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32
Le méchant épie le juste et cherche à le faire mourir,
6
Mes ennemis disent méchamment de moi : « Quand mourra-t-il ? Quand s’éteindra son nom ? »
4
Jusqu’à quand vous jetterez-vous sur un homme pour chercher tous à l’abattre comme un mur qui penche, comme une clôture qui s’écroule ?
5
pour tirer en cachette sur celui qui est intègre. Soudain ils tirent sur lui, sans éprouver la moindre crainte.
6
Ils se fortifient dans leur méchanceté, ils se concertent pour tendre des pièges, ils disent : « Qui les verra ? »
7
car il calcule au fond de lui : « Mange et bois », te dira-t-il, mais son cœur n'est pas avec toi.
20
En effet, l’homme violent ne sera plus là, le moqueur aura disparu. Ils seront éliminés, tous ceux qui n’attendaient qu’une occasion pour faire le mal,
21
ceux qui condamnaient un homme pour un mot, tendaient des pièges à celui qui défendait sa cause à la porte de la ville et écartaient le juste par des accusations sans fondement.
10
En effet, j’entends les calomnies de plusieurs, la terreur règne de tous côtés : ‘Dénoncez-le !’ou : ‘Nous le dénoncerons !’Tous ceux qui étaient en paix avec moi m’observent pour voir si je vais trébucher : ‘Peut-être se laissera-t-il surprendre, alors nous serons plus forts que lui et nous nous vengerons de lui !’
11
» Cependant, l'Eternel est avec moi, pareil à un héros redoutable. C'est pourquoi mes persécuteurs trébucheront, ils ne seront pas les plus forts. Leur honte sera grande car ils ne réussiront pas, ils seront déshonorés pour toujours, et cela ne s'oubliera pas.
2
Ils observaient Jésus pour voir s'il le guérirait le jour du sabbat : c'était afin de pouvoir l'accuser.
7
Les spécialistes de la loi et les pharisiens observaient Jésus pour voir s'il ferait une guérison le jour du sabbat, afin d'avoir un motif pour l'accuser.
34
Le Fils de l'homme est venu, il mange et il boit, et vous dites : ‘C'est un glouton et un buveur, un ami des collecteurs d’impôts et des pécheurs.’
35
Mais la sagesse a été reconnue juste par tous ses enfants. »
36
Un pharisien invita Jésus à manger avec lui. Jésus entra dans la maison du pharisien et se mit à table.
37
Pendant que Jésus parlait, un pharisien l'invita à dîner chez lui. Il entra et se mit à table.
53
Comme il leur disait cela, les spécialistes de la loi et les pharisiens commencèrent à s'acharner contre lui et à le faire parler sur bien des sujets ;
54
ils lui tendaient des pièges pour surprendre une parole sortie de sa bouche [afin de pouvoir l'accuser].
1
Un jour de sabbat, Jésus était allé dans la maison de l'un des chefs des pharisiens pour prendre un repas, et les pharisiens l'observaient.
20
Ils se mirent à observer Jésus et ils envoyèrent des hommes qui faisaient semblant d'être des justes pour le prendre au piège de ses propres paroles, afin de le livrer au pouvoir et à l'autorité du gouverneur.
1
Or, il y avait parmi les pharisiens un homme du nom de Nicodème, un chef des Juifs.
34
Mais un pharisien du nom de Gamaliel, professeur de la loi estimé de tout le peuple, se leva dans le sanhédrin et ordonna de faire sortir un instant les apôtres.
19
En effet, bien que libre vis-à-vis de tous, je me suis fait l’esclave de tous afin de gagner le plus grand nombre.
20
Avec les Juifs, j'ai été comme un Juif afin de gagner les Juifs ; avec ceux qui sont sous la loi de Moïse, comme si j'étais sous la loi [– bien que n’étant pas moi-même sous la loi –] afin de gagner ceux qui sont sous la loi ;
21
avec ceux qui sont sans la loi, comme si j'étais sans la loi – bien que je ne sois pas sans la loi de Dieu, puisque je me conforme à la loi de Christ – afin de gagner ceux qui sont sans la loi.
22
J'ai été [comme] faible avec les faibles afin de gagner les faibles. Je me suis fait tout à tous afin d'en sauver de toute manière quelques-uns,
1 à 24 Repas chez un pharisien. Parabole du souper.
Grec : manger du pain, hébraïsme qui signifie prendre un repas.
Le pharisien qui l'avait invité avec beaucoup d'autres convives (verset 7) est désigné comme l'un des chefs de ce parti, à la fois politique et religieux, (Matthieu 3.7, note) d'où l'on a conclu qu'il devait être membre du sanhédrin.
Cela ne ressort pas nécessairement du terme de l'original ; il pouvait être simplement l'un des plus influents du parti.
- Jésus, selon sa coutume, (Luc 7.36 ; 11.37 et ailleurs) accepte cette invitation, même en un jour de sabbat.
L'hostilité décidée que manifestaient alors les pharisiens contre Jésus donne à cette acceptation un caractère tout particulier de support et de charité.
Ils étaient là, l'observant ; c'est-à-dire que d'autres pharisiens, également invités, (verset 7) épiaient le Sauveur, de même que le faisait le maître de la maison, pour le surprendre en quelque faute contre la loi du sabbat. Peut-être même avaient-ils déjà aperçu le malade qui se trouvait là et pensaient-ils que Jésus le guérirait.
Christ guérit un homme, le jour du sabbat. (Luc 14:1-6)
Ce pharisien, en invitant Jésus dans sa maison, semblait être animé, comme tant d'autres, de mauvais desseins. Mais notre Seigneur ne pouvait s’empêcher de guérir cet homme, même en sachant que des reproches lui seraient faits au sujet de cette guérison, faite un jour de sabbat.Il exhorte à nous revêtir d'humilité. (Luc 14:7-14)
La parabole du grand dîner. (Luc 14:15-24)
La nécessité de la considération et du désintéressement. (Luc 14:25-35)
Il convient de bien comprendre « l’osmose » qu'il y a entre la piété et la charité quand on respecte le jour du sabbat ; il faut aussi savoir distinguer, en ce jour particulier, la limite entre la pratique journalières des tâches de réelle nécessité et nos propres habitudes hebdomadaires.
La sagesse d'en haut nous enseigne à persévérer patiemment dans l’accomplissement des bonnes œuvres.