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Exode 20.17

» Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son esclave, ni sa servante, ni son bƓuf, ni son Ăąne, ni quoi que ce soit qui lui appartienne. »
« Ne dĂ©sire pas pour toi la maison de ton prochain. N’aie pas envie de prendre sa femme, ni son esclave, ni sa servante, ni son bƓuf, ni son Ăąne. Ne dĂ©sire rien de ce qui est Ă  lui. »

"You shall not covet your neighbor's house. You shall not covet your neighbor's wife, nor his male servant, nor his female servant, nor his ox, nor his donkey, nor anything that is your neighbor's."
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      GenĂšse 3

      6 Observons biens les étapes qui mÚnent à la transgression : aucune d'elles n'élÚve l'homme, mais au contraire, toutes le conduisent dans la fosse de la perdition. Au début, « Elle vit ». Un grand nombre de péchés provient de ce que l'on voit. Ne regardons pas à ce qui peut nous conduire dangereusement à la convoitise, Matthieu 5:28. Ensuite, « Elle prit ». Elle a commis cet acte de son propre chef.

      Satan peut tenter mais ne peut forcer Ă  agir ; Il peut nous faire convoiter l'attrait nĂ©gatif du pĂ©chĂ© mais Il ne peut nous y faire sombrer Lui-mĂȘme, de force, Matthieu 4:6. AprĂšs, « Elle mangea ». Quand elle vit le fruit, au dĂ©but, Ève pensait qu'elle ne le prendrait peut-ĂȘtre pas ; ou quand elle le prit, elle a peut-ĂȘtre pensĂ© qu'elle ne le mangerait pas : mais elle finit par le consommer. Il est sage de s'arrĂȘter au premier signe du pĂ©chĂ© et de s'en Ă©loigner avant de le commettre. Ensuite, Ève en donna aussi Ă  son mari. Ceux qui sont sur une pente dangereuse tentent d'entraĂźner les autres avec eux. En nĂ©gligeant l'arbre de la vie, qu'il avait le droit de manger, et en consommant celui de la connaissance, qui lui, Ă©tait interdit, Adam a pleinement montrĂ© qu'il se moquait de ce que Dieu lui avait dit et de ce qu'Il lui avait recommandĂ© de ne pas faire. Il n'a fait que ce qu'il lui plaisait de faire. Son pĂ©chĂ© s'appelle tout simplement la dĂ©sobĂ©issance, Romains 5:19 ; une dĂ©sobĂ©issance au commandement divin.

      Il n'a eu aucune circonstance atténuante, mais au contraire, une pleine liberté pour accomplir totalement sa propre volonté. Il s'est détourné rapidement. Il a entraßné toute sa postérité dans le péché et la ruine. Qui peut minimiser le mal du péché commis par Adam ?

      Adam et Ève se sont aperçus, un peu tard, de leur folie, en mangeant du fruit interdit. Ils ont vu le bonheur qu'ils ont perdu, et la misĂšre dans laquelle ils sont tombĂ©s. Le Dieu plein d'amour qu'ils ont connu a Ă©tĂ© bafouĂ©, Sa grĂące et Sa faveur ont Ă©tĂ© Ă©cartĂ©es. Observez bien Ă  quel point le pĂ©chĂ© mĂšne Ă  la honte et amĂšne les problĂšmes ; oĂč qu'il entre, tout est dĂ©truit. TĂŽt ou tard il apporte la confusion ; ce sentiment de tristesse peut conduire, soit Ă  la vraie repentance, qui se terminera dans la gloire cĂ©leste, soit au mĂ©pris de l'ordre divin qui fera comparaĂźtre le mĂ©chant devant Dieu, au jour du jugement. Notez Ă  quel point de folie sont rendus ceux qui ont pĂ©chĂ©. Ils sont plus occupĂ©s par le souci de plaire aux hommes que par celui d'obtenir le pardon divin. Les hommes s'efforcent de couvrir et de diminuer la gravitĂ© de leurs pĂ©chĂ©s ; toutes ces tentatives sont vaines et frivoles ; ils sont comme nos premiers parents qui se sont vĂȘtus de feuilles de figuier, faisant ainsi le maximum pour masquer leur faute : avouons qu'il nous est facile de faire de mĂȘme. Avant de commettre le pĂ©chĂ©, Adam et Ève acceptaient les visites divines, pleines de grĂąces, avec joie et humilité ; maintenant ces visites sont devenues pour eux une vĂ©ritable terreur. Il ne fait aucun doute qu'ils Ă©taient remplis de confusion.

      Tout cela révÚle la fausseté du tentateur et ses méthodes frauduleuses. Satan a promis la sécurité à Adam et Ève, mais en fait, ils en étaient bien dépourvus ! Nos parents furent désormais misérables et incapables de se réconforter mutuellement !

      GenĂšse 14

      GenĂšse 34

      Exode 20

      Josué 7

      1 Samuel 15

      2 Samuel 11

      Job 31

      1

      Job annonce sa droiture. (Job 31:1-8)
      Son intégrité. (Job 31:9-15)
      Sa clémence. (Job 31:16-23)
      Job n'est pas coupable de convoitise ni d'idolĂątrie. (Job 31:24-32)
      Job n'est pas coupable d'hypocrisie ni de violence. (Job 31:33-40)

      Dans ce texte, Job n'a pas parlĂ© des choses dont il aurait pu se vanter, il a simplement rĂ©pondu aux attaques qu'il a essuyĂ©es, quant Ă  son hypocrisie. Le patriarche discernait bien la nature spirituelle des commandements divins, sondant les pensĂ©es et les intentions du cƓur. Il n'est de meilleur tĂ©moignage que celui de notre conduite ; cependant, Ă  certains moments, il ne faut pas hĂ©siter Ă  clamer notre innocence devant Dieu, quand des crimes nous seraient faussement attribuĂ©s. Les plaisirs de la chair et de l'amour du monde sont deux pierres d'achoppement, contre lesquelles beaucoup butent et succombent.

      Job annonce clairement sa vigilance Ă  l'Ă©gard de telles dĂ©viations. Dieu s'approche davantage de nous lorsque nous abandonnons nos propres voies ; marchons donc avec circonspection. Le patriarche a soigneusement Ă©vitĂ© la recherche de guĂ©rison par le biais des sciences occultes. Il redoutait les bĂ©nĂ©fices et les plaisirs dangereux de tels procĂ©dĂ©s. Sachons prendre sereinement tout ce qui nous est offert ici-bas, Ă  condition que tout cela soit fait honnĂȘtement. Si nous n'observons pas une stricte honnĂȘtetĂ© et une grande fidĂ©litĂ© dans tous nos actes, nous ne pourrons pas bĂ©nĂ©ficier alors de la faveur divine. Combien de dirigeants sont hĂ©las incapables de saisir de telles vĂ©ritĂ©s !

      9 Les souvenirs qui retracent la vie Ă©manent parfois d'un cƓur déçu. Le luxe est un feu qui dĂ©vore l'Ăąme. Ceux qui s'y adonnent courent droit Ă  leur fin. Ce feu consume tout ce que l'on peut trouver de bon ici-bas, il dĂ©truit la conscience. Il embrase la colĂšre divine ; si l'on n'est pas immunisĂ© par le sang de Christ, il nous mĂšne tout droit vers la destruction Ă©ternelle. Ce feu consume le corps ; il consume toute matiĂšre.

      Tout ce qui concerne le luxe ici-bas ne peut apporter que des jugements cĂ©lestes sĂ©vĂšres. Job avait de nombreux biens, il savait bien les gĂ©rer. Il Ă©tait persuadĂ© de l'existence de son MaĂźtre dans les cieux ; parce que nous sommes tentĂ©s de penser que Dieu est sĂ©vĂšre avec nous, nous devrions chercher Ă  ĂȘtre plus clĂ©ments avec ceux Ă  qui nous avons Ă  faire.

      Psaumes 10

      Psaumes 119

      Proverbes 4

      Proverbes 6

      Ecclésiaste 4

      Ecclésiaste 5

      EsaĂŻe 33

      15 Le véritable croyant reste vigilant à l'encontre de toutes les occasions de pécher. La Puissance divine le maintiendra en sécurité, et sa foi, par cette Puissance, le gardera en paix. Il ne recherchera que ce qui lui est nécessaire. Chaque bénédiction découlant du salut est librement accordée à tous ceux qui prient avec ferveur, en toute humilité ; le croyant vit dans cette sécurité spirituelle, à jamais !

      Ceux qui marchent dans la droiture disposeront, non seulement, de leur pain quotidien, accompagné d'eau rafraichissante, mais aussi, par la foi, ils verront le Roi des rois dans Sa beauté, la beauté de la sainteté.

      Au souvenir des anxiĂ©tĂ©s qui pouvaient l'assaillir auparavant, se substituera le plaisir de leur affranchissement. Il est logique de souhaiter rester tranquille dans sa propre demeure, mais on a beaucoup plus d'intĂ©rĂȘt Ă  goĂ»ter la paix inhĂ©rente Ă  la frĂ©quentation de la maison de Dieu ; en tous temps, Christ disposera de « rachetĂ©s » pour Le servir.

      JĂ©rusalem n'est traversĂ©e par aucun cours d'eau, mais la prĂ©sence et la Puissance de l'Éternel compensent ce manque. Nous disposons de tout en Lui, tout ce dont nous avons besoin, ou pouvons dĂ©sirer. Par la foi, nous pouvons voir Christ comme notre Prince et notre Sauveur ; Il rĂšgne sur Son peuple rachetĂ©. Tous ceux qui refusent de Le voir rĂ©gner sur eux, conduisent leur Ăąme vers un « naufrage spirituel ».

      La maladie est écartée par la Grùce, quand le « fruit » de cette derniÚre nous éloigne du péché. Si nous rejetons toute forme d'iniquité, nous n'aurons peu de raison de nous plaindre des afflictions qui nous pourront nous assaillir.

      Le dernier verset nous invite Ă  rĂ©flĂ©chir, non seulement sur l'Ă©tat glorieux de l'Ă©glise de l'Ă©vangile ici-bas, mais Ă©galement au ciel, oĂč aucune maladie ni Ă©preuve n'existent ! Celui qui efface nos transgressions, guĂ©rira aussi notre Ăąme !

      EsaĂŻe 57

      Jérémie 5

      Jérémie 22

      Ezéchiel 33

      Amos 2

      Michée 2

      Habacuc 2

      Matthieu 5

      Matthieu 20

      Luc 12

      Luc 16

      Actes 5

      Actes 20

      Romains 7

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir Ă  la connaissance du pĂ©chĂ©, essentielle Ă  la repentance, Ă  la paix du cƓur et au pardon divin, qu'en Ă©prouvant notre cƓur et en vivant selon les prĂ©ceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apĂŽtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilitĂ©, au sujet de ses pensĂ©es, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « rĂ©fĂ©rence morale » a montrĂ© combien son cƓur et sa vie Ă©taient imparfaits, prouvant par lĂ  que ses pĂ©chĂ©s Ă©taient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en mĂȘme temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de misĂ©ricorde ni de grĂące, nĂ©cessaire Ă  son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nĂ©cessitĂ©, hors de portĂ©e par ses propres forces, d’ĂȘtre purifiĂ© de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversitĂ© de son propre cƓur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour Ă  leur Ă©gard puisse parfois nous aveugler Ă  ce sujet.

      Plus un chrĂ©tien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apĂŽtre dĂ©crit dans ce texte, au sujet du vĂ©ritable croyant, qu’il s’agisse de ses premiĂšres convictions de pĂ©chĂ© jusqu'Ă  son plus grand progrĂšs dans la GrĂące, pendant son « sĂ©jour » ici-bas. Paul Ă©tait jadis pharisien, ignorant la spiritualitĂ© de la loi, mais ayant cependant une certaine puretĂ© de conduite, sans nĂ©anmoins connaĂźtre sa rĂ©elle dĂ©pravation intĂ©rieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui Ă©tait demandĂ©, il a constatĂ© que sa nature, coupable du pĂ©chĂ©, s'Ă©levait contre ces principes. Il ressentit Ă  ce moment le mal occasionnĂ© par le pĂ©chĂ© et constata Ă  quel point il Ă©tait coupable, incapable d'accomplir la loi : il Ă©tait pour ainsi dire, un criminel condamnĂ©.

      Mais bien que le mal, inhĂ©rent au cƓur humain, produise malgrĂ© tout une certaine culpabilitĂ©, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette derniĂšre est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au pĂ©chĂ©, qu'elle poursuit dans les confins du cƓur ; elle le rĂ©vĂšle et le blĂąme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraĂźtre bon dans le cƓur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La mĂȘme chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remĂšde mal utilisĂ© peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent Ă  nourrir ou Ă  guĂ©rir. La loi peut causer la mort, au travers de la dĂ©pravation humaine, mais c'est le pĂ©chĂ© qui en est le poison, Ă©tant Ă  l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le pĂ©chĂ©, « dĂ©masqué » par cette derniĂšre, qui a montrĂ© Ă  l’apĂŽtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du pĂ©chĂ© (qui mĂšne Ă  la ruine), et la culpabilitĂ© du cƓur humain, sont clairement montrĂ©s dans ce texte !

      Romains 13

      1 Corinthiens 6

      Ephésiens 5

      3 Tous les types d’immoralitĂ© doivent ĂȘtre Ă©radiquĂ©s. Ces pĂ©chĂ©s doivent ĂȘtre redoutĂ©s et bannis.

      Ce texte ne comporte pas que des avertissements relatifs aux transgressions gravissimes, mais aussi Ă  tout ce qui peut les rĂ©vĂ©ler. Ces pratiques dĂ©gradantes sont si nuisibles Ă  l’ñme, qu'elles polluent et souillent littĂ©ralement l’entourage de ceux qui les pratiquent.

      Lorsque nous devenons chrĂ©tiens, notre bonne humeur doit ĂȘtre manifeste, elle doit mettre en valeur la Gloire de Dieu. Un homme cupide fait de son argent son dieu ; il place son espĂ©rance, sa confiance et sa raison de vivre, dans les biens de ce monde, au lieu de se consacrer au Seigneur.

      Ceux qui se complaisent dans la convoitise et dans l'amour du monde, n'appartiennent pas au Royaume de la GrĂące, ils ne parviendront jamais Ă  connaĂźtre la Gloire divine. Quand les plus vils transgresseurs se repentent et croient en l'Évangile, ils deviennent des « enfants d'obĂ©issance », et de ce fait n’ont plus Ă  craindre le courroux divin.

      Oserons-nous vraiment chercher ce qui pourrait nous amener Ă  subir la colĂšre de Dieu ? Les pĂ©cheurs, semblables Ă  des hommes errants dans les tĂ©nĂšbres, ne savent oĂč ils vont, ni ce qu'ils font. Mais la GrĂące de Dieu est tout Ă  fait capable d’opĂ©rer de puissants changements dans l’ñme du pĂ©cheur.

      Marchons comme des « enfants de lumiĂšre », dans la connaissance de la Parole et dans la saintetĂ©. Les Ɠuvres des tĂ©nĂšbres sont toutes stĂ©riles, quels que soient les profits qu’elles peuvent engendrer ; toutes se terminent par la destruction du pĂ©cheur impĂ©nitent.

      De nombreux chemins favorisent la complicité avec les iniques ; il est trÚs facile de prendre part aux péchés des autres, suite à de mauvais conseils, des faiblesses ou certaines dissimulations... Si nous partageons avec d'autres leurs péchés, nous devrons aussi craindre de partager leurs fléaux. Si nous ne blùmons pas les péchés des autres, nous en sommes alors les complices...

      Un homme pieux aura honte de parler du pĂ©chĂ©, alors que de nombreux iniques n’éprouvent aucun scrupule Ă  le pratiquer. Nous ne devons pas reconnaĂźtre simplement l’existence et l’horreur du pĂ©chĂ©, mais nous devons le considĂ©rer en tant qu’infraction Ă  la sainte loi de Dieu.

      AprÚs les différents appels à la repentance, des prophÚtes et des apÎtres, nous devons inciter ceux qui sont « endormis et morts » dans le péché, à se « réveiller et à se lever », pour que Christ puisse leur donner la LumiÚre !

      Philippiens 3

      Colossiens 3

      5 Notre devoir consiste Ă  « mortifier les membres » qui nous incitent Ă  cĂ©der aux convoitises du monde : nous devons les empĂȘcher de nuire, les tuer, les supprimer, telles de mauvaises herbes ou de la vermine qui se rĂ©pand et dĂ©truit tout sur son passage.

      Nous devons nous opposer continuellement Ă  toutes les Ɠuvres corrompues, aucune place ne doit ĂȘtre accordĂ©e aux indulgences charnelles. Toute occasion de pĂ©cher doit ĂȘtre Ă©vitĂ©e : la convoitise de la chair, l'amour du monde, la cupiditĂ©, (qui est de l’idolĂątrie), l'amour des biens de ce monde et des vains plaisirs.

      Il est essentiel de mortifier nos pĂ©chĂ©s, car si nous ne les Ă©radiquons pas, eux nous « tueront » littĂ©ralement. L'Évangile est capable de transformer les mauvais penchants de l'Ăąme, quelle qu’en soit la gravitĂ©, Il rĂ©vĂšle les rĂšgles d’une pieuse conduite Ă  la conscience, Il la prĂ©vient des vains dĂ©sirs et des mauvaises passions.

      Il n'y a dĂ©sormais pour les enfants de Dieu, aucune diffĂ©rence d’origine, ni de conditions de vie : il est du devoir de chacun d'ĂȘtre saint, parce que Christ est tout ; Il est pour chaque chrĂ©tien, son seul Seigneur et Sauveur, Il reprĂ©sente toute son espĂ©rance et son bonheur spirituel !

      1 Timothée 6

      6 Ceux qui tirent profit du Christianisme, pour leurs intĂ©rĂȘts ici-bas, seront déçus ; par contre, ceux qui Le considĂšrent comme une vĂ©ritable vocation, trouveront qu’Il concrĂ©tise de nombreuses promesses divines, tant pour la vie actuelle, que pour celle Ă  venir.

      Celui qui exerce la piĂ©tĂ© sera heureux dans l’au-delà ; s'il se contente de sa condition ici-bas, cela doit lui suffire ; tous ceux qui sont vraiment pieux vivent dans le contentement.

      Lorsque nous traversons la plus grande dĂ©tresse, nous ne pouvons pas ĂȘtre plus pauvres que lorsque nous sommes arrivĂ©s en ce monde ; un linceul, un cercueil et une tombe sont tout ce que l'homme le plus riche du monde peut garder ! Si la nature sait nous contenter avec peu, la GrĂące divine le fait encore mieux ! Les nĂ©cessitĂ©s de la vie doivent ĂȘtre les bornes de ce que dĂ©sire un vĂ©ritable chrĂ©tien ; il fera tout son possible pour s'en contenter.

      Nous voyons dans ce texte tout le mal qu’engendre la cupiditĂ©. Il n'est pas dit : « ceux qui sont riches, » mais, « ceux qui veulent s'enrichir ; » les personnes qui placent leur cƓur dans les richesses, sont inĂ©vitablement passionnĂ©es et dĂ©terminĂ©es dans leur poursuite effrĂ©nĂ©e. Elles donnent ainsi Ă  Satan l'occasion de les tenter, en utilisant principalement des moyens malhonnĂȘtes et diverses mauvaises pratiques, en vue de faire croĂźtre leurs gains. Le diable peut aussi les occuper Ă  de multiples emplois, leur donnant ainsi telle masse d'affaires Ă  traiter qu'elles n'ont plus le temps ni l'envie de s’occuper de l’état de leur Ăąme, au niveau spirituel ; tout cela conduit au pĂ©chĂ©, Ă  la dĂ©pression, voire Ă  la folie.

      À quels pĂ©chĂ©s les hommes ne sont-ils pas conduits, par amour de l'argent ! Il est possible de possĂ©der ce dernier, sans Ă©prouver une aviditĂ© immodĂ©rĂ©e ; l’amour dĂ©mesurĂ© du gain ne peut que pousser au mal... Toute mĂ©chancetĂ©, tout vice, d'une maniĂšre ou d'une autre, proviennent de l'amour de l'argent. Nous ne pouvons pas regarder autour de nous sans en percevoir les tristes preuves, en particulier dans des pĂ©riodes de prospĂ©ritĂ©, oĂč l’on constate vraiment une baisse de la foi.

      Hébreux 13

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