : nous avons été beaucoup plus encore réjouis de constater la joie de Tite, qui a eu l'esprit tranquillisé par vous tous.
      14 Si je me suis quelque peu vanté à votre sujet devant lui, je n'ai pas eu à en rougir ; mais, comme nous vous avons toujours dit la vérité, ce dont nous nous sommes montrés fiers auprès de Tite s'est aussi trouvé être la vérité.
      15 Et son affection pour vous est d'autant plus grande quand il se souvient de votre obéissance à tous et de l'accueil que vous lui avez réservé avec crainte et profond respect.
      16 Je me réjouis de pouvoir entièrement compter sur vous.
    • 2 Corinthiens 7

      1 Ces promesses, mes bien-aimés, sont pour nous. Gardons-nous donc purs de tout ce qui pourrait corrompre le corps ou l’esprit, et travaillons à notre perfectionnement dans une vie sainte en révérant Dieu.
      2 Faites-nous place dans vos cœurs ! Nous n’avons « causé de tort » à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons « exploité » aucun (de vous).
      3 En parlant ainsi, je n’entends nullement faire des reproches ou prononcer une condamnation contre vous. Je vous l’ai déjà dit : nous vous portons dans notre cœur et je me sens uni à vous pour la vie et pour la mort.
      4 Je peux vous parler en toute franchise, car je suis vraiment fier de vous. Au milieu de toutes mes épreuves, j’ai été pleinement consolé, je déborde de joie.
      5 En effet, à mon arrivée en Macédoine, je n’ai pas eu un instant de repos. De tous côtés, des épreuves m’attendaient ; autour de moi ce n’étaient que combats ; en moi, inquiétudes et craintes.
      6 Mais Dieu, le consolateur de ceux qui sont abattus, m’a réconforté par l’arrivée de Tite.
      7 Ce qui m’a consolé, ce n’était pas tant sa venue que les nouvelles réjouissantes des bonnes expériences faites chez vous et du réconfort qu’il a trouvé parmi vous. Il m’a dit que vous désiriez ardemment me revoir et il nous a raconté combien vous étiez attristés par ce qui est arrivé ; il m’a assuré que vous étiez prêts maintenant à vous placer résolument à mes côtés et à réparer les torts que j’ai subis. Tout cela n’a fait qu’augmenter ma joie.
      8 C’est pourquoi je ne regrette plus à présent de vous avoir causé de la peine par ma lettre. Je l’avais d’abord regretté en voyant combien elle vous avait attristés sur le moment.
      9 Mais aujourd’hui, je me réjouis, non certes de votre chagrin, mais de ce que cette lettre vous ait amenés à changer d’attitude. La tristesse que vous avez éprouvée était conforme à la volonté de Dieu. Si bien que nous ne vous avons, en fait, causé aucun tort.
      10 En effet, la tristesse conforme au dessein de Dieu, si elle est portée comme Dieu le désire, produit un changement d’attitude qui conduit au salut et que personne n’a encore eu à regretter. La tristesse selon le monde mène au désespoir et à la mort.
      11 Vous avez porté votre tristesse comme Dieu le voulait. Voyez quels effets elle a produits en vous : quel empressement, quel sérieux ! Bien plus, avec quel zèle vous m’avez défendu ! Quelles excuses, quelles protestations de loyauté ! Vous avez pris conscience de la gravité de la faute. Vous avez exprimé votre indignation. Vous avez pris peur : vous désiriez ardemment me voir. Vous vouliez agir avec fermeté et punir sévèrement le coupable. Par tout votre comportement, vous avez prouvé que vous étiez innocents en cette affaire et que vous ne faisiez pas cause commune avec celui qui avait commis la faute.
      12 Si je vous ai écrit, ce n’était d’ailleurs pas tant à cause de l’offenseur ou de l’offensé, c’était avant tout pour clarifier nos relations et vous donner l’occasion de manifester devant Dieu parmi vous votre empressement pour nous.
      13 C’est là aussi ce qui m’a consolé et encouragé. À cette consolation s’est encore ajoutée une joie plus vive en voyant combien Tite était heureux d’avoir trouvé auprès de vous tant d’apaisement et un si grand réconfort spirituel.
      14 Si je lui ai parlé de vous avec fierté, je n’ai pas eu à le regretter, car l’éloge que je lui ai fait de vous s’est trouvé vérifié, comme le reste que nous avons pu vous dire.
      15 Il éprouve pour vous un redoublement d’affection quand il se rappelle avec quelle déférence, quel respect vous l’avez tous accueilli et avec quelle promptitude vous lui avez obéi.
      16 Comme je suis heureux de pouvoir à présent compter sur vous dans tous les domaines !
    • 2 Corinthiens 7

      1

      Exhortation à la sainteté ; l'église entière est exhortée à témoigner de l'affection envers l'apôtre. (2 Corinthiens 7:1-4)
      Paul se réjouit de l’affliction des Corinthiens, due au repentir. (2 Corinthiens 7:5-11)
      Il se réjouit également du réconfort spirituel dont ils bénéficient, avec Tite. (2 Corinthiens 7:12-16)

      Les promesses de Dieu sont utiles pour nous inciter à croître dans la sainteté ; nous devons nous purifier nous-mêmes de toute souillure de chair et d'esprit.

      Si nous basons notre espérance en Dieu le Père, nous devons rechercher la sainteté et la perfection, à l'image de ce Dernier, dans les cieux. Sa Grâce, par l'influence de l'Esprit, peut déjà nous purifier, à elle seule, mais la recherche de la sainteté doit être l'objet constant de nos prières. Si les serviteurs de Dieu sont méprisés, il est aussi à craindre que l'Évangile lui-même le soit également ; bien que ces derniers ne doivent flatter personne, ils doivent cependant exprimer de la douceur envers tous. Ils peuvent rechercher l'estime et la faveur de ceux qu’ils côtoient, mais ils ne doivent corrompre qui que ce soit par de fausses doctrines, voire des paroles flatteuses ; ils ne doivent nuire à personne, ni chercher à promouvoir leur propre intérêt, afin de ne blesser qui que ce soit.

      Paul, en raison de son affection envers les Corinthiens, leur parlait librement ; il était heureux de vanter la croissance spirituelle qu’il leur avait permis d’acquérir, en tous lieux et en toutes occasions !

      5 Il y avait à l’époque, des rivalités, de l'opposition et des luttes continuelles entre Juifs et païens ; on pouvait trouver également des craintes et de grandes inquiétudes chez ceux qui avaient embrassé la foi chrétienne, mais Dieu console ceux qui sont tombés.

      Nous devrions sans cesse tenter, par tous les moyens de nous rapprocher de Dieu, l'Auteur de toute consolation et de bonté. La souffrance tolérée par Dieu, tendant à Sa Gloire, et forgée par Son Esprit, rend le cœur humble, contrit, soumis, disposé à éliminer chaque péché, et à marcher en nouveauté de vie. Ce repentir est associé au salut, par la foi en Christ, et par Son expiation du péché.

      Il y a une grande différence entre la souffrance que peuvent éprouver les hommes pieux, et celle de ce monde. Les fruits du véritable repentir sont mentionnés dans ce texte. Le changement d’un cœur transformé spirituellement se traduit par une nouveauté de vie : les perspectives ici-bas seront alors totalement différentes !

      Toutes ces pensées forgent notre indignation vis à vis du péché, du tentateur et de ses serviteurs. Cela attise notre vigilance contre toute tolérance à l’iniquité, et nous incite à la prudence vis à vis de cette dernière. Cela forge le désir d'être réconcilié avec Dieu, ainsi que notre zèle pour accomplir notre devoir. Cela nous incite à combattre le péché et sa folie, étant réellement convaincu des graves blessures qu'il peut occasionner.

      L'humilité profonde devant Dieu, la haine de tout péché, la foi en Christ, un cœur nouveau et une nouvelle vie, provoquent le repentir à salut. Puisse le Seigneur l'accorder à chacun de nous !

      12 L'apôtre n'était pas déçu des propos des Corinthiens, ce qu'il a d'ailleurs signifié à Tite ; il déclarait avec joie, la confiance qu'il pouvait désormais leur témoigner.

      Remarquez ici quels sont les devoirs d'un pasteur et de son troupeau : ce dernier doit soumettre ses problèmes à la fonction pastorale, avec respect et obéissance ; quant au pasteur, il doit en retour, avoir soin du troupeau et l’entourer, par des témoignages de satisfaction, de joie, et de tendresse.

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