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Matthieu 5.28

Eh bien, moi je vous le dĂ©clare : si quelqu’un jette sur une femme un regard chargĂ© de dĂ©sir, il a dĂ©jĂ  commis, dans son cƓur, un adultĂšre avec elle.
Mais moi je vous dis : Tout homme qui regarde une femme pour la convoiter a dĂ©jĂ  commis un adultĂšre avec elle dans son cƓur.
but I tell you that everyone who gazes at a woman to lust after her has committed adultery with her already in his heart.
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      GenĂšse 34

      GenĂšse 39

      7 La beautĂ© chez les hommes ou les femmes, est souvent un piĂšge qui interdit toute fiertĂ© Ă  cet Ă©gard, et exige une vigilance constante envers toute tentation qui pourrait survenir. Nous avons grand besoin de maĂźtriser nos yeux, de peur que les dĂ©sirs qu'ils font naĂźtre en nous ne finissent par infecter notre cƓur. Quand le luxe et l'aisance sont maĂźtres de toutes choses, la dĂ©cence, la rĂ©putation et la conscience peuvent ĂȘtres rĂ©duites Ă  nĂ©ant. L'Ă©pouse de Potiphar a prouvĂ© que son cƓur Ă©tait entiĂšrement vouĂ© au mal. Quand Satan a constatĂ© qu'il ne pouvait vaincre Joseph par les Ă©preuves matĂ©rielles, il l'a attaquĂ© avec une arme redoutable : les plaisirs des sens, qui ont vaincu beaucoup d'Ăąmes. Mais Joseph, par la grĂące de Dieu, a pu rĂ©sister et surmonter cette tentation ; sa rĂ©sistance envers cette femme a Ă©tĂ© la dĂ©monstration de la Puissance divine, cette mĂȘme Puissance qui a dĂ©livrĂ© Daniel et ses compagnons de la fournaise ardente.

      Joseph aurait pu facilement tomber et commettre ce péché. Le tentateur, dans ce texte, était sa maßtresse ; une fois ce péché commis, Joseph aurait pu jouir d'un certain appui supplémentaire, de la part de cette femme, pour son avancement. Refuser ses avances, plaçait Joseph dans une situation plus que Périlleuse ; il a fait de cette femme son ennemi. Le lieu et le moment étaient favorables à cette tentation. De plus, Joseph était constamment sollicité par cette femme. La grùce toute puissante de Dieu a permis à Joseph de surmonter cet assaut de l'ennemi. Le patriarche a donné priorité à Dieu et au respect dû au maßtre de la maison. Nous sommes liés tant par l'honneur que par la justice et la gratitude, afin de ne pas pratiquer le mal en secret envers ceux qui placent leur confiance en nous.

      Joseph n'a pas voulu offenser son Dieu. Il faut souligner trois points par lesquels Joseph s'est distingué :

      1) Il a constaté qu'il était la victime de cette tentation. Il s'est souvenu qu'il était engagé envers Dieu et qu'il a témoigné aux autres sa piété. 2) Ce péché a bien été l'objet de cette tentation. D'autres auraient pu minimiser la gravité de cette faute, Joseph l'a trÚs bien évaluée ; il faut appeler le péché par son propre nom et ne jamais l'amoindrir. Que les fautes de cette nature soient toujours considérées comme étant l'objet d'une terrible gravité ! 3) En fait, c'est contre Dieu que Joseph aurait péché. L'iniquité est contre Dieu, contre Sa nature et Sa domination, contre Son amour et Ses plans. Ceux qui aiment Dieu haïssent le péché.

      La grùce de Dieu a permis à Joseph de surmonter la tentation, tout en évitant la colÚre. Il n'est pas resté au stade de cette tentation, mais il s'en est rapidement éloigné, il s'est échappé, pour sauver sa vie.

      Si nous professons de ne pas vouloir commettre l'iniquité, fuyons comme l'oiseau qui a décelé le piÚge, comme une jeune proie qui a repéré le chasseur.

      13 La maßtresse de Joseph, ayant essayé en vain de le faire fauter, a tenté de se venger : ceux qui ont rompu les liens de la modestie, ne seront jamais retenus par ceux de la vérité. Il n'est pas nouveau que le meilleur des hommes soit faussement accusé de crimes, par le pire des tueurs. Il est bon de savoir qu'un jour, tout finira par se savoir, que tout sera révélé.
      19 Le maßtre de Joseph a cru l'accusation prononcée par son épouse. Il est probable que Potiphar ait choisi cette prison à cause de la fermeté de sa discipline ; mais Dieu a conçu ce cheminement pour préparer la destinée merveilleuse de Joseph. Ce dernier a été gardé et conduit par son Dieu. Le patriarche était loin de tous ses amis et de toute sa famille ; il n'y avait personne pour l'aider ou le réconforter ; mais le Seigneur était avec Joseph, et lui a révélé Sa miséricorde. Les innocents qui sont en prison doivent savoir que Dieu est à leur cÎté. Dans notre texte, Dieu a fait remarquer Joseph par le garde de la prison ; ce gardien lui a fait confiance pour contrÎler les affaires de la prison.

      Un homme pieux fera du bien partout oĂč il se trouve, et sera une bĂ©nĂ©diction, mĂȘme dans les liens et l'exil. N'oublions pas, au travers de cette histoire de Joseph, de regarder Ă  JĂ©sus, Celui qui a souffert, Ă©tant tentĂ© et n'ayant pas pĂ©ché ; JĂ©sus a Ă©tĂ© calomniĂ©, persĂ©cutĂ© et emprisonnĂ©, sans cause ; par la croix, Il est montĂ© ensuite sur Son trĂŽne.

      Puissions-nous suivre le mĂȘme cheminement, dans la soumission et dans la souffrance, en ayant comme espĂ©rance, la Gloire cĂ©leste !

      Exode 20

      2 Samuel 11

      Job 31

      1

      Job annonce sa droiture. (Job 31:1-8)
      Son intégrité. (Job 31:9-15)
      Sa clémence. (Job 31:16-23)
      Job n'est pas coupable de convoitise ni d'idolĂątrie. (Job 31:24-32)
      Job n'est pas coupable d'hypocrisie ni de violence. (Job 31:33-40)

      Dans ce texte, Job n'a pas parlĂ© des choses dont il aurait pu se vanter, il a simplement rĂ©pondu aux attaques qu'il a essuyĂ©es, quant Ă  son hypocrisie. Le patriarche discernait bien la nature spirituelle des commandements divins, sondant les pensĂ©es et les intentions du cƓur. Il n'est de meilleur tĂ©moignage que celui de notre conduite ; cependant, Ă  certains moments, il ne faut pas hĂ©siter Ă  clamer notre innocence devant Dieu, quand des crimes nous seraient faussement attribuĂ©s. Les plaisirs de la chair et de l'amour du monde sont deux pierres d'achoppement, contre lesquelles beaucoup butent et succombent.

      Job annonce clairement sa vigilance Ă  l'Ă©gard de telles dĂ©viations. Dieu s'approche davantage de nous lorsque nous abandonnons nos propres voies ; marchons donc avec circonspection. Le patriarche a soigneusement Ă©vitĂ© la recherche de guĂ©rison par le biais des sciences occultes. Il redoutait les bĂ©nĂ©fices et les plaisirs dangereux de tels procĂ©dĂ©s. Sachons prendre sereinement tout ce qui nous est offert ici-bas, Ă  condition que tout cela soit fait honnĂȘtement. Si nous n'observons pas une stricte honnĂȘtetĂ© et une grande fidĂ©litĂ© dans tous nos actes, nous ne pourrons pas bĂ©nĂ©ficier alors de la faveur divine. Combien de dirigeants sont hĂ©las incapables de saisir de telles vĂ©ritĂ©s !

      9 Les souvenirs qui retracent la vie Ă©manent parfois d'un cƓur déçu. Le luxe est un feu qui dĂ©vore l'Ăąme. Ceux qui s'y adonnent courent droit Ă  leur fin. Ce feu consume tout ce que l'on peut trouver de bon ici-bas, il dĂ©truit la conscience. Il embrase la colĂšre divine ; si l'on n'est pas immunisĂ© par le sang de Christ, il nous mĂšne tout droit vers la destruction Ă©ternelle. Ce feu consume le corps ; il consume toute matiĂšre.

      Tout ce qui concerne le luxe ici-bas ne peut apporter que des jugements cĂ©lestes sĂ©vĂšres. Job avait de nombreux biens, il savait bien les gĂ©rer. Il Ă©tait persuadĂ© de l'existence de son MaĂźtre dans les cieux ; parce que nous sommes tentĂ©s de penser que Dieu est sĂ©vĂšre avec nous, nous devrions chercher Ă  ĂȘtre plus clĂ©ments avec ceux Ă  qui nous avons Ă  faire.

      Psaumes 119

      Proverbes 6

      Matthieu 5

      Matthieu 7

      Romains 7

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir Ă  la connaissance du pĂ©chĂ©, essentielle Ă  la repentance, Ă  la paix du cƓur et au pardon divin, qu'en Ă©prouvant notre cƓur et en vivant selon les prĂ©ceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apĂŽtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilitĂ©, au sujet de ses pensĂ©es, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « rĂ©fĂ©rence morale » a montrĂ© combien son cƓur et sa vie Ă©taient imparfaits, prouvant par lĂ  que ses pĂ©chĂ©s Ă©taient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en mĂȘme temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de misĂ©ricorde ni de grĂące, nĂ©cessaire Ă  son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nĂ©cessitĂ©, hors de portĂ©e par ses propres forces, d’ĂȘtre purifiĂ© de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversitĂ© de son propre cƓur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour Ă  leur Ă©gard puisse parfois nous aveugler Ă  ce sujet.

      Plus un chrĂ©tien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apĂŽtre dĂ©crit dans ce texte, au sujet du vĂ©ritable croyant, qu’il s’agisse de ses premiĂšres convictions de pĂ©chĂ© jusqu'Ă  son plus grand progrĂšs dans la GrĂące, pendant son « sĂ©jour » ici-bas. Paul Ă©tait jadis pharisien, ignorant la spiritualitĂ© de la loi, mais ayant cependant une certaine puretĂ© de conduite, sans nĂ©anmoins connaĂźtre sa rĂ©elle dĂ©pravation intĂ©rieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui Ă©tait demandĂ©, il a constatĂ© que sa nature, coupable du pĂ©chĂ©, s'Ă©levait contre ces principes. Il ressentit Ă  ce moment le mal occasionnĂ© par le pĂ©chĂ© et constata Ă  quel point il Ă©tait coupable, incapable d'accomplir la loi : il Ă©tait pour ainsi dire, un criminel condamnĂ©.

      Mais bien que le mal, inhĂ©rent au cƓur humain, produise malgrĂ© tout une certaine culpabilitĂ©, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette derniĂšre est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au pĂ©chĂ©, qu'elle poursuit dans les confins du cƓur ; elle le rĂ©vĂšle et le blĂąme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraĂźtre bon dans le cƓur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La mĂȘme chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remĂšde mal utilisĂ© peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent Ă  nourrir ou Ă  guĂ©rir. La loi peut causer la mort, au travers de la dĂ©pravation humaine, mais c'est le pĂ©chĂ© qui en est le poison, Ă©tant Ă  l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le pĂ©chĂ©, « dĂ©masqué » par cette derniĂšre, qui a montrĂ© Ă  l’apĂŽtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du pĂ©chĂ© (qui mĂšne Ă  la ruine), et la culpabilitĂ© du cƓur humain, sont clairement montrĂ©s dans ce texte !

      14 ComparĂ© Ă  la sainte rĂšgle de conduite de la loi, inhĂ©rente Ă  la Parole de Dieu, l'apĂŽtre constate son propre Ă©loignement de la perfection spirituelle : il lui semblait ĂȘtre complĂštement charnel ; il pensait n’ĂȘtre qu’un homme, vendu contre son grĂ© Ă  un « maĂźtre dĂ©testé », duquel il ne pouvait obtenir la libertĂ©.

      Un vĂ©ritable chrĂ©tien sert involontairement ce maĂźtre honni ; il ne peut se dĂ©barrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de GrĂące, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le dĂ©livrer. Le mal qui subsiste en son cƓur est une rĂ©elle et humiliante entrave Ă  son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte tĂ©moignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du pĂ©chĂ©.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de saintetĂ© de l’apĂŽtre, de sa connaissance de la spiritualitĂ© de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent rĂ©sider en notre cƓur. De nombreux croyants ont adoptĂ© ces principes de l'apĂŽtre, montrant qu'ils conviennent Ă  leur aversion profonde du pĂ©chĂ©, et Ă  l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'Ă©tend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causĂ© par la dĂ©pravation de son ancienne nature. Il Ă©tait confrontĂ© frĂ©quemment Ă  de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa vĂ©ritable identitĂ© spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le pĂ©chĂ© qui demeurait en lui, l'apĂŽtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le cĂŽtĂ© nĂ©gatif de leurs iniquitĂ©s, mĂȘme celles condamnĂ©es par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y rÚgne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      Jacques 1

      2 Pierre 2

      1 Jean 2

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