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Les Amalécites vinrent combattre Israël à Rephidim.
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L'Eternel dit à Moïse : « Ecris cela dans le livre pour qu’on s’en souvienne et déclare à Josué que j'effacerai le souvenir d'Amalek de dessous le ciel. »
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Il dit : « Parce que les Amalécites se sont attaqués au trône de l'Eternel, il y aura guerre de l'Eternel contre eux de génération en génération. »
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Balaam vit Amalek et il prononça son oracle : « Amalek est la première des nations, mais un jour il sera détruit. »
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Quand Israël avait semé, les Madianites montaient avec Amalek et les nomades de l’est et marchaient contre lui.
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Il montra sa force, battit Amalek et délivra Israël de l’oppression de ceux qui le pillaient.
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Va maintenant frapper les Amalécites. Vouez à la destruction tout ce qui leur appartient. Tu ne les épargneras pas et tu feras mourir hommes et femmes, enfants et bébés, bœufs et brebis, chameaux et ânes.’ »
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Saül convoqua le peuple et le passa en revue à Thelaïm : il y avait 200'000 fantassins ainsi que 10'000 hommes de Juda.
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Saül marcha jusqu'à la ville d'Amalek et plaça une embuscade dans la vallée.
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Il dit aux Kéniens : « Partez, retirez-vous, quittez les Amalécites afin que je ne vous fasse pas subir le même sort qu’à eux. En effet, vous avez fait preuve de bonté envers tous les Israélites lorsqu'ils sont montés d'Egypte. » Les Kéniens se retirèrent alors du milieu des Amalécites.
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Saül porta des coups à Amalek depuis Havila jusqu'à Shur, qui fait face à l'Egypte.
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Il captura Agag, roi d'Amalek, vivant et il voua à la destruction tout le peuple en le passant au fil de l'épée.
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David et ses hommes montaient et faisaient des raids chez les Gueshuriens, les Guirziens et les Amalécites. Ces nations habitaient la région depuis l’Antiquité, du côté de Shur et jusqu'en Egypte.
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David dévasta cette région. Il ne laissait en vie ni homme ni femme et il enlevait les brebis, les bœufs, les ânes, les chameaux et les vêtements avant de retourner chez Akish.
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Deux jours plus tard, lorsque David arriva à Tsiklag avec ses hommes, les Amalécites avaient lancé une attaque dans le Néguev et à Tsiklag. Ils avaient détruit et brûlé Tsiklag,
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David leur porta des coups depuis l'aube de ce jour-là jusqu'au lendemain soir, et aucun d'eux ne put s’échapper, excepté 400 jeunes hommes qui montèrent sur des chameaux et s'enfuirent.
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Ils battirent le reste des survivants amalécites et s'installèrent là jusqu'à aujourd’hui.
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Après ces événements, le roi Assuérus accorda plus d’importance et de pouvoir à Haman, fils d'Hammedatha, l'Agaguite. Il lui donna une position supérieure à celle de tous les princes de son entourage.
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Harbona, l'un des eunuques, dit alors devant le roi : « Il y a une potence préparée par Haman à l’intention de Mardochée, celui qui avait parlé pour le bien du roi. Elle est dressée dans la maison d'Haman et fait 25 mètres de haut. » Le roi ordonna : « Pendez-y donc Haman ! »
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Ainsi, on pendit Haman à la potence qu'il avait préparée pour Mardochée, et la colère du roi s'apaisa.
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Le roi ordonna d’agir de cette manière. Cet édit fut donc proclamé à Suse et l’on pendit le corps des dix fils d'Haman ;
20 à 22 De ces plus proches voisins d'Israël, à l'est et au sud de la mer Morte, le regard de Balaam se porte vers les peuplades avec lesquelles Israël venait d'être en relation soit hostile, soit amicale, pendant son voyage dans le désert, les Amalékites et les Kéniens, dont les tribus occupaient la presqu'île du Sinaï et s'étendaient dans le désert jusque dans le Négueb, au sud-ouest de la mer Morte.
Les Amalékites n'avaient été mentionnés dans le troisième discours (Agag, verset 7) que comme point de comparaison servant à donner la mesure de la puissance d'Israël. Balaam s'adresse maintenant à eux directement.
Il les voit en esprit. Il en habitait une tribu près de Kadès (13.30 ; 14.25).
La première des nations : non la plus ancienne, car elle était d'origine relativement récente (Genèse 36.12). On ne peut non plus expliquer ces mots dans ce sens : le premier des peuples païens qui ait fait la guerre à Israël. Le mot hébreu signifie souvent : ce qui prime par l'excellence, par la beauté ou par la puissance ; l'élite, la fleur. Cette qualité pouvait bien être attribuée à Amalek dans le moment et dans le milieu où parlait Balaam. Plus tard cette expression ne se comprendrait plus.
Son avenir... : Sa puissance actuelle n'empêche pas qu'il ne soit voué à la destruction. Saül et David exécutèrent cette menace (1 Samuel, chapitres 15 et 30). Les restes de ce peuple furent achevés par les Siméonites (1Chroniques 4.42 et suivants).