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Jean 14.1

Jésus dit à ses disciples : « Ne soyez pas inquiets, croyez en Dieu et croyez aussi en moi.
Que votre coeur ne soit pas troublé ; vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi.
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      Job 21

      Job 23

      Psaumes 42

      6 Un moyen d'oublier nos différentes misères est de rester en communion avec le Dieu de miséricorde. David vit toutes les épreuves amenées par la colère de Dieu et cela l'a découragé. Mais si un ennui survient rapidement, à la suite d'un autre, si tout semble concourir à notre ruine, rappelons-nous que tout cela est envoyé et supervisé par le Seigneur. David considère la faveur divine comme la fontaine de bonté à laquelle il aspire. Nous devons espérer et prier au nom du Seigneur Jésus. Un seul mot de Sa part peut calmer n'importe quelle tempête, peut transformer l'obscurité la plus sombre en une lumière radieuse, peut tourner la plus amère des complaintes en une prière joyeuse.

      Notre espérance de la miséricorde divine doit stimuler notre prière à ce sujet. À la longue, la foi vaincra l'ennemi, elle encouragera l'homme pieux à avoir confiance dans le nom du Seigneur, et à se tenir lui-même près de son Dieu. Le psalmiste ajoute à la fin : « et mon Dieu » ; cette pensée le rend capable de triompher de ses peines et de toutes ses craintes.

      Si nous sommes au bénéfice de Sa miséricorde, de Sa vérité, de Sa puissance, de Son refuge, n'ayons jamais cette pensée, qu'Il puisse nous oublier, Lui, le Dieu de notre vie, le Rocher de notre Salut. L'auteur s'efforce de réagir contre le découragement : sa foi et son espérance ont enfin obtenu la victoire. Apprenons à contrôler tous nos doutes et nos craintes incrédules. Appliquons la promesse premièrement à nous-mêmes puis, implorons le Seigneur dans la prière.

      Psaumes 43

      Psaumes 77

      Esaïe 12

      Esaïe 26

      Esaïe 43

      1

      L'amour immuable de Dieu, envers Son peuple. (Esaïe 43:1-7)
      Les idolâtres et les apostats sont dénoncés. (Esaïe 43:8-13)
      La délivrance de Babylone, et la conversion des Gentils. (Esaïe 43:14-21)
      Avertissement à se repentir du péché. (Esaïe 43:22-28)

      La faveur et les bonnes résolutions de l'Éternel envers Son peuple sont de précieux réconforts pour tous les croyants. Toute âme spirituellement régénérée, « n'existe » que grâce à Dieu. Tous ceux qui sont rachetés par le sang de Son Fils, sont « mis à part ». Ceux qui sont sous le bénéfice de la faveur divine n'on aucune raison de craindre qui ou quoi que ce soit.

      Que peuvent représenter tous les délices et tous les trésors égyptiens et éthiopiens, comparés au sang de Christ ? Les véritables croyants sont précieux aux yeux de Dieu ; Son plaisir est en eux, plus qu'en importe quelle autre personne. Bien que les Siens puissent traverser moult épreuves, ils ne craignent, malgré tout, aucun mal, sachant que Dieu est avec eux ; pour cela, ils doivent être « nés de nouveau », « mis à part ». L'Éternel sauve les âmes des « quatre coins » de la terre.

      Le prophète, devant cette vision merveilleuse, est de nouveau encouragé, étant prêt à faire face à toute crainte ou anxiété.

      Jérémie 8

      Lamentations 3

      21 Après avoir retracé sa détresse et sa déprime, le prophète montre ici comment il reprit espoir. Même si le cours des évènements est au plus bas, la Miséricorde divine fait en sorte que les pires situations n’empirent pas.

      Nous devrions observer les instants qui nous sont favorables, aussi bien que ceux qui nous sont hostiles : les compassions divines ne tarissent jamais ; nous en avons des exemples chaque jour ! Tout ce qui concerne le monde finit par périr, mais Dieu est infaillible, à jamais.

      Il est de notre devoir, et c’est en outre, un véritable encouragement, que de s’attendre paisiblement au salut de l’Éternel. Les afflictions contribuent infiniment à notre bien : beaucoup ont pu, après un certain recul, mesurer tout le bénéfice ainsi acquis, persuadés qu’elles les ont remis sur le bon chemin, particulièrement pendant leur jeunesse ; ces épreuves incitèrent parfois ces jeunes à rester humbles et sérieux, en prenant certaines distances, vis-à-vis du monde, ce qui autrement, aurait pu les rendre hautains et indisciplinés.

      Si la tribulation engendre à terme, la patience, cette dernière, produira ensuite une certaine expérience positive, qui procure une satisfaction qui est loin de rendre honteux ! Les pensées qui découlent du mal du péché, et de notre propre honte, nous convaincront que c’est grâce à la Miséricorde infinie du Seigneur, que nous ne sommes pas anéantis.

      Si nous ne pouvons pas dire en toute assurance, que le Seigneur est « tout notre bien », nous serons alors incapables d’annoncer que nous désirons bénéficier du salut, avec toute l’espérance que l’on peut tirer de Sa Parole. Heureux serons-nous, si nous pouvons vraiment considérer que notre affliction provient de la volonté divine.

      Jean 5

      Jean 6

      Jean 11

      33 Nous voyons dans ce texte l’émotion que Jésus manifeste envers la famille de Lazare : cela prouve la tendre affection qu’Il avait à son égard.

      Devant toutes les afflictions des croyants, Jésus est affligé. Son inquiétude pour eux apparaît dans Sa question au sujet de la dépouille de Son ami décédé. Ayant revêtu ici-bas une nature humaine, Christ réagit comme un homme. Il l'a démontré par Ses larmes, lors de cette scène de la mort de Lazare...

      Christ était un homme de douleurs, habitué à la souffrance. Il versa des larmes de compassion. Il n'a jamais affiché ce genre de fausse sensibilité de laquelle beaucoup se glorifient devant la moindre détresse des autres, mais qui en réalité, demeurent, le cœur endurci, face au véritable malheur. Jésus nous laisse ici un exemple, en quittant le côté plaisant de Son ministère, afin de consoler cette famille affligée.

      Nous n'avons pas un « Souverain Sacrificateur » qui ne puisse pas compatir à nos infirmités. Pour ramener une âme à la vie, le premier pas consiste à ôter la dalle du « sépulcre spirituel » dans laquelle elle se trouve : elle outrepasse alors les divers préjugés qui pourraient la retenir et le chemin est tout tracé pour laisser la Parole entrer dans son cœur.

      Si nous saisissons la Parole de Christ, en comptant sur Son pouvoir et Sa fidélité, nous verrons alors la Gloire de Dieu : nous connaîtrons la félicité ! Notre Seigneur Jésus nous a enseigné, par Son propre exemple, à invoquer Dieu le Père dans la prière ; Il nous a commandé de nous approcher de Lui, tels des enfants vers leur père, en toute humilité, mais cependant avec une « sainte hardiesse ». Christ a ouvertement manifesté cette attitude devant Dieu, devant le tombeau de Lazare, en élevant les yeux et d'une voix forte, afin que tous puissent être convaincus que le Père L'avait envoyé en tant Fils bien-aimé, en ce monde.

      Jésus aurait pu ressusciter Lazare discrètement, par Son pouvoir et par l'action invisible de l'Esprit de vie ; mais il l'a fait par un appel retentissant. C'est une image de l'appel de l'évangile, par lequel les âmes spirituellement mortes sortent de la « tombe du péché » : au son de la trompette de l'archange, au « dernier jour », tous ceux qui dorment dans la poussière seront réveillés et appelés devant le grand tribunal.

      Le « sépulcre » du péché, le monde, n’est pas un lieu où doivent rester définitivement ceux à qui Christ a donné Sa vie : ils doivent en sortir. Lazare a été totalement ranimé : il a non seulement recouvré la vie, mais aussi la santé. Le pécheur est incapable de régénérer seul son âme, il doit pour cela utiliser la Grâce ; le croyant ne peut pas se sanctifier lui-même, mais il doit d’abord se débarrasser de tout obstacle et de tout fardeau spirituels.

      Nous sommes incapables de convertir nos parents et nos amis à Christ, par contre, nous devons les instruire, les prévenir, et les inviter à s’approcher de Lui !

      Jean 12

      27 L'âme de Christ était troublée à cause de notre péché ; c’est pour cette raison qu’Il entreprit de nous racheter et de nous sauver, faisant ainsi de Son âme une véritable offrande. Christ était disposé à souffrir, cependant Il pria pour être délivré de cette souffrance. La prière pour se soustraire au malheur peut très bien s’accorder avec la patience et la soumission à la volonté divine.

      Notre Seigneur Jésus entreprit de contrecarrer l’offense faite à Dieu par notre péché, Il a accompli cet acte en s'humiliant lui-même. La voix du Père, venant du ciel, avait déjà déclaré, lors du baptême de Jésus, qu’Il était Son Fils bien-aimé ; lors de la transfiguration, la voix de Dieu fut également entendue, proclamant qu'Il avait glorifié le Nom de Son Fils et qu'Il Le glorifierait encore.

      Christ, à la croix, a réconcilié le monde avec Dieu, Il a brisé la puissance de la mort, et a chassé Satan, le « destructeur ». Il a ainsi brisé la puissance du péché. L'âme qui était éloignée de Christ est amenée à L'aimer et Lui faire confiance.

      Maintenant, Jésus allait bientôt monter au ciel, Il voulait désormais attirer tous les hommes à Lui. Jésus, par Sa mort, a la puissance d’attirer les âmes ! Nous avons connu par l'évangile les merveilles de la Grâce, libre et gratuite ; nous avons aussi connu quel était notre devoir à ce sujet : nous devons les accepter tous deux, sans en séparer les effets !

      44 Dans ce texte, nous voyons notre Seigneur proclamer publiquement, que celui qui croyait en Lui, en tant que véritable disciple, ne croyait pas uniquement en Lui, mais également au Père qui L'a envoyé.

      En discernant que Jésus est la « gloire » du Père, nous apprenons à Lui obéir, à L'aimer et à nous confier en Lui. En tournant chaque jour notre regard vers Lui, Celui qui est venu en tant que Lumière du monde, nous sommes de plus en plus libérés des « ténèbres » de l'ignorance, de l'erreur, du péché, et de la misère ; nous apprenons que le désir de Dieu, notre Sauveur, est de nous faire acquérir la vie éternelle.

      Mais Sa Parole « scellera » la condamnation de tous ceux qui la méprisent, ou négligent de l’acquérir...

      Jean 13

      Jean 14

      1

      Christ réconforte Ses disciples. (Jean 14:1-11)
      Il réconforte de nouveau Ses disciples. (Jean 14:12-17)
      Il réconforte une troisième fois Ses disciples. (Jean 14:18-31)

      « Que votre cœur ne se trouble point ». Nous trouvons dans ce verset trois termes que l’on peut souligner :

      1) Le mot « votre » : même si ceux qui nous entourent sont accablés par les peines du temps présent, nous ne devons pas tenir la même attitude en pareil cas.

      2) Le mot « cœur » : que votre cœur soit gardé dans une totale confiance en Dieu.

      3) Le mot « trouble » : ne soyez pas désemparés ni agités.

      Les enfants de Dieu doivent garder leur âme en paix, quand par ailleurs, tout est sujet d'inquiétude.

      Dans la suite de ce verset, on trouve le remède contre le trouble de l'âme que provoque l’anxiété : « Croyez » ! En croyant en Christ, le Médiateur entre Dieu et l'homme, nous sommes réconfortés spirituellement. La félicité céleste est décrite dans ce texte, comme la maison d'un père. Il y a beaucoup de demeures, car il y a beaucoup de fils appelés à être glorifiés. Ces demeures seront les nôtres jusqu'à la fin des temps. Christ terminera ce qu’Il a commencé, Il est l'Auteur de toute création ; s'Il a préparé cet endroit céleste pour nous, Il nous préparera aussi spirituellement, pour que nous puissions demeurer en ce lieu.

      Christ est le Chemin qui conduit le pécheur vers le Père, vers le ciel ; Il est véritablement Dieu manifesté en chair, Il s’est sacrifié pour expier notre péché, Il est notre Avocat. Il est la Vérité, Il représente l’accomplissement de toutes les prophéties relatives au Sauveur. Il est la Vie : l'Esprit qui régénère, fait renaître celui qui est mort spirituellement dans le péché. Nul homme ne peut s'approcher de Dieu en tant que Père, à moins qu’il n'ait été ressuscité spirituellement par Christ, la Vie, enseigné par Christ, la Vérité, et conduit par Christ, le Chemin. Christ est le Chemin qui mène nos prières à Dieu ; les bénédictions célestes peuvent alors nous combler ; c'est un Chemin sûr, qui mène au repos. Christ est la Résurrection et la Vie. Tout ceux qui L’ont vu par la foi, ont vu le Père en Lui.

      Au travers de la lumière de la doctrine de Christ, les Siens discernent Dieu le Père, le Père des lumières ; dans les miracles de Christ, ils discernent le Dieu Tout Puissant.

      La sainteté de Dieu s’est manifestée par la pureté de la vie de Christ. Nous devons croire en Christ, Celui qui a été révélé par Dieu à l'homme ; les œuvres du Rédempteur montrent Sa Gloire, et en Lui, nous pouvons discerner le Père !

      28 Christ prolonge les attentes de Ses disciples au-delà de ce qu'ils pensaient être le bonheur parfait. Le temps de Jésus ici-bas, était désormais compté : aussi les enseignaient-ils abondamment.

      Quand nous tombons malades et que nous sommes proches de la mort, nous ne sommes guère capables de parler à ceux qui nous entourent ; alors, si nous avons un bon conseil à proposer, faisons-le quand nous sommes encore en bonne santé !

      Remarquez la perspective de conflit que Christ avait, non seulement avec les hommes, mais aussi avec les puissances des ténèbres. Satan cherche toujours à nous culpabiliser par notre péché ; il a voulu troubler le Seigneur, mais il n'a rien trouvé qui puisse L’accuser.

      La meilleure preuve de notre amour pour le Père est d'obéir à Ses commandements. Réjouissons-nous des victoires du Sauveur sur Satan, le prince de ce monde. Prenons exemple sur Son amour et sur Son obéissance envers Dieu !

      Jean 16

      23 Quand on adresse une requête au Père, cela démontre nos besoins, en termes de bénédictions et de demandes spirituelles, étant convaincus que seul le Père peut y répondre.

      Prier au Nom de Christ, c'est reconnaître notre indignité à recevoir la moindre faveur divine ; cela montre aussi une totale dépendance de Sa Personne : Il est le Seigneur de notre Justice !

      Notre Seigneur avait parlé jusqu'ici sous forme de courtes déclarations, lourdes de sens, ou au moyen de paraboles, pas toujours bien comprises par les disciples ; mais après Sa résurrection Jésus s'exerça à leur enseigner tout ce qui était apparenté au Père : le chemin pour Le connaître, grâce à l’intercession de Son Fils.

      La fréquence avec laquelle notre Seigneur nous recommande de présenter nos prières, en Son nom, montre que la grande finalité de la « médiation » qu’Il opère avec le Père, consiste à nous sensibiliser profondément quant à notre culpabilité ; cela souligne également le mérite et la puissance de Sa mort, grâce à laquelle, nous avons accès à Dieu.

      Souvenons-nous toujours de nous adresser au Père, « au Nom de Christ », ou de nous adresser au Fils, en tant que Dieu demeurant dans la nature humaine, réconciliant le monde avec Lui-même ; ces prières, adressées à deux personnes qui semblent différentes sont en fait la même chose : le Père et le Fils ne font qu’un !

      Actes 3

      2 Corinthiens 2

      2 Corinthiens 4

      8 Les apôtres étaient grandement éprouvés, bien que bénéficiant d’un soutien spirituel merveilleux !

      Les croyants peuvent être abandonnés par leurs amis, tout en étant persécutés par leurs ennemis ; mais Dieu ne les quittera pas, ni ne les abandonnera !

      Nous pouvons éprouver ici-bas, certaines craintes, même des perspectives de combats spirituels ; nous ne sommes pas vaincus pour autant ! L'apôtre mentionne les souffrances des chrétiens de Corinthe, semblables à celles de Christ, afin que d'autres personnes puissent reconnaître le pouvoir de la résurrection de Jésus, et découvrir Sa Grâce. Comparativement aux apôtres, ces dernières étaient en ce temps-là, dans des situations florissantes.

      2 Corinthiens 12

      Ephésiens 1

      15 Dieu nous a accordé de nombreuses bénédictions spirituelles en Son Fils, le Seigneur Jésus ; mais Il exige que nous les Lui demandions par la prière. Même les chrétiens les plus fervents ont besoin de prier dans ce sens : nous devons nous soucier du bien-être de nos frères dans le Seigneur et prier pour eux.

      Même les véritables croyants ont grandement besoin de la Sagesse céleste. Même le chrétien le plus fervent hésite parfois à se placer sous le joug du Seigneur, alors qu'il n'y aurait pas d'autre solution pour son âme, pour trouver le repos. Pour un modeste plaisir, ne renonçons-nous pas souvent à la Paix que Jésus nous offre ? Si nous nous disputions moins, si nous cherchions à prier davantage avec les autres et pour les autres, nous devrions voir quotidiennement l'espérance de notre vocation spirituelle et la richesse de la gloire Divine de notre héritage céleste !

      Nous devons désirer avec ardeur la puissance de la Grâce de Dieu, afin que « l'œuvre de la foi » puisse croître en notre âme. Il est difficile d'amener une personne à croire totalement en Christ, à tout « miser » sur Lui, et à baser son espérance de vie éternelle sur Sa justice. Nul autre pouvoir que celui du Tout-puissant ne peut initier cette œuvre en nous.

      Il est signifié dans ce texte que Christ est le Sauveur, Celui qui pourvoit aux nécessités de ceux qui placent leur confiance en Lui. Il accorde toutes Ses bénédictions, dans une grande abondance. En étant « participants » de Christ, nous sommes remplis de la plénitude de la Grâce et de Sa Gloire. Comment peut-on chercher la justice hors de Jésus-Christ ?

      Ce texte nous enseigne à venir à Christ. Si nous connaissions le résultat de notre « appel », et toutes les bénédictions que nous pouvons trouver en Lui, nous nous approcherions certainement plus rapidement pour en bénéficier !

      Lorsque nous ressentons notre faiblesse et le pouvoir de nos ennemis, nous percevons davantage la grandeur et la puissance qui résident dans chez le croyant qui est engagé dans la voie da la sanctification. Cette pensée nous contraindra, par amour pour notre Rédempteur, à vivre à Sa Gloire !

      Ephésiens 3

      1 Thessaloniciens 3

      2 Thessaloniciens 2

      Hébreux 12

      12 La détresse est un fardeau capable de faire baisser les bras de nombreux chrétiens, de les affaiblir, de les déstabiliser et de les décourager ; en fait, ils doivent lutter, afin de bien « courir » dans leur course spirituelle.

      La foi et la patience permettent aux croyants de rechercher la paix et la sanctification, tel un homme qui suit avec constance, diligence et plaisir, sa vocation. La paix avec tout homme, de toute confession et parti, sera favorable à notre recherche de la sainteté. La paix et la sainteté vont de pair ; il ne peut y avoir de juste paix sans cette sainteté. Là où se trouvent des âmes qui ne possèdent pas la véritable Grâce de Dieu, la corruption prédominera et finira par éclater ; prenons garde au moindre péché qui reste caché en notre cœur, qui semble mort, mais qui rejaillit tôt ou tard, pour porter le trouble et nous déranger.

      S'éloigner de Christ est ce qui caractérise ceux qui, tel Ésaü, préfèrent les délices éphémères de la chair, à la bénédiction de Dieu et à l'héritage céleste. Les pécheurs n'auront pas toujours, comme aujourd’hui, l’occasion de recevoir des bénédictions divines et « l’accès à un héritage céleste ». L'homme profane, par sa nature, désire pouvoir bénéficier des bénédictions célestes, tout en méprisant les voies par lesquelles elles peuvent être obtenues. Dieu ne veut pas mêler ces voies, ni Ses bénédictions, à la satisfaction et aux convoitises de l'homme. Lorsque l'on recherche avec ferveur la Miséricorde et la bénédiction de Dieu, on les obtient toujours !

      1 Pierre 1

      1 Jean 2

      24 La vérité de Christ qui nous anime, nous permet de nous éloigner du péché et de demeurer en la Personne du Fils de Dieu, Jean 15:3,4.

      Que la valeur de la Vérité de l'Évangile est élevée ! Par Elle, la promesse de la vie éternelle est véritable. Cette promesse, établie par Dieu, manifeste Sa grandeur, Sa puissance et Sa bonté : ce sont les gages de la vie éternelle. L'Esprit de vérité ne ment jamais ! Dans la présente dispensation de la Grâce, Il nous enseigne ce qui est essentiel à notre connaissance de Dieu, en Christ, Il nous révèle Sa gloire, par l'Évangile.

      L'apôtre Jean répète ces tendres paroles, « petits enfants », ce qui dénote son affection pour les chrétiens. Il veut les persuader par l'amour. Les privilèges de l'Évangile obligent à certains devoirs ; ceux qui sont « oints spirituellement » par le Seigneur Jésus doivent se conformer à Ses commandements.

      Notre nouvelle nature spirituelle provient de Christ, notre Seigneur. Celui qui reste fidèle à la pratique de la piété, au temps de l'épreuve, montre qu'il est né « d'en haut », qu'il appartient réellement à Christ.

      Veillons donc à ne pas chercher de fausses vérités dans l'injustice, nous souvenant que seuls ceux qui sont nés de Dieu portent Sa sainte image, marchant dans Ses voies, qui ne sont que droiture.

      1 Jean 5

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