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TEMPS

Certains auteurs bibliques semblent avoir considéré le temps historique, celui qui a eu un « commencement » (Ge 1:1, Jn 1:1), comme un moment dans l'immensité de la durée (éternité), destiné à avoir une fin (Ap 10:6). Pour Dieu, « mille ans sont comme un jour » (2Pi 3:8, Ps 90:4). Nous n'avons pourtant pas à nous occuper des systèmes modernes concevant Dieu comme hors du temps ; cette préoccupation métaphysique est à peu près étrangère aux auteurs sacrés. Il s'agit ici, plus simplement, des divisions du temps adoptées par les hommes, où s'encadrent événements et circonstances de la Bible.

I Ancien Testament.

1.

LE JOUR.

La succession des jours et des nuits a toujours imposé la première division du temps, par l'obligatoire interruption du sommeil dans le cours de la pensée et de l'activité. Ce cadre enferme le récit sacerdotal de la création : (Ge 1) la séparation du jour et de la nuit marque le premier jour, avant toute autre manifestation, et les astres n'apparaissent que le 4 e jour, ce qui prouve l'agencement artificiel du système (voir Création, t. I, p. 250). Remarquer que chaque jour y est formé d'un soir et un matin, parce que pour les Hébreux la journée commence le soir, au coucher du soleil. Il va de soi que la notion d'aujourd'hui entraîne celle d'hier et de demain (Ex 5:14 8:23, Lu 13:32 et suivant, cf. Heb 13:8).

Les subdivisions quotidiennes : soir, matin, midi (Ps 55:18, etc.), avaient leur grande valeur pour des chasseurs ou des pêcheurs, des nomades, des agriculteurs, comme pour des gens sédentaires dont les occupations suivent plus ou moins le cours de la journée. Mais c'étaient trois étapes approximatives, presque continuellement apparentes par la position du soleil au-dessus de l'horizon, plutôt qu'à proprement parler des heures, qui ne parvinrent aux Juifs que par la civilisation romaine. On désignait plutôt des moments : par exemple la brise du soir (Ge 3:8, cf. Job 24:15), sur le soir =de nuit (Ex 12:18), l'aurore (Ge 19:15 32:24), la chaleur du jour (Ge 18:1,1Sa 11:9), ou bien des habitudes ménagères ou rituelles assez régulières (Ge 24:11,1Ro 18:29, Esd 9:4, Da 9:21). La curieuse expression : « entre les deux soirs » (Ex 12:6 29:39), a été interprétée de deux manières : entre le déclin du soleil à partir de 15 heures et sa disparition (Juifs, Talmud), ou bien entre sa disparition et le crépuscule (Samaritains). La nuit était divisée en trois veilles d'environ quatre heures chacune : la veille du milieu ou seconde veille (Jug 7:19) allait de 22 h. à 2 h. ; la veille du matin (Ex 14:24,1Sa 11:11), de 2 h. à 6 h. Pour la mystérieuse mesure du temps, dans le « signe » donné par Ésaïe à Achaz (2Ro 20:9,11), voir Cadran d'Achaz.

Les divers moments avaient leurs caractères propres. Pour les Israélites pieux, le matin était l'heure entre toutes favorable à la prière (Ps 5:4 59:17 88:14 92:2 et suivant) ; mais la prière quotidienne avait trois moments consacrés : matin, midi, soir (Ps 55:18). L'heure de midi (1Ro 18:27,29,2Ro 20:16) était celle de la grande lumière et de la forte chaleur (Am 8:9, De 28:29, Job 5:14, Esa 59:10 etc.), moment du repas (Ge 43:16), et du repos des gens (2Sa 4:5) et des troupeaux (Ca 1:7), emblème de sécurité (Jer 15:8, Sop 2:4), de clarté (Ps 37:6, Job 11:17), de bénédictions (Esa 58:10). Son ardeur brûlante était aussi connue pour dangereuse (Sir 34:19 43:3, cf. Ps 121:6). Dans Ps 91:5,6 quatre locutions poétiques évoquent des dangers permanents, « de nuit, de jour, dans les ténèbres, en plein midi », qui peuvent tous désigner la peste, citée dès le verset 3 ; dans la quatrième, « la mortalité qui sévit en plein midi », les LXX, la Vulg, et la Pechitto ont rattaché le verbe hébreu yâchoud (=sévir) à chéd, nom des démons (voir ce mot), d'où leurs traductions : « l'accident, le démon de midi » ou « le souffle du démon de midi », expression que la littérature moderne a appliquée à des tentations de l'âge mûr, ce qui introduit un tout autre ordre d'idées.

2.

LA SEMAINE.

Ses désignations en hébreu signifient : sept ou sabbat. On sait l'importance mystique du chiffre sept (voir Nombre, III) ; c'est à ce caractère sacré que l'on doit la semaine, quart approximatif du mois lunaire, laquelle a été transportée dans le récit de la Création (Ge 1). La première mention explicite de la semaine est faite à propos de Jacob (Ge 29:27 et suivant), et appliquée à une semaine d'années. Pour le système sabbatique construit sur le chiffre sept, voir Sabbat. Le 10 e jour est aussi mis à part quelquefois comme exceptionnel (Ex 12:3, Le 16:29, Jos 4:19,2Ro 25:1). Les jours de la semaine étaient simplement désignés par leur chiffre, le 7 e seul ayant un nom : le sabbat.

3.

LES SAISONS.

Une des promesses de Dieu après le déluge garantit que les saisons ne seront plus bouleversées (Ge 8:22). Il n'est fait mention expresse dans la Bible que de l'été et de l'hiver (Ps 74:17, Jer 8:20 36:22, Za 14:8 etc.), les deux saisons dominantes en Orient, celle de la sécheresse et celle de la pluie (voir Palestine, V). Mais la poétique description de Ca 2:11 et suivant salue l'arrivée du printemps, dont le nom n'apparaît que dans l'expression : la pluie du printemps, ou pluies d'arrière-saison qui terminaient l'hiver (Job 29:23, Pr 16:15, Jer 3:3 etc.). Voir, Sag 7:17 s, la place des saisons dans la succession du temps. Les indications chronologiques fondées sur les travaux des champs sont malgré tout inévitablement imprécises, variables d'une région à une autre (Ge 8:22, Ex 34:21, Le 26:5, Ru 1:22,2Sa 21:9). L'archéologue Macalister a trouvé à Guézer une sorte de calendrier agricole, un peu antérieur à l'exil, indiquant la correspondance de huit travaux de culture en cette région avec les périodes successives de l'année (Rev. Bbl., 1909). Toutefois, les saisons n'ont jamais été prises comme unités officielles pour la mesure du temps. i. Le mois. La division la plus naturelle, après celle des jours et des nuits, est en effet le mois, fixé par les phases de la lune (voir ce mot). La réapparition de la nouvelle lune était le signal de réjouissances (1Sa 20:5, No 10:10 etc.), et l'on fêtait aussi la pleine lune (Ps 81:4). C'est que pour les primitifs, les bergers, les cultivateurs, les nuits sans lune sont les plus redoutables. Les deux termes hébraïques qui désignent le mois signifient, l'un la lune, l'autre la nouveauté. Mais certains noms de mois furent déterminés par les saisons. Tels, les vieux noms des mois anciens qui se trouvent dans l'A.T. :

Abib (=jeunes épis) est un mois du printemps (Ex 13:4) ;

le nom du mois suivant, Ziv (1Ro 6:1-37), est interprété par les Targums : éclat des fleurs ;

Êthanim (=ruisseaux d'eau courante) est un mois d'automne (1Ro 8:2) ;

le nom du mois suivant, mois des pluies, est Bul (1Ro 6:37). Les deux derniers apparaissent dans des inscriptions phéniciennes et cypriotes, qui confirment leur origine cananéenne et leur antiquité.

L'exil fit connaître aux Israélites les mois babyloniens, qu'ils conservèrent après leur retour en Palestine. Sept sur douze sont mentionnés dans l'A.T. :

Nisan, l'ancien Abib, correspond à mars-avril (Ne 2:1, Est 3:7) ;

Iyyar, l'ancien Ziv, avril-mai, est cité par Josèphe (Ant.) ;

Sivan, mai-juin (Est 8:9) ;

Thammouz, juin-juillet, doit son nom (ou l'a donné) au dieu babylonien d'origine sumérienne dont la fête se célébrait à cette époque de l'année, fin de toute végétation ou flore printanière (voir Thammuz) ;

Ab, juillet-août, nommé par Josèphe ;

Ëlul, août-septembre (Ne 6:15, 1Ma 14:27) ;

Tisri, l'ancien E thanim, septembre-octobre, cité par Josèphe ;

Marchesvan, l'ancien Bul, octobre-novembre ;

Kisleu, novembre-décembre (Za 7:1, Ne 1:1 ; Chasleu : 1Ma 1:34 4:59,2Ma 1:9,18 10:5) ;

10° Tébeth, décembre-janvier (Est 2:16) ;

11° Sébat, janvier-février (Za 1:7 ; Sabat : 1Ma 16:14) ;

12° Adar, février-mars (Est 3:7, Esd 6:15, 1Ma 7:43), le dernier mois, était suivi de temps en temps d'un second Adar, treizième mois occasionnel destiné à rétablir l'accord entre l'année lunaire et l'année solaire.

5.

L'ANNEE.

En effet, les mois lunaires n'ayant que 29 à 30 jours, l'année lunaire a environ 11 jours de moins que l'année solaire (la durée totale du déluge, jusqu'au rétablissement de la terre sèche, d'après Ge 7:11 et Ge 8:11, est sans doute évaluée à 12 mois lunaires plus 10 jours, soit une année solaire ; mais les données des textes hébreux et grecs marquent ici des divergences et des complications qui montrent une chronologie encore mouvante lors de la composition du récit). Il fallait donc tous les deux ou trois ans combler l'écart par un mois supplémentaire. Le sanhédrin procédait à cet égard d'une manière assez primitive : voir Chronologie du N.T., t. I, pp. 200, 201. On n'a pas encore pu interpréter convenablement la chronologie donnée dans Ge 5.

Avant l'exil, l'année israélite, qui avait été jusque-là celle d'un peuple agricole, commençait fort probablement à l'automne, à la fin des récoltes et du battage. Ainsi, la fête des Récoltes se célébrait à la fin de l'année (Ex 23:16 34:22) ; ce devait être la grande fête du renouvellement, ou du Nouvel An (voir Fêtes, I, 4). Cette célébration religieuse devait rester fixée à cette saison, même après l'adoption du calendrier babylonien pour l'année civile juive, qui commença dès lors à l'équinoxe de printemps. Il y eut donc deux calendriers : l'un religieux, dont aujourd'hui encore les Juifs pratiquants célèbrent le premier de l'an, et qui commença d'abord au 10 e jour du 7 e mois civil (Le 25:9, cf. Eze 40:1), plus tard au 1 er jour de ce mois (Le 23:24, No 29:1), dates qui correspondent au 21 septembre ou au 1er octobre ; l'autre calendrier, civil, partait du 1er jour du 1er mois (Nisan), correspondant à notre 21 mars.

Le rythme de l'année israélite suivait la vie agricole, et c'est autour de ses grandes dates que se fixèrent les manifestations religieuses et sociales d'Israël : les fêtes de la Pâque (14e jour du 1er mois), des Semaines ou Pentecôte (3e mois), des Trompettes ou des Tabernacles (7e mois), du Jeûne (7e mois), de la Dédicace (9e mois) et de Purim (12e mois). Voir Fêtes.

Les Apocryphes font allusion à deux autres calendriers.

Le macédonien. Le nom du mois dit Dioscorinthien dans 2Ma 11:21 ne se trouve pas ailleurs ; ce peut être une confusion, soit avec le 12 e mois macédonien, Dystros, qui correspond à mars, et qui est mentionné dans le ms. du Sinaï de Tob 2:12, soit avec le mois de Dios (corresp. à novembre), ou bien une création par ailleurs inconnue due à Antiochus, Épiphane. Le Xanthicus, nommé plus loin (2Ma 11:30,33,37), est le 1er mois (corresp. à avril).

Le calendrier égyptien est représenté dans 3Ma 6:38 par les mois de Pachon et d'Êpiphi, le 9 e et le 11 e ; les 40 jours indiqués là (cf. 4:15), du 25 Pachon au 4 Êpiphi, correspondent à la période : 20 mai-28 juin, et les 3 jours du 5 au 7 Êpiphi =29 juin-1 er juillet.

6.

LES AUTRES PERIODES.

Dans certains passages de Daniel, le mot temps (araméen îddân), déterminé numériquement, est la désignation apocalyptique d'une année (Da 4:16,23,25,32) ; la période indiquée dans Da 7:23 représente 1 + 2+1/2 =3 an et suivant 1/2 ce qui fut la durée des persécutions d'Antiochus (168 à 165 av. J. -C.) ; cette expression reparaît dans Ap 12:11.

Les périodes plus longues sont celles de 7 ans (De 16:1,12), années sabbatiques, et celles de 7 fois 7 ans, suivies du jubilé de la 50 e année (voir Sabbat, II et III) ; mais elles ne paraissent que pour les prescriptions cérémonielles (Le 25), et dans la pratique ne servaient pas à la mesure du temps. Des périodes à chiffres ronds (7, 10, 40) sont couramment indiquées, notamment celle de 40 ans qui correspond approximativement à une génération humaine (voir Nombre, III), mais sans se prêter à des calculs positifs (cf. pourtant Lettre de Jérémie 3).

Certains grands événements ont plus ou moins servi de points de départ pour le compte des années : l'exode, ou sortie d'Egypte (1Ro 6:1), l'exil en Babylonie (Eze 33:21 40:1), un mémorable tremblement de terre (Am 1:1, cf. Za 14:5) ; mais aucune de ces dates n'a ouvert une ère officielle (voir Rois [livre des], parag. 4). L'année 312 av. J. -C, où Séleucus Ier prit Babylone, fut le début de l'ère séleucide (1Ma 1:10), qui fut de longue durée, tandis que l'ère juive qui lui fut opposée sous les Macchabées, partant de l'accession du grand-prêtre Simon (1Ma 13:41 14:27), ne se maintint que fort peu de temps. Pour les computs chronologiques de l'antiquité, voir Chronol. de l'A.T.

II Nouveau Testament.

A l'époque de Jésus, le système des heures est décidément adopté ; mais on distingue entre les heures du jour (Jn 11:9), du matin au soir, et les veilles de la nuit, du soir au matin.

Les heures se comptent suivant la journée moyenne du temps des équinoxes, donc de 6 h. du matin à 6 h. du soir ; dans la pratique on cite surtout les heures multiples de 3, comme les plus faciles à évaluer d'après la hauteur du soleil (ce qui en trahit l'approximation) : la 3° heure =vers 9 h. du matin (Mr 15:25, Ac 2:15), la 6 e =vers midi (Mr 15:33, Ac 10:9), la 9 e =vers 3 h. de l'après-midi (Mr 15:33 et suivant et parallèle, Ac 3:1 10:30). On pense généralement que le 4 e évang, compte de la même manière, ce qui supposerait de sa part l'intention de rectifier une donnée de Marc : Jésus condamné vers midi (Jn 19:14), et non pas crucifié vers 9 h. (Mr 15:25) ; mais il n'est pas impossible que Jean ait adopté un compte analogue au nôtre, déjà connu chez les Romains, qui nous donnerait dans ce cas 6 h. du matin (Jn 19:14), et dans les autres 10 h. du matin (Jn 1:39), 6 h. du soir (4e), 7 h. du matin ou du soir (Jn 4:52). Pour la valeur figurée de « l'heure », voir ce mot.

Pour la division de la nuit en veilles, (cf. Ps 63:7 90:4 119:148, La 2:19) les trois veilles de quatre heures (A.T.) ont été remplacées par quatre veilles romaines, de trois heures chacune, clairement désignées dans Mr 13:35 : le soir (18 h. à 21 h.), minuit (21 h. à 24 h.), chant du coq (24 h. à 3 h.), matin (3 h. à 6 h.). Les rabbins attachaient une certaine importance à la veille du « chant du coq » : (cf. 3Ma 5:23) leur liturgie contient encore une prière pour ce moment-là ; on connaît la dramatique allusion de Jésus à Pierre au sujet de son reniement (Lu 22:34-60). Les 2 e et 3 e veilles sont aussi mentionnées par Jésus dans ses exhortations à la vigilance (Lu 12:38). La 4e veille, à la fin de la nuit, fut le moment de son arrivée sur la mer auprès de ses apôtres (Mr 6:48, Mt 14:25).

La désignation des jours chez les Juifs dépendait du jour sacré, celui du repos, le sabbat (voir ce mot), équivalent de notre samedi. La veille était le jour de sa préparation (voir ce mot), paraskeuê (Mt 27:62, Lu 23:54, Jn 19:31,42) ou prosabbaton (Mr 15:42). Il commençait le vendredi au coucher du soleil : fait capital pour la chronologie de la Passion. Le premier jour de la semaine est celui de la résurrection de Jésus (Mr 16:2 et parallèle), il devient bientôt pour les chrétiens « le jour du Seigneur » (voir art.), comme l'écrit le Voyant (Ap 1:10). Dans le judaïsme, le sabbat, les fêtes, les jeûnes avaient créé en quelque sorte une hiérarchie des valeurs entre jours, mois, années, à observer ; l'apôtre Paul voit dans ces préoccupations de « pauvres rudiments », périmés avec l'Évangile (Ga 4:9), et, tout en respectant les convictions des frères conservateurs en ce domaine (Ro 14:5 et suivant), il proclame la liberté chrétienne devant les ordonnances anciennes, « ombre des choses à venir » (Col 2:16 et suivant).

Mêmes mentions de saisons dans le N.T. que dans l'A.T. : été (Mr 13:28 et parallèle), hiver (Mr 13:18, Jn 10:22,1Co 16:6, Ac 28:11, Tit 3:12,2Ti 4:21) ; elles servent souvent à marquer une vague chronologie sans dates, mais complétée occasionnellement par les fêtes juives, points de repère au cours des années. Pour les préoccupations de chronologie du 4 e évang, autour de ces fêtes, voir Jean (évangile). Pour les précisions de temps dans le 3 e évang, et les Actes, voir Luc (évangile) ; le point de repère chronologique remarquable entre tous est celui par lequel cet évangile situe dans l'histoire générale l'apparition de Jean-Baptiste peu avant Jésus-Christ, par une énumération détaillée des personnages officiels alors en fonctions (Lu 3:1,2). Mais l'on sait que les plus anciens documents relatifs à l'ère chrétienne sont les calculs, d'ailleurs faux d'environ 4 ans, du moine Denys le Petit au VI e siècle seulement. La notion, en somme fort lâche, de génération (voir ce mot), rencontrée dans l'A.T., se trouve au seuil du N.T., comme charpente toute théorique de la généalogie de J. -C. (voir art.), dans l'évangile de Matthieu (Mt 1:17). Au delà de cette durée, dans toute la Bible il s'agit d'âges, longues périodes indéfinies, compensant l'absence de la notion trop arithmétique de siècle (voir ce mot).

Les deux expressions du N.T. : temps (khronoi) et moments (kairoi) , quelquefois réunies, déjà dans l'A. T, (cf. Sag 8:8 ; au singulier, Ec 3:1), sont ordinairement interprétées comme suit (cf. Trench, Syn. N.T., parag. 57). Le temps (khronos), la durée la plus étendue, se divise en moments particuliers, ou saisons (kaïroi) : des figues (Mr 11:13), de la moisson (Mt 13:30), de la mort du Christ (Ro 5:6), etc. Ainsi la version des LXX fait suivre très justement le khronos de Ec 3:1 de tous les kaïroï des sept versets suivants : litt., un moment pour naître et un moment pour mourir, etc. Dans un papyrus du II e siècle av. J. -C., une simple femme supplie son mari de revenir, eu égard à tout ce qu'elle a souffert, « pour ne rien dire de tant de temps qui a passé, --et quels moments ! » Le temps embrasse tous les moments possibles ; on peut donc dire le plus pour le moins : temps, pour : moments, et traiter en synonymes « les temps (kaïroï) de rafraîchissement » et « les temps (khronoï) de rétablissement » (Ac 3:20 et suivant), « les temps » de l'incarnation (khronos, Ga 4:4 ; kaïroï, Eph 1:10) ; mais on ne pourrait, à l'inverse, désigner du terme limitatif « moment » la réalité sans limite du « temps ». Donc, dans Ac 1:7 et 1Th 5:1, deux passages clairement relatifs au retour du Seigneur, « les temps » sont la durée indéfinie de l'Église de Dieu, et « les moments » en sont les points critiques, que Dieu a « prédéterminés avec leurs limites » (Ac 17:26), les jointures ou les articulations, où les lentes gestations des siècles viennent au jour dans les grands événements qui clôturent une période, en ouvrent une nouvelle, mais qui souvent ne paraissent tels aux hommes qu'avec le recul du temps lui-même : missions de saint Paul à travers l'empire romain, proclamation du christianisme comme religion d'État, grandes hérésies, Réformation, Méthodisme, réveils, etc. ; par-dessus tout, dans le passé l'oeuvre de Jésus de Nazareth, dans l'avenir le retour du Seigneur glorieux, moments du présent permanent où Jésus-Christ reste « le même, hier, aujourd'hui, éternellement » (Heb 13:8), « le Premier et le Dernier, le Vivant » (Ap 1:17 et suivant), Révélateur définitif de Celui qui, « d'éternité en éternité, est Dieu » (Ps 90:2).

Voir Chronologie de l'A.T., du N.T.

Jn L.

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Versets relatifs

    • Genèse 1

      1

      « Genèse » est un nom tiré du grec, il signifie « le livre de la création, ou de la réalisation » ; ce titre est correctement traduit car l'ouvrage contient le récit de l'origine de toutes choses. C'est le plus ancien livre historique. Aucun autre livre sur l'antiquité ne conteste son autorité ; la plupart des choses enregistrées par plusieurs auteurs païens des plus anciens, ainsi que les différentes coutumes des nations, confirment ce qui est compté dans le livre de la Genèse.

      Dieu crée les cieux et la terre. (Genèse 1:1,2)
      La création de la lumière. (Genèse 1:3-5)
      Dieu sépare la terre des eaux ; Il rend la terre fructueuse. (Genèse 1:6-13)
      Dieu crée le soleil, la lune et les étoiles. (Genèse 1:14-19)
      Les animaux sont créés. (Genèse 1:20-25)
      L'homme est créé à l'image de Dieu. (Genèse 1:26-28)
      La nourriture est fournie. (Genèse 1:29,30)
      L'œuvre de la création est complètement achevée. (Genèse 1:31)

      Le premier verset de la Bible nous donne une explication rationnelle et utile des origines de la terre et des cieux. Les chrétiens réellement humbles, grâce à leur foi, sont mieux à même de comprendre ces choses, plus que ne le peuvent, par leur imagination, les hommes les plus instruits.

      Ce que nous pouvons voir du ciel et de la terre, nous fait découvrir la puissance du grand Créateur. Au vu, ici-bas, de notre condition humaine, nous devons garder à l'esprit notre devoir de chrétiens : lever toujours les yeux vers le ciel, et garder la terre sous nos pieds. Le Fils de Dieu, ne faisant qu'un avec le Père, était avec Celui-ci, lors de la création du monde ; qui plus est, on nous dit, dans Sa Parole, que le monde a été fait par Lui, et que rien n'a été fait sans Lui. Ah, quelles nobles pensées devrions-nous avoir au sujet de ce grand Dieu que nous adorons, ce grand Médiateur vers qui nous adressons nos prières ! Et ici, dès le début du Saint Livre, nous lisons, au sujet de cet esprit divin, qu'Il travaille dans le cœur de l'homme ; ce type d'action est d'ailleurs souvent mentionné dans d'autres passages de la bible. Il faut remarquer qu'au début, il n'y avait rien d'enviable sur la surface terrestre car le monde d'alors était informe et vide ; tout n'était que désolation. De manière imagée, l'œuvre effectuée par la grâce, dans l'âme, est aussi une création nouvelle : dans une âme « en friche », là où il n'y a pas eu de nouvelle naissance, on ne peut trouver que désordre, confusion et tout ce qui concerne le mal ; cette âme est vide de tout ce qui concerne le bien, de tout contexte divin ; on n'y trouve que l'obscurité car il n'y a en elle que ténèbres : c'est ici notre état naturel, avant que la Grâce toute puissante ne produise en nous Son changement.

      3 Dieu dit : « Que la lumière soit » ; ce fut Sa volonté et aussitôt la lumière jaillit. Que de puissance, dans la Parole de Dieu !

      Lors de la nouvelle naissance, la première chose traitée dans l'âme est la lumière : le Saint Esprit œuvre sur la volonté et les affections, de façon à éclairer notre compréhension. Ceux, qui dans leur péché, vivaient dans les ténèbres, sont, par grâce, parvenus à la Lumière, à savoir, le Seigneur.

      L'obscurité aurait régné éternellement sur l'homme déchu si le Fils de Dieu n'avait pas été ému de compassion à son égard, 1Jean 5:20. La lumière que Dieu désirait, au tout début, a été agréée. Dieu a séparé la lumière des ténèbres ; qu'y a-t-il en effet de commun entre les deux ? Dans les lieux célestes se trouve une lumière parfaite, l'obscurité n'existe pas ; en enfer, c'est l'inverse : ce ne sont que ténèbres, il n'y a aucune clarté. Le jour et la nuit appartiennent au Seigneur ; vivons-les chacun en Son honneur, en travaillant pour Lui le jour et en nous reposant sur Lui chaque nuit, méditant Sa parole sans cesse.

      6 Le monde était vide, mais par le biais d'une Parole, il se remplit des richesses divines et ce, jusqu'à ce jour.

      Il est cependant permis à l'homme de jouir de ces richesses, elles proviennent de Dieu, et doivent être utilisées pour Son service et à Son honneur. Dès que Dieu a donné son ordre, la terre a produit l'herbe, les plantes, et les fruits. Dieu doit être glorifié pour tous les avantages que nous recevons des produits de la terre. Si nous recevons les bénédictions de la Fontaine de la grâce divine, nous pouvons nous réjouir en Lui, même si ces miséricordes semblent parfois temporairement tarir.

      14 Au quatrième jour, le soleil, la lune et les étoiles sont créés. Tout cela est l'œuvre de Dieu. Les étoiles apparaissent alors, sans que l'on nous en dise plus sur leur nombre, leur nature, leur place, leur taille et leur mouvement ; les écritures ont été en effet écrites, non pour satisfaire notre curiosité ou pour nous instruire dans le domaine astronomique, mais pour nous mener à Dieu et pour nous rendre saints. Les luminaires célestes ont été créés pour servir Sa gloire ; ils émettent leur lumière avec régularité, de manière conforme à chaque saison, et ce, sans défaillance.

      Nous sommes de véritables lumières dans ce monde, destinés à servir Dieu ; devons-nous le faire d'une manière qui manifeste avec orgueil la prétendue force du genre humain ? Pas du tout ! La lumière que nous pouvons rayonner ne peut être comparable à celle émise par Dieu, dans notre direction. Nous consommons la lumière du Maître, n'oublions pas Ses œuvres à notre égard !

      20 Dieu a ordonné aux poissons et aux oiseaux d'être féconds. Cet ordre, Il l'a rendu Lui-même exécutable. Les insectes, qui sont bien plus nombreux que les oiseaux et les gros animaux, semblent curieusement avoir été créés le même jour. La sagesse et la puissance du créateur peuvent être contemplées à la fois devant une fourmi et devant un éléphant. La puissance de la Providence divine préserve toute la création, Ses bénédictions sont abondantes.
      26 L'homme a été le dernier des êtres créés : c'est à la fois un honneur et une faveur qui lui ont été faits. L'homme a été toutefois créé le même jour que les animaux. Son corps a été tiré de la terre, tout comme pour eux. Tant que l'être humain est en vie, il habite dans le même environnement terrestre que l'animal. Dieu nous interdit de nous conduire de la même manière que les bêtes, sous prétexte que nous avons un corps sujet aux mêmes instincts et aux mêmes penchants !

      L'homme a été créé pour être une créature différente des autres. La chair et l'esprit, les cieux et la terre sont présents en même temps devant le Créateur. Dieu dit : « Faisons l'homme ». L'homme, quand il fut créé, était destiné à glorifier le Père, le Fils et le Saint Esprit.

      Nous sommes baptisés en Son Nom, nous ne pouvons demeurer sur terre que par Lui. (Il n'y a que l'âme de l'homme qui ne peut rechercher l'image de Dieu). Au début, l'homme a été créé juste, Ec 7:29. Son intelligence a su discerner clairement les préceptes divins ; il n'a commis aucune erreur ni faute dans la connaissance des Préceptes divins ; il a consenti immédiatement, en toutes choses, à suivre la volonté de Dieu. Ses pensées n'étaient pas détournées, et il ne s'est pas dirigé vers de mauvaises passions. Ses pensées ont été tout de suite polarisées vers les meilleurs sujets. Nos premiers parents étaient ainsi, dans un état de sainteté, heureux, ayant l'image de Dieu en eux. Mais maintenant, combien cet aspect de Dieu, aux yeux de sa créature, est défiguré ! Que le seigneur inonde nos âmes de Sa grâce !

      29 L'homme doit se nourrir des plantes et des fruits, en particulier les céréales et tous les produits que donne la terre. Que le peuple de Dieu rejette donc tout souci de nourriture sur Lui et ne soit pas anxieux sur le « manger » et le « boire ». Celui qui nourrit les oiseaux du ciel ne délaissera pas Ses enfants.
      31 Quand nous examinons nos œuvres, nous constatons, avec une certaine honte, qu'elles sont vraiment mauvaises ; Dieu quant à Lui, a vu au contraire, que les siennes étaient très bonnes. Elles ont été bonnes car elles furent crées telles que le Créateur l'a désiré. Toutes Ses œuvres, en tous lieu, Le louent et Le bénissent ; Oh Seigneur, bénis mon âme !

      Bénissons Dieu pour l'évangile de Christ ; quand nous considérons Sa puissance, fuyons, en tant que pécheurs, la Colère à venir. Si nous sommes nés de nouveau, en toute sainteté, à l'image de Dieu, nous irons vers de « nouveaux cieux et la nouvelle terre, où demeure la droiture ».

      Genèse 3

      Genèse 5

      1

      Adam et Seth. (Genèse 5:1-5)
      Les patriarches, de Seth à Énoch. (Genèse 5:6-20)
      Énoch. (Genèse 5:21-24)
      Methushélah à Noé. (Genèse 5:25-32)

      Adam a été fait à l'image de Dieu ; mais, lors de la chute, il devint conforme à lui-même : pécheur, souillé, fragile, naufragé et mortel. Son corps et son âme ne furent pas les seuls touchés, mais tout son être entier était réduit à l'état de péché. C'était à l'opposé de la ressemblance divine en laquelle Adam avait été fait, à l'origine ; ayant perdu cette qualité, l'homme ne pouvait plus la transmettre à sa descendance. Adam vécut, en tout, neuf cent trente ans, puis il mourut, conformément à la sentence qui lui était assignée : « tu retourneras à la poussière ». Bien qu'il ne mourut pas le jour où il mangea du fruit défendu, il a été par contre fait « mortel ». C'est seulement à ce stade qu'il commença à devenir ainsi ; sa vie entière n'a été qu'un sursis, un patrimoine qui s'use, une vie condamnée à plus ou moins long terme ; une vie perdue, qui finit par s'éteindre. Toute la vie durant, le potentiel de l'homme s'amenuise inlassablement.
      6 À part Énoch, tous ceux qui sont mentionnés dans ce texte finissent avec ce commentaire : « Puis il mourut ».

      Il est bon d'observer la mort des autres personnages de ce passage. Tous eurent une vie très longue ; aucun d'eux ne s'est éteint avant d'avoir atteint huit-cents ans et même certains davantage ; une grande période à traverser, pour une âme immortelle dans un corps d'argile.

      La vie à cette époque n'était probablement pas un fardeau comme elle l'est de nos jours, sinon les hommes d'alors eussent été lassés. Le futur n'était pas clairement révélé comme de nos jours, sous la période de l'évangile, sinon tous auraient voulu rapidement connaître cette période.

      Tous les patriarches qui vécurent avant le déluge, à l'exception de Noé, sont nés avant qu'Adam ne meure. Ils ont peut-être reçu de sa part un récit complet de la création, de la chute, de la promesse et des préceptes divins relatifs à l'adoration et à la vie religieuse. Dieu, ainsi, a préservé pour l'église, la connaissance de Sa volonté.

      21 Énoch était le septième enfant d'Adam. Cet homme pieux marchait avec Dieu : cela montre la réconciliation avec le Seigneur ; cette marche avec Dieu ne peut avoir lieu que si ce dernier l'agrée, Amos 3:3. Ce type de vie sous-entend la présence de piété, de droiture et de sobriété. Marcher avec Dieu signifie, en fait : Le placer devant nous, pour que nous puissions agir en permanence sous Son regard. Il faut rechercher à plaire à Dieu en toutes choses, et à ne l'offenser en aucune manière. Il faut Le suivre comme Ses enfants. Le Saint Esprit, n'a pas dit « Énoch vécut », mais au contraire, « Énoch marcha avec Dieu ». C'était pour lui un souci constant et sa tâche principale ; alors que les autres ne suivent que leurs idées, dans le monde, lui, vécut pour Dieu. Cela représentait sa joie de vivre.

      Énoch a été enlevé vers un monde meilleur. Il n'a pas vécu comme les autres, par conséquent, il n'a pas quitté le monde comme eux, par la mort. On ne l'a plus trouvé, car Dieu le prit, Heb 11:5. Il n'a vécu que trois cent soixante cinq ans, ce qui représente environ la moitié d'espérance de vie des hommes de l'époque.

      Dieu rappelle souvent à Lui ceux qu'Il apprécie particulièrement ; le temps qu'ils perdent sur terre est gagné dans les cieux et ce, avec un incomparable avantage. Remarquez comment l'enlèvement d'Énoch s'est effectué : « et il ne fut plus, car Dieu le prit ». Il ne vécut plus en ce monde ; il a été changé, comme le seront les saints qui vivront le moment de la seconde venue de Christ.

      Ceux qui commencent à marcher avec Dieu dès leur jeunesse, peuvent espérer cheminer avec Lui longtemps, paisiblement et efficacement. La vraie marche du chrétien, dans la sainteté, tout au long de l'année, jusqu'à ce que Dieu le reprenne, vaut mieux que celle d'un esprit religieux sans spiritualité et plein de vaines critiques. De plus, marcher pleinement avec Dieu est synonyme de protection, de réconfort et de devoir ici-bas.

      25 Methushélah signifie : « Il mourut, il y a une flèche, envoi en avant » ; ces définitions se placent dans le contexte du déluge qui eut lieu l'année même de sa mort. Il vécut neuf cent soixante neuf ans ; c'est la plus grande durée de vie d'un homme sur terre ; mais la vie la plus longue doit toujours se terminer par la mort.

      Noé signifie « repos » ; ses parents lui donnèrent ce nom avec le pressentiment qu'il serait une grande bénédiction pour tous ceux de sa génération. Remarquez la complainte de son père, relative au piteux état de l'humanité, suite à l'arrivée et à la malédiction du péché. Notre vie entière est consacrée au travail et notre temps est continuellement bien rempli. Dieu ayant maudit le sol, beaucoup sont astreints, dans la limite de leurs possibilités, à appliquer leur dons personnels afin de pouvoir subsister. Lémec espérait être soulagé par la naissance de son fils : « Celui-ci nous consolera ». Cela révèle le désir, l'espoir de réconfort et d'aide qu'ont les parents au sujet de leurs enfants, bien qu'il en soit quelque fois autrement ; cela signifie aussi une perspective meilleure.

      Est-ce Christ est en nous ? Les cieux sont-ils notre espérance ? Nous avons davantage besoin de réconfort céleste au sein de notre labeur et de nos épreuves que celui que peut nous offrir notre descendance ; puissions-nous rechercher et trouver tout réconfort en Christ.

      Genèse 7

      Genèse 8

      Genèse 18

      1

      L'Éternel apparaît à Abraham. (Genèse 18:1-8)
      Le reproche de l'incrédulité de Sarah. (Genèse 18:9-15)
      Dieu révèle à Abraham la destruction de Sodome. (Genèse 18:16-22)
      L'intercession d'Abraham pour Sodome. (Genèse 18:23-33)

      Abraham a souvent tenté, par son hospitalité, de soulager les voyageurs de leur lassitude, car les auberges se faisaient rares dans cette contrée. Alors qu'il venait tout juste de s'asseoir, il vit trois homme s'approcher. C'était, en fait, trois êtres célestes, sous une forme corporelle. Certains pensent même qu'il s'agissait de trois anges ; d'autres supposent que l'un d'entre eux était le Fils de Dieu, l'accomplissement de l'alliance divine préétablie. La pratique de laver les pieds des hôtes était courante dans ces chaudes contrées, où l'on n'était chaussé que de sandales. Nous ne devrions pas manquer d'accueillir les étrangers dans notre maison, car certains peuvent être des anges, sans que l'on puisse soupçonner quoi que ce soit, Heb 13:2 ; dans notre texte, il s'agissait peut être du Seigneur, en personne ; à chaque fois que nous accueillons le plus humble de nos frères, faisons-le comme si nous avions avec nous notre Seigneur. La politesse et la courtoisie de notre accueil sont des signes qui peuvent manifester notre piété. Bien que notre Seigneur ne s'approche ni ne nous visite sans grand apparat, Il se tient néanmoins à la porte, par l'Esprit, et Il frappe ; quand nous sommes prêts à Lui ouvrir, Il daigne alors entrer ; c'est alors que par Sa grâce et Sa consolation, il nous fait participer à un véritable festin en Sa compagnie, Apocalypse 3:20.

      Genèse 19

      Genèse 24

      1

      Les précautions d'Abraham, au sujet du Mariage d'Isaac. (Genèse 24:1-9)
      Le voyage du serviteur d'Abraham, en Mésopotamie. Sa rencontre avec Rébecca. (Genèse 24:10-28)
      Les parents de Rébecca consentent à son mariage. (Genèse 24:29-53)
      L'heureuse rencontre et le mariage D'Isaac et de Rébecca. (Genèse 24:54-67)

      Dans une famille, un bon exemple, un bon enseignement, et un culte à Dieu se manifestent généralement par la piété, la fidélité, la prudence et l'affection des domestiques. Vivre dans de telles familles et avoir des domestiques dévoués sont sont des bénédictions de Dieu qui devraient être vraiment reconnues et appréciées, avec reconnaissance.

      Rien dans la vie n'a de plus grande importance que le mariage, que ce soit pour nous-mêmes ou pour d'autres, dans l'église de Dieu. Le mariage doit donc toujours être engagé avec beaucoup de soin et de prudence, particulièrement en ce qui concerne la recherche de la volonté divine et par-là Sa bénédiction.

      Dans le cas où l'avis de parents bienveillants n'est pas pris en compte, ni considéré, la bénédiction divine ne peut même pas être envisagée. Les parents, en se débarrassant trop rapidement de leurs enfants, devraient soigneusement remettre en question la paix de leurs âmes, et leur assurance d'aller au ciel.

      Observez la mission qu'Abraham a donné à son serviteur, un serviteur dont la conduite, la fidélité, et l'affection envers la famille de son maître, étaient connues depuis longtemps. Remarquez également, qu'Abraham s'est rappelé que Dieu lui avait merveilleusement fait quitter la terre de sa naissance, par l'appel de Sa grâce ; ayant ce sentiment dans le cœur, il n'a donc pas douté et de plus, il prodigua tout le soin requis pour ne pas faire errer son fils ça et là, en vue de son mariage.

      Dieu veillera à ce que tout concoure à notre bien, si nous nous attendons sincèrement à l'avènement de Sa gloire !

      Genèse 29

      Genèse 32

      24 Jacob se trouvait seul, en prière, longtemps avant que le jour ne se lève, il confiait à Dieu toutes ses craintes. Le texte décrit Dieu, sous l'apparence d'un homme, en train de lutter avec le patriarche. Quand l'Esprit nous aide dans nos infirmités et que parallèlement, nous ne pouvons manifestement trouver les mots pour nous exprimer, alors la prière lutte en effet avec Dieu. Toutefois, dans l'épreuve ou le découragement, nous ne serons vainqueurs qu'en Christ ; étant en Lui, par la prière, nous aurons le dessus sur tous les ennemis qui nous entourent. Rien n'exige plus de vigueur et d'efforts incessants que la lutte. C'est une représentation de l'esprit de la foi et de la prière. Jacob a tenu bon ; cependant la lutte a continué pendant un certain temps, sans ébranler sa foi, ni la ferveur de sa prière. Il sera en fait béni, en ayant malgré tout, ses os démis.

      Ceux qui veulent jouir de la bénédiction divine, doivent se résoudre à ne tolérer aucun compromis. La prière fervente est la seule qui soit efficace. L'Ange a honoré le patriarche en changeant son nom. Jacob signifie « supplanter ». Il ne sera plus maintenant honoré à cause de son métier et sa gestion astucieuse, mais à sa véritable valeur. Tu seras appelé Israël, « un prince avec Dieu », un nom encore plus important que ceux des grands hommes de cette époque. En effet, on est véritablement un « prince » par le fait d'être avec Dieu ; ceux qui sont fervents dans la prière sont vraiment honorables. Ayant à ses côtés la Puissance divine, Jacob sera vraiment puissant parmi son entourage ; il prévaudra dans les affaires, et gagnera la faveur d'Ésaü. Jacob donne un nouveau nom à cet endroit. Il l'appelle Peniel, « face à face avec Dieu », parce il avait vu en cet endroit l'aspect de Dieu, et obtenu Sa faveur.

      Ceux qui bénéficient de la merveilleuse présence divine, peuvent admirer Sa grâce à leur égard. L'ange qui a lutté avec Jacob était la deuxième personne de la sainte trinité, qui a été par la suite, Dieu manifesté en chair, et qui, dans Sa nature humaine, s'appelle Emmanuel, Os 12:4,5. Jacob a été touché à la hanche. Par l'abondance de ces révélations divines, le patriarche a été enrichi. Le soleil s'est ensuite levé : pour cette âme, en communion avec Dieu, cette expérience a été un véritable lever de soleil.

      Genèse 43

      Exode 5

      Exode 8

      Exode 12

      Exode 13

      Exode 14

      Exode 23

      Exode 29

      Exode 34

      Lévitique 1

      3 Dans les ordonnances données par le livre du Lévitique, les mystères du monde spirituel sont représentés par des éléments de la nature : les pratiques qui vont suivre, relatives aux sacrifices et aux offrandes, en sont une représentation. Sans cette idée sous-jacente, ces cérémonies sembleraient n'avoir aucun sens. Dans ces éléments, nous trouvons une représentation des souffrances du Fils de Dieu, sacrifié pour les péchés du monde entier. Le corps brûlé de l'animal, n'était qu'une piètre représentation du châtiment éternel que nous méritions tous ; en fait, c'est notre Seigneur Jésus qui a supporté corps et âme cette malédiction, lorsqu'Il est mort sous le poids de nos iniquités.

      Remarquons bien les éléments suivants : - La bête à sacrifier devait être sans défaut. Cela signifie que Christ était pur et parfait, capable de rendre sain Son peuple racheté. - La personne offrant le sacrifice devait le faire sans contrainte. Tout acte de piété, destiné à plaire à Dieu, doit être accompli avec amour. Christ s'est Lui-même volontairement offert, par amour pour nous. - La bête devait être offerte à la porte du tabernacle, sur l'autel de bronze des sacrifices. Cette offrande était ainsi sanctifiée : c'est une image du pécheur, incapable d'entrer en communion avec Dieu, sans être sanctifié par un sacrifice. - Celui qui offrait le sacrifice devait apposer sa main sur la tête de la victime : cela signifiait qu'il souhaitait que son offrande soit bien acceptée. - Le sacrifice devait être exécuté devant l'Éternel, selon un rite et une manière bien précis, en vue d'honorer Dieu. Cela signifie aussi pour les chrétiens, qu'ils doivent sacrifier tout ce qui vient de la chair : les affections corrompues comme les convoitises. - Les sacrificateurs devaient épandre le sang sur l'autel ; le sang étant la vie, c'est par lui que le péché pouvait être expié. C'est une image de la purification et de l'apaisement de nos consciences par l'aspersion du sang de Jésus-Christ, et ce par le biais de la foi. - La bête sacrifiée devait être divisée en plusieurs morceaux, pour être ensuite brûlée sur l'autel. Ce sacrifice consumé est aussi une image des horribles souffrances de Christ ; c'est également un modèle pour les chrétiens, qui doivent offrir leur être, dans le « feu de la sainteté », donnant ainsi leur esprit, leur âme et leur corps à Dieu. - Il est mentionné que le sacrifice était d'odeur agréable à l'Éternel : il en a été de même pour Christ qui est mort, en toute obéissance à Dieu, en vue de Lui offrir un sacrifice parfait ; les sacrifices spirituels des chrétiens ne peuvent être acceptés par Dieu qu'au travers de Christ, 1Pierre 2:5.

      Lévitique 3

      1

      Les sacrifices d'actions de grâce, pour le gros bétail. (Lévitique 3:1-5)
      Les sacrifices d'actions de grâce, pour le menu bétail. (Lévitique 3:6-17)

      Les sacrifices d'actions de grâce font référence à Dieu, Celui qui donne toutes choses. Ces sacrifices, faits sur l'autel, engageaient à la fois les sacrificateurs et celui qui apportait l'offrande. On les appelait « sacrifices d'actions de grâce » car en eux, Dieu et Son peuple se réjouissaient ensemble, en témoignage de leur communion mutuelle. Ces sacrifices étaient offerts dans un esprit de supplication. Si un homme était en instance d'une demande de grâce, il devait ajouter à sa prière le type de sacrifice mentionné dans ce texte. Christ est notre « Paix », notre « Offrande de Paix » ; nous ne pouvons être exaucés dans nos prières, avec en plus la paix dans le cœur, que par Son intermédiaire. Ces sacrifices d'actions de grâce étaient aussi offerts à titre de reconnaissance pour les bienfaits accordés par l'Éternel. Nous devons continuellement offrir à Dieu des sacrifices de louange, par l'intermédiaire de Christ, notre « Paix » ; et cela sera plus agréable à l'Éternel que l'offrande d'un taureau ou d'un bœuf !
      6 Nous sommes ici en présence d'un texte interdisant toute consommation de graisse ou de sang par les Israélites. Tout comme la graisse, les rognons ne devaient pas non plus être mangés. Il était interdit de consommer du sang, car c'était la part réservée à Dieu, à chaque sacrifice. Ce Dernier ne voulait pas que le sang qui avait servi à l'expiation des péchés, soit utilisé à titre de mets commun, Heb 10:29 ; ceci s'applique également à nous, malgré le fait que notre péché ait été expié parfaitement par notre Sauveur. Cela permettait aux Juifs de bien faire la distinction entre les choses communes et celles qui étaient sacrées ; cela permettait aussi de les préserver de toute déviation idolâtre.

      Le peuple était ainsi bien imprégné par la solennité que représentaient le sang versé et la graisse brûlée des sacrifices. Christ, le Prince de Paix, nous donne cette paix par le sang de la croix. En Lui, le croyant est réconcilié avec Dieu ; et ayant cette paix de Dieu en son cœur, le racheté est tout disposé à la partager avec les hommes. Que le Seigneur fasse abonder Sa grâce, Sa Miséricorde et Sa paix à quiconque désire porter le nom de chrétien !

    • Genèse 1

      1 Au commencement Dieu créa le ciel et la terre.
      2 La terre était informe et vide ; il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, mais l’Esprit de Dieu planait au-dessus des eaux.
      3 Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut.
      4 Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres.
      5 Dieu appela la lumière jour et il appela les ténèbres nuit. Il y eut un soir et il y eut un matin : ce fut un jour.
      6 Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux pour séparer les eaux des eaux.
      7 Dieu fit donc cette étendue, sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue d’avec les eaux qui sont au-dessus. Il en fut ainsi.
      8 Dieu appela l’étendue ciel. Il y eut un soir et il y eut un matin : ce fut un deuxième jour.
      9 Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel s’amassent en un seul endroit, et que la (partie) sèche apparaisse. Il en fut ainsi.
      10 Dieu appela terre la partie sèche, et il appela mers la masse des eaux. Dieu vit que cela était bon.
      11 Puis Dieu dit : Que la terre se couvre de verdure, d’herbe porteuse de semence, d’arbres fruitiers donnant sur la terre des fruits selon leur espèce et ayant en eux leur semence. Il en fut ainsi.
      12 La terre produisit de la verdure, de l’herbe porteuse de semence selon son espèce et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon.
      13 Il y eut un soir et il y eut un matin : ce fut un troisième jour.
      14 Dieu dit : Qu’il y ait des astres dans l’étendue céleste, pour séparer le jour et la nuit ; que ce soient des signes pour (marquer) les temps, les jours et les années ;
      15 que ce soient des astres dans l’étendue céleste pour éclairer la terre. Il en fut ainsi.
      16 Dieu fit les deux grands astres, le grand pour dominer sur le jour, et le petit pour dominer sur la nuit ; (il fit) aussi les étoiles.
      17 Dieu les plaça dans l’étendue céleste, pour éclairer la terre,
      18 pour dominer sur le jour et sur la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon.
      19 Il y eut un soir et il y eut un matin : ce fut un quatrième jour.
      20 Dieu dit : Que les eaux se mettent à grouiller d’êtres vivants, et que sur la terre des oiseaux volent sous l’étendue céleste.
      21 Dieu créa selon leur espèce les grands monstres marins et tous les êtres vivants qui nagent, et dont les eaux se mirent à grouiller ; (il créa aussi) tout oiseau ailé selon son espèce. Dieu vit que cela était bon.
      22 Dieu les bénit en disant : Soyez féconds, multipliez-vous et remplissez les eaux des mers ; et que les oiseaux se multiplient sur la terre.
      23 Il y eut un soir et il y eut un matin : ce fut un cinquième jour.
      24 Dieu dit : Que la terre produise des êtres vivants selon leur espèce, bétail, reptiles, animaux terrestres, chacun selon son espèce. Il en fut ainsi.
      25 Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles du sol selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon.
      26 Dieu dit : Faisons l’homme à notre image selon notre ressemblance, pour qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre.
      27 Dieu créa l’homme à son image : Il le créa à l’image de Dieu, Homme et femme il les créa.
      28 Dieu les bénit et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout animal qui rampe sur la terre.
      29 Dieu dit : Voici que je vous donne toute herbe porteuse de semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre fruitier porteur de semence : ce sera votre nourriture.
      30 A tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, à tout ce qui rampe sur la terre et qui a souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Il en fut ainsi.
      31 Dieu vit alors tout ce qu’il avait fait, et voici : c’était très bon. Il y eut un soir et il y eut un matin : ce fut un sixième jour.

      Genèse 3

      8 Alors ils entendirent la voix de l’Éternel Dieu qui parcourait le jardin avec la brise du soir. L’homme et sa femme allèrent se cacher devant l’Éternel Dieu, parmi les arbres du jardin.

      Genèse 5

      1 Voici le livre de la postérité d’Adam. Le jour où Dieu créa Adam, il le fit à la ressemblance de Dieu.
      2 Homme et femme il les créa, il les bénit et les appela du nom d’Homme, au moment où ils furent créés.
      3 Adam, âgé de 130 ans, engendra (un fils) à sa ressemblance, selon son image, et il lui donna le nom de Seth.
      4 Les jours d’Adam, après la naissance de Seth, furent de 800 ans ; et il engendra des fils et des filles.
      5 La durée totale de sa vie fut de 930 ans ; puis il mourut.
      6 Seth, âgé de 105 ans, engendra Enosch.
      7 Seth vécut, après la naissance d’Enosch 807 ans et il engendra des fils et des filles.
      8 La durée totale de sa vie fut de 912 ans ; puis il mourut.
      9 Enosch, âgé de 90 ans, engendra Qénân.
      10 Enosch vécut, après la naissance de Qénân 815 ans et il engendra des fils et des filles.
      11 La durée totale de sa vie fut de 905 ans ; puis il mourut.
      12 Qénân, âgé de 70 ans, engendra Mahalaleél.
      13 Qénân vécut, après la naissance de Mahalaleél 840 ans et il engendra des fils et des filles.
      14 La durée totale de sa vie fut de 910 ans ; puis il mourut.
      15 Mahalaleél, âgé de 65 ans, engendra Yéred.
      16 Mahalaleél vécut, après la naissance de Yéred 830 ans et il engendra des fils et des filles.
      17 La durée totale de sa vie fut de 895 ans ; puis il mourut.
      18 Yéred, âgé de 162 ans, engendra Hénok.
      19 Yéred vécut après la naissance d’Hénok 800 ans et il engendra des fils et des filles.
      20 La durée totale de sa vie fut de 962 ans ; puis il mourut.
      21 Hénok, âgé de 65 ans, engendra Mathusalem.
      22 Hénok, après la naissance de Mathusalem, marcha 300 ans avec Dieu et il engendra des fils et des filles.
      23 La durée totale de sa vie fut de 365 ans.
      24 Hénok marcha avec Dieu ; puis il ne fut plus, parce que Dieu l’enleva.
      25 Mathusalem, âgé de 187 ans, engendra Lémek.
      26 Mathusalem vécut, après la naissance de Lémek, 782 ans et il engendra des fils et des filles.
      27 La durée totale de sa vie fut de 969 ans ; puis il mourut.
      28 Lémek, âgé de 182 ans, engendra un fils.
      29 Il lui donna le nom de Noé, en disant : Celui-ci nous consolera de la peine que nous causent nos durs travaux manuels sur le sol que l’Éternel a maudit.
      30 Lémek vécut, après la naissance de Noé, 595 ans et il engendra des fils et des filles.
      31 La durée totale de sa vie fut de 777 ans ; puis il mourut.
      32 Noé, âgé de 500 ans, engendra Sem, Cham et Japhet.

      Genèse 7

      11 L’an 600 de la vie de Noé, le deuxième mois, le 17e jour du mois, en ce jour-là toutes les sources du grand abîme jaillirent, et les écluses du ciel s’ouvrirent.

      Genèse 8

      11 La colombe revint à lui sur le soir, elle tenait dans son bec une feuille arrachée à un olivier. Noé sut ainsi que les eaux avaient baissé sur la terre.
      22 Tant que la terre subsistera, les semailles et la moisson, le froid et la chaleur, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront pas.

      Genèse 18

      1 L’Éternel lui apparut aux chênes de Mamré, tandis qu’il était assis à l’entrée de sa tente, pendant la chaleur du jour.

      Genèse 19

      15 Quand l’aube se leva, les anges insistèrent auprès de Loth en disant : Lève-toi, prends ta femme et tes deux filles qui se trouvent ici, pour ne pas succomber avec la ville fautive.

      Genèse 24

      1 Abraham était vieux, (il avait atteint) un âge avancé, et l’Éternel l’avait béni en tout.
      11 Il se leva et se rendit en Mésopotamie, à la ville de Nahor. Il fit agenouiller les chameaux à l’extérieur de la ville, près d’un puits d’eau, au moment où, le soir, sortent celles qui vont puiser (de l’eau).

      Genèse 29

      27 Achève la semaine avec celle-ci, et nous te donnerons aussi l’autre pour le service que tu feras encore chez moi pendant sept autres années.

      Genèse 32

      24 Il les prit, leur fit passer le torrent et le fit passer à ce qui lui appartenait.

      Genèse 43

      16 Quand Joseph vit avec eux Benjamin, il dit à son intendant : Fais entrer ces hommes dans la maison, tue et apprête ; car ces hommes mangeront avec moi à midi.

      Exode 5

      14 On frappait même les commissaires des Israélites, établis sur eux par les inspecteurs du Pharaon : Pourquoi, disait-on, n’avez-vous pas fini (de pétrir) hier et aujourd’hui le nombre de briques qui vous était (imposé) comme avant ?

      Exode 8

      23 Nous ferons trois journées de marche dans le désert et nous offrirons des sacrifices à l’Éternel, notre Dieu, selon ce qu’il nous dira.

      Exode 12

      3 Parlez à toute la communauté d’Israël et dites : Le 10 de ce mois, on prendra un agneau pour chaque famille, un agneau par maison.
      6 Vous l’aurez en garde jusqu’au quatorzième jour de ce mois ; et toute l’assemblée de la communauté d’Israël l’immolera entre les deux soirs.
      18 Le premier (mois), le quatorzième jour du mois au soir, vous mangerez des pains sans levain jusqu’au soir du vingt et unième jour.

      Exode 13

      4 Vous sortez aujourd’hui, au mois des épis.

      Exode 14

      24 Pendant la veille du matin, l’Éternel regarda de la colonne de feu et de nuée le camp des Égyptiens et mit en désordre le camp des Égyptiens.

      Exode 23

      16 Observe la fête de la moisson, des prémices de ton travail, de ce que tu auras semé dans les champs ; ainsi que la fête de la récolte, à la fin de l’année, quand tu recueilleras des champs (le fruit de) ton travail.

      Exode 29

      39 Tu offriras l’un des agneaux le matin et tu offriras l’autre agneau entre les deux soirs.

      Exode 34

      21 Tu travailleras six jours, et tu respecteras le sabbat le septième jour ; tu respecteras le sabbat, même au temps des labours et de la moisson.
      22 Tu célébreras la fête des semaines, des prémices de la moisson du froment, ainsi que la fête de la récolte, à la fin de l’année.

      Lévitique 1

      3 Si son oblation est un holocauste de gros bétail, il offrira un mâle sans défaut ; il l’offrira à l’entrée de la tente de la Rencontre pour qu’il soit agréé devant l’Éternel.

      Lévitique 3

      1 Si l’oblation de quelqu’un est un sacrifice de communion : s’il offre du gros bétail, mâle ou femelle, il l’offrira sans défaut devant l’Éternel.
      2 Il posera sa main sur la tête de sa victime qu’il égorgera à l’entrée de la tente de la Rencontre ; et les sacrificateurs, fils d’Aaron, répandront le sang sur le pourtour de l’autel.
      3 De ce sacrifice de communion, il offrira en sacrifice consumé par le feu devant l’Éternel, la graisse qui couvre les entrailles et toute la graisse qui est sur les entrailles ;
      4 les deux rognons et la graisse qui les entoure, qui couvre les flancs ; et la membrane qui couvre le foie, qu’il détachera près des rognons.
      5 Les fils d’Aaron brûleront cela sur l’autel, par-dessus l’holocauste qui sera sur le bois mis au feu. C’est un sacrifice consumé par le feu, d’une agréable odeur à l’Éternel.
      6 Si son oblation est du menu bétail, mâle ou femelle, en sacrifice de communion à l’Éternel, il l’offrira sans défaut.
      7 S’il offre en oblation un agneau, il le présentera devant l’Éternel.
      8 Il posera sa main sur la tête de sa victime qu’il égorgera devant la tente de la Rencontre ; et les fils d’Aaron en répandront le sang sur le pourtour de l’autel.
      9 De ce sacrifice de communion il offrira en sacrifice consumé par le feu devant l’Éternel, la graisse, la queue entière qu’il détachera près de l’échine, la graisse qui couvre les entrailles et toute la graisse qui est sur les entrailles,
      10 les deux rognons et la graisse qui les entoure, qui couvre les flancs et la membrane qui couvre le foie, qu’il détachera près des rognons.
      11 Le sacrificateur brûlera cela sur l’autel. C’est un aliment consumé par le feu pour l’Éternel.
      12 Si son oblation est une chèvre, il la présentera devant l’Éternel.
      13 Il posera sa main sur la tête de sa victime qu’il égorgera devant la tente de la Rencontre ; et les fils d’Aaron en répandront le sang sur le pourtour de l’autel.
      14 De l’oblation il offrira en (sacrifice) consumé par le feu devant l’Éternel : la graisse qui couvre les entrailles et toute la graisse qui est sur les entrailles,
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