Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
20
Toi, tu connais ma honte, tu sais que l’on m’insulte, qu’on se moque de moi.
Ils sont là, devant toi, tous mes persécuteurs.
136
Mes yeux répandent des flots de larmes,
car on n’observe pas ta Loi.
1
Puis j’ai tourné mes regards vers toutes les oppressions qui se pratiquent sous le soleil. Les opprimés versent des larmes et il n’y a personne pour les consoler ; la force est du côté de leurs oppresseurs, c’est pourquoi ils n’ont pas de consolateurs.
1
Oh ! que n’ai-je, au désert, un gîte de nomades !
Je quitterais mon peuple et je m’en irais loin de lui,
car ce sont tous des adultères,
une bande de traîtres !
10
« Je ferai de Jérusalem un monceau de décombres,
un gîte de chacals ;
des villes de Juda, je ferai une terre dévastée
sans habitants. »
21
« Proclame-le : Voici ce que déclare l’Eternel :
Les cadavres des hommes tomberont sur le sol
et resteront par terre comme du fumier dans les champs,
comme des gerbes que les moissonneurs laissent
et que personne ne ramasse.
17
Si vous n’écoutez pas,
je pleurerai secrètement sur votre orgueil,
mes yeux ruisselleront de larmes,
car le troupeau de l’Eternel va être déporté.
17
Et toi, dis-leur ceci :
« Sans cesse, nuit et jour, mes yeux versent des larmes, ils ne tarissent pas !
Car un malheur terrible va atteindre
la communauté de mon peuple :
c’est une plaie très douloureuse.
2
Tout au long de la nuit, elle pleure, et ses larmes ruissellent sur ses joues.
De tous ceux qui l’aimaient,
aucun ne la console :
tous ses compagnons l’ont trahie
et ils sont devenus ses ennemis.
5
Ses ennemis triomphent,
ses adversaires sont heureux,
car l’Eternel l’a affligée
pour ses nombreux péchés,
ses petits enfants sont partis
dans la captivité, poussés par l’oppresseur.
6
La communauté de Sion a été dépouillée
de toute sa splendeur.
Ses ministres sont devenus semblables à des cerfs
qui ne trouvent pas de pâture,
qui fuient à bout de forces
devant ceux qui les traquent.
9
Sa souillure apparaît sur les pans de sa robe.
Elle n’a pas songé à ce qui s’ensuivrait.
Elle est tombée, sa chute est étonnante
et nul ne la console.
« O Eternel, dit-elle, vois mon humiliation,
car l’ennemi triomphe. »
16
Pour tout cela, je pleure ;
j’éclate en longs sanglots,
car le consolateur qui ranimerait mon courage
est loin de moi.
Mes fils sont tous plongés dans la désolation,
car l’ennemi a été le plus fort.
11
Mes yeux s’épuisent à verser des larmes
et l’émotion me brûle ;
tout courage me quitte
à cause des malheurs qui ont frappé la communauté de mon peuple,
à cause des petits enfants et des nourrissons qui défaillent
dans les rues de la ville.
18
Le cœur du peuple crie vers le Seigneur.
Muraille de Sion,
laisse couler tes larmes jour et nuit comme un fleuve !
Ne t’accorde aucune relâche.
Que ton œil n’ait pas de repos !
20
Vois, Eternel, et considère :
qui as-tu traité de la sorte ?
Se peut-il que des femmes dévorent les enfants qu’elles ont mis au monde,
les bébés qu’elles ont choyés ?
Se peut-il que l’on tue les prêtres, les prophètes
jusqu’au sein même du sanctuaire du Seigneur ?
21
Les enfants, les vieillards
jonchent le sol des rues.
Mes jeunes filles et mes jeunes gens
sont tombés par l’épée.
Tu les as abattus au jour où tu as fait éclater ta colère,
tu les as égorgés sans aucune pitié.
22
Tu as convoqué de partout des peuples redoutables.
comme en un jour de fête
Au jour où la colère de l’Eternel a éclaté,
il n’y a eu ni rescapé ni survivant.
Ceux que j’avais choyés, que j’avais élevés,
mon ennemi les a exterminés.
48
Je verse des torrents de larmes
à cause du désastre qui a atteint la communauté de mon peuple.
49
Mes yeux pleurent sans cesse,
ils n’ont aucun répit
2
Comment se fait-il donc que les précieux fils de *Sion
estimés comme de l’or fin
soient maintenant considérés comme des pots d’argile,
ouvrages d’un potier ?
3
Regardez les chacals : voyez comment les mères
nourrissent leurs petits en tendant leur mamelle.
La communauté de mon peuple est devenue aussi cruelle
que les autruches du désert.
4
La langue du bébé
s’attache à son palais, tellement il a soif.
Les tout petits enfants réclament quelque nourriture
et nul ne leur en donne.
5
Ceux qui, auparavant, mangeaient des mets exquis,
expirent dans les rues,
et ceux qui ont été élevés dans la pourpre
se couchent maintenant sur un tas de fumier.
6
La communauté de mon peuple a commis un péché
plus grand que celui de Sodome
qui a été anéantie en un instant,
et sans qu’un homme porte la main contre elle.
7
Les princes de Sion, ils étaient plus purs que la neige
et plus blancs que du lait,
leurs corps étaient vermeils bien plus que le corail,
leurs veines de saphir.
8
Leur aspect est plus sombre, à présent, que la suie,
nul ne les reconnaît maintenant dans les rues.
La peau leur colle aux os,
elle est devenue sèche comme du bois.
9
Les victimes du glaive sont plus heureuses
que les victimes de la famine :
tenaillées par la faim, elles s’épuisent
car les produits des champs leur font défaut.
10
De tendres femmes, de leurs mains ont fait cuire
la chair de leurs enfants
pour s’en nourrir,
à cause du désastre qui a atteint la communauté de mon peuple.
12
Et même s’ils élevaient des enfants,
je les en priverais avant que ceux-ci soient adultes.
Oui, quel malheur pour eux quand je serai loin d’eux !
41
Quand il fut arrivé tout près de la ville, il l’embrassa du regard et pleura sur elle :
42
—Ah, dit-il, si seulement tu avais compris, toi aussi, en ce jour, de quoi dépend ta paix ! Mais, hélas, à présent, tout cela est caché à tes yeux.
43
Des jours de malheur vont fondre sur toi. Tes ennemis t’entoureront d’ouvrages de siège, t’encercleront et te presseront de tous côtés.
44
Ils te détruiront complètement, toi et les habitants qui seront dans tes murs, et ils ne laisseront pas chez toi une pierre sur une autre. Pourquoi ? Parce que tu n’as pas su reconnaître le moment où Dieu est venu pour toi.
1
Ce que je vais dire est la vérité ; j’en appelle au Christ, je ne mens pas ; ma conscience, en accord avec l’Esprit Saint, me rend ce témoignage :
2
j’éprouve une profonde tristesse et un chagrin continuel dans mon cœur.
3
Oui, je demanderais à Dieu d’être maudit et séparé du Christ pour le bien de mes frères, nés du même peuple que moi.