Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

1 Samuel 2.27

Un homme de Dieu se rendit vers Eli et lui dit : « Voici ce que dit l'Eternel : Ne me suis-je pas révélé aux membres de ta famille, lorsqu'ils étaient en Egypte et étaient esclaves du pharaon ?

  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Exode 4

      Exode 12

      1

      Le début de l'année est défini, La Pâque est instituée. (Exode 12:1-20)
      Les instructions de la Pâque sont données au peuple. (Exode 12:21-28)
      La mort des premiers-nés Égyptiens, Les Israélites se hâtent de quitter l'Égypte. (Exode 12:29-36)
      Le premier voyage des Israélites à Succoth. (Exode 12:37-42)
      Ordonnances de la Pâque. (Exode 12:43-51)

      Le Seigneur rend toutes choses nouvelles, envers ceux qui sont délivrés de l'emprise de Satan : désormais, Son peuple Lui appartient. Au moment où ce changement s'opère, les siens sont au seuil d'une nouvelle vie. Dieu a marqué ce point de départ : la nuit où les Hébreux quittèrent l'Égypte, chaque famille devait tuer un agneau, ou à la rigueur, un agneau pouvait servir pour deux ou trois familles modestes. Cet agneau devait être mangé suivant la manière indiquée par Dieu et le sang devait être aspergé sur le linteau de la porte, afin de différencier les maisons des Israélites de celles des Égyptiens.

      Alors qu'ils tuaient les premiers-nés d'Égypte, les anges de l'Éternel devaient passer « au dessus » des maisons désignées par le sang de l'agneau : d'où le nom de cette fête ou de cette ordonnance*. La Pâque devait être célébrée chaque année, à la fois, à titre commémoratif de la préservation et de la délivrance du peuple d'Israël, mais aussi comme image remarquable de la personne de Christ. La sécurité dont ils bénéficièrent ne fut pas due à leur propre droiture : ce fut un don miséricordieux. Par ce rappel annuel, le peuple devait se souvenir que toutes les bénédictions proviennent de l'effusion et de l'aspersion du sang.

      Observons les points suivants : - L'agneau pascal était vraiment typique. Christ est notre Pâque, 1Corinthiens 5:7. Christ est l'Agneau de Dieu, Jean 1:29 ; il est souvent appelé dans l'Apocalypse, « l'Agneau ». Ce nom est de la première importance. Christ s'est offert Lui-même : il était conscient, en pleine force de l'âge et non pas un bébé, à Bethlehem. L'agneau de la Pâque devait être sans défaut ; le Seigneur Jésus était un Agneau sans taches : le Juge qui l'a condamné a déclaré qu'Il était innocent. L'agneau pascal devait être mis à part, pendant quatre jours ; le Seigneur Jésus, Lui aussi, destiné à devenir notre Sauveur, a été mis à part : c'était à la fois le but et l'objet de la Promesse divine. L'agneau pascal devait être préparé et rôti au feu, image des souffrances que devait endurer le Seigneur Jésus lors de Sa mort, Sa mort sur la croix. La colère divine est un feu ; Christ a été fait « malédiction » pour nous. Pas un des os de l'agneau ne devait être rompu : il en fut de même pour Christ, Jean 19:33, qui garda sa force intacte, jusqu'à la fin.

      - L'aspersion du sang était une pratique assez particulière. Le sang de l'agneau pascal devait être aspergé, tout comme les mérites de Christ, pour sauver nos âmes de la mort ; nous devons recevoir l'expiation, Romains 5:11. La foi en la branche d'hysope : similairement, nous pouvons nous appuyer sur les promesses divines, sur le bénéfice du sang de Christ versé pour nous. Le sang de l'agneau devait être aspergé sur le linteau et sur les poteaux de la porte : nous pouvons comparer cela à l'entrée que nous avons, dans le chemin de la foi, par notre Sauveur. Le sang de l'agneau ne devait pas être versé sur le seuil de la porte : soyons vigilants de ne pas « piétiner », par notre péché, le sang de l'alliance. Il s'agit d'un sang précieux, à cette époque celui de l'agneau, comme aujourd'hui, celui de Christ ! Ce sang aspergé, était pour les Israélites, un moyen d'être préservé de la main de l'ange exterminateur : ce dernier n'agissait pas dans les maisons qui avaient leur linteau de porte aspergé de ce sang. Le sang de Christ est la protection du croyant contre la colère et la malédiction divines et la damnation de l'enfer, Romains 8:1.

      - Le rite du repas solennel était un type d'obéissance à l'évangile de Christ. On ne devait pas seulement regarder l'agneau pascal, mais on devait le manger. Nous devons faire de même avec Christ, qui doit être complètement accepté ; nous devons recevoir de Lui toute force et toute nourriture spirituelles : lire Jean 6:53,55. L'agneau devait être mangé en entier ; ceux, qui par la foi, se nourrissent de Christ, doivent tout prendre du Sauveur ; ils doivent accepter Christ et son joug, Christ et sa croix, Christ et sa couronne. Rien ne devait être laissé, lors du repas de l'agneau. Aujourd'hui, Christ s'est offert pour nous : Il doit être accepté pendant qu'il en est encore temps, avant que nous ne passions vers l'au-delà. L'agneau devait être mangé avec des herbes amères, pour rappeler l'amertume de l'esclavage en Égypte. Nous devons nous nourrir de Christ avec un cœur contrit, dans le regret de la repentance, en souvenir de notre péché. Christ sera doux à notre palais, même si notre péché nous parait encore amer. Le repas devait être pris avec les reins ceints, un bâton à la main, comme prêts à partir. Quand nous nous nourrissons de Christ, par la foi, nous devons renoncer à la domination du péché ; nous devons tourner le dos au monde et à toutes ses convoitises ; nous devons tout abandonner pour Christ, et reconnaître le don merveilleux qu'Il nous a fait, Heb 13:13,14.

      - La fête des pains sans levain était vraiment une fête typique de la vie chrétienne, 1Corinthiens 5:7,8. Ayant reçu Jésus Christ, comme Seigneur, nous devons continuellement l'adorer. Durant cette fête, aucun ouvrage ne devait être accompli, et l'on ne devait pas faire ce qui était défendu, de façon à ne pas altérer la joie qui régnait pendant cette période. Les juifs respectaient strictement cette fête de la Pâque, aucun levain ne devait être trouvé dans leurs maisons. Ce festin devait se pratiquer avec amour, sans esprit de malice, en toute sincérité et sans hypocrisie. C'était une ordonnance perpétuelle; tant que nous sommes en vie, nous devons nous nourrir continuellement en Christ, toujours nous réjouir en Sa Personne, Le remerciant pour les merveilles qu'Il a accomplies pour nous.

      * Note du traducteur : cette phrase mentionne le terme anglais « Passover » (Littéralement « Passer au dessus ») ; il est traduit en français par le mot « Pâques ».

      43 À l'avenir, toute la congrégation d'Israël se devait d'observer la Pâque. Toutes les bénédictions divines reçues doivent être l'objet de reconnaissance et de louanges à Dieu.

      La Pâque du Nouveau Testament (le souper du Seigneur), personne ne doit la négliger. Les étrangers, à condition qu'ils soient circoncis, avaient également la possibilité de partager le repas de la Pâque. Nous trouvons ici une disposition précoce, en faveur des « gentils ». Tous ces faits soulignent que les Juifs forment une nation favorisée par Dieu, non pas uniquement à cause de leur descendance d'Abraham, mais parce qu'ils constituent une entité quant à leurs privilèges.

      Christ, notre « Pâque », a été sacrifié pour nous, 1Corinthiens 5:7 ; Son sang est la seule rançon pour nos âmes ; sans effusion de ce sang, il ne peut y avoir de rémission des péchés ; sans aspersion de ce sang, il ne peut y avoir de salut.

      Avons-nous, par la foi, par le sang qui nous a racheté, préservé notre âme de la vengeance qui l'attend ? Est-ce que nous nous tenons sous cette protection, ne dépendant que de ce sang ? Est-ce que nous professons notre foi dans le Rédempteur, notre obligation envers Lui : annoncer aux autres à qui nous appartenons ? Sommes-nous préparés à Son service, prêts à marcher dans Ses voies et à nous séparer de Ses ennemis ?

      Toutes ces questions revêtent une grande importance pour l'âme ; que le Seigneur puisse diriger notre conscience honnêtement pour y répondre !

      Deutéronome 33

      1

      La majesté glorieuse de Dieu. (Deutéronome 33:1-5)
      Les bénédictions des douze tribus. (Deutéronome 33:6-23)
      La force accordée aux croyants. (Deutéronome 33:24,25)
      L'excellence d'Israël. (Deutéronome 33:26-29)

      Moïse prononça une bénédiction solennelle, pour clore L'énoncé de tous les préceptes, avertissements et prophéties préalablement donnés. Le patriarche, tout en donnant la loi, a décrit l'apparence glorieuse de Dieu. Les directives de l'Éternel sont comme le feu : si elles sont acceptées, elles réchauffent l'âme, fondent, purifient et brûlent toutes traces de corruption ; si elles sont rejetées, elles endurcissent le cœur, procurent la souffrance et amènent à la destruction finale.

      Le Saint-Esprit vint ici-bas sous la forme de langues de feu ; l'évangile est aussi une « loi brûlante ». La loi de Dieu, écrite dans les cœurs, est en quelque sorte, une preuve de l'amour divin, répandu ici-bas : nous devons reconnaître la loi de l'Éternel, comme l'un des dons de Sa Grâce !

      Juges 6

      Juges 13

      1 Samuel 9

      1 Rois 13

      1

      Le péché de Jéroboam est réprimandé. (1 Rois 13:1-10)
      Le vieux prophète est trompé. (1 Rois 13:11-22)
      Le prophète désobéissant est tué, l'obstination de Jéroboam. (1 Rois 13:23-34)

      En menaçant l'autel, le prophète menaça également celui qui était en face de ce dernier, avec ses adorateurs. Un culte idolâtre ne subsistera jamais bien longtemps, alors que la Parole de l'Éternel durera éternellement. La prédiction de l'homme de Dieu mentionna simplement que la famille de David subsistera à jamais : elle fut, en effet, par Christ, la source de la véritable piété, quand bien même les dix tribus d'Israël se seraient écartées de l'Éternel.

      Quand Dieu, dans Sa Justice, endurcit le cœur des pécheurs, de sorte qu'ils « n'ôtent pas la main » qu'ils ont tendue vers le péché, et qu'ils n'éprouvent aucun repentir, il s'agit en fait d'un jugement spirituel, ce qui est beaucoup plus redoutable. Jéroboam rechercha désormais de l'aide, non pas dans ses veaux d'or, ses propres idoles, mais en Dieu seulement, en Sa Puissance ; il rechercha Sa faveur.

      Le moment peut surgir, où ceux qui ont rejeté la prédication du salut, seraient bien heureux de bénéficier des prières des fidèles serviteurs de Dieu.

      Jéroboam ne voulut pas que le prophète prie, afin que son péché soit pardonné, et que son cœur change ; il voulait seulement que sa main redevienne normale. Le roi semblait pour le moment, affecté par la miséricorde et le jugement divins, mais ce n'était qu'une fausse impression. Dieu interdit à son serviteur de manger ou de boire à Béthel, afin de bien montrer Son aversion pour cette idolâtrie et l'apostasie qui en résultait ; cela nous enseigne qu'il ne faut pas avoir de liens avec les œuvres des ténèbres. Ceux qui n'ont pas appris l'abnégation, ne pourront pas s'abstenir de prendre ce genre de « repas », en compagnie des pécheurs, et interdit par Dieu.

      1 Timothée 6

      11 Il est néfaste pour les hommes, et spécialement les serviteurs de Dieu, de « mobiliser » leur cœur en faveur des attraits de ce monde ; les « hommes de Dieu » doivent se réserver pour leur ministère, au service du Seigneur. Ils doivent s’opposer à tout genre de corruption, aux tentations, et aux pouvoirs des ténèbres.

      L’obtention de la vie éternelle est la « couronne » destinée à nous encourager. Nous sommes appelés à nous appuyer fermement sur cette espérance spirituelle.

      Les riches doivent spécialement être informés de leurs devoirs, quant à l'usage de leur fortune. Mais qui peut accomplir pareille mission, s'il n'est pas lui-même au-dessus de l'amour immodéré de tout ce que cette richesse peut lui procurer ?

      La venue de Christ est certaine, mais il ne nous appartient pas d'en connaître le temps. Les yeux des « mortels » ne peuvent pas supporter la Lumière de la Gloire divine. Personne ne peut L'approcher sauf ceux qui se sont reconnus pécheurs devant le Seigneur, ceux qui sont EN Christ. Dans ce texte, l’entité de la divinité céleste est adorée, qu’il s’agisse du Père, du Fils, ou du Saint-Esprit. Dieu ne nous a été révélé que par la nature humaine de Christ, le Fils unique du Père !

      2 Pierre 1

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.