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Romains 7

    • Un exemple emprunté au mariage

      1 Frères, ne savez-vous pas, (car je parle à des personnes qui connaissent la loi) que la loi n'a de pouvoir sur l'homme que pendant qu'il est en vie ?

      2 En effet, la femme qui est mariée, est liée par la loi à son mari, tant qu'il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi du mari.

      3 Si donc, durant la vie de son mari, elle épouse un autre homme, elle sera appelée adultère ; mais si son mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu'elle n'est point adultère, si elle épouse un autre homme.

      4 Ainsi donc, vous aussi, mes frères, vous êtes morts à la loi, par le corps de Christ, pour être à un autre, savoir, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu.

      5 Car lorsque nous étions dans la chair, les passions des péchés, excitées par la loi, agissaient dans nos membres, de manière à produire des fruits pour la mort.

      6 Mais maintenant que nous sommes délivrés de la loi, étant morts à celle sous laquelle nous étions retenus, nous servons Dieu dans un esprit nouveau, et non selon la lettre, qui a vieilli.

      La loi et le péché

      7 Que dirons-nous donc ? La loi est-elle la cause du péché ? Nullement ! Au contraire, je n'ai connu le péché que par la loi ; car je n'eusse point connu la convoitise, si la loi n'eût dit : Tu ne convoiteras point.

      8 Mais le péché, prenant occasion du commandement, a produit en moi toute sorte de convoitises. Car sans la loi, le péché est mort.

      9 Pour moi, autrefois sans loi, je vivais ; mais le commandement étant venu, le péché a repris vie,

      10 Et moi, je suis mort ; et il s'est trouvé que le commandement, qui devait me donner la vie, m'a donné la mort.

      11 Car le péché, prenant occasion du commandement m'a séduit, et par lui m'a fait mourir.

      12 Ainsi la loi est sainte, et le commandement est saint, juste et bon.

      13 Ce qui est bon m'a-t-il donc donné la mort ? Nullement ! mais c'est le péché, afin qu'il parût péché, en me donnant la mort par une chose bonne et que le péché devînt excessivement pécheur par le commandement.

      L'homme dominé par le péché

      14 En effet, nous savons que la loi est spirituelle ; mais moi je suis charnel, vendu au péché.

      15 Car je n'approuve point ce que je fais, je ne fais point ce que je veux, mais je fais ce que je hais.

      16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne.

      17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.

      18 Car je sais que le bien n'habite point en moi, c'est-à-dire, dans ma chair, parce que j'ai la volonté de faire le bien ; mais je ne parviens pas à l'accomplir.

      19 Car je ne fais pas le bien que je veux ; mais je fais le mal que je ne veux pas faire.

      20 Que si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.

      21 Je trouve donc cette loi en moi ; c'est que quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.

      22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;

      23 Mais je vois une autre loi dans mes membres, qui combat contre la loi de mon esprit et qui me rend captif sous la loi du péché, qui est dans mes membres.

      24 Misérable homme que je suis ! qui me délivrera de ce fardeau de mort ?

      25 Je rends grâces à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur ! Je suis donc assujetti moi-même, par l'esprit, à la loi de Dieu, mais par la chair, à la loi du péché.
    • Un exemple emprunté au mariage

      1 Ignorez-vous, frères, -car je parle à des gens qui connaissent la loi, -que la loi exerce son pouvoir sur l'homme aussi longtemps qu'il vit ?

      2 Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu'il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari.

      3 Si donc, du vivant de son mari, elle devient la femme d'un autre homme, elle sera appelée adultère ; mais si le mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu'elle n'est point adultère en devenant la femme d'un autre.

      4 De même, mes frères, vous aussi vous avez été, par le corps de Christ, mis à mort en ce qui concerne la loi, pour que vous apparteniez à un autre, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu.

      5 Car, lorsque nous étions dans la chair, les passions des péchés provoquées par la loi agissaient dans nos membres, de sorte que nous portions des fruits pour la mort.

      6 Mais maintenant, nous avons été dégagés de la loi, étant morts à cette loi sous laquelle nous étions retenus, de sorte que nous servons dans un esprit nouveau, et non selon la lettre qui a vieilli.

      La loi et le péché

      7 Que dirons-nous donc ? La loi est-elle péché ? Loin de là ! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit : Tu ne convoiteras point.

      8 Et le péché, saisissant l'occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises ; car sans loi le péché est mort.

      9 Pour moi, étant autrefois sans loi, je vivais ; mais quand le commandement vint, le péché reprit vie, et moi je mourus.

      10 Ainsi, le commandement qui conduit à la vie se trouva pour moi conduire à la mort.

      11 Car le péché saisissant l'occasion, me séduisit par le commandement, et par lui me fit mourir.

      12 La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon.

      13 Ce qui est bon a-t-il donc été pour moi une cause de mort ? Loin de là ! Mais c'est le péché, afin qu'il se manifestât comme péché en me donnant la mort par ce qui est bon, et que, par le commandement, il devînt condamnable au plus haut point.

      L'homme dominé par le péché

      14 Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché.

      15 Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais.

      16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne.

      17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.

      18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien.

      19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas.

      20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi.

      21 Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.

      22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;

      23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres.

      24 Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?...

      25 Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !... Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.
    • 1

      Les croyants sont unis à Christ, pour qu'ils puissent apporter du fruit à Dieu. (Romains 7:1-6)
      L'usage et l'excellence de la loi. (Romains 7:7-13)
      Les conflits spirituels du croyant, entre la corruption et la Grâce. (Romains 7:14-25)

      Tant qu'un homme continuera à être astreint au respect de la loi, ne cherchant sa justification que par sa propre obéissance, il restera en quelque sorte, toujours esclave du péché. Seul l'Esprit de vie, en Jésus-Christ, peut rendre le pécheur, libre de la loi du péché et de la mort !

      Avec Jésus-Christ, les croyants sont délivrés du pouvoir de la loi, qui condamne tout homme pour les péchés commis. Ils sont délivrés de ce pouvoir qui agite et provoque le péché qui demeure en eux. Il ne faut pas comprendre la loi comme une « règle à suivre », mais comme une « alliance », relative aux actes de celui qui s’y astreint.

      Dans notre profession de foi, (c’est un privilège), nous sommes sous l’alliance de la Grâce, et non celle de nos œuvres ; nous sommes sous l'Évangile de Christ et non sous la loi de Moïse. La différence peut être imagée sous la forme d’une veuve qui épouse un nouveau mari. Ce deuxième « mariage » correspond à « l’alliance » que nous avons faite avec Christ. Par Sa mort, nous sommes libérés de l'assujettissement à la loi, en tant qu’alliance, telle cette veuve, libérée des vœux qu’elle a pu faire à son premier mari.

      Si nous avons d’une foi fervente, nous sommes comme « morts à la loi », et nous n'avons plus d’engagement avec elle, tel un serviteur, libéré de son maître, n'étant plus sous son joug. Quand nous croyons en Jésus-Christ, nous sommes alors unis à Lui. Nous entrons dans une vie de dépendance envers Sa personne, nous nous plaçons à Son service. Les bonnes œuvres que nous pouvons accomplir viennent de notre union avec le Seigneur, telle la fertilité de la vigne, qui provient de son rattachement au cep : nous ne pouvons porter de fruits spirituels tant que nous ne sommes pas unis à Christ.

      La loi, malgré les plus grands efforts de celui qui y est encore soumis dans ses œuvres et ses principes corrompus, ne peut mettre le cœur en accord avec l'Amour de Dieu ; elle ne peut vaincre les convoitises du monde, ni apporter la vérité et la sincérité qui proviennent de l’influence sanctifiante du Saint-Esprit.

      Aucune obéissance formelle à tout précepte spirituel ne peut être respectée sans la Grâce régénératrice, Celle de la « nouvelle alliance » !

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir à la connaissance du péché, essentielle à la repentance, à la paix du cœur et au pardon divin, qu'en éprouvant notre cœur et en vivant selon les préceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apôtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilité, au sujet de ses pensées, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « référence morale » a montré combien son cœur et sa vie étaient imparfaits, prouvant par là que ses péchés étaient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en même temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de miséricorde ni de grâce, nécessaire à son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nécessité, hors de portée par ses propres forces, d’être purifié de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversité de son propre cœur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour à leur égard puisse parfois nous aveugler à ce sujet.

      Plus un chrétien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apôtre décrit dans ce texte, au sujet du véritable croyant, qu’il s’agisse de ses premières convictions de péché jusqu'à son plus grand progrès dans la Grâce, pendant son « séjour » ici-bas. Paul était jadis pharisien, ignorant la spiritualité de la loi, mais ayant cependant une certaine pureté de conduite, sans néanmoins connaître sa réelle dépravation intérieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui était demandé, il a constaté que sa nature, coupable du péché, s'élevait contre ces principes. Il ressentit à ce moment le mal occasionné par le péché et constata à quel point il était coupable, incapable d'accomplir la loi : il était pour ainsi dire, un criminel condamné.

      Mais bien que le mal, inhérent au cœur humain, produise malgré tout une certaine culpabilité, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette dernière est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au péché, qu'elle poursuit dans les confins du cœur ; elle le révèle et le blâme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraître bon dans le cœur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La même chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remède mal utilisé peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent à nourrir ou à guérir. La loi peut causer la mort, au travers de la dépravation humaine, mais c'est le péché qui en est le poison, étant à l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le péché, « démasqué » par cette dernière, qui a montré à l’apôtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du péché (qui mène à la ruine), et la culpabilité du cœur humain, sont clairement montrés dans ce texte !

      14 Comparé à la sainte règle de conduite de la loi, inhérente à la Parole de Dieu, l'apôtre constate son propre éloignement de la perfection spirituelle : il lui semblait être complètement charnel ; il pensait n’être qu’un homme, vendu contre son gré à un « maître détesté », duquel il ne pouvait obtenir la liberté.

      Un véritable chrétien sert involontairement ce maître honni ; il ne peut se débarrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de Grâce, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le délivrer. Le mal qui subsiste en son cœur est une réelle et humiliante entrave à son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte témoignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du péché.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de sainteté de l’apôtre, de sa connaissance de la spiritualité de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent résider en notre cœur. De nombreux croyants ont adopté ces principes de l'apôtre, montrant qu'ils conviennent à leur aversion profonde du péché, et à l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'étend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causé par la dépravation de son ancienne nature. Il était confronté fréquemment à de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa véritable identité spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le péché qui demeurait en lui, l'apôtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le côté négatif de leurs iniquités, même celles condamnées par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y règne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      18 Plus le cœur est pur et saint, plus il pourra rapidement se rendre compte du péché qui réside en lui. Le croyant est le mieux placé pour évaluer la beauté de la sainteté et l'excellence de la loi divine. Plus il grandit dans la connaissance de la Grâce, plus il désire obéir au Seigneur.

      Il ne parvient pas, hélas, à accomplir tout le bien auquel il aspire ; le péché ressurgit toujours en lui, compte tenu de son ancienne nature, ce qui le pousse à pratiquer le mal, malgré la détermination de sa volonté.

      Cette pratique attristait l'apôtre. Si par la lutte entre la chair et l'Esprit, Paul ne parvenait pas à réaliser ce que ce Dernier lui suggérait, il ne voulait pas non plus accomplir ce que son ancienne nature l’incitait à faire.

      Le cas de Paul était absolument différent de ceux qui s'abandonnent délibérément à leurs penchants iniques, qui continuent, hélas, malgré les avertissements de la Parole et de leur conscience, à pratiquer le mal, se dirigeant ainsi avec préméditation, vers le chemin de la perdition !

      Puisque le croyant est sous le régime de la grâce et désire croître dans la sainteté, il prend pleinement plaisir à obéir à la Parole de Dieu ; cette « nouvelle créature » homme est régénérée par Dieu dans la marche véritable vers la sainteté !

      23 Ce texte ne présente pas l'apôtre comme pratiquant les œuvres de la chair, mais comme quelqu'un aspirant puissamment à marcher selon l’Esprit.

      Si certaines personnes interprètent volontairement mal ce passage, (comme d’ailleurs d’autres textes de l’Écriture), courant ainsi à leur propre destruction, les chrétiens véritables, quant à eux, y trouvent le motif de bénir Dieu, qui leur a apporté le réconfort et la consolation spirituels.

      Nous ne devons pas, contrairement à ceux qui sont aveuglés par leurs propres convoitises, chercher des fautes éventuelles dans la Parole de Dieu ; recherchons uniquement l’interprétation correcte des textes. Celui qui n'est pas engagé dans le conflit spirituel entre la chair et l’Esprit, ne peut comprendre clairement la signification de ce texte, ne pouvant juger exactement le conflit douloureux qui rongeait le cœur de l'apôtre, le conduisant à pleurer, tel un misérable, contraint à pratiquer encore le péché.

      Paul constatait qu’il était incapable de se délivrer lui-même de cette situation, ce qui le poussait à remercier Dieu avec ferveur de lui avoir révélé le chemin du salut, par le biais de Jésus-Christ, avec la promesse de délivrance de « l’ennemi » qui le poussait sans cesse à commettre l‘iniquité. Alors, dit-il : « je suis moi-même, par mon esprit, ma conscience, mes affections et mes buts, un homme régénéré par la Grâce divine, qui sert la loi de Dieu et lui obéit ; mais avec la chair, ma nature charnelle et les restes de sa dépravation, je sers la loi du péché, qui fait la guerre à la loi de mon esprit ».

      L’apôtre ne « servait » pas son ancienne nature en vivant délibérément en elle, mais il était incapable, même avec la meilleure volonté, de se libérer de cette servitude, éprouvant néanmoins le besoin de chercher de l'aide et la délivrance du ciel. Il est évident qu'il remercie Dieu pour Christ, notre Libérateur, Celui qui a expié nos péchés, Celui qui est notre Justice. Paul, avant sa conversion, ne connaissait pas l’existence d’un tel salut et se sentait indigne d’y accéder. Il était disposé à agir en tous points selon la loi, avec une bonne conscience, mais il en était empêché par son péché : il ne pouvait donc atteindre la perfection que la loi exige.

      Peut-il y avoir une délivrance, pour un homme toujours coupable, si ce n'est par la Grâce de Dieu, offerte par Jésus-Christ ? Le pouvoir de la Grâce divine et du Saint-Esprit aurait pu autoritairement « déraciner » le péché de notre cœur, mais la sagesse divine avait prévu d’agir autrement. Dieu a estimé que les chrétiens doivent ressentir constamment l'état misérable dans lequel ils se trouvent, sachant que seule la Grâce divine est capable de les sauver ; les enfants de Dieu doivent se garder de leur confiance en eux-mêmes ; ils doivent toujours tirer leur consolation et leur espérance dans la Grâce merveilleuse et gratuite de Dieu, en Christ !

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      Deutéronome 22

      26 Tu ne feras rien à la jeune fille. Elle n'est pas coupable d'un crime digne de mort, car c’est le même cas que celui où un homme se jette sur son prochain et lui enlève la vie.
      27 La jeune fille fiancée que cet homme a rencontrée dans les champs a pu crier sans qu'il y ait eu personne pour la secourir.

      1 Rois 8

      38 Si qui que ce soit, si tout ton peuple, Israël, fait alors entendre des prières et des supplications parce qu’il reconnaît la blessure de son cœur, et s’il tend les mains vers cette maison,

      Psaumes 6

      6 car dans la mort on n’évoque plus ton souvenir : qui te louera dans le séjour des morts ?

      Psaumes 32

      3 Tant que je me taisais, mon corps dépérissait ; je gémissais toute la journée,
      4 car nuit et jour ta main pesait lourdement sur moi. Ma vigueur avait fait place à la sécheresse de l’été. – Pause.

      Psaumes 38

      2 Eternel, ne me punis pas dans ta colère et ne me corrige pas dans ta fureur,
      8 car un mal brûle mes reins, et il n’y a plus rien d’intact dans mon corps.
      9 Je suis sans force, entièrement brisé ; le trouble de mon cœur m’arrache des gémissements.
      10 Seigneur, tu connais tous mes désirs, et mes soupirs ne te sont pas cachés.

      Psaumes 71

      11 Ils disent : « Dieu l’abandonne. Poursuivez-le, attrapez-le ! Il n’y a personne pour le délivrer. »

      Psaumes 72

      12 car il délivrera le pauvre qui crie et le malheureux que personne n’aide.

      Psaumes 77

      3 Quand je suis dans la détresse, je cherche le Seigneur ; la nuit, mes mains se tendent vers lui, sans se lasser ; je refuse toute consolation.
      4 Je me souviens de Dieu et je gémis ; je médite, et mon esprit est abattu. – Pause.
      5 Tu tiens mes paupières ouvertes ; je suis troublé, incapable de parler.
      6 Je pense aux jours lointains, aux années passées.
      7 Je me souviens de mes chants pendant la nuit, je médite dans mon cœur, et mon esprit s’interroge :
      8 « Le Seigneur me rejettera-t-il pour toujours ? Ne se montrera-t-il plus favorable ?
      9 Sa bonté est-elle définitivement épuisée ? Sa parole a-t-elle disparu pour l’éternité ?

      Psaumes 88

      5 On me compte parmi ceux qui descendent dans la tombe, je suis comme un homme qui n’a plus de force.

      Psaumes 91

      14 Puisqu’il est attaché à moi, je le délivrerai ; je le protégerai, puisqu’il connaît mon nom.
      15 Il fera appel à moi et je lui répondrai. Je serai avec lui dans la détresse, je le délivrerai et je l’honorerai.

      Psaumes 102

      20 car il regarde du haut de sa demeure sainte. Du haut du ciel, l’Eternel observe la terre

      Psaumes 119

      20 Mon âme est rongée par le désir qui la porte constamment vers tes lois.
      81 Mon âme languit après ton salut ; j’espère en ta promesse.
      82 Mes yeux se fatiguent à attendre ce que tu as promis ; je demande : « Quand me consoleras-tu ? »
      83 Je suis racorni comme une outre dans la fumée, mais je n’oublie pas tes prescriptions.
      131 J’ouvre la bouche et je soupire, car j’ai soif de tes commandements.
      143 La détresse et l’angoisse se sont emparées de moi, mais tes commandements font mon plaisir.
      176 Je suis errant comme une brebis perdue : viens à la recherche de ton serviteur, car je n’oublie pas tes commandements.

      Psaumes 130

      1 Chant des montées. Du fond du gouffre, je fais appel à toi, Eternel !
      2 Seigneur, écoute-moi ! Que tes oreilles soient attentives à mes supplications !
      3 Si tu tenais compte de nos fautes, Eternel, Seigneur, qui pourrait subsister ?

      Ezéchiel 9

      4 et lui a dit : « Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui gémissent et se lamentent à cause de toutes les horreurs qui s'y commettent ! »

      Michée 7

      19 Il aura encore compassion de nous, il piétinera nos fautes. Tu jetteras au fond de la mer tous leurs péchés.

      Zacharie 9

      11 Quant à toi, à cause de ton alliance scellée par le sang, je ferai sortir tes prisonniers de la fosse où il n'y a pas d'eau.
      12 Retournez à la forteresse, prisonniers pleins d'espérance ! Aujourd'hui encore je le déclare, je te rendrai le double.

      Matthieu 5

      4 Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés !
      6 Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés !

      Luc 4

      18 L'Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'il m'a consacré par onction pour annoncer la bonne nouvelle aux pauvres ; il m'a envoyé [pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, ]

      Romains 6

      6 Nous savons que notre vieil homme a été crucifié avec lui afin que le corps du péché soit réduit à l'impuissance et qu’ainsi nous ne soyons plus esclaves du péché.

      Romains 7

      24 Malheureux être humain que je suis ! Qui me délivrera de ce corps de mort ?

      Romains 8

      2 En effet, la loi de l'Esprit qui donne la vie en Jésus-Christ m'a libéré de la loi du péché et de la mort,
      13 Si vous vivez en vous conformant à votre nature propre, vous allez mourir, mais si par l'Esprit vous faites mourir les manières d’agir du corps, vous vivrez.
      26 De même l'Esprit aussi nous vient en aide dans notre faiblesse. En effet, nous ne savons pas ce qu'il convient de demander dans nos prières, mais l'Esprit lui-même intercède [pour nous] par des soupirs que les mots ne peuvent exprimer.

      2 Corinthiens 1

      8 En ce qui concerne la détresse que nous avons connue en Asie, nous ne voulons en effet pas vous laisser ignorer, frères et sœurs, que nous avons été accablés à l'extrême, au-delà de nos forces, au point que nous désespérions même de rester en vie.
      9 Nous avions intérieurement accepté notre arrêt de mort afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes mais en Dieu qui ressuscite les morts.
      10 C'est lui qui nous a délivrés d'une telle mort et qui nous en délivre encore. Oui, nous avons en lui cette espérance qu'il nous en délivrera encore,

      2 Corinthiens 12

      7 Et pour que je ne sois pas rempli d'orgueil à cause de ces révélations extraordinaires, j’ai reçu une écharde dans le corps, un ange de Satan pour me frapper et m'empêcher de m'enorgueillir.
      8 Trois fois j'ai supplié le Seigneur de l'éloigner de moi,
      9 et il m'a dit : « Ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse. » Aussi, je me montrerai bien plus volontiers fier de mes faiblesses afin que la puissance de Christ repose sur moi.

      Colossiens 2

      11 C'est en lui aussi que vous avez été circoncis d'une circoncision qui n'est pas faite par la main de l'homme, mais de la circoncision de Christ, qui consiste à vous dépouiller du corps de votre nature pécheresse.

      2 Timothée 4

      18 Le Seigneur me délivrera de toute œuvre mauvaise et me sauvera pour me faire entrer dans son royaume céleste. A lui soit la gloire aux siècles des siècles ! Amen !

      Tite 2

      14 Il s'est donné lui-même pour nous afin de nous racheter de toute faute et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié et zélé pour de belles œuvres.

      Hébreux 2

      15 et libérer tous ceux que la peur de la mort retenait leur vie durant dans l’esclavage.

      Apocalypse 21

      4 Il essuiera toute larme de leurs yeux, la mort ne sera plus et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car ce qui existait avant a disparu. »
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