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31
» Il a été dit : Que celui qui renvoie sa femme lui donne une lettre de divorce.
32
Mais moi, je vous dis : Celui qui renvoie sa femme, sauf pour cause d'infidélité, l'expose à devenir adultère, et celui qui épouse une femme divorcée commet un adultère.
9
Mais je vous le dis, celui qui renvoie sa femme, sauf pour cause d’infidélité, et qui en épouse une autre commet un adultère, [et celui qui épouse une femme divorcée commet un adultère]. »
11
Il leur dit : « Celui qui renvoie sa femme et qui en épouse une autre commet un adultère envers elle,
12
et si une femme divorce de son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère. »
18
Tout homme qui renvoie sa femme et en épouse une autre commet un adultère, et tout homme qui épouse une femme divorcée de son mari commet un adultère.
4
Ce n’est pas la femme qui est maîtresse de son corps, mais son mari. De même, ce n’est pas le mari qui est maître de son corps, mais sa femme.
10
A ceux qui sont mariés j’adresse, non pas moi, mais le Seigneur, cette instruction : que la femme ne se sépare pas de son mari
11
– si elle est séparée de lui, qu'elle reste sans se remarier ou qu'elle se réconcilie avec son mari – et que le mari ne divorce pas de sa femme.
12
Aux autres, ce n'est pas le Seigneur, c'est moi qui dis : si un frère a une femme non croyante et qu'elle soit d'accord d'habiter avec lui, qu'il ne divorce pas d’elle ;
Quant à la place que Luc lui assigne, la plupart des interprètes renoncent à trouver une connexion quelconque entre cette parole et ce qui précède.
Parmi ceux qui veulent en trouver une, les uns pensent que Jésus rappelle la prescription légale concernant le divorce et l'adultère, comme un exemple de la validité permanente de la loi, et pour montrer que dans la nouvelle économie la loi sera même plus sévèrement appliquée que dans l'ancienne.
Les autres (Olshausen, Hofmann, Weiss) voient dans cette parole une allégorie semblable à celle de Romains 7.1-3 : celui qui répudie sa femme, c'est celui qui, s'autorisant du nouvel ordre de choses, rejette complètement la loi ; celui qui épouse une femme répudiée, c'est celui qui méconnaissant la nouvelle, s'attache obstinément à l'ancienne économie. Ce dernier méconnaît la sentence du verset 16, et le premier celle du verset 17.
La première explication est plus admissible ; mais il est évident que la vraie place de cette déclaration est dans le discours sur la montagne.