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Exode 20.3

« Tu ne dois pas avoir d’autres dieux que moi.
Les quatre premiers des dix commandements, communément appelés « le décalogue », nous décrivent notre devoir envers Dieu. Ces quatre commandements sont cités en premier car l'homme doit aimer son Créateur avant son prochain. Il ne sera pas possible d'aimer son prochain sincÚrement si les sentiments que l'on éprouve pour Dieu ne sont qu'hypocrisie.

Le premier commandement mentionne qui doit ĂȘtre l'objet de notre adoration : l’Éternel et Lui seulement. Cela signifie qu'il est interdit d'adorer les crĂ©atures. Quel que soit le fait qui puisse entraver notre amour, notre gratitude, notre rĂ©vĂ©rence ou notre adoration envers Dieu, nous ne devons pas cĂ©der Ă  un sentiment de dĂ©ception qui ne peut conduire qu'Ă  une transgression de ce commandement. Tout ce que nous faisons doit ĂȘtre fait Ă  la gloire de Dieu.

Le second commandement se rapporte à l'adoration que nous devons ressentir envers le Seigneur, notre Dieu. Il est interdit de fabriquer une image ou une représentation quelconque de la Déité, sous quelque forme ou intention que ce soit. Mais la signification spirituelle de ce commandement est plus étendue : tous les types de superstition sont défendus, ainsi que toutes les « inventions » humaines qui déforment la véritable adoration de Dieu.

Le troisiĂšme commandement concerne la façon d'adorer : elle doit ĂȘtre faite avec toute la rĂ©vĂ©rence et le sĂ©rieux possibles. Tout serment inconsidĂ©rĂ© est prohibĂ©. Toutes les injures au nom de l'Éternel et tous les jurons ne sont que d'affreuses offenses Ă  Ses commandements. Cela ne concerne pas uniquement les injures contre la Parole de Dieu ou les choses saintes, mais aussi toutes celles qui sont vaines, malsaines ou relatives aux plaisirs douteux. Le Seigneur ne laissera pas impuni celui qui invoquera Son Nom en vain.

Le quatriĂšme commandement est particulier : c'est un « rappel », c'est-Ă -dire que ce n'Ă©tait pas la premiĂšre fois qu'il Ă©tait ordonnĂ©, mais que les hommes le connaissaient dĂ©jĂ . Un jour sur sept doit ĂȘtre sanctifiĂ©. Six jours sont consacrĂ©s au travail, mais il ne faut pas nĂ©gliger ensuite le service de Dieu et le soin Ă  apporter Ă  notre Ăąme. Aujourd'hui, nous devons accomplir tout notre travail dans le temps imparti, sans en prĂ©voir pour le sabbat, le jour du repos. Christ a permis d'accomplir en ce jour particulier les travaux de nĂ©cessitĂ©, de charitĂ© et de piĂ©té ; car le sabbat a Ă©tĂ© fait pour l'homme et non l'inverse, Marc 2:27 ; tout ce qui concerne le luxe, la vanitĂ© ou l'autosatisfaction est Ă  Ă©viter. Tout acte commercial, tout paiement de transaction, toute lettre d'affaires, toute Ă©tude industrielle, dĂ©placement, voyage mondain ou conversations lĂ©gĂšres, ne font que gĂąter la saintetĂ© de ce jour, que Dieu a mis Ă  part.

La paresse et l'indolence font partie des attitudes « du monde », mais ne concernent pas le saint repos. Le sabbat doit ĂȘtre un jour oĂč l'on se repose du travail journalier, pour se consacrer au service de Dieu. Les avantages du respect de ce jour sanctifiĂ©, sont la bonne santĂ© et la joie des hommes, ce temps mis Ă  part Ă©tant consacrĂ© au soin de l'Ăąme et au rappel de l'excellence de la Parole de Dieu. Ce jour est bĂ©ni ; les hommes qui le respectent sont bĂ©nis, en lui et par lui. Cette bĂ©nĂ©diction et ce respect de la saintetĂ© ne sont pas consacrĂ©s Ă  un septiĂšme jour ordinaire, mais au jour du sabbat.
"You shall have no other gods before me.
» Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi.

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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry

Le premier commandement
Dieu dĂ©fend d'adorer une autre divinitĂ© que lui, l'Eternel. C'est la base de son alliance avec IsraĂ«l : tout polythĂ©isme est par lĂ  exclu. Cette dĂ©fense rĂ©sulte d'elle-mĂȘme du sens du nom de JĂ©hova.

Devant ma face. Les mots ainsi traduits sont expliquĂ©s par plusieurs dans le sens de au-delĂ  de moi, en dehors de moi. Mais l'emploi du terme ma face ne s'explique pas suffisamment dans ce sens et parle plutĂŽt en faveur du sens que nous admettons : en ma prĂ©sence ; sous mes yeux ; expression qui correspond Ă  celle-ci : un Dieu jaloux, dans le second commandement, et Ă  celle-ci : Je n'absoudrai point, dans le troisiĂšme. L'ĂȘtre infini discerne tout acte de l'homme, mĂȘme intĂ©rieur, et entend toute parole sortant de sa bouche. C'est lĂ  ce qu'implique le nom de JahvĂ©.

On a supposĂ© que Dieu voulait seulement dĂ©fendre Ă  IsraĂ«l d'adorer un autre dieu que lui sous ses yeux, c'est-Ă -dire dans sa propre demeure, le Tabernacle. Mais cette interprĂ©tation si Ă©troite est exclue par les deux parallĂšles citĂ©s, qui supposent l'omniprĂ©sence et l'omniscience de celui qui parle, et par la nature mĂȘme de celui qui s'appelle JahvĂ©.

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Les quatre premiers des dix commandements, communément appelés « le décalogue », nous décrivent notre devoir envers Dieu. Ces quatre commandements sont cités en premier car l'homme doit aimer son Créateur avant son prochain. Il ne sera pas possible d'aimer son prochain sincÚrement si les sentiments que l'on éprouve pour Dieu ne sont qu'hypocrisie.

Le premier commandement mentionne qui doit ĂȘtre l'objet de notre adoration : l’Éternel et Lui seulement. Cela signifie qu'il est interdit d'adorer les crĂ©atures. Quel que soit le fait qui puisse entraver notre amour, notre gratitude, notre rĂ©vĂ©rence ou notre adoration envers Dieu, nous ne devons pas cĂ©der Ă  un sentiment de dĂ©ception qui ne peut conduire qu'Ă  une transgression de ce commandement. Tout ce que nous faisons doit ĂȘtre fait Ă  la gloire de Dieu.

Le second commandement se rapporte à l'adoration que nous devons ressentir envers le Seigneur, notre Dieu. Il est interdit de fabriquer une image ou une représentation quelconque de la Déité, sous quelque forme ou intention que ce soit. Mais la signification spirituelle de ce commandement est plus étendue : tous les types de superstition sont défendus, ainsi que toutes les « inventions » humaines qui déforment la véritable adoration de Dieu.

Le troisiĂšme commandement concerne la façon d'adorer : elle doit ĂȘtre faite avec toute la rĂ©vĂ©rence et le sĂ©rieux possibles. Tout serment inconsidĂ©rĂ© est prohibĂ©. Toutes les injures au nom de l'Éternel et tous les jurons ne sont que d'affreuses offenses Ă  Ses commandements. Cela ne concerne pas uniquement les injures contre la Parole de Dieu ou les choses saintes, mais aussi toutes celles qui sont vaines, malsaines ou relatives aux plaisirs douteux. Le Seigneur ne laissera pas impuni celui qui invoquera Son Nom en vain.

Le quatriĂšme commandement est particulier : c'est un « rappel », c'est-Ă -dire que ce n'Ă©tait pas la premiĂšre fois qu'il Ă©tait ordonnĂ©, mais que les hommes le connaissaient dĂ©jĂ . Un jour sur sept doit ĂȘtre sanctifiĂ©. Six jours sont consacrĂ©s au travail, mais il ne faut pas nĂ©gliger ensuite le service de Dieu et le soin Ă  apporter Ă  notre Ăąme. Aujourd'hui, nous devons accomplir tout notre travail dans le temps imparti, sans en prĂ©voir pour le sabbat, le jour du repos. Christ a permis d'accomplir en ce jour particulier les travaux de nĂ©cessitĂ©, de charitĂ© et de piĂ©té ; car le sabbat a Ă©tĂ© fait pour l'homme et non l'inverse, Marc 2:27 ; tout ce qui concerne le luxe, la vanitĂ© ou l'autosatisfaction est Ă  Ă©viter. Tout acte commercial, tout paiement de transaction, toute lettre d'affaires, toute Ă©tude industrielle, dĂ©placement, voyage mondain ou conversations lĂ©gĂšres, ne font que gĂąter la saintetĂ© de ce jour, que Dieu a mis Ă  part.

La paresse et l'indolence font partie des attitudes « du monde », mais ne concernent pas le saint repos. Le sabbat doit ĂȘtre un jour oĂč l'on se repose du travail journalier, pour se consacrer au service de Dieu. Les avantages du respect de ce jour sanctifiĂ©, sont la bonne santĂ© et la joie des hommes, ce temps mis Ă  part Ă©tant consacrĂ© au soin de l'Ăąme et au rappel de l'excellence de la Parole de Dieu. Ce jour est bĂ©ni ; les hommes qui le respectent sont bĂ©nis, en lui et par lui. Cette bĂ©nĂ©diction et ce respect de la saintetĂ© ne sont pas consacrĂ©s Ă  un septiĂšme jour ordinaire, mais au jour du sabbat.

Matthew Henry © traduction Dominique Osché
Tu n’auras pas d’autres 0312 dieux 0430 devant ma face 06440.

0312 - 'acherun autre, autre, suivant suivant : ultérieur autre : différent

0430 - 'elohiymjuges, divinités, anges, dieux comme un dieu, possessions de Dieu, le (vrai) Dieu, Elohim

06440 - paniymface face, figure présence, personne face (de séraphin ou chérubin) face (des animaux) face, surface 


© Éditions CLÉ, avec autorisation

ALLIANCEHĂ©br. berilh, assyr. biritu, grec dia-thĂškĂš-- pacte au moyen duquel des personnes ou des sociĂ©tĂ©s unissent leurs intĂ©rĂȘts ou stipulent 


ALLIANCE (le livre de l')Hébr. sépher habbe-rith. On appelle ainsi, d'aprÚs Ex 24:7 , le plus ancien code des lois hébraïques que renferme le 


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VEAU D'ORI Le récit de Ex 32 , qui parle de l'acte d'idolùtrie accompli par les Israélites au pied du Sinaï, 


    • Ces vidĂ©os ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Exode 15

      11 ŚžÖŽÖœŚ™ÖŸŚ›ÖžŚžÖčÖ€Ś›ÖžŚ” Ś‘֌֞֜ŚÖ”ŚœÖŽŚÖ™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” ŚžÖŽÖ„Ś™ Ś›ÖŒÖžŚžÖč֖Ś›ÖžŚ” Ś Ö¶ŚÖ°Ś“ÖŒÖžÖŁŚš Ś‘֌ַŚ§ÖŒÖč֑Ś“Ö¶Ś©Ś Ś Ś•Ö茚֞քŚ ŚȘÖ°Ś”ÖŽŚœÖŒÖč֖ŚȘ ŚąÖčÖ„Ś©Ś‚Ö”Ś” Ś€Ö¶ÖœŚœÖ¶ŚŚƒ

      Exode 20

      3 ŚœÖčÖŁÖœŚ Ś™ÖŽŚ”Ö°Ś™Ö¶ÖœŚ”ÖŸŚœÖ°ŚšÖžÖ›Ö© ŚÖ±ŚœÖ茔֎ք֚Ś™Ś ŚÖČŚ—Ö”ŚšÖŽÖ–ÖœŚ™Ś ŚąÖ·ŚœÖŸŚ€ÖŒÖžŚ ÖžÖœÖ—Ś™Ö·
      23 ŚœÖčÖ„Ś ŚȘÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö–Ś•ÖŒŚŸ ŚÖŽŚȘ֌֎֑Ś™ ŚÖ±ŚœÖčÖ€Ś”Ö”Ś™ Ś›Ö¶Ö™ŚĄÖ¶ŚŁÖ™ Ś•Ö”ŚŚœÖ茔֣֔Ś™ Ś–ÖžŚ”ÖžÖ”Ś‘ ŚœÖčÖ„Ś ŚȘÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö–Ś•ÖŒ ŚœÖžŚ›Ö¶ÖœŚŚƒ

      Deutéronome 5

      7 ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖŽŚ”Ö°Ś™Ö¶Ö„Ś”ÖŸŚœÖ°ŚšÖžÖ›Ö© ŚÖ±ŚœÖ茔֎ք֚Ś™Ś ŚÖČŚ—Ö”ŚšÖŽÖ–ÖœŚ™Ś ŚąÖ·ŚœÖŸŚ€ÖŒÖžŚ ÖžÖœÖ—Ś™Ö·Śƒ

      Deutéronome 6

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      14 ŚœÖčÖŁŚ ŚȘÖ”ÖœŚœÖ°Ś›Ö”Ś•ÖŒŚŸ ŚÖ·Ś—ÖČŚšÖ”֖Ś™ ŚÖ±ŚœÖ覔֣֮Ś™Ś ŚÖČŚ—Ö”ŚšÖŽÖ‘Ś™Ś ŚžÖ”ŚÖ±ŚœÖ茔֔Ś™Ö™ Ś”ÖžÖœŚąÖ·ŚžÖŒÖŽÖ”Ś™Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö–Śš ŚĄÖ°Ś‘ÖŽŚ™Ś‘Ś•ÖčŚȘÖ”Ś™Ś›Ö¶ÖœŚŚƒ

      Josué 24

      18 Ś•Ö·Ś™Ö°Ś’ÖžÖšŚšÖ¶Ś©Ś Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖœŚ” ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖ·ŚžÖŒÖŽÖ—Ś™Ś Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”ÖžŚÖ±ŚžÖ覹֛֮Ś™ Ś™Ö茩ŚÖ”Ö„Ś‘ Ś”ÖžŚÖžÖ–ŚšÖ¶Ś„ ŚžÖŽŚ€ÖŒÖžŚ Ö”֑Ś™Ś Ś•ÖŒ Ś’֌ַŚÖŸŚÖČŚ Ö·Ö™Ś—Ö°Ś Ś•ÖŒÖ™ Ś Ö·ŚąÖČŚ‘ÖčÖŁŚ“ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚ”Ö–Ś•ÖŒŚ ŚÖ±ŚœÖčŚ”Ö”ÖœŚ™Ś Ś•ÖŒŚƒ
      19 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖšŚŚžÖ¶Śš Ś™Ö°Ś”Ś•Ö茩ŚÖ»ÖœŚąÖ· ŚÖ¶ŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ—Ś ŚœÖčÖ€Ś ŚȘÖœŚ•ÖŒŚ›Ö°ŚœŚ•ÖŒÖ™ ŚœÖ·ŚąÖČŚ‘ÖčÖŁŚ“ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚÖ±ŚœÖ茔֎քŚ™Ś Ś§Ö°Ś“Ö茩ŚÖŽÖ–Ś™Ś Ś”Ö‘Ś•ÖŒŚ ŚÖ”ÖœŚœÖŸŚ§Ö·Ś ÖŒÖŁŚ•Ö茐 Ś”Ö”Ś•ÖŒŚ ŚœÖčÖœŚÖŸŚ™ÖŽŚ©Ś‚֌֞քŚ ŚœÖ°Ś€ÖŽŚ©ŚÖ°ŚąÖČŚ›Ö¶Ö–Ś Ś•ÖŒŚœÖ°Ś—Ö·Ś˜ÖŒÖ茐Ś•ŚȘÖ”Ś™Ś›Ö¶ÖœŚŚƒ
      20 Ś›ÖŒÖŽÖ€Ś™ ŚȘÖ·ÖœŚąÖ·Ś–Ö°Ś‘Ś•ÖŒÖ™ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” Ś•Ö·ŚąÖČŚ‘Ö·Ś“Ö°ŚȘ֌ֶ֖Ś ŚÖ±ŚœÖ茔֣֔Ś™ Ś Ö”Ś›ÖžÖ‘Śš Ś•Ö°Ś©ŚÖžÖšŚ‘ Ś•Ö°Ś”Ö”ŚšÖ·Ö€Śą ŚœÖžŚ›Ö¶ŚÖ™ Ś•Ö°Ś›ÖŽŚœÖŒÖžÖŁŚ” ŚÖ¶ŚȘÖ°Ś›Ö¶Ö”Ś ŚÖ·Ś—ÖČŚšÖ”֖Ś™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ”Ö”Ś™Ś˜ÖŽÖ„Ś™Ś‘ ŚœÖžŚ›Ö¶ÖœŚŚƒ
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      2 Rois 17

      29 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ”Ö°Ś™ÖŁŚ•ÖŒ ŚąÖ茩Ś‚ÖŽÖ”Ś™Ś Ś’֌քŚ•Ö覙 Ś’֌֖Ś•Ö覙 ŚÖ±ŚœÖ覔־֑Ś™Ś• Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ·Ś ÖŒÖŽÖŁŚ™Ś—Ś•ÖŒ Ś€ Ś‘֌ְŚ‘Ö”ÖŁŚ™ŚȘ Ś”Ö·Ś‘֌֞ŚžÖ—Ś•ÖčŚȘ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€Śš ŚąÖžŚ©Ś‚Ś•ÖŒÖ™ Ś”Ö·Ś©ŚÖŒÖčÖŁŚžÖ°ŚšÖ覠֮֔Ś™Ś Ś’֌քŚ•Ö覙 Ś’ÖŒŚ•Ö覙֙ Ś‘֌ְŚąÖžÖŁŚšÖ”Ś™Ś”Ö¶Ö”Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö›Śš Ś”Ö”Ö„Ś Ś™Ö茩ŚÖ°Ś‘ÖŽÖ–Ś™Ś Ś©ŚÖžÖœŚŚƒ
      30 Ś•Ö°ŚÖ·Ś Ö°Ś©ŚÖ”ÖŁŚ™ Ś‘ÖžŚ‘Ö¶Ö—Śœ ŚąÖžŚ©Ś‚Ś•ÖŒÖ™ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚĄÖ»Ś›ÖŒÖŁŚ•ÖčŚȘ Ś‘֌ְŚ Ö”Ś•ÖčŚȘ Ś•Ö°ŚÖ·Ś Ö°Ś©ŚÖ”Ś™ÖŸŚ›Ö”Ś•ÖŒŚȘ ŚąÖžŚ©Ś‚Ö–Ś•ÖŒ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ Ö”ÖœŚšÖ°Ś’Ö·Ö‘Śœ Ś•Ö°ŚÖ·Ś Ö°Ś©ŚÖ”Ö„Ś™ Ś—ÖČŚžÖžÖ–ŚȘ ŚąÖžŚ©Ś‚Ö„Ś•ÖŒ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚÖČŚ©ŚÖŽŚ™ŚžÖžÖœŚŚƒ
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      32 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ”Ö°Ś™Ö„Ś•ÖŒ Ś™Ö°ŚšÖ”ŚÖŽÖ–Ś™Ś ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ‘Ś” Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚ÖšŚ•ÖŒ ŚœÖžŚ”Ö¶Ö€Ś ŚžÖŽŚ§Ö°ŚŠŚ•ÖčŚȘÖžŚÖ™ Ś›ÖŒÖ覔ÖČŚ Ö”ÖŁŚ™ Ś‘ÖžŚžÖ”Ś•ÖčŚȘ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ”Ö°Ś™Ö›Ś•ÖŒ ŚąÖ茩Ś‚ÖŽÖ„Ś™Ś ŚœÖžŚ”Ö¶Ö–Ś Ś‘֌ְŚ‘Ö”Ö„Ś™ŚȘ Ś”Ö·Ś‘֌֞ŚžÖœŚ•ÖčŚȘŚƒ
      33 ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ–Ś” Ś”ÖžŚ™ÖŁŚ•ÖŒ Ś™Ö°ŚšÖ”ŚÖŽÖ‘Ś™Ś Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚÖ±ŚœÖčÖœŚ”Ö”Ś™Ś”Ö¶ŚÖ™ Ś”ÖžŚ™ÖŁŚ•ÖŒ ŚąÖčÖœŚ‘Ö°Ś“ÖŽÖ”Ś™Ś Ś›ÖŒÖ°ŚžÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖ·Ś˜Ö™ Ś”Ö·Ś’ÖŒŚ•Ö覙֮֔Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ”ÖŽŚ’Ö°ŚœÖ„Ś•ÖŒ ŚÖčŚȘ־֖Ś ŚžÖŽŚ©ŚÖŒÖžÖœŚŚƒ
      34 ŚąÖ·ÖŁŚ“ Ś”Ö·Ś™ÖŒÖ€Ś•Ö覝 Ś”Ö·Ś–֌ֶŚ”Ö™ Ś”Ö”ÖŁŚ ŚąÖ茩Ś‚ÖŽÖ”Ś™Ś Ś›ÖŒÖ·ŚžÖŒÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖžŚ˜ÖŽÖ–Ś™Ś Ś”ÖžŚšÖŽÖœŚŚ©ŚÖ覠֑֮Ś™Ś ŚÖ”Ś™Ś ÖžÖ€Ś Ś™Ö°ŚšÖ”ŚÖŽŚ™ŚÖ™ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” Ś•Ö°ŚÖ”Ś™Ś ÖžÖŁŚ ŚąÖ茩Ś‚ÖŽÖ—Ś™Ś Ś›ÖŒÖ°Ś—Ö»Ś§ÖŒÖčŚȘÖžŚÖ™ Ś•ÖŒŚ›Ö°ŚžÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖžŚ˜ÖžÖ”Ś Ś•Ö°Ś›Ö·ŚȘÖŒŚ•Ö茚֣֞Ś” Ś•Ö°Ś›Ö·ŚžÖŒÖŽŚŠÖ°Ś•ÖžÖ—Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖšŚš ŚŠÖŽŚ•ÖŒÖžÖ€Ś” Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ‘֌ְŚ Ö”ÖŁŚ™ Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֔Ś‘ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ©Ś‚ÖžÖ„Ś Ś©ŚÖ°ŚžÖ–Ś•Öč Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”ÖœŚœŚƒ
      35 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ›Ö°ŚšÖčÖšŚȘ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ€Ś” ŚÖŽŚȘ֌֞ŚÖ™ Ś‘֌ְŚšÖŽÖ”Ś™ŚȘ Ś•Ö·Ś™Ö°ŚŠÖ·Ś•ÖŒÖ”ÖŁŚ ŚœÖ”ŚŚžÖč֔Śš ŚœÖčÖ„Ś ŚȘÖŽÖœŚ™ŚšÖ°ŚÖ–Ś•ÖŒ ŚÖ±ŚœÖ覔֣֮Ś™Ś ŚÖČŚ—Ö”ŚšÖŽÖ‘Ś™Ś Ś•Ö°ŚœÖčŚÖŸŚȘÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•ÖŁŚ•ÖŒ ŚœÖžŚ”Ö¶Ö”Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ ŚȘÖ·ŚąÖ·Ś‘Ö°Ś“Ö”Ś•ÖŒŚ Ś•Ö°ŚœÖčÖ„Ś ŚȘÖŽŚ–Ö°Ś‘֌ְŚ—Ö–Ś•ÖŒ ŚœÖžŚ”Ö¶ÖœŚŚƒ

      Psaumes 29

      2 Ś”ÖžŚ‘ÖŁŚ•ÖŒ ŚœÖ·ÖœÖ­Ś™Ś”Ś•ÖžŚ” Ś›ÖŒÖ°Ś‘ÖŁŚ•Ö覓 Ś©ŚÖ°ŚžÖ‘Ś•Öč Ś”ÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•Ö„Ś•ÖŒ ŚœÖ·ÖŚ™Ś”Ś•ÖžÖ—Ś” Ś‘֌ְŚ”Ö·Ś“Ö°ŚšÖ·ŚȘÖŸŚ§ÖčÖœŚ“Ö¶Ś©ŚŚƒ

      Psaumes 73

      25 ŚžÖŽŚ™ÖŸŚœÖŽÖ„Ś™ Ś‘Ö·Ś©ŚÖŒÖžŚžÖžÖ‘Ś™ÖŽŚ Ś•Ö°ÖŚąÖŽŚžÖŒÖ°ŚšÖžÖ— ŚœÖčŚÖŸŚ—ÖžŚ€Ö·Ö„ŚŠÖ°ŚȘ֌֎Ś™ Ś‘ÖžŚÖžÖœŚšÖ¶Ś„Śƒ

      Psaumes 81

      9 Ś©ŚÖ°ŚžÖ·ÖŁŚą ŚąÖ·Ö­ŚžÖŒÖŽŚ™ Ś•Ö°ŚÖžŚąÖŽÖŁŚ™Ś“ÖžŚ” Ś‘֌֑֞ŚšÖ° Ś™ÖŽÖŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֗Śœ ŚÖŽŚÖŸŚȘ֌֎֜Ś©ŚÖ°ŚžÖ·ÖœŚąÖŸŚœÖŽÖœŚ™Śƒ

      EsaĂŻe 26

      4 Ś‘֌֎Ś˜Ö°Ś—Ö„Ś•ÖŒ Ś‘Ö·ÖœŚ™Ś”Ś•ÖžÖ–Ś” ŚąÖČŚ“Ö”Ś™ÖŸŚąÖ·Ö‘Ś“ Ś›ÖŒÖŽÖšŚ™ Ś‘֌ְŚ™ÖžÖŁŚ”ÖŒ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” ŚŠÖ–Ś•ÖŒŚš ŚąŚ•Ö覜־ŚžÖŽÖœŚ™ŚŚƒ

      EsaĂŻe 43

      10 ŚÖ·ŚȘ֌ֶրŚ ŚąÖ”Ś“Ö·Ś™Ö™ Ś Ö°ŚÖ»ŚÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” Ś•Ö°ŚąÖ·Ś‘Ö°Ś“֌֎֖Ś™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš Ś‘֌֞Ś—ÖžÖ‘ŚšÖ°ŚȘ֌֎Ś™ ŚœÖ°ŚžÖ·ÖŁŚąÖ·ŚŸ ŚȘ֌֔֠Ś“Ö°ŚąŚ•ÖŒ Ś•Ö°ŚȘÖ·ŚÖČŚžÖŽÖšŚ™Ś Ś•ÖŒ ŚœÖŽÖ€Ś™ Ś•Ö°ŚȘÖžŚ‘ÖŽÖ™Ś™Ś Ś•ÖŒÖ™ Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚÖČŚ ÖŽÖŁŚ™ Ś”Ö”Ś•ÖŒŚ ŚœÖ°Ś€ÖžŚ Ö·Ś™Ö™ ŚœÖčŚÖŸŚ ÖŁŚ•Ö茊ַŚš ŚÖ”֔Śœ Ś•Ö°ŚÖ·Ś—ÖČŚšÖ·Ö–Ś™ ŚœÖčÖ„Ś Ś™ÖŽŚ”Ö°Ś™Ö¶ÖœŚ”Śƒ

      EsaĂŻe 44

      8 ŚÖ·ÖœŚœÖŸŚȘ֌֎Ś€Ö°Ś—ÖČŚ“Ś•ÖŒÖ™ Ś•Ö°ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֎ŚšÖ°Ś”Ö”Ś•ÖŒ Ś”ÖČŚœÖčÖ„Ś ŚžÖ”ŚÖžÖ›Ś– Ś”ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖ·ŚąÖ°ŚȘ֌֎քŚ™ŚšÖž Ś•Ö°Ś”ÖŽŚ’֌ַ֖Ś“Ö°ŚȘ֌֎Ś™ Ś•Ö°ŚÖ·ŚȘÖŒÖ¶ÖŁŚ ŚąÖ”Ś“ÖžÖ‘Ś™ Ś”ÖČŚ™Ö”Ö€Ś©Ś ŚÖ±ŚœÖ™Ś•ÖčŚ”ÖŒÖ·Ö™ ŚžÖŽŚ‘֌ַŚœÖ°ŚąÖžŚ“Ö·Ö”Ś™ Ś•Ö°ŚÖ”Ö„Ś™ŚŸ ŚŠÖ–Ś•ÖŒŚš Ś‘֌ַŚœÖŸŚ™ÖžŚ“ÖžÖœŚąÖ°ŚȘ֌֎Ś™Śƒ

      EsaĂŻe 45

      21 Ś”Ö·Ś’ÖŒÖŽÖŁŚ™Ś“Ś•ÖŒ Ś•Ö°Ś”Ö·Ś’֌֎֔Ś™Ś©ŚŚ•ÖŒ ŚÖ·Ö„ŚŁ Ś™ÖŽÖœŚ•ÖŒÖžŚąÖČŚŠÖ–Ś•ÖŒ Ś™Ö·Ś—Ö°Ś“֌֑֞Ś• ŚžÖŽÖŁŚ™ Ś”ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖŽŚ™ŚąÖ·Ö© Ś–ÖčÖšŚŚȘ ŚžÖŽŚ§ÖŒÖ¶ÖœŚ“Ö¶Ś ŚžÖ”ŚÖžÖŁŚ– Ś”ÖŽŚ’֌֎Ś™Ś“ÖžÖ—Ś”ÖŒ Ś”ÖČŚœÖšŚ•Ö茐 ŚÖČŚ ÖŽÖ€Ś™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ Ś•Ö°ŚÖ”ÖœŚ™ŚŸÖŸŚąÖ€Ś•Ö覓 ŚÖ±ŚœÖ覔֮Ś™ŚÖ™ ŚžÖŽŚ‘֌ַŚœÖ°ŚąÖžŚ“Ö·Ö”Ś™ ŚÖ”ÖœŚœÖŸŚŠÖ·Ś“ÖŒÖŽÖŁŚ™Ś§ Ś•ÖŒŚžŚ•Ö茩ŚÖŽÖ”Ś™ŚąÖ· ŚÖ·Ö–Ś™ÖŽŚŸ Ś–Ś•ÖŒŚœÖžŚȘÖŽÖœŚ™Śƒ
      22 Ś€ÖŒÖ°Ś Ś•ÖŒÖŸŚÖ”ŚœÖ·Ö„Ś™ Ś•Ö°Ś”ÖŽŚ•ÖŒÖžŚ©ŚÖ°ŚąÖ–Ś•ÖŒ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚÖ·Ś€Ö°ŚĄÖ”Ś™ÖŸŚÖžÖ‘ŚšÖ¶Ś„ Ś›ÖŒÖŽÖ„Ś™ ŚÖČŚ ÖŽŚ™ÖŸŚÖ”֖Śœ Ś•Ö°ŚÖ”Ö„Ś™ŚŸ ŚąÖœŚ•Ö覓Śƒ

      EsaĂŻe 46

      9 Ś–ÖŽŚ›Ö°ŚšÖ„Ś•ÖŒ ŚšÖŽŚŚ©ŚÖ覠֖Ś•ÖčŚȘ ŚžÖ”ŚąŚ•Ö覜־֑Ś Ś›ÖŒÖŽÖŁŚ™ ŚÖžŚ Ö茛֎քŚ™ ŚÖ”ŚœÖ™ Ś•Ö°ŚÖ”ÖŁŚ™ŚŸ ŚąÖ”Ś•Ö覓 ŚÖ±ŚœÖ覔֖֮Ś™Ś Ś•Ö°ŚÖ¶Ö„Ś€Ö¶ŚĄ Ś›ÖŒÖžŚžÖœŚ•Ö茠֎Ś™Śƒ

      Jérémie 25

      6 Ś•Ö°ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֔ŚœÖ°Ś›Ö—Ś•ÖŒ ŚÖ·ÖœŚ—ÖČŚšÖ”Ś™Ö™ ŚÖ±ŚœÖ覔֣֮Ś™Ś ŚÖČŚ—Ö”ŚšÖŽÖ”Ś™Ś ŚœÖ°ŚąÖžŚ‘Ö°Ś“ÖžÖ–Ś Ś•ÖŒŚœÖ°Ś”ÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•ÖșÖŁŚȘ ŚœÖžŚ”Ö¶Ö‘Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖœŚÖŸŚȘÖ·Ś›Ö°ŚąÖŽÖ€Ś™ŚĄŚ•ÖŒ ŚŚ•ÖčŚȘÖŽŚ™Ö™ Ś‘֌ְŚžÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”ÖŁŚ” Ś™Ö°Ś“Ö”Ś™Ś›Ö¶Ö”Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖ„Ś ŚÖžŚšÖ·Ö–Śą ŚœÖžŚ›Ö¶ÖœŚŚƒ

      Jérémie 35

      15 Ś•ÖžŚÖ¶Ś©ŚÖ°ŚœÖ·ÖŁŚ— ŚÖČŚœÖ”Ś™Ś›Ö¶ÖŁŚ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ›ÖŒÖžŚœÖŸŚąÖČŚ‘ÖžŚ“Ö·ÖŁŚ™ Ś”Ö·Ś ÖŒÖ°Ś‘ÖŽŚÖŽÖŁŚ™Ś Ś€ Ś”Ö·Ś©ŚÖ°Ś›ÖŒÖ”ÖŁŚ™Ś Ś•Ö°Ś©ŚÖžŚœÖčÖŁŚ—Ö· Ś€ ŚœÖ”ŚŚžÖčÖĄŚš Ś©ŚÖ»Ś‘Ś•ÖŒÖŸŚ ÖžÖĄŚ ŚÖŽŚ™Ś©ŚÖ© ŚžÖŽŚ“֌ַŚšÖ°Ś›ÖŒÖšŚ•Öč Ś”ÖžŚšÖžŚąÖžÖœŚ” Ś•Ö°Ś”Ö”Ś™Ś˜ÖŽÖŁŚ™Ś‘Ś•ÖŒ ŚžÖ·ÖœŚąÖ·ŚœÖ°ŚœÖ”Ś™Ś›Ö¶Ö—Ś Ś•Ö°ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֚֔ŚœÖ°Ś›ÖœŚ•ÖŒ ŚÖ·Ś—ÖČŚšÖ”ÖšŚ™ ŚÖ±ŚœÖ茔֎րŚ™Ś ŚÖČŚ—Ö”ŚšÖŽŚ™ŚÖ™ ŚœÖ°ŚąÖžŚ‘Ö°Ś“ÖžÖ”Ś Ś•ÖŒŚ©ŚÖ°Ś‘Ś•ÖŒÖ™ ŚÖ¶ŚœÖŸŚ”ÖžÖŁŚÖČŚ“ÖžŚžÖžÖ”Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ ÖžŚȘÖ·Ö„ŚȘ֌֎Ś™ ŚœÖžŚ›Ö¶Ö–Ś Ś•Ö°ŚœÖ·ŚÖČŚ‘ÖčÖœŚȘÖ”Ś™Ś›Ö¶Ö‘Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖ€Ś Ś”ÖŽŚ˜ÖŒÖŽŚ™ŚȘÖ¶ŚÖ™ ŚÖ¶ÖœŚȘÖŸŚÖžŚ–Ö°Ś Ö°Ś›Ö¶Ö”Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖ„Ś Ś©ŚÖ°ŚžÖ·ŚąÖ°ŚȘ֌ֶ֖Ś ŚÖ”ŚœÖžÖœŚ™Śƒ

      Matthieu 4

      10 τότΔ λέγΔÎč Î±áœÏ„áż· ᜁ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚Î‡ áœÏ€Î±ÎłÎ”, ÎŁÎ±Ï„Î±ÎœáŸ¶Î‡ ÎłÎ­ÎłÏÎ±Ï€Ï„Î±Îč ÎłÎŹÏÎ‡ ΚύρÎčÎżÎœ τ᜞Μ ΞΔόΜ ÏƒÎżÏ… Ï€ÏÎżÏƒÎșÏ…ÎœÎźÏƒÎ”Îčς Îșα᜶ Î±áœÏ„áż· ÎŒÏŒÎœáżł λατρΔύσΔÎčς.

      1 Corinthiens 8

      4 ΠΔρ᜶ Ï„áż†Ï‚ ÎČρώσΔως Îżáœ–Îœ Ï„áż¶Îœ Î”áŒ°ÎŽÏ‰Î»ÎżÎžÏÏ„Ï‰Îœ ÎżáŒŽÎŽÎ±ÎŒÎ”Îœ ᜅτÎč ÎżáœÎŽáœČÎœ Î”áŒŽÎŽÏ‰Î»ÎżÎœ ጐΜ ÎșÏŒÏƒÎŒáżł, Îșα᜶ ᜅτÎč ÎżáœÎŽÎ”áœ¶Ï‚ ΞΔ᜞ς Δጰ Όᜎ Δጷς.
      6 ጀλλ’ áŒĄÎŒáż–Îœ Δጷς ΞΔ᜞ς ᜁ Ï€Î±Ï„ÎźÏ, ጐΟ Îżáœ— τᜰ Ï€ÎŹÎœÏ„Î± Îșα᜶ áŒĄÎŒÎ”áż–Ï‚ Δጰς αᜐτόΜ, Îșα᜶ Δጷς ÎșύρÎčÎżÏ‚ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚ ΧρÎčστός, ÎŽÎč’ Îżáœ— τᜰ Ï€ÎŹÎœÏ„Î± Îșα᜶ áŒĄÎŒÎ”áż–Ï‚ ÎŽÎč’ Î±áœÏ„ÎżáżŠ.

      Ephésiens 5

      5 Ï„ÎżáżŠÏ„Îż Îłáœ°Ï ጎστΔ ÎłÎčΜώσÎșÎżÎœÏ„Î”Ï‚ ᜅτÎč π៶ς Ï€ÏŒÏÎœÎżÏ‚ áŒą ጀÎșÎŹÎžÎ±ÏÏ„ÎżÏ‚ áŒą Ï€Î»Î”ÎżÎœÎ­Îșτης, ᜅ ጐστÎčÎœ Î”áŒ°ÎŽÏ‰Î»ÎżÎ»ÎŹÏ„ÏÎ·Ï‚, ÎżáœÎș ጔχΔÎč ÎșÎ»Î·ÏÎżÎœÎżÎŒÎŻÎ±Îœ ጐΜ Ï„áż‡ ÎČασÎčÎ»Î”ÎŻáŸł Ï„ÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ Îșα᜶ ΞΔοῊ.

      Philippiens 3

      19 ᜧΜ τ᜞ Ï„Î­Î»ÎżÏ‚ ጀπώλΔÎčα, ᜧΜ ᜁ ΞΔ᜞ς áŒĄ ÎșÎżÎčλία Îșα᜶ áŒĄ ΎόΟα ጐΜ Ï„áż‡ Î±áŒ°ÏƒÏ‡ÏÎœáżƒ Î±áœÏ„áż¶Îœ, ÎżáŒ± τᜰ áŒÏ€ÎŻÎłÎ”Îčα Ï†ÏÎżÎœÎżáżŠÎœÏ„Î”Ï‚.

      Colossiens 2

      18 ΌηΎΔ᜶ς ᜑΌ៶ς ÎșαταÎČραÎČΔυέτω ΞέλωΜ ጐΜ ταπΔÎčÎœÎżÏ†ÏÎżÏƒÏÎœáżƒ Îșα᜶ ΞρησÎșÎ”ÎŻáŸł Ï„áż¶Îœ áŒ€ÎłÎłÎ­Î»Ï‰Îœ, ጃ ጑όραÎșΔΜ ጐΌÎČατΔύωΜ, ΔጰÎșῇ φυσÎčÎżÏÎŒÎ”ÎœÎżÏ‚ ᜑπ᜞ Ï„ÎżáżŠ ÎœÎżáœžÏ‚ Ï„áż†Ï‚ σαρÎș᜞ς Î±áœÏ„ÎżáżŠ,

      1 Jean 5

      20 ÎżáŒŽÎŽÎ±ÎŒÎ”Îœ ÎŽáœČ ᜅτÎč ᜁ υጱ᜞ς Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ ጄÎșΔÎč, Îșα᜶ ΎέΎωÎșΔΜ áŒĄÎŒáż–Îœ ÎŽÎčÎŹÎœÎżÎčαΜ ጔΜα ÎłÎčΜώσÎșωΌΔΜ τ᜞Μ ጀληΞÎčΜόΜ· Îșα᜶ ጐσΌáœČÎœ ጐΜ Ï„áż· ጀληΞÎčÎœáż·, ጐΜ Ï„áż· Ï…áŒ±áż· Î±áœÏ„ÎżáżŠ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„áż·. Îżáœ—Ï„ÏŒÏ‚ ጐστÎčÎœ ᜁ ጀληΞÎčΜ᜞ς ΞΔ᜞ς Îșα᜶ ζωᜎ αጰώΜÎčÎżÏ‚.
      21 ΀ΔÎșÎœÎŻÎ±, Ï†Ï…Î»ÎŹÎŸÎ±Ï„Î” ጑αυτᜰ ጀπ᜞ Ï„áż¶Îœ ΔጰΎώλωΜ.

      Apocalypse 19

      10 Îșα᜶ ጔπΔσα áŒ”ÎŒÏ€ÏÎżÏƒÎžÎ”Îœ Ï„áż¶Îœ Ï€ÎżÎŽáż¶Îœ Î±áœÏ„ÎżáżŠ Ï€ÏÎżÏƒÎșÏ…Îœáż†ÏƒÎ±Îč Î±áœÏ„áż·. Îșα᜶ λέγΔÎč ÎŒÎżÎč· ᜍρα ÎŒÎźÎ‡ ÏƒÏÎœÎŽÎżÏ…Î»ÏŒÏ‚ ÏƒÎżÏ ΔጰΌÎč Îșα᜶ Ï„áż¶Îœ áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†áż¶Îœ ÏƒÎżÏ… Ï„áż¶Îœ ጐχόΜτωΜ τᜎΜ ÎŒÎ±ÏÏ„Ï…ÏÎŻÎ±Îœ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÎ‡ Ï„áż· ΞΔῷ Ï€ÏÎżÏƒÎșÏÎœÎ·ÏƒÎżÎœÎ‡ áŒĄ Îłáœ°Ï ÎŒÎ±ÏÏ„Ï…ÏÎŻÎ± áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ ጐστÎčÎœ τ᜞ Ï€ÎœÎ”áżŠÎŒÎ± Ï„áż†Ï‚ Ï€ÏÎżÏ†Î·Ï„Î”ÎŻÎ±Ï‚.

      Apocalypse 22

      9 Îșα᜶ λέγΔÎč ÎŒÎżÎč· ᜍρα ÎŒÎźÎ‡ ÏƒÏÎœÎŽÎżÏ…Î»ÏŒÏ‚ ÏƒÎżÏ ΔጰΌÎč Îșα᜶ Ï„áż¶Îœ áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†áż¶Îœ ÏƒÎżÏ… Ï„áż¶Îœ Ï€ÏÎżÏ†Î·Ï„áż¶Îœ Îșα᜶ Ï„áż¶Îœ Ï„Î·ÏÎżÏÎœÏ„Ï‰Îœ Ï„Îżáœșς Î»ÏŒÎłÎżÏ…Ï‚ Ï„ÎżáżŠ ÎČÎčÎČÎ»ÎŻÎżÏ… Ï„ÎżÏÏ„ÎżÏ…Î‡ Ï„áż· ΞΔῷ Ï€ÏÎżÏƒÎșÏÎœÎ·ÏƒÎżÎœ.
      Hébreu : © Westminster Leningrad Codex - tanach.us --- Grec : © 2010 by the Society of Biblical Literature and Logos Bible Software - sblgnt.com
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