Louange, adoration et prière à la maison - session 52 avec Sylvain Freymond
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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
6 et 7 Israël répond.
Il s'avoue coupable et demande seulement par quel moyen il pourra apaiser la colère de l'Eternel. Ce n'est pas directement à Dieu qu'il pose cette question, mais au prophète, interprète de sa volonté.
La première pensée qui se présente à lui, c'est de se servir du moyen que Dieu lui-même a institué pour entretenir la communion entre son peuple et lui : les sacrifices ; il se déclare prêt à accomplir pour lui être agréable toutes les œuvres extérieures qu'il pourra exiger.
Veaux d'un an : non que ce soient les seuls qu'il fût permis de sacrifier ; mais ils étaient réputés les meilleurs (Lévitique 9.3).
Ces versets semblent relater la faute d’Israël, qui consiste à avoir consulté Balak et Balaam, au lieu d’essayer d’obtenir directement les faveurs du Dieu vivant.
Une conviction profonde de péché, avec le courroux divin que cela entraîne, conduira les hommes à rechercher la paix et le pardon ; c’est le seul espoir pour eux.
Pour que Dieu soit satisfait de notre conduite, nous devons porter notre attention sur l'expiation de Christ, afin que notre péché, qui Lui déplait tant, puisse être effacé. Qu'est-ce qui peut satisfaire la justice de Dieu ? Au nom de qui pouvons-nous nous présenter devant Lui, puisque nous n'avons personne qui puisse plaider en notre faveur ? Comment oserions-nous paraître devant Lui, sans être justifiés ?
Les sacrifices offerts aux idoles par le peuple trahissaient son ignorance, malgré son zèle. Israël offrait ce qui était luxueux et coûteux.
Ceux qui sont totalement convaincus de leur péché, avec toute la souffrance que cela engendre et la prise de conscience du danger encouru, donneraient sans doute tout ce qu’ils possèdent pour retrouver la paix et le pardon divins. S’ils persistent dans leurs mauvaises voies, ils ne courent qu’à leur ruine...
Les sacrifices de l’Ancienne Alliance avaient une certaine valeur, par leur référence à celui, parfait, de Christ ; mais il était impossible que le sang des taureaux ou des boucs puissent effacer le péché. Toutes les « offrandes de paix », à part celles faites selon les directives de l'Évangile, sont absurdes. Les sacrifices de cette époque ne pouvaient pas répondre aux exigences de la Justice Divine, ni satisfaire le tort engendré contre Dieu par le péché, ni « assainir » le cœur.
Les hommes préfèrent se séparer de leurs richesses plutôt que de leurs péchés ; ils ne pourront rien faire par eux-mêmes, qui puisse les réconcilier avec Dieu. Les obligations morales de la Parole sont requises pour la bonne santé spirituelle de l'homme. Il y a grand intérêt à obéir aux commandements divins : Dieu ne cesse clairement de nous le rappeler.
Dieu n’exige absolument pas que nous payions quoi que ce soit pour le pardon de nos péchés et pour qu’Il nous accepte ; Il désire simplement que nous L’aimions et que nous nous approchions de Lui ; qu'y a-t-il de contraignant en cela ?
Chacune de nos intentions doit être soumise à Dieu, si nous voulons marcher en paix avec Lui. Nous devons faire cela dans un esprit de repentance et de dépendance envers le Rédempteur, en recherchant Son pardon.
Que le Seigneur soit béni ! Il est toujours prêt à accorder Sa grâce au pénitent qui L’attend humblement !