ParamĂštres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'Ă©criture
Taille de texte

Merci Ă  Bibles et Publications ChrĂ©tiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Jean 8.44

Vous, vous avez pour pÚre le diable, et vous voulez faire les convoitises de votre pÚre. Lui a été meurtrier dÚs le commencement, et il n'a pas persévéré dans la vérité, car il n'y pas de vérité en lui. Quand il profÚre le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur, et le pÚre du mensonge.
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris
Message texte La question taboue

De quoi notre monde a-t-il le plus besoin ? De vĂ©ritĂ© ou d’amour ?

Nous sommes submergĂ©s d’informations, au point de ne pas toujours savoir oĂč est la vĂ©ritĂ©. Dans le mĂȘme temps, nous 


De quoi notre monde a-t-il le plus besoin ? De vĂ©ritĂ© ou d’amour ?

Amour Vérité Les deux Je ne sais pas
4664 participants
Sur un total de 4664 participants
Dites-nous en commentaire pourquoi avoir fait ce choix !
Dites-nous en commentaire pourquoi avoir fait ce choix ! Voir ce qu'en dit la Bible D'autres questions bibliques
Partager :
Elisabeth Dugas
Jean 8.44

Segond 21 Vous, vous avez pour pÚre le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre pÚre. Il a été meurtrier dÚs le commencement et il ne s'est pas tenu dans la vérité parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profÚre le mensonge, il parle de son propre fond, car il est menteur et le pÚre du mensonge.

Segond 1910 Vous avez pour pÚre le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre pÚre. Il a été meurtrier dÚs le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profÚre le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le pÚre du mensonge.

Segond 1978 (Colombe) © Vous avez pour pĂšre le diable, et vous voulez accomplir les dĂ©sirs de votre pĂšre. Il a Ă©tĂ© meurtrier dĂšs le commencement, et il ne s’est pas tenu dans la vĂ©ritĂ©, parce que la vĂ©ritĂ© n’est pas en lui. Lorsqu’il profĂšre le mensonge, ses paroles viennent de lui-mĂȘme car il est menteur et le pĂšre du mensonge.

Parole de Vie © Votre pĂšre, c’est l’esprit du mal, et vous voulez faire ce que votre pĂšre dĂ©sire. Lui, c’est un assassin depuis le dĂ©but. Il n’est jamais restĂ© dans la vĂ©ritĂ©, parce qu’il n’y a pas de vĂ©ritĂ© en lui. Sa façon normale de parler, c’est de dire des mensonges. En effet, il est menteur, et c’est le pĂšre du mensonge.

Français Courant © Vous avez pour pĂšre le diable et vous voulez faire ce que votre pĂšre dĂ©sire. Il a Ă©tĂ© meurtrier dĂšs le commencement. Il ne s’est jamais tenu dans la vĂ©ritĂ© parce qu’il n’y a pas de vĂ©ritĂ© en lui. Quand il dit des mensonges, il parle de la maniĂšre qui lui est naturelle, parce qu’il est menteur et pĂšre du mensonge.

Semeur © Votre pĂšre, c’est le diable, et vous voulez vous conformer Ă  ses dĂ©sirs. Depuis le commencement, c’est un meurtrier : il ne se tient pas dans la vĂ©ritĂ©, parce qu’il n’y a pas de vĂ©ritĂ© en lui. Lorsqu’il ment, il parle de son propre fond, puisqu’il est menteur, lui le pĂšre du mensonge.

Parole Vivante © Votre vĂ©ritable pĂšre, c’est le diable, et vous avez choisi de vous plier Ă  ses dĂ©sirs et d’accomplir sa volontĂ©. Depuis le dĂ©but, il n’a pensĂ© qu’à tuer. Il n’a pas persĂ©vĂ©rĂ© dans la vĂ©ritĂ©, parce que, pour lui, la vĂ©ritĂ© n’existe pas. Il n’y a rien de vrai en lui. Lorsqu’il ment, il est dans son Ă©lĂ©ment, il rĂ©vĂšle sa vĂ©ritable nature, puisqu’il est, par essence, le menteur et que tout mensonge vient de lui.

Darby Vous, vous avez pour pÚre le diable, et vous voulez faire les convoitises de votre pÚre. Lui a été meurtrier dÚs le commencement, et il n'a pas persévéré dans la vérité, car il n'y pas de vérité en lui. Quand il profÚre le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur, et le pÚre du mensonge.

Martin Le pĂšre dont vous ĂȘtes issus c'est le dĂ©mon, et vous voulez faire les dĂ©sirs de votre pĂšre. Il a Ă©tĂ© meurtrier dĂšs le commencement, et il n'a point persĂ©vĂ©rĂ© dans la vĂ©ritĂ©, car la vĂ©ritĂ© n'est point en lui. Toutes les fois qu'il profĂšre le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur, et le pĂšre du mensonge.

Ostervald Le pĂšre dont vous ĂȘtes issus, c'est le diable, et vous voulez accomplir les dĂ©sirs de votre pĂšre. Il a Ă©tĂ© meurtrier dĂšs le commencement, et il n'a point persistĂ© dans la vĂ©ritĂ©, parce qu'il n'y a pas de vĂ©ritĂ© en lui. Lorsqu'il dit le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur, et le pĂšre du mensonge.

HĂ©breu / Grec - Texte original © áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ ጐÎș Ï„ÎżáżŠ πατρ᜞ς Ï„ÎżáżŠ ÎŽÎčαÎČÏŒÎ»ÎżÏ… ጐστáœČ Îșα᜶ τᜰς ጐπÎčÎžÏ…ÎŒÎŻÎ±Ï‚ Ï„ÎżáżŠ πατρ᜞ς áœ‘ÎŒáż¶Îœ ΞέλΔτΔ Ï€ÎżÎčÎ”áż–Îœ. ጐÎșÎ”áż–ÎœÎżÏ‚ áŒ€ÎœÎžÏÏ‰Ï€ÎżÎșÏ„ÏŒÎœÎżÏ‚ ጊΜ ጀπ’ áŒ€ÏÏ‡áż†Ï‚, Îșα᜶ ጐΜ Ï„áż‡ áŒ€Î»Î·ÎžÎ”ÎŻáŸł ÎżáœÎș ጔστηÎșΔΜ, ᜅτÎč ÎżáœÎș ጔστÎčÎœ áŒ€Î»ÎźÎžÎ”Îčα ጐΜ Î±áœÏ„áż·. ᜅταΜ λαλῇ τ᜞ ÏˆÎ”áżŠÎŽÎżÏ‚, ጐÎș Ï„áż¶Îœ áŒ°ÎŽÎŻÏ‰Îœ λαλΔῖ, ᜅτÎč ψΔύστης ጐστ᜶Μ Îșα᜶ ᜁ πατᜎρ Î±áœÏ„ÎżáżŠ.

World English Bible You are of your father, the devil, and you want to do the desires of your father. He was a murderer from the beginning, and doesn't stand in the truth, because there is no truth in him. When he speaks a lie, he speaks on his own; for he is a liar, and its father.

La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Grec : Vous, vous ĂȘtes du pĂšre, le diable, c'est-Ă -dire le pĂšre dont vous ĂȘtes les enfants, c'est le diable.

Jésus venait de dénier à ses adversaires qu'ils fussent enfants de Dieu. (verset 42) Deux fois il avait insinué qu'ils avaient un autre pÚre (versets 38,41) maintenant, en présence de leurs orgueilleuses prétentions, il nomme ce pÚre duquel ils sont issus, sans reculer devant la sévérité de cette révélation.

Il est évident qu'il ne faut entendre ce mot de pÚre, ni dans son sens naturel, ni dans un sens métaphysique, mais lui donner une signification morale. Dans le langage de l'Ecriture, chacun est fils de celui dont il reçoit les inspirations et qui l'anime de son esprit.

"De mĂȘme que nous sommes nommĂ©s enfants de Dieu, non seulement parce que nous lui sommes semblables, mais aussi parce qu'il nous gouverne par son Esprit et parce que Christ vit en nous, afin qu'il nous conforme a l'image de son PĂšre, de mĂȘme, au contraire, le diable est appelĂ© pĂšre de ceux dont il aveugle les entendements, et dont il pousse les cƓurs Ă  commettre toute injustice." Calvin. (Comparer 1Jean 3.10)

Il est donc tout naturel d'ajouter que de tels hommes veulent agir a la maniÚre de celui qui les inspire, accomplir ses désirs ou ses convoitises.

Quels sont ces désirs ? Jésus va le dire, en retraçant en traits saisissants le caractÚre de Satan, caractÚre dans lequel les adversaires du Sauveur seront forcés de se reconnaßtre.

Il y a dans ces mots une allusion Ă©vidente Ă  l'histoire de la chute, bien connue des auditeurs de JĂ©sus.

Satan a été meurtrier ou homicide en entraßnant le premier homme dans le péché, cause de la mort temporelle et éternelle. (Romains 5.12 ; comparez 2Corinthiens 11.3 ; 1Jean 3.8)

Le mot dÚs le commencement, c'est-à-dire dÚs l'origine de notre humanité, confirme cette interprétation. D'autres, se fondant sur 1Jean 3.12,15, voient dans ces paroles une allusion au meurtre d'Abel ; mais nulle part la Bible n'attribue à Satan un rÎle spécial dans ce crime.

Il est Ă©vidant, d'ailleurs, que JĂ©sus a en vue un fait universel dans ses consĂ©quences et qui a constituĂ© enfants du diable ceux qui, comme lui, portent dans leur cƓur des desseins meurtriers. C'est ce qui ressort clairement de ce discours (versets 37,40,44) et surtout de ces mots : "vous voulez accomplir les dĂ©sirs de votre pĂšre."

Jésus emploie ici les mots de vérité et de mensonge dans leur sens absolu.

La vĂ©ritĂ©, c'est la parfaite harmonie d'un ĂȘtre avec lui-mĂȘme et avec la pensĂ©e qui a prĂ©sidĂ© Ă  sa crĂ©ation ; en d'autres termes, l'harmonie entre sa nature et sa destination, qui est Dieu. DĂšs qu'un ĂȘtre tombe de cette vĂ©ritĂ©, se sĂ©pare de Dieu qui est la vĂ©ritĂ© suprĂȘme, il devient une vivante contradiction, un mensonge, et il vit dans le mensonge. C'est lĂ  ce que JĂ©sus nous rĂ©vĂšle sur la nature de Satan.

On ne doit pas traduire, avec la Vulgate et la plupart des anciennes versions : il ne s'est point tenu dans la vérité, ni voir dans ces mots, avec Augustin et la plupart des interprÚtes catholiques, une affirmation de la chute du démon. (2Pierre 2.4)

Le sens est : il ne se tient point dans la vérité, et ces mots caractérisent la position actuelle de Satan.

Il n'est pas moins vrai que la chute de Satan est supposée par notre passage. Satan n'a pas été créé dans le mal, et la conception dualiste d'un principe éternel du mal est étrangÚre à notre évangile. Satan ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a point de vérité en lui.

M. Godet fait remarquer l'absence d'article devant le mot vérité et paraphrase ainsi : "Satan est privé de la vérité, parce qu'il manque de vérité, de cette droiture de la volonté qui aspire à la réalité divine"

Le mensonge est sa nature, et quand il profĂšre le mensonge, il parle de son propre fonds.

Et enfin, non seulement il est menteur, mais le pÚre du mensonge, parce qu'il l'a introduit dans ce monde, en prononçant ce premier mensonge : "Vous ne mourrez nullement," (GenÚse 3.4) et parce qu'il a inspiré dÚs lors tous les mensonges qui ont eu cours parmi les hommes.

- Le grec porte ici littéralement : il est menteur et son pÚre, plusieurs interprÚtes rapportent le pronom son à menteur et entendent qu'il est le pÚre du menteur qu'il l'inspire.

Mais, avec de Wette et d'autres, nous prĂ©fĂ©rons la version admise dans le texte, qui fait du mensonge un principe Ă©manant du diable. Un homme pourrait ĂȘtre le "pĂšre du menteur" en lui inspirant la faussetĂ©, mais ĂȘtre le "pĂšre du mensonge" ne peut se dire que du dĂ©mon.

- Quand JĂ©sus parle ainsi de Satan, on ne saurait lui imputer une accommodation aux idĂ©es reçues, car "c'est spontanĂ©ment que JĂ©sus donne cet enseignement sur la personne, le caractĂšre et le rĂŽle de cet ĂȘtre mystĂ©rieux." Godet.

A quoi on peut ajouter, avec Tholuck, que si les dĂ©clarations de ce verset s'appliquent fort bien Ă  un ĂȘtre personnel dĂ©chu, elles rĂ©sistent au contraire Ă  toute explication qui tendrait Ă  ne faire du diable qu'une personnification, propre au langage populaire, de l'esprit du monde ou du mal.

Autres ressources sur theotex.org, contact theotex@gmail.com
Aucun commentaire associé à ce passage.
Matthew Henry © traduction Dominique Osché
Vous 5210 avez pour 2075 5748 1537 pĂšre 3962 le diable 1228, et 2532 vous voulez 2309 5719 accomplir 4160 5721 les dĂ©sirs 1939 de votre 5216 pĂšre 3962. Il 1565 a Ă©tĂ© 2258 5713 meurtrier 443 dĂšs 575 le commencement 746, et 2532 il ne se tient 2476 5707 5758 pas 3756 dans 1722 la vĂ©ritĂ© 225, parce qu 3754’il n’y a 2076 5748 pas 3756 de vĂ©ritĂ© 225 en 1722 lui 846. Lorsqu’il 3752 profĂšre 2980 5725 le mensonge 5579, il parle 2980 5719 de 1537 son propre fonds 2398 ; car 3754 il est 2076 5748 menteur 5583 et 2532 le pĂšre 3962 du mensonge 846.

225 - aletheiaobjectivement ce qui est vrai quelle que soit la considération ce qui est vrai dans 


443 - anthropoktonosun meurtrier le dictionnaire Grec « Bailly » donne cette dĂ©finition: qui consiste en ĂȘtres 


575 - apode séparation aprÚs un verbe, par rapport à un lieu c.à.d départ, envol, ... séparation 


746 - archecommencement, origine la personne ou chose qui commence, la premiÚre personne ou chose d'une série, 


846 - autoslui-mĂȘme, elle-mĂȘme, eux-mĂȘmes il, elle le mĂȘme

1228 - diabolosdiable = « calomniateur » prompt Ă  la calomnie, accusant faussement, accusateur, mĂ©disant mĂ©taph: appliquĂ© 


1537 - ekhors de, depuis, de, par, loin de

1565 - ekeinosil, lui, elle, etc.

1722 - enDans son sens premier: dans, Ă  l'intĂ©rieur de. Le datif qui accompagne ΔΜ remplace un 


1939 - epithumiadésir, convoitise, désir pour ce qui est défendu, luxure

2075 - esteseconde personne du pluriel de « ĂȘtre »

2076 - estitroisiĂšme personne du singulier du verbe « ĂȘtre »

2258 - enj'Ă©tais, etc.

2309 - thelovouloir, avoir Ă  l'esprit, avoir l'intention de ĂȘtre rĂ©solu ou dĂ©terminĂ© Ă , dans le but 


2398 - idiosappartenant Ă  soi-mĂȘme, sa propriĂ©tĂ©, en propre

2476 - histemiplacer, poser, faire tenir en place ordonner de se tenir en présence d'autres, devant des 


2532 - kaiet, aussi, mĂȘme, en effet, mais

2980 - laleofaire entendre une voix, émettre un son parler utiliser la langue ou la faculté de 


3752 - hotanquand, toutes les fois que, aussi longtemps que, dĂšs que

3754 - hotique, parce que, puisque

3756 - ounon, pas; dans des questions directes espérant une réponse affirmative

3962 - patergĂ©niteur ou ancĂȘtre mĂąle soit le plus proche parent: pĂšre de la nature corporelle, les 


4160 - poieofaire avec les noms des choses faites, produire, construire, former, façonner, etc. ĂȘtre les auteurs, 


5210 - humeisvous

5216 - humonde vous, votre

5579 - pseudosun mensonge, tromperie fausseté consciente et intentionnelle dans un sens large, tout ce qui ne 


5583 - pseustesun menteur quelqu'un qui casse la foi un homme faux et infidĂšle (sans foi)

5707Temps - Imparfait 5775 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 855

5713Temps - Imparfait 5775 Voix - Pas de Voix indiquée 5799 Mode - Indicatif 5791 


5719Temps - Présent 5774 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 3019

5721Temps - Présent 5774 Voix - Active 5784 Mode - Infinitif 5795 Nombre - 647

5725Temps - Présent 5774 Voix - Active 5784 Mode - Subjonctif 5792 Nombre - 352

5748Temps - Présent 5774 Voix - Pas de Voix indiquée 5799 Mode - Indicatif 5791 


5758Temps - Parfait 5778 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 516

© Éditions CLÉ, avec autorisation

AMENMot hébr., que l'usage liturgique a fait passer en grec, et qui a subsisté dans tous les cultes chrétiens. La 


BAR-JONAVoir Jean , 8 .

CALOMNIELa calomnie contre un accusé devant la cour de justice est le faux témoignage, interdit par le Décalogue (De 5:20 


CHUTELes débuts de l'humanité nous sont racontés par le plus ancien chroniqueur de la Bible hébraïque, l'écrivain jéhoviste J. Son 


CULTELe mot grec latrĂ©ia, rendu par « culte » dans nos versions, a d'abord signifiĂ© : « service mercenaire de 


GUERREI Considérations générales. La Bible nous apprend que la guerre est fille de la Chute (voir ce mot). SitÎt que 


HYPOCRISIE« Les hypocrites ne se contentent pas d'ĂȘtre mĂ©chants comme le reste des impies ; ils veulent encore passer pour 


JEAN (évangile de) 1.Ouvrage fréquemment désigné aussi sous l'appellation, un peu moins précise, de quatriÚme évangile : dans le N.T. tel que nous 


JOHANNISMEUn certain nombre de points sont à fixer tout d'abord. 1° DEFINITION ET DELIMITATION DU SUJET. Que faut-il entendre par 


JONA ou JONASVoir Jean , 8 .