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Matthieu 6.1

"Be careful that you don't do your charitable giving before men, to be seen by them, or else you have no reward from your Father who is in heaven.
Prenez garde de ne pas faire votre aumône devant les hommes, pour être vus par eux ; autrement vous n'avez pas de récompense auprès de votre Père qui est dans les cieux.
Προσέχετε δὲ τὴν δικαιοσύνην ὑμῶν μὴ ποιεῖν ἔμπροσθεν τῶν ἀνθρώπων πρὸς τὸ θεαθῆναι αὐτοῖς· εἰ δὲ μή γε, μισθὸν οὐκ ἔχετε παρὰ τῷ πατρὶ ὑμῶν τῷ ἐν τοῖς οὐρανοῖς.
"Be careful that you don't do your charitable giving before men, to be seen by them, or else you have no reward from your Father who is in heaven.
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      Deutéronome 24

      2 Rois 10

      Psaumes 112

      Ezéchiel 33

      Daniel 4

      Zacharie 7

      Zacharie 13

      Matthieu 5

      Matthieu 6

      1

      Contre l'hypocrisie dans les aumônes. (Matthieu 6:1-4)
      Contre l'hypocrisie dans la prière. (Matthieu 6:5-8)
      Comment prier. (Matthieu 6:9-15)
      En ce qui concerne le jeûne. (Matthieu 6:16-18)
      Le mal qui résulte de l’amour du monde. (Matthieu 6:19-24)
      La confiance en Dieu nous est recommandée. (Matthieu 6:25-34)

      Notre Seigneur nous enseigne à ne pas manifester d’hypocrisie ni aucune prétention, quand nous exerçons nos devoirs religieux. Ce que nous accomplissons, doit être fait à partir d'une conviction intime, afin que cela puisse être agréé par Dieu avant tout, et non par les hommes !

      Dans ce texte, Jésus nous met en garde contre toute hypocrisie, quand nous offrons notre aumône. Soyons vigilants à ce sujet ! C'est un péché « sournois » : une vaine gloire se mêle alors à tous nos actes, bien avant que nous en soyons réellement conscients ! Le simple exercice du devoir est déjà un « terrain » dangereux, où les hypocrites trouvent de quoi satisfaire leur orgueil.

      Les avertissements de Christ, quant à l’aumône, peuvent tout d'abord ressembler à une promesse (verset Matthieu 6:4*), mais ils sont en réalité le « salaire » des hypocrites ; ces paroles ne mentionnent pas la récompense que Dieu promet à ceux qui pratiquent le bien, mais au contraire, la rétribution que les hypocrites sont persuadés d’obtenir : une bien triste satisfaction. Ces derniers pratiquent l’aumône pour être vus de tous : ils sont hélas performants sur ce point...

      Quand nous n'avons pour nous-mêmes et pour nos œuvres, qu'une modeste considération, Dieu tient vraiment compte de notre état d’âme : c’est alors qu’Il nous récompensera, non pas comme un maître donnant à son serviteur son salaire, sans plus, mais comme un Père qui donne abondamment à Son fils, qui Le sert !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      5 Tous ceux qui disent appartenir à Christ, pratiquent la prière. De même qu’il est impossible de trouver un homme vivant dépourvu de respiration, on ne peut rencontrer un chrétien « vivant spirituellement » et ne priant jamais. Si la prière est absente, il en sera de même pour la Grâce.

      Au sujet de la prière, les Scribes et les Pharisiens étaient coupables de deux grandes fautes : ils cherchaient vainement à se faire remarquer et répétaient sans cesse les mêmes textes. Au verset cinq, Jésus annonce : « en vérité, je vous dis : ils reçoivent leur récompense » ; si au cours d’un acte aussi important que la prière, acte qui nous permet de nous adresser directement à Dieu, nous recherchons, par nos paroles, la moindre considération des autres, il est logique que nous recevions en de tels cas, notre récompense immédiate. Il n'y a pas de secret : au cours de nos prières, mêmes les plus brèves, Dieu observe notre attitude !

      Quand Dieu nous récompense, c’est en fait le résultat de la Grâce, et non celui d'une dette ; quel mérite peut-on avoir, en demandant quelque chose au Père ? S'Il ne donne pas à Son peuple ce que ce dernier Lui demande, c'est parce qu'Il sait pertinemment qu'il n'en a aucun besoin, et qu’il n’en tirerait rien.

      Dieu est loin d'être étonné par la longueur ou la quantité de paroles qui peuvent constituer nos prières ; les intercessions les plus pertinentes sont celles qui sont faites avec des « gémissements » qui ne peuvent être exprimés en public.

      Examinons soigneusement la structure réelle des prières que nous devons adresser au ciel, et apprenons chaque jour, de Christ, comment prier !

      9 Christ constatait qu'il était nécessaire d’indiquer à Ses disciples, comment prier et quel devait être communément le contenu de leur prière.

      Bien sûr, nous ne devons pas nous astreindre à utiliser exclusivement la prière mentionnée dans ce texte, mais il n'y a aucun doute qu'elle n’en reste pas moins est un très bon exemple. On y trouve beaucoup de richesse, en peu de mots ; c'est une prière tout à fait acceptable par Dieu, si nous « mesurons » vraiment ces propos et si elle n'est pas inlassablement répétée machinalement.

      Dans cette prière, nous trouvons six requêtes : les trois premières sont expressément relatives à Dieu et à Sa grandeur, alors que les trois dernières concernent nos inquiétudes, qu’elles soient temporelles ou spirituelles. Cette prière nous apprend à chercher d'abord le Royaume de Dieu et Sa Justice, toutes choses nous seront ensuite octroyées. Après avoir abordé les sujets de la Gloire, du Royaume et de la Volonté de Dieu, le contenu de cette prière concerne le nécessaire et le réconfort relatifs à notre vie ici-bas.

      Chaque parole comporte un enseignement spécifique : - Nous demandons du pain : cela nous apprend à exercer la sobriété et la modération ; il nous faut ne demander que le pain qu’il nous faut, pas celui qui pourrait nous être superflu.

      - Cette demande de nourriture nous enseigne à respecter l'honnêteté dans le travail : nous n’avons pas à demander le pain des autres, ni celui du mensonge, Proverbes 20:17, ni celui de la paresse, Proverbes 31:27, mais celui qui est obtenu honnêtement. - Nous demandons notre pain quotidien : ceci nous enseigne à dépendre constamment de la Providence divine. - Nous demandons à Dieu qu’Il nous donne cette nourriture ; pas qu'Il nous la vende, ni qu'Il nous la prête, mais vraiment qu'Il nous la donne. Les plus grands hommes sont redevables de la Miséricorde divine, pour leur pain quotidien ! - Nous prions en ces termes : « donne-nous ». Le « nous » signifie qu’il nous faut avoir compassion pour le pauvre, mais aussi, que nous devons prier en famille. - Nous prions que Dieu nous donne cela « aujourd'hui » ; cette formule nous apprend à renouveler journellement les désirs de notre âme envers Dieu, comme nous satisfaisons les besoins quotidiens de notre corps.

      Tandis que la journée s’écoule, nous devons prier notre Père céleste, en songeant que s’il serait bien difficile d’avoir une journée sans nourriture, il en serait de même sans la prière.

      Ce texte nous enseigne à détester et à fuir le péché ; alors que nous espérons en la Miséricorde divine, « méfions-nous » de nous-mêmes, comptons sur la Providence et la Grâce de Dieu pour nous protéger du péché, pour être prêts à résister au tentateur, et ne pas devenir une occasion de chute pour les autres.

      Ce texte comporte aussi une promesse : « car si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi à vous ». Nous devons pardonner, comme nous espérons être pardonnés. Ceux qui désirent bénéficier de la Grâce divine, doivent témoigner de la miséricorde envers leurs frères. Christ est venu dans le monde en tant que grand Pacificateur, pour nous réconcilier, non seulement avec Dieu, mais les uns avec les autres !

      16 Le jeûne religieux est un devoir exigé, des disciples de Christ, mais en tant que tel, c’est aussi un moyen de disposer notre cœur en vue d’accomplir d'autres obligations spirituelles.

      Le jeûne est l'humiliation de l'âme, Psaume 35:13, cette dernière étant l'origine du désir d’accomplir notre devoir ; que cet accomplissement puisse être, en conséquence, notre principal souci ; faisons en sorte que la manifestation extérieure de nos « obligations spirituelles » envers le Seigneur se fassent dans la plus grande discrétion.

      Dieu, Celui qui voit dans le secret, accordera alors pleinement Sa récompense !

      Matthieu 10

      Matthieu 16

      Matthieu 23

      13 Les scribes et les pharisiens étaient des ennemis de l'évangile de Christ, donc, par voie de conséquence, du salut des âmes.

      Il est mauvais de nous tenir loin de Christ, mais il est encore plus grave d’éloigner les autres de Sa Personne. Il n'est pas rare de voir certaines apparences, ou formes de piété, servir de « couverture » aux plus grandes énormités. Mais une telle attitude hypocrite sera jugée deux fois plus sévèrement.

      Ces scribes et Pharisiens cherchaient avant tout à amener le peuple à leur doctrine : ni pour la Gloire de Dieu, ni pour le bien des âmes, mais pour avoir le crédit et l'avantage d'avoir procédé à des conversions. Le gain étant leur « piété », ils essayaient par mille manières, de faire de la religion, le moyen de servir leurs intérêts ici-bas. Ils étaient très stricts et précis, quant aux plus petits détails de la loi, mais néanmoins insouciants et superficiels, quant aux bases les plus importantes.

      Au verset Matthieu 23:24*, Christ ne blâme pas le fait d'accuser ceux qui commettent des péchés légers, ces derniers n’étant en fait que de simples « moucherons », devant être chassés ; Il réprimande, par contre les mêmes personnes, lorsqu’elles tolèrent des fautes graves, engloutissant ainsi, de manière imagée, un « chameau ».

      Alors qu'ils paraissaient être des hommes pieux, les scribes et les Pharisiens n'étaient en pratique, ni sobres ni vertueux. Notre aspect réel n’est en fait que le reflet de notre état « intérieur ». Des apparences peuvent nous donner un côté recommandable, alors que notre être reste néanmoins répugnant ; si notre cœur et notre esprit sont « rénovés » en Christ, il y aura alors nouveauté de vie ; nous devons commencer par nous examiner nous-mêmes, avant de juger les autres !

      La justice des scribes et des pharisiens n’était symboliquement qu’un ornement funéraire, (verset Matthieu 23:29)*, ou qu’une toilette mortuaire, une simple façade. Les cœurs qui demeurent sous l’emprise du péché, suivent manifestement des « chemins trompeurs », s'imaginant qu'ils se seraient opposés aux tendances iniques des temps qui les ont précédés.

      Nous pensons parfois que si nous avions vécu à l’époque où Christ était ici-bas, nous ne L'aurions ni méprisé, ni repoussé, à l’inverse de ce que firent les scribes et les Pharisiens d'alors ; cependant Christ, dans Son Esprit, comme dans Sa Parole, n’est hélas pas mieux considéré actuellement, par certains de Ses serviteurs hypocrites...

      Et il est tout à fait normal que Dieu accorde une rétribution méritée à ceux qui ne cherchent qu’à satisfaire les convoitises de leur cœur. En fait, Christ révèle la véritable nature du cœur de l’homme.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 25

      Marc 8

      Luc 11

      Luc 12

      1

      Christ blâme ceux qui déforment la loi. (Luc 12:1-12)
      Avertissement à l’encontre de la convoitise. Parabole de l'homme riche. (Luc 12:13-21)
      Les soucis de ce monde sont blâmés. (Luc 12:22-40)
      Exhortation à la vigilance. (Luc 12:41-53)
      Avertissement au sujet de la réconciliation avec Dieu. (Luc 12:54-59)

      Lorsque nous sommes en péril, le fait d’être fermement convaincu de la puissance de la Providence divine, devrait nous calmer et nous encourager à placer davantage notre confiance en Dieu, dans l’exercice de notre devoir. La Providence veille sur les moindres créatures, comme dans ce texte, cet exemple des passereaux ; elle « gère » donc avec grande efficacité, les moindres intérêts des serviteurs de Christ !

      Ceux qui confessent Christ ici-bas, seront confessés par ce Dernier, dans Son Royaume, devant les anges de Dieu. Pour nous dissuader d’abandonner Christ, Ses vérités et Ses ordonnances, ce texte nous assure, que ceux qui Le renieront, bien qu'ils puissent sauver des vies ici-bas, voire même conquérir des royaumes, seront de toute façon les grands perdants : Christ ne les reconnaîtra pas, ils ne Lui appartiendront pas et Il ne leur accordera aucune faveur.

      Mais que le pécheur repentant ne tremble pas et ne doute pas de pouvoir obtenir le pardon du ciel. Une telle attitude positive est totalement différente d’une inimitié déterminée contre le Seigneur : c'est le blasphème contre le Saint-Esprit, faute qui ne peut jamais être pardonnée, car on ne constate aucune repentance en ce cas...

      Luc 16

      Jean 5

      Jean 12

      1 Corinthiens 9

      2 Corinthiens 9

      Galates 6

      12 Un cœur orgueilleux, vain et charnel, se satisfait d’un minimum de piété, pour tendre à montrer son soi disant « bon côté ».

      L'apôtre professe sa foi, son espérance, et sa joie ; il ne veut se glorifier qu’en la croix de Christ. Il souligne par là, les souffrances du Seigneur et Sa mort sur la croix ; il annonce la doctrine du salut par le Rédempteur crucifié.

      Par Christ ou par la croix, le monde est « crucifié » au croyant, et ce dernier au monde, Galates 6:14*. Plus nous considérons la souffrance subie par le Rédempteur et la cruauté du monde, moins il nous sera possible d'aimer ce dernier.

      L'apôtre était vraiment peu attiré par les attraits de ce monde ; il ne voulait pas placer sa fierté ailleurs que dans le Christ sur la croix, au terme de Son agonie. Paul n'était guère impressionné par ce qui l’entourait matériellement, comparé aux souffrances de Celui qui était sur le point d’expirer, pendu à une croix.

      Pour ceux qui croient vraiment en Jésus-Christ, tous les attraits de ce monde n’ont guère de valeur, comparés aux qualités du Fils de Dieu. En Christ, il y a une « nouvelle création » : tout ce qui est ancien est considéré comme mort, alors que de nouvelles perspectives sont générées par l’influence divine et le Saint-Esprit.

      Les croyants sont plongés dans un « monde nouveau » ; étant nouvellement créés en Jésus-Christ, en vue de l’accomplissement de bonnes œuvres, ils sont formés pour une vie de sainteté. Il s’agit d’un changement d'esprit et de cœur, par lequel il nous est permis de croire dans le Seigneur Jésus, et de vivre pour Dieu ; là où cette vie spirituelle intime et pratique est absente, toutes les professions de foi extérieures, ou dénominations religieuses, ne subsisteront jamais bien longtemps...

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Hébreux 2

      1

      Le devoir d'accepter fermement Christ et Son Évangile. (Hébreux 2:1-4)
      Ses souffrances ne sont pas une objection à Sa prééminence. (Hébreux 2:5-9)
      La raison de Ses souffrances, et leur finalité. (\\# 10-13\\)
      Que Christ prenne la nature de l'homme, et non pas celle des anges, était essentiel à Son office, en tant que Sacrificateur. (\\# 14-18\\)

      Le chapitre précédent ayant prouvé que Christ est supérieur aux anges, ce texte applique donc cette doctrine.

      Notre esprit et notre mémoire ressemblent à un « récipient » qui fuit, ne retenant pas correctement son contenu, sauf si l’on prend maintes précautions. Ce phénomène provient de la corruption de notre nature, des tentations, des attraits du monde et de ses plaisirs. Pécher contre l'Évangile, revient à négliger le grand salut qui nous est offert ; c'est mépriser la Grâce salvatrice de Dieu, en Christ, la Lumière ; ne pas ressentir le besoin d’être sauvé équivaut à ne pas honorer Jésus.

      Les jugements du Seigneur, sous la dispensation de l'Évangile sont principalement spirituels, et de ce fait, ils doivent être vraiment redoutés. On trouve dans ce texte une sollicitation de la conscience des pécheurs. Même nos négligences mineures n'échapperont pas aux reproches du ciel ; elles obscurcissent souvent l’âme par des ténèbres spirituelles, en risquant de conduire cette dernière à la ruine.

      La mise en place de l'Évangile a été poursuivie et confirmée par ceux qui ont connu Christ, par les évangélistes et les apôtres, qui ont été les témoins de ce que Jésus-Christ a commencé à la fois d'enseigner et d’accomplir ; ces hommes, par les dons du Saint-Esprit, furent qualifiés pour la tâche à laquelle ils étaient appelés. Tout ce plan fut établi selon la Volonté de Dieu. Ce Dernier désirait en effet qu’en recevant l'Évangile, nous ayons des bases solides pour notre foi, et un ferme fondement pour notre espérance.

      Que notre âme admette cette vérité nécessaire, et s'appuie sur les Saintes Écritures, transcrites par ceux qui ont entendu les paroles de notre merveilleux Seigneur, étant inspirés par Son Esprit ; nous serons alors bénis, nous aurons « la bonne part », celle qui ne peut nous être ôtée !

      Hébreux 6

      Hébreux 11

      2 Jean 1

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