La Cène
As-tu déjà entendu parlé de la Cène ou la Sainte-Cène ? ►ABONNE-TOI : http://bit.ly/quoidneufpasteu r (merci) La chaine d'Aurélien : …
La sainte cène
Le mot " cène " vient du latin " cena " qui signifie " repas du soir ". Ce mot …
Peut-on prier en tous lieux ?
Y a t-il des lieux spécifiques pour prier, ou peut-on rencontrer Dieu et communiquer avec lui à n’importe quel endroit …
Pâques Pâque, pascha, Pessa’h.
Un peu d’étymologie pour introduction : Pâque vient du latin populaire pascua, ‘nourriture’, du verbe pascere’ paître’. Mais aussi du …
Didier Biava : La valeur du sang de Jésus dans notre vie.
Sans aucun doute , le sang de Jésus le Christ est le cadeau le plus précieux que notre Père merveilleux …
Nous sommes le peuple d'alliance
Jér 31.33, Mt 26.28 Jér 31.31-33 31 Voici que les jours viennent, –– Oracle de l’Éternel, Où je conclurai avec …
Amazing Grace et ses limites
La merveilleuse grâce de Dieu a des limites. Nous les découvrirons au travers de la vie de Judas Iscariot. Nous …
Il a tellement subit - Lecture du jour #19 - Matthieu 26
Série spéciale été : suis-moi dans ma lecture quotidienne Lecture du jour Matthieu 26, clique sur le lien ci-dessous pour …
Légendaire Emjy - Le Dieu de l'impossible
J'ai entendu, lu et cru que "Rien n'est impossible à Dieu". Aujourd'hui, je l'ai vécu ! " Vos pensées ne …
Prier avec les Psaumes - la prière partie 3 #11
►ABONNE-TOI : http://bit.ly/2lt65WY (merci) Pour télécharger gratuitement mon eBook sur les psaumes : http://facebook.us15.list-manage.com/subscribe?u=9b3d3040d7c4b9544ebdebcfe&id=9fd0b1883e Les psaumes sont une véritable source …
Un coeur dévoué
Ce message parle d’un roi peu connu dans la Parole de Dieu. Il se se trouve dans le 2ème livre …
Va dans ta chambre #13 - Le mensonge
#VDTC #MLKCollège #MLKChezVous By MLK Collège Vous pouvez nous suivre sur notre compte instagram : mlk_collège, abonnez-vous, on échange chaque …
Arrestation et procès de Jésus
L’arrestation de Jésus est un moment pathétique et en même temps glorieux. ( Matthieu 26 ) Pathétique parce que Judas …
Gethsémané
Durant les six derniers jours de sa vie terrestre, Jésus réside à Béthanie avec ses disciples. Pour aller de Béthanie …
M'attendre à...
Il y a des artistes aux multiples facettes qui ne cesseront jamais de nous surprendre. Avec leur engagement vis-à-vis de …
Parle-moi d'amour
Voici un mot bien populaire, qui a fait perdre la tête à bien de générations : L’AMOUR. Il possède quantité …
Parle-moi d'amour !
Voici un mot bien populaire, qui a fait perdre la tête à bien de générations : L’AMOUR. Il possède quantité …
Top 5 web leaders #2
1 – Inspiration : Découvrez une application pour créer des fonds animés pour vos annonces, chants et prédications : https://shiftworship.com/creator/ …
Jean-Marie Ribay - Dominer la peur
La première émotion mentionnée explicitement dans la Bible est la peur : "J'ai eu peur..." répond Adam à l'Eternel qui …
Croiser son regard
«Croiser Son Regard» (2014) est le deuxième opus du groupe A6. Cette oeuvre composée de 5 titres évoque un style …
Accrocher au rocher !
Après le retrait de la marée, avez-vous déjà remarqué les algues marines cramponnées aux rochers? L’une d’elles, le Fucus, ressemble …
Raymond Houle - Peut-on connaître le jour de la fin du monde ?
Dans cet enseignement, Raymond Houle s'applique à démontrer que le monde ne peut pas connaître le jour de la fin …
Le Royaume de Dieu: Le Triomphe du Royaume - Ivan Carluer (6/7)
Le Royaume de Dieu est proche: Le Triomphe du Royaume Matthieu 16-28: En plein cœur du combat, le Roi sacrifie …
Matthieu 14–28 - Synthèse
Redécouvrez le livre de Matthieu à travers notre série Lire les Ecritures, et saisissez la logique reliant la conception littéraire …
Les fatigues de l'existence
Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos ! Dit Jésus Evangile …
Renversez les forteresses !
Abattue, angoissée ou apeurée, découragée : avez-vous remarqué que bien souvent, tout commence dans la pensée ?... Il m’est arrivé …
Un fardeau trop lourd
"Je ne peux pas, tout seul, supporter le fardeau que représente ce peuple. C’est trop pour moi !" Nombres 11.14 …
La crainte de Dieu est une source de vie
Trop peu de gens réalisent à quel point la crainte de Dieu est quelque chose d’extraordinaire, mais surtout de vital …
Rends-moi la vue Seigneur !
« (Exode 13v 21) Et la nuée, marchait devant eux le jour… une colonne de feu éclairait le campement… (Exode …
Smetana - Drive In #03 (la tuile)
Série de courtes méditations. La voiture, huis-clos idéal de la réflexion ? #03 - la tuile Dans nos vies, soudain …
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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
1° Le père de famille rendait grâce pour le vin et pour la fête, et mettait en circulation une première coupe.
2° On apportait une table chargée d'herbes amères, trempées dans du vinaigre et de l'eau salée, des pains sans levain, de l'agneau rôti et de la sauce appelée charoset. (verset 23, note.) Après avoir prononcé une formule de bénédiction, le père de famille prenait quelques herbes amères, les trempait dans la sauce et les mangeait ; les autres convives suivaient son exemple. Sur une question du fils aîné, le père indiquait la signification de ce festin et de tous les plats qui le composaient. On chantait les Psaumes Psaumes 113 et Psaumes 114. La seconde coupe circulait.
3° Le père, après une ablution de ses mains, prenait deux pains, en rompait un, et en plaçait les morceaux sur l'autre, prononçait une bénédiction, puis enveloppait l'un des morceaux d'herbes amères, le trempait dans la sauce et le mangeait avec un morceau de l'agneau. C'était le signal du repas proprement dit, qui se prolongeait au gré des convives. La conversation était libre. Le père de famille mangeait le dernier morceau de l'agneau, se lavait les mains et distribuait la troisième coupe, appelée "coupe de bénédiction."
4° On chantait les Psaumes Psaumes 115 à Psaumes 118 et une quatrième coupe circulait. (Comparer E. Stapfer, La Palestine, p. 425.)
Ces mots : comme ils mangeaient, désignent, aussi bien qu'au verset 21, le moment plus libre du repas qui suivait la célébration cérémonielle de la Pâque.
Luc et Paul (Luc 22.20 ; 1Corinthiens 11.25) disent que Jésus donna la coupe après le souper. Ils entendent sans doute la troisième coupe et c'est pour cela que l'apôtre l'appelle "la coupe de bénédiction." (1Corinthiens 10.16)
Le texte reçu dit : "Jésus prit le pain." L'article (le) n'est pas authentique. Il ne s'agit point d'un pain spécial destiné à la cène, mais d'un quelconque des pains qui se trouvaient sur la table.
- Au lieu des mots : ayant prononcé une bénédiction (grec ayant béni), plusieurs manuscrits portent : ayant rendu grâce, comme au verset 27. C'est aussi le terme employé par Luc et par Paul. (1Corinthiens 11.24)
L'usage de rendre grâce avant la cène se conserva dans l'Eglise ; de là est venu le nom d'eucharistie (action de grâce), par lequel on désignait la communion. Dans la célébration de la Pâque, le père de famille, en prenant le pain, disait : "Béni soit celui qui produit le pain du sein de la terre." On a quelquefois pensé que ce fut par ces paroles que Jésus bénit le pain. Cela n'est pas probable. Il exprima sans doute du fond de son cœur des sentiments nouveaux, conformes à la grâce nouvelle qu'il communiquait.
- Ce pain, il le rompit ; action symbolique, comme tous les traits de cette institution ; elle indiquait que le corps du Sauveur allait être rompu, brisé par la souffrance et par la mort. Le même usage symbolique se conserva dans l'Eglise apostolique, où la cène s'appelait la "fraction du pain." (Actes 2.42)
L'emploi d'une hostie a donc été plus tard une dérogation à la vérité de ce symbole.
Ceci désigne simplement le pain que Jésus tenait dans sa main et distribuait aux disciples. Le mot est, sur lequel on a tant discuté, n'était point exprimé dans la langue que le Sauveur parlait (l'araméen).
En disant : mon corps "donné pour vous" (Luc 22.19) et ensuite : mon sang "répandu pour la rémission des péchés," Jésus désignait à ses disciples sa personne, sa vie, qu'il allait livrer comme rançon pour plusieurs. (Matthieu 20.28)
Comme Jésus était présent et vivant au milieu d'eux, en prononçant ces paroles, il est évident qu'il ne pouvait pas matériellement leur donner son corps à manger et son sang à boire, et qu'ainsi ces paroles étaient prononcées dans un sens symbolique.
Mais sous ce symbole il y avait une profonde réalité. Jésus ne montre pas seulement à ses disciples les signes sacrés de son corps et de son sang, mais il dit : Prenez, mangez. Or, cela aussi est symbolique ; c'est l'acte d'une appropriation intérieure et personnelle de toute l'efficace du sacrifice qui allait s'accomplir par la mort du Sauveur ; de sorte que celui qui fait cet acte par une foi vivante en lui, entre dans la communion réelle du corps et du sang de Christ. (1Corinthiens 10.16)
Mais ce Christ, "livré à cause de nos offenses," est aussi "ressuscité à cause de notre justification ;" (Romains 4.25) il est vivant, glorifié, et à celui qui fait une vraie communion avec lui, il se donne avec toute l'efficace de sa mort et toute la réalité de sa vie. (Jean 6.51-58) Nous trouvons donc dans la cène du Seigneur, comme dans tout l'Evangile :
1° Christ "pour nous," sa mort expiatoire, son sacrifice représenté, offert à l'homme pécheur ;
2° Christ "en nous," c'est-à-dire se donnant, s'unissant à nous, devenant la nourriture, la force, la vie de notre âme, aussi réellement que le pain et le vin deviennent la nourriture, la force, la vie du corps.
Toutes les communions chrétiennes sont d'accord sur cette signification essentielle de la cène, elles diffèrent sur le "comment" de la présence de Christ et de sa communication aux fidèles. Or ce "comment" est un mystère dont l'intelligence n'est point nécessaire à l'édification.
Cette ordonnance du « repas du Seigneur » représente pour nous le repas de la Pâque, par lequel nous commémorons une délivrance bien plus grande que celle d'Israël, fuyant alors, le pays d'Égypte.
« Prenez, mangez » ; acceptez de Christ ce qui vous est offert ; recevez l'expiation, l'approbation, la soumission à Sa Grâce et à Son autorité.
Une nourriture que l'on regarde uniquement, la contemplation d’un plat, aussi garni soit-il, ne nous nourriront pas ; il faut le consommer : il en est ainsi de la doctrine de Christ.
« Ceci est mon corps » ; il s’agit, de manière spirituelle, du corps de Christ. Nous partageons tous les bénéfices du soleil : non pas qu’il soit disponible entre nos mains, mais par les rayons qu'il nous envoie ; de la même manière, nous partageons la Personne de Christ, étant participant à sa Grâce, et aux fruits bénis que procure Son corps brisé.
Le sang de Christ est représenté par le vin. Jésus a rendu grâces, pour nous enseigner à porter spirituellement notre regard vers Dieu, que ce soit pour le pain ou pour le vin. Jésus donna cette coupe aux disciples, avec un ordre : « buvez-en tous ».
Le pardon des péchés est une grande bénédiction qui, dans le repas du Seigneur, est conférée à tous les véritables croyants ; ce pardon est d’ailleurs le fondement de toutes les autres bénédictions.
Pour conclure cette communion spirituelle, le Seigneur, en mentionnant le fruit de la vigne, assure à Ses disciples qu’Il s’unira de nouveau avec eux, à la fin des temps : « jusqu'au jour où j'en boirai du nouveau avec vous », dit Il ; on peut interpréter ces paroles dans le sens où le Seigneur Jésus partagera avec les saints, les joies et les gloires de Son Royaume futur. Ce sera en fait le Royaume de son Père ; le « vin de consolation » sera présent, toujours nouveau.
Tandis que nous contemplons le corps brisé de Christ, et Son sang versé pour la rémission de nos péchés, rappelons-nous ce que la fête de la Pâque Lui a coûté : Il nous a littéralement donné « Sa chair à manger » et « Son sang à boire ».