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Jean 14.6

Le chemin, répondit Jésus, c’est moi, (parce que) je suis la vérité et la vie. Personne ne parviendra jusqu’au Père sans passer par moi.
Jésus 2424 lui 846 dit 3004 5719 : Je 1473 suis 1510 5748 le chemin 3598, 2532 la vérité 225, et 2532 la vie 2222. Nul 3762 ne vient 2064 5736 au 4314 Père 3962 que 1508 par 1223 moi 1700.
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      Esaïe 35

      Matthieu 11

      Jean 1

      Jean 5

      Jean 6

      Jean 8

      Jean 10

      Jean 11

      Jean 14

      Jean 15

      1

      Christ le véritable cep. (Jean 15:1-8)
      Son amour pour Ses disciples. (Jean 15:9-17)
      La haine et les persécutions sont prédites. (Jean 15:18-25)
      Le Consolateur promis. (Jean 15:26,27)

      Jésus-Christ est le cep, le véritable Cep. L'union des natures, humaine et divine, et la plénitude de l'Esprit qui est en Lui, ressemblent à la racine d’un cep, fructueux grâce à la sève provenant d'un sol riche.

      Les croyants sont les sarments de ce cep. La racine est invisible, et notre vie est cachée en Christ ; la racine porte l'arbre, y diffuse la sève ; en Christ se trouvent tous les soutiens nécessaires. Les branches du cep, les sarments, sont présents en grande quantité, ils se rejoignent dans la racine, pour ne former qu'un seul cep ; ainsi, tous les véritables chrétiens, de diverses opinions et disséminés en divers lieux distants les uns des autres, se rencontrent « en Christ ».

      Les croyants, comme les sarments du cep, sont fragiles et incapables de se tenir droits, s'ils ne sont pas soutenus. Le Père est le Vigneron. Jamais il n'y eut de vigneron si sage, si vigilant, quant à sa vigne ; il en est ainsi pour Dieu vis-à-vis de l’église, c'est pourquoi elle doit prospérer : nous devons porter du fruit.

      Sur un cep nous recherchons des raisins ; chez le chrétien, nous recherchons un tempérament digne de Son nom, une bonne disposition de cœur et une certaine activité spirituelle. Nous devons honorer Dieu, et pratiquer le bien, « porter du fruit ». Les rameaux stériles sont taillés et retranchés ; même l'élagage des sarments productifs est nécessaire. Nos idées, nos passions, et nos différentes humeurs ont besoin d'être « émondées » : Christ a promis de sanctifier les croyants, ils Lui en seront reconnaissants !

      La Parole de Christ est annoncée à tous les croyants ; elle possède une vertu purificatrice, elle œuvre en faveur de la Grâce et élimine la corruption. Plus nous amenons de fruits spirituels à maturité, plus nous abondons dans la pratique du bien, plus notre Seigneur est glorifié ! Pour porter du fruit, nous devons demeurer en Christ, rester en communion avec Lui, par la foi. Les Siens doivent veiller particulièrement à maintenir constamment leur dépendance envers le Maître, à rester toujours en communion avec Lui.

      Les véritables chrétiens découvrent par expérience, que toute faille de leur foi, fait décliner leurs saintes affections et ranime leurs corruptions : leurs consolations spirituelles diminuent alors.

      Ceux qui ne demeurent pas en Christ, même en cas de prospérité matérielle passagère, ne parviennent à rien de bon. Le feu est le moyen le plus adéquat pour traiter les sarments desséchés ; ils ne sont bons qu’à la destruction.

      Cherchons à vivre simplement dans la plénitude de Christ, à devenir plus fructueux, dans nos paroles comme dans nos actes ; que notre joie en notre Sauveur et Son salut puisse être parfaite !

      Jean 17

      Jean 18

      Actes 3

      Actes 4

      Romains 5

      Romains 15

      8 Christ a accompli toutes les prophéties et les promesses concernant les Juifs, si bien que les païens (les gentils) convertis n’ont aucune excuse quand ils méprisent ces derniers. Les païens, ayant constitué l'église, sont des frères, devant à la fois, pratiquer la patience et endurer la tribulation. Ils doivent louer Dieu.

      En appelant toutes les nations à louer le Seigneur, ce texte nous montre que toutes Le reconnaitront. Nous ne rechercherons jamais Christ tant que nous n'aurons pas confiance en Lui. Le déroulement complet du plan de la Rédemption est nécessaire, pour nous réconcilier, d’une part, les uns avec les autres, mais surtout, avec notre Dieu, plein de Grâce, pour qu'une espérance durable, dans la vie éternelle, par le biais de la sanctification et du réconfort du Saint-Esprit, puisse être atteinte. Nous ne pourrons jamais parvenir à un tel but par nos propres forces : là où abonde cette espérance, l'Esprit béni doit en recevoir toute la gloire.

      « De toute joie et de toute paix dans la foi » verset Romains 15:13* : ces éléments doivent bannir tous nos doutes et nos craintes, grâce à l'action puissante du Saint-Esprit !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      1 Corinthiens 15

      2 Corinthiens 1

      Ephésiens 2

      Colossiens 2

      Colossiens 3

      Hébreux 7

      Hébreux 9

      Hébreux 10

      19 L'auteur de l'épître ayant conclu la première partie de son exposé, continue maintenant, en soulignant l’application pratique de la doctrine.

      Comme les croyants ont obtenu un libre accès à la présence de Dieu, il leur appartient d'utiliser ce privilège. Grâce au sang de Jésus, offert en tant que sacrifice expiatoire, les chrétiens disposent de réels privilèges. Cette Nouvelle Alliance, qui révèle la sainteté et la Miséricorde infinies de Dieu, Celui qui pardonne, ne fut pas clairement comprise tant que la nature humaine de Christ, le Fils de Dieu, ne fut blessée et meurtrie pour nos péchés.

      Notre « chemin » vers le ciel passe par celui du Sauveur crucifié ; Sa mort est pour nous et pour tous ceux qui croient, le précieux chemin vers la vie. Ils doivent s'approcher de Dieu ; rester encore loin de Christ serait Le dédaigner. La phrase : « Le corps lavé d'une eau pure », est une allusion aux purifications exigées sous la loi : de même, l'emploi de l'eau qui purifie, dans le baptême, doit rappeler aux chrétiens que leur conduite doit rester sainte et pure.

      Puisque ces derniers ont obtenu toute consolation et Grâce de leur Père céleste, ils sont réconciliés et doivent observer en tous points la doctrine de Dieu, leur Sauveur. Les croyants doivent chercher comment être au service de leur prochain, en s'entraînant mutuellement à pratiquer avec ferveur, l’amour et les bonnes œuvres.

      La communion des saints est une grande aide, un privilège, et le moyen qui leur permet de rester fermes et de persévérer. Nous devons rester vigilants, au temps de l'épreuve, afin d’être armés pour persévérer dans notre fidélité au Seigneur. Un jour d’épreuve attend tous les hommes : le jour de leur mort.

      1 Pierre 1

      1 Pierre 2

      1 Pierre 3

      1 Jean 1

      1

      Les épîtres de Jean sont un exposé sur les principes du Christianisme, tant en termes de doctrine, comme de pratique. Le but est de réfuter et de mettre en garde les croyants contre les pratiques et les principes erronés et profanes, en particulier : vouloir nier la Divinité de Christ, ainsi que Ses souffrances et Sa mort, en tant que sacrifice d'expiation ; l’apôtre met en garde le lecteur contre ce prétexte que les croyants, étant sauvés par grâce, ne sont plus obligés d'obéir aux commandements de la Parole.

      Cette épître invite aussi tous ceux qui professent connaître Dieu, à entretenir une communion spirituelle avec ce Dernier, à croire en Lui, à marcher dans la sainteté, à s’écarter du péché, en montrant qu'une profession de foi « extérieure » n'est rien, sans les évidences d'une vie et d'une conduite pieuses. Elle aide également à cheminer plus loin : elle incite les véritables chrétiens à entretenir une communion avec Dieu et avec le Seigneur Jésus-Christ, en ayant de la constance dans une foi véritable, en toute pureté de vie.

      * L'apôtre adresse son épître aux croyants, avec des témoignages se référant à Christ, pour promouvoir leur bonheur et leur joie. (1 Jean 1:1-4) Il montre la nécessité de garder une vie de sainteté, pour avoir la communion avec Dieu. (1 Jean 1:5-10)

      1 Jean 1:1-4 « Ce qui était dès le commencement », cette Excellence non créée, éternelle, étant l’égale du Père, et qui parut un jour sous une nature humaine, pour le salut de pécheurs, est Christ, le grand sujet développé par l'apôtre, à l’intention de ses frères.

      Les apôtres ont connu Jésus et ont été témoins de Sa sagesse et de Sa sainteté ; ils ont constaté Ses miracles, Son amour et Sa miséricorde, pendant Ses quelques années passées ici-bas, jusqu'à ce qu'Il soit crucifié, pour les pécheurs, puis ressuscité des morts. Les disciples ont ensuite « touché » leur Maître, pour avoir la preuve totale de Sa résurrection.

      Christ, cette Personne divine, la Parole de vie, la Parole de Dieu, a paru sous une forme humaine, pour pouvoir devenir l'Auteur de la vie éternelle de toute l'humanité, par la rédemption de Son sang, et l'influence de son Esprit, capable de créer une nouvelle créature.

      Les apôtres ont témoigné de ce qu'ils avaient vu et entendu, afin que les croyants puissent partager leurs consolations et leurs avantages spirituels éternels. Ces derniers avaient ainsi un libre accès à Dieu le Père. Ils avaient une expérience heureuse de la Vérité dans leur âme, montrant ainsi l’excellence de leur vie spirituelle. Cette communion des croyants, avec le Père et le Fils, est initialisée et entretenue par l’influence du Saint-Esprit.

      Les bienfaits que Christ accorde ne sont pas comme les vaines possessions de ce monde, n’occasionnant que jalousies ; la joie et le bonheur d’être en communion avec Dieu sont suffisants pour que tous puissent en bénéficier. Tous ceux qui peuvent annoncer leur réelle communion avec le Père, désireront amener les autres à participer à la même bénédiction !

      1 Jean 2

      1 Jean 5

      6 Nous sommes souillés intérieurement et extérieurement, par le pouvoir et la pollution du péché, inhérents à notre propre nature.

      Pour assurer notre purification, nous pouvons être lavés en Jésus-Christ, par la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit.

      Certains pensent que nous avons dans ce texte deux sacrements : en premier lieu, le baptême d'eau, en tant que signe extérieur de notre régénération et de purification du péché par le Saint-Esprit ; et en second lieu, la Sainte Cène, en tant que signe extérieur de l'effusion du sang de Christ, et de notre réception par la foi, du pardon et de la justification. Ces deux moyens de purification étaient représentés dans l’Ancien Testament par les sacrifices et les diverses purifications.

      L’eau et le sang mentionnés dans ce texte, incluent tout ce qui est essentiel à notre salut. Par l'eau, notre âme est lavée et purifiée, en vue de notre départ vers le ciel et l'habitation des saints, dans la lumière. Par le sang, nous sommes justifiés, réconciliés, et présentés comme « justes » devant Dieu. Par le sang, la malédiction de la loi est satisfaite, l'Esprit purificateur est obtenu pour la purification interne de notre nature. L'eau et le sang, ont coulé du côté du Rédempteur sacrifié. Christ a aimé l'église, et S'est donné pour elle, afin de pouvoir la sanctifier et l'assainir, par « l'eau » de Sa parole, et pour que l’assemblée puisse se présenter à Lui dans un état glorieux, Eph 5:25-27.

      Tout cela a été réalisé par l'Esprit de Dieu, selon la déclaration du Sauveur. Il est l'Esprit de Dieu, et il ne peut pas mentir.

      Trois personnes ont donné leur témoignage, concernant ces doctrines, relatives à la personne et au salut de Christ : 1) Le Père, à maintes reprises, a déclaré, par une voix provenant du ciel, que Jésus est son Fils bien-aimé. 2) La Parole a déclaré également que le Père et le Fils sont « Un », et que quiconque a vu le Fils, a vu le Père. 3) Enfin, le Saint-Esprit, celui qui est descendu du ciel et s'est « posé » sur Christ, lors de Son baptême ; l’Esprit à également porté témoignage sur Lui, par tous les prophètes : Il a témoigné sur Sa résurrection et Son rôle de Médiateur et en accordant également aux apôtres, des pouvoirs miraculeux.

      Mais que ces faits soient relatés ou non, la doctrine de la Trinité est toujours solide et véridique. Dans l’enseignement fourni par les apôtres, en ce qui concerne la personne et le salut de Christ, nous disposons de trois témoignages : 1) Celui du Saint-Esprit : nous venons dans le monde avec un esprit corrompu, des dispositions charnelles et une certaine inimitié contre Dieu. Cette triste réalité est écartée par la régénération et la nouvelle naissance de l’âme, par le Saint-Esprit : c’est un témoignage au Sauveur ! 2) Celui de l'eau : ceci expose avec force la pureté du Sauveur et Son pouvoir purificateur. Cette pureté réelle et active, ainsi que la sainteté de Ses disciples, sont représentées par le baptême. 3) Celui du sang versé à la croix : Il a coulé pour notre rançon, et témoigne de la mort de Jésus-Christ ; ce sang a mis fin aux sacrifices de l'Ancien Testament. Les bienfaits procurés par son sang prouvent que Christ est bien le Sauveur du monde.

      Il n'est pas étonnant que celui qui rejette une telle évidence soit jugé en tant que blasphémateur de l'Esprit de Dieu. Ces trois témoignages existent dans un seul et même but et s'accordent en tous points !

      2 Jean 1

      Apocalypse 1

      Apocalypse 3

      7 Le Seigneur Jésus, « Le même » que Celui des chapitres précédents, a la clef du gouvernement et de l'autorité, « dans » et « sur » l'assemblée.

      Il ouvre différentes portes : - L'opportunité à Ses églises ; - L'expression à Ses serviteurs ; - La porte « d'entrée », Il ouvre le cœur.

      Il ferme également la porte : - Du ciel aux insensés, ceux qui sommeillent, bien loin de la Grâce ; - Des ouvriers d'iniquité, quel que soit leur degré de vanité et de vaine confiance.

      L'église de Philadelphie est complimentée, bien qu’un léger reproche lui soit adressé. Bien que Christ accepte ceux qui ne disposent que d'une force modeste, les croyants ne doivent pas se reposer pour autant, en se satisfaisant « de peu » ; ils doivent, au contraire, lutter, pour grandir dans la Grâce, en étant fermes dans la foi, en rendant gloire à Dieu !

      Christ est capable d’afficher Sa faveur envers Son peuple, afin que les ennemis de ce dernier soient forcés de Le reconnaître. Finalement, par la Grâce de Christ, ces personnes hostiles finiront par être moins menaçantes, ce qui peut les inciter à être admises dans la communion avec Son peuple.

      Christ promet de laisser Sa Grâce toujours disponible, à titre de récompense, pour la fidélité des Siens, même en période d’épreuve : « à quiconque a, il sera donné », Matthieu 13:12*.

      Ceux qui professent l'évangile en temps de paix, seront gardés par Christ à l’heure de tentation ; même la Grâce divine, qui les a rendus « fructueux » en temps de paix, les rendra fidèles au temps de la persécution. Christ promet une récompense glorieuse au croyant victorieux. Il sera un pilier monumental dans le temple de Dieu ; un monument de la Grâce divine, à la fois, libre et puissante ; ce racheté sera un « monument », qui ne pourra être détruit, ni ôté. Sur ce pilier sera écrit le « nouveau nom », celui de Christ !

      Toutes ces réalités révèleront que le croyant a mené « le bon combat », et qu'il a été victorieux !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      14 Laodicée était la dernière et la plus fautive des sept églises d'Asie. Dans ce texte, notre Seigneur Jésus se nomme lui-même « l'Amen », Celui qui est immuable et qui accomplit inéluctablement Ses desseins et Ses promesses. Christ attend des hommes qu'ils soient également immuables quant à leur conduite : combien de professeurs de la doctrine de l'évangile sont en effet ni froids, ni bouillants ; parfois, peut-être, restent-ils indifférents, face aux affaires importantes, et cependant, ardents et fervents dans les moindres !

      Une sévère punition est prononcée à l’encontre de cette église : ses membres donnent une fausse opinion de la chrétienté, laissant penser qu’il s’agit d’une religion profane ; par ce témoignage, certains pourraient conclure que le christianisme ne peut offrir de réelle satisfaction, sinon ses dirigeants n'auraient pas été si intransigeants, ou si prompts à rechercher le plaisir ou le bonheur dans le monde.

      L'autosuffisance est une des causes de cette tiédeur et de cette inconsistance de la religion : « parce que tu dis ». Quelle différence entre l’opinion de ces chrétiens sur eux-mêmes, et ce que pensait Christ à leur égard !

      Combien devrions-nous être prudents, afin de ne pas « abuser » notre âme ! En enfer, beaucoup de personnes pensaient être pourtant bien avancées sur le chemin du ciel... Implorons Dieu pour que nous ne puissions pas être séduits ni trompés par nous-mêmes ! Ceux qui enseignent la religion tombent facilement dans l'orgueil, devenant par là même charnels et conformistes.

      Dans cette église de Laodicée, les dirigeants étaient vraiment dans un état misérable : ils étaient pauvres, vraiment pauvres, alors qu'ils pensaient être riches ! Ils étaient incapables de discerner leur propre état, ni leur chemin, ni le danger qu’il pouvait encourir, cependant ils pensaient « voir ». Ils n'étaient pas parés de la justification, ni de la sanctification : ils étaient exposés au péché et à la honte ; leurs « haillons » les souillaient. Ils étaient pratiquement nus, sans maison ni abri, parce qu'ils étaient « sans Dieu », le Seul qui puisse donner repos et sécurité à l'âme.

      Christ donna une bonne recommandation à ces chrétiens coupables : heureux ceux qui suivent ce conseil, car tous les autres périront dans leurs péchés. Christ leur permet de savoir où se trouvent les vraies richesses, et comment ils peuvent les posséder. En fait, dans cette église, certaines valeurs, non capitales, devaient être abandonnées, afin de « faire place » aux véritables richesses : elle devait renoncer au péché et à sa confiance en elle-même, afin de pouvoir être remplie du « trésor caché » de Christ. Elle devait recevoir de ce Dernier, le vêtement blanc qu'Il avait acheté et qu'Il tenait à sa disposition, Sa propre Justice pour la justification, et Ses vêtements de sainteté pour la sanctification. L’assemblée de Laodicée devait se référer à la Parole de Dieu et à l’Esprit, afin que ses yeux puissent s’ouvrir et discerner le chemin qu’elle devait emprunter, et la fin qui lui était réservée.

      Examinons-nous nous-mêmes, selon la Parole de Dieu, et prions avec ferveur pour connaître l'enseignement du Saint-Esprit, afin que disparaissent notre fierté, nos préjugés, et nos convoitises du monde. Les pécheurs doivent prendre les réprimandes de la Parole de Dieu et Sa verge, comme les signes révélateurs de Son amour envers nos âmes.

      Christ se tient à la porte : Il frappe, par les bienfaits de Sa Providence, par les avertissements et l'enseignement de Sa Parole, et par l’influence de Son Esprit. Christ, dans Sa Grâce, se tient à la « porte » du cœur des pécheurs, par Sa Parole et Son Esprit. Ceux qui Lui ouvrent auront le bonheur de pouvoir jouir de Sa présence. Si ce qu'Il trouve chez cette âme, ne peut constituer qu'un maigre repas, ce qu'Il apporte, en revanche, sera l’objet d’un riche festin ! Le Seigneur apportera la fraîcheur de Sa Grâce et de Sa Consolation.

      Dans la conclusion de cette lettre à Laodicée, nous trouvons une promesse pour le croyant, celui qui est « vainqueur ». Christ subit Lui-même des tentations et des conflits : Il les a tous vaincus, devenant ainsi plus qu'un Conquérant ! Ceux qui sont rendus semblables à Christ, dans Ses épreuves, seront rendus semblables à Lui, en Gloire !

      Le chapitre se termine par un appel à la vigilance : ces différents conseils, convenant parfaitement aux églises auxquelles ils ont été adressés, sont très instructifs pour nous tous !

      Apocalypse 5

      8 C'est un sujet de joie pour le monde entier, de voir que Dieu traite avec les hommes, dans la Grâce et la Miséricorde, au travers du Rédempteur. En effet, Dieu gouverne le monde, non simplement en tant que Créateur, mais aussi comme notre Sauveur.

      Les harpes étaient des instruments de louange ; les coupes d'or étaient remplies de parfums, ou d'encens, qui sont les prières des saints : la prière et la louange doivent toujours aller de pair.

      Christ a racheté Son peuple de l'esclavage du péché, de la culpabilité, et de l’emprise de Satan. Il ne les a pas rachetés pour qu’ils retrouvent simplement la liberté, mais aussi pour qu’ils soient honorés et promus à des rangs élevés ; Christ les a fait rois et sacrificateurs : - Rois, pour gouverner sur leur propre esprit, pour vaincre le monde et le malin. - Sacrificateurs, pour leur donner un libre accès à Lui-même, et la liberté de faire des « sacrifices spirituels ».

      Quelles paroles pourraient mieux déclarer que Christ est, et doit être adoré avec le Père, par toutes les créatures, et ce, de toute éternité. Heureux ceux qui adoreront, loueront dans les cieux, et qui béniront à jamais l'Agneau, Celui qui les a délivrés et mis à part pour Lui-même, par son sang !

      Comme Tu es digne, Ô Dieu, Père, Fils, et Saint-Esprit, de nos plus grandes louanges ! Toutes les créatures doivent proclamer Ta grandeur, et adorer Ta majesté !

      Apocalypse 7

      9 Les premiers chrétiens, véritables « fruits » de l’évangile proclamé par Christ, ayant déjà parcouru le chemin qui mène à la rédemption, furent suivis plus tard par les « Gentils », qui remercient pour leur salut, Dieu et le Rédempteur, par des louanges triomphales.

      Dans notre adoration religieuse, nous nous approchons de Dieu, et ce, par le biais de Christ ; les pécheurs ne peuvent pas s’approcher du trône de Dieu, sans la présence de ce Médiateur.

      Les personnes formant cette grande foule étaient vêtues de robes blanches, représentant la justification, la sainteté, et la victoire ; elles avaient des palmes en leurs mains, tels des conquérants triomphants.

      Une telle apparition glorieuse, des fidèles serviteurs de Dieu, se produit après qu'ils aient mené le bon combat de la foi, et terminé leur course. (2Tim 4:7)*

      Avec une voix puissante, ils offraient à Dieu et à l'Agneau, la louange inhérente à leur salut merveilleux. Ceux qui bénéficient du bonheur éternel, doivent bénir à la fois le Père et le Fils ; ils le feront publiquement, avec ferveur ! Nous voyons que ce sera notre « occupation » dans les cieux, et nous devons commencer dès maintenant à préparer nos cœurs à cet effet, et désirer habiter ce lieu, où nos louanges, comme notre félicité, seront parfaits !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte ;

      13 Les chrétiens fidèles méritent notre considération et notre respect ; nous devons remarquer « les justes » ! Ceux qui désirent accroître leur connaissance, ne doivent pas avoir honte de chercher l'instruction, auprès de ceux qui peuvent la donner.

      Le chemin qui mène aux cieux traverse beaucoup de tribulations ; mais ces dernières, aussi grandes soient-elles, ne nous sépareront jamais de l'amour de Dieu. Le fait de subir la tribulation, nous fait mieux percevoir le côté attirant et la gloire du ciel.

      Ce n'est pas le sang des martyrs, mais le sang de l'Agneau, qui peut laver le péché, et rendre l'âme pure et propre, à la vue de Dieu ; un autre sang ne peut que tacher ; celui de l'Agneau est le seul qui puisse rendre blanches et propres, les robes des saints.

      Ces âmes, qui viennent de traverser la grande tribulation, sont heureuses dans leur fonction : le ciel est un lieu de service, sans souffrance ; on y trouve le repos, sans qu’il y ait de paresseux ; ce repos merveilleux est rempli de louanges ! Ces âmes ont souffert, elles ont versé beaucoup de larmes à cause du péché et de l'affliction de cette période ; mais Dieu Lui-même, de Sa propre main pleine de Grâce, essuiera avec soin toutes leurs larmes. Il agit avec eux comme agirait un tendre Père.

      Ce texte est un réconfort pour le chrétien, dans toutes ses épreuves. Compte tenu que tous les rachetés doivent leur bonheur à la souveraine Miséricorde, leur « ministère » céleste et leur adoration de Dieu, leur Sauveur, les occupent pleinement ; Sa Présence et Sa faveur envers les Siens, affermissent leur bonheur, ils ne peuvent concevoir aucune autre source de joie !

      Que le peuple du Seigneur puisse vraiment venir à Lui ; tous les Siens reçoivent la Grâce dont ils ont besoin ; que tous puissent Lui offrir leur louange et Lui rendre Gloire !

      Apocalypse 13

      Apocalypse 19

      11 Christ, la « Tête » glorieuse de l'église, est décrit dans ce texte, monté sur un cheval blanc, emblème de la justice et de la sainteté. Sur Sa tête se trouvent plusieurs diadèmes : Il est le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs. Il est revêtu d'un vêtement qui a été trempé dans son propre sang, ce qui lui permet d’être le Médiateur et de prévaloir sur Ses ennemis, qu’Il domine toujours.

      Son nom est « La Parole de Dieu », un nom que personne ne connaît complètement, excepté Lui-même ; le seul fait que nous connaissions vraiment, est que cette Parole était Dieu, et qu’Elle a été manifestée dans la chair ; toutefois, Ses perfections ne peuvent pas être encore complètement comprises par les simples créatures que nous sommes. Les anges et les saints Le suivent, et sont, comme Christ, revêtus d’une armure de pureté et de justice.

      Les menaces proférées sur ses ennemis sont écrites dans Sa Parole, elles s'exécuteront inexorablement. Ce qui caractérise Sa puissance est contenu dans Son nom : Son autorité et Son pouvoir sont affirmés, avertissant les princes le plus puissants d'avoir à se soumettre, et de devoir tomber à Ses pieds. Les puissances de la terre et de l'enfer tentent de faire d’ultimes efforts pour contrecarrer ce plan...

      Ces versets annoncent des événements importants, prédits par les prophètes. Les personnes mentionnées ici n'ont pas d’excuses quant à leur conduite : elles exécutaient ce que leurs dirigeants leur ordonnaient de faire. Combien sera vaine l’autodéfense de nombreux pécheurs au grand jour du Jugement : « nous avons suivi nos guides ; nous faisions comme nous avons vu faire les autres » !

      Dieu, dans Sa Parole, a donné une règle à suivre ; ni l'exemple de la majorité, ni nos dirigeants, ne doivent nous influencer pour déroger à cette règle ; si nous faisons « comme tout le monde », nous devrons aller là où va le plus grand nombre, dans l'étang de feu...

      Apocalypse 20

      Apocalypse 22

      1

      Description de l'état céleste, sous les images de l'eau de l'arbre de vie, avec le trône de Dieu et de l'Agneau. (Apocalypse 22:1-5)
      L'accomplissement véritable et certain de toutes les visions prophétiques, le Saint-Esprit, l'épouse, et l'église, appellent et disent : « viens ». (Apocalypse 22:6-19)
      La bénédiction finale. (Apocalypse 22:20,21)

      Tous les « courants d’eaux » du réconfort terrestre sont boueux ; mais ceux mentionnés dans ce texte sont limpides, et rafraîchissants. Ils donnent la vie à ceux qui en boivent, et leur permettent de la conserver éternellement.

      Ce passage souligne la vive influence sanctifiante du Saint-Esprit, accordée aux pécheurs, par le biais de Christ. Le Saint-Esprit, en harmonie avec le Père et le Fils, attribue le salut à notre âme, par son Amour et sa Puissance régénératrice.

      L’arbre de la vie est alimenté par les eaux pures du fleuve qui provient du trône de Dieu. La présence de Dieu dans le ciel procure la santé et le bonheur aux saints. Cet arbre est une image de Christ, et de toutes les bénédictions que procure Son salut ; ces « feuilles guérissant les nations », signifient que la faveur et la présence du Seigneur procurent le bien aux habitants de ce monde béni.

      Le diable ne dispose d’aucun pouvoir en cet endroit céleste ; il ne peut pas empêcher les saints de servir Dieu, et il ne peut pas les perturber dans leur service auprès du Père. Dieu et l'Agneau sont ici décrits comme formant une unité. Le service divin accompli en cet endroit ne sera pas uniquement le symbole de la liberté, mais aussi de l'honneur et de l'autorité.

      Il n'y aura plus de nuit, ni de détresse, ni de découragement ; aucune pause n’interrompra le service divin, pour procurer de la détente : aucune diversion ni plaisir inventés par l'homme ne seront alors nécessaires !

      Quelle différence avec toutes ces représentations humaines, simplistes et grossières, du bonheur céleste, en particulier celles qui se rapportent aux plaisirs de l’esprit terrestre !

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