Exode 32

    • 1

      1 Ă  6 Le veau d'or

      Un moment comprimĂ©e par les manifestations de la puissance de Dieu au SinaĂŻ, l'idolĂątrie, dont IsraĂ«l Ă©tait loin d'ĂȘtre complĂštement guĂ©ri (EzĂ©chiel 20.7-8), reparaĂźt. Succombant Ă  l'Ă©preuve que Dieu lui fait subir par l'absence de MoĂŻse, pensant probablement qu'il a disparu au milieu des Ă©clairs et des tonnerres du SinaĂŻ, les IsraĂ©lites demandent Ă  Aaron de leur faire une reprĂ©sentation de Dieu qui leur permette de croire Ă  sa prĂ©sence au milieu d'eux. Aaron par crainte du peuple cĂšde Ă  ce dĂ©sir ; il leur fabrique un veau d'or avec les bijoux que lui apportent les IsraĂ©lites et proclame une fĂȘte Ă  l'Eternel, suivie de divertissements.

      On a souvent pensĂ© que le veau d'or Ă©tait une reproduction du dieu Apis, dont les IsraĂ©lites avaient vil le culte cĂ©lĂ©brĂ© en Egypte. (Voir l' image ci-jointe.) Mais auraient-ils pu avoir l'idĂ©e de reprĂ©senter le Dieu qui les avait tirĂ©s de la servitude d'Egypte sous la forme d'une divinitĂ© Ă©gyptienne ? D'ailleurs le dieu Apis Ă©tait un taureau ou un bƓuf et non pas un veau. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce plutĂŽt le souvenir d'un ancien culte hĂ©breu (JosuĂ© 24.14), analogue Ă  celui qui fut Ă©tabli plus tard dans le royaume des dix tribus. L'histoire du veau d'or est rappelĂ©e DeutĂ©ronome 9.8-21

      Autour d'Aaron : qui avec Hur avait reçu de Moïse la charge de diriger le peuple (24.14). La tradition rapporte que Hur fût mis à mort pour avoir voulu résister au peuple et qu'aprÚs cela Aaron, effrayé, céda.

      Fais-nous un dieu. Le terme hĂ©breu qui signifie dieu (Elohim) est pluriel, seulement il se construit ordinairement avec le verbe au singulier ; ici le verbe est aussi mis au pluriel, Ă©videmment parce qu'il y a dans ce fait comme un commencement de retour Ă  l'idolĂątrie (versets 4,8,23 ; 1Rois 12.28). Il leur faut un conducteur visible ; MoĂŻse a disparu ; il doit ĂȘtre remplacĂ© par une image de la divinitĂ© qui les a tirĂ©s d'Egypte par son moyen. C'Ă©tait plutĂŽt lĂ  une transgression du second commandement du DĂ©calogue que du premier. Voir 20.1-6

      Il y a dans ces termes : celui-lĂ , l'homme, un manque de respect et de reconnaissance.

      2

      Arrachez les boucles... Aaron s'excusait sans doute intĂ©rieurement de cet acte de faiblesse en se disant que c'Ă©tait le seul moyen d'empĂȘcher le peuple de retomber ouvertement dans le paganisme dont ils avaient eu si longtemps en Egypte l'exemple sous les yeux ; car enfin c'Ă©tait l'Eternel que le veau devait reprĂ©senter. Il a bien soin de le rappeler au verset 5. Et il comptait sur le retour de MoĂŻse pour ramener l'ordre.

      De vos fils. Il paraßt qu'en Orient les hommes aussi portaient de pareils ornements. Et en effet les monuments nous montrent plusieurs rois égyptiens et la plupart des monarques assyriens ornés de boucles d'oreilles.

      3

      D'aprÚs 12.35 les Israélites avaient emporté d'Egypte une quantité d'or.

      4

      Le travailla au burin. Traduction incertaine ; d'autres entendent : le jeta au moule.

      L'art de travailler l'or est trÚs ancien. DÚs les temps les plus reculés il y avait dans la péninsule du Sinaï des mines et des fonderies exploitées par les Egyptiens.

      Un veau de métal. Sans doute un veau de bois recouvert d'or battu ; voir verset 20. Les grandes statues des dieux chez les anciens étaient en bois recouvert de plaques d'or ; comparez Exode 30.22 ; 40.19

      5

      Aaron, dans le but de retenir le peuple sous son autoritĂ©, prend la direction de la fĂȘte qui se prĂ©pare.

      Devant le veau. Il y a proprement devant lui. Ce pronom ne peut ĂȘtre rapportĂ© qu'au veau, considĂ©rĂ© comme reprĂ©sentant JĂ©hova.

      6

      Holocaustes et sacrifices d'actions de grĂąces : comme pour l'Eternel (24.5)

      Pour manger et boire... les banquets et les divertissements avec chants et danses accompagnaient chaque fĂȘte paĂŻenne.

      Quelles que fussent les excuses par lesquelles Aaron cherchait à se déguiser la culpabilité de sa conduite, Deutéronome 9.20 montre bien combien fut sévÚre le jugement de Dieu sur son compte. Il fallut l'intercession de Moïse pour le sauver de la colÚre divine, aussi bien que le peuple.

      7

      7 Ă  14 PremiĂšre intercession de MoĂŻse.

      7 à 10 Dieu fait connaßtre à Moïse le péché du peuple (versets 7 et 8) ; puis il lui offre de faire de lui le pÚre d'une nouvelle nation élue qui remplacera celle sur laquelle plane le jugement d'extermination (versets 9 et 10).

      Descends. Ce morceau se rattache donc étroitement au verset 18 du chapitre précédent. La fin des quarante jours du séjour de Moïse sur la montagne était arrivée.

      Ton peuple : il y a dans ce mot à la fois un indice de la réjection qui menace le peuple et une invitation au médiateur d'intercéder en sa faveur.

      8
      C'est ici ton Dieu. Voir à verset 1 Moïse se tait ; il est comme atterré par cette nouvelle inattendue. L'Eternel reprend et achÚve.
      10

      Et maintenant laisse ma colĂšre. C'est comme si dĂ©jĂ , sans avoir rien dit. MoĂŻse exerçait par sa prĂ©sence et son regard suppliant une action qui arrĂȘte le bras de l'Eternel prĂȘt Ă  frapper.

      Que je les consume. En agissant ainsi Dieu n'aurait pas rompu ses engagements avec Abraham, Isaac et Jacob. Car MoĂŻse, dont la postĂ©ritĂ© aurait Ă©tĂ© substituĂ©e au peuple actuel, Ă©tait lui-mĂȘme de la postĂ©ritĂ© des patriarches.

      Je ferai de toi...'La fidĂ©litĂ© de MoĂŻse Ă  son office de mĂ©diateur et son attachement Ă  son peuple sont ici mis Ă  une forte Ă©preuve. Il s'agit de savoir ce qu'il prĂ©fĂ©rera : sauver l'existence de ce peuple rebelle et obstinĂ©ment idolĂątre, ou voir surgir un nouveau peuple auquel son nom restera Ă  jamais attachĂ©. Mais Ă  quoi bon cette Ă©preuve ? Dieu ne connaĂźt-il pas dĂ©jĂ  les derniers replis de son cƓur ? AssurĂ©ment ; mais le progrĂšs de la vie morale de l'homme exige qu'il soit mis de temps en temps en demeure de prendre de saintes et hĂ©roĂŻques dĂ©cisions.

      11

      11 Ă  13 RĂ©ponse de MoĂŻse

      Ces mots Laisse ma colĂšre..., lui ont rendu la parole en rĂ©veillant en lui le sentiment de sa puissance, mĂȘme dans cette situation qui paraĂźt dĂ©sespĂ©rĂ©e. Il ne rĂ©pond pas mĂȘme Ă  l'offre divine qui lui a Ă©tĂ© faite et se borne Ă  plaider en faveur d'IsraĂ«l.

      Chercha à apaiser, littéralement : caressa le visage.

      Son Dieu : qui, lors mĂȘme qu'il n'est plus le Dieu d'IsraĂ«l, est encore le sien.

      Contre ton peuple. C'est comme le rendu de l'expression divine, verset 7. Le premier argument du plaidoyer de MoĂŻse est tirĂ© de ce que Dieu a dĂ©jĂ  fait pour le peuple en le faisant sortir d'Egypte. Toute cette Ɠuvre de la grĂące et de la puissance divines deviendrait inutile, si Dieu donnait cours Ă  sa justice.

      12

      Un second motif : l'honneur de l'Eternel lui-mĂȘme. Le caractĂšre de l'Eternel n'apparaĂźtrait plus aux yeux des Egyptiens, qui ont Ă©tĂ© les objets de sa justice, que sous un jour sinistre et perfide.

      13

      TroisiĂšme motif : les promesses faites aux patriarches en faveur de leur postĂ©ritĂ©. Car lors mĂȘme qu'un nouveau peuple issu d'eux pourrait ĂȘtre appelĂ© maintenant Ă  l'existence, il n'en est pas moins vrai que ce peuple ne s'appellerait plus la postĂ©ritĂ© d'Abraham, mais celle de MoĂŻse.

      14

      Ce verset n'implique point le pardon d'Israël. Dieu renonce simplement à le détruire. Sur le repentir de Dieu, voir à GenÚse 6.6. Comparez sur toute cette scÚne Psaumes 106.23

      15

      15 Ă  20 Retour de MoĂŻse au camp

      15 à 16 Tous ces détails servent à faire sentir la gravité de l'acte accompli par Moïse, verset 19.

      17

      Lorsque Moïse avait reçu de Dieu connaissance de la conduite du peuple, Josué n'avait point été associé à cette révélation.

      18

      Ce n'est pas que Moïse eût l'ouïe plus fine que Josué, mais la communication qu'il avait reçue (versets 7 et 8) faisait qu'il se rendait compte plus distinctement de ce qui se passait.

      19

      Cette Ă©motion subite, qui saisit le cƓur de MoĂŻse, n'a rien d'Ă©tonnant. Voir est encore autre chose que savoir.

      Le brisement des tables représente la rupture de l'alliance par le peuple. Car c'était le Décalogue qui en était l'acte constitutif.

      20

      Le brĂ»la et le broya. Le terme de brĂ»ler se rapporte Ă  la forme en bois que recouvrait l'or, celui de broyer doit se rapporter Ă  l'or lui-mĂȘme. Quoique l'or ne soit pas friable et cassant, il peut le devenir lorsqu'on le fond en y joignant un mĂ©lange de plomb, d'arsenic, d'antimoine ou d'Ă©tain. Autrement il faudrait dire que MoĂŻse l'a rĂ©duit en poussiĂšre Ă  force de le piler ou de le rĂąper, ce qui est moins probable.

      La rĂ©pandit sur l'eau. Le DeutĂ©ronome (9.24) dit qu'il versa la poudre dans un torrent qui descendait de la montagne et dont il fit boire l'eau au peuple. Il voulait sans doute, en leur faisant avaler ce qu'ils avaient adorĂ©. leur montrer l'absurditĂ© de l'idolĂątrie Ă  laquelle ils s'Ă©taient livrĂ©s et la dĂ©gradation qu'ils s'Ă©taient eux-mĂȘmes infligĂ©e par un pareil acte.

      21

      21-24 Interrogatoire d'Aaron

      AprÚs que le peuple a subi son humiliation, Aaron est aussi appelé à rendre compte. En consentant à la demande du peuple, il s'est conduit envers lui comme s'il eût été son plus implacable ennemi.

      22

      22 Ă  24 Au lieu de se condamner lui-mĂȘme, Aaron cherche Ă  s'excuser. Ce qui s'est passĂ© Ă©tait, le rĂ©sultat inĂ©vitable des mauvais instincts du peuple, et le veau s'est trouvĂ© fait comme de lui-mĂȘme. Toutes ces misĂ©rables excuses ne l'auraient point sauvé ; nous avons dĂ©jĂ  dit (verset 6) que l'intercession de MoĂŻse put seule le prĂ©server de la mort.

      25

      25 Ă  29 ChĂątiment du peuple

      Ce que Moïse craint, ce n'est pas, comme on l'a pensé, que quelque ennemi vienne surprendre le peuple au milieu de son orgie ; ce qu'il redoute, c'est que ce débordement de licence ne le conduise à une désorganisation totale et qu'il ne devienne ainsi un objet de risée pour tous ces peuples d'alentour qu'avait fait trembler la sortie d'Egypte.

      26

      Moïse sent qu'il faut, couper court à cette orgie. Un réveil terrible est nécessaire. Autour de lui il voit un groupe d'hommes, en partie de sa propre famille, qui partagent son indignation. Il les appelle à mettre de cÎté toute autre considération que, l'honneur de Dieu à sauver.

      27

      On doit se rappeler que l'idolùtrie en Israël était punie de mort.

      28

      Personne ne rĂ©siste. Une poignĂ©e d'hommes dĂ©cidĂ©s, au milieu d'une foule plongĂ©e dans la dĂ©bauche, ne trouve rien qui l'arrĂȘte.

      29

      Et Moïse dit : Consacrez-vous, littéralement : Remplissez vos mains pour l'Eternel. Emplir les mains est, l'expression reçue pour dire : consacrer quelqu'un à la charge sacerdotale en lui donnant le moyen de présenter l'offrande. Mais il ne s'agit point pour les Lévites de préparer un sacrifice pour l'expiation du sang qu'ils ont versé. Moïse les appelle à se consacrer dÚs aujourd'hui au service de l'Eternel, en récompense du zÚle qu'ils ont déployé ; comparez Deutéronome 33.8-11

      Une bénédiction : la position glorieuse de tribu devenue dÚs ce moment la tribu sacerdotale.

      30

      30 Ă  35 Nouvelle intercession de MoĂŻse

      Qu'y avait-il besoin d'intercession ? Dieu n'avait-il pas encore pardonné ? Mais, au verset 14, il était dit simplement que Dieu renonçait à détruire le peuple. Ce n'était point là le pardon complet, la réhabilitation d'Israël dans sa position de peuple de Dieu. Israël aurait pu, comme tout peuple qui a émigré, continuer seul son voyage et se chercher une patrie. Mais c'en eût été fait dans ce cas de sa dignité de peuple élu.

      On a soulevé ici une autre difficulté. Le langage de Moïse ne suppose-t-il pas qu'aucun chùtiment n'a eu lieu ? N'est-il pas ainsi en contradiction avec le récit des versets 26 à 29 ? Non ; le massacre qui avait eu lieu et qui était le résultat de la sainte, indignation de Moïse, ne suffisait nullement pour obtenir de Dieu le rétablissement du peuple dans sa position théocratique.

      31

      Cette nouvelle intercession de MoĂŻse exigeait avant tout une humble confession du pĂ©chĂ© commis ; comparez les intercessions semblables dans Daniel 9.1-27 et Esdras 9.1-15. Il est donc puĂ©ril de dire que MoĂŻse apprend ici Ă  Dieu un fait que Dieu lui avait appris Ă  lui-mĂȘme (verset 7 et suivants). Ceci n'est pas une narration, mais un aveu.

      32

      Pardonne : Pardonne complÚtement en rendant à ce peuple sa dignité de peuple élu.

      Ou sinon... L'autre alternative serait le maintien de la rĂ©jection du peuple. Dans ce cas, MoĂŻse veut ĂȘtre rejetĂ© avec eux. Il ne peut consentir Ă  ĂȘtre sauvĂ© sans eux. C'est la rĂ©ponse, non encore donnĂ©e jusqu'ici, Ă  la proposition de l'Eternel (verset 10). Cette parole a de l'analogie avec celle de Paul, Romains 9.3, mais en diffĂšre pourtant. Elle reste dans le domaine du possible, tandis que celle de Paul en sort expressĂ©ment.

      Ton livre. L'image d'un livre dans lequel Dieu inscrit les noms de ceux qu'il connaßt comme siens, est empruntée à l'usage l'inscrire dans un registre les noms des membres du peuple, par tribus, branches, familles, maisons (Josué 7.16-18). Est privé du salut celui dont Dieu efface le nom de ce livre ; comparez Esaïe 4.3 ; Psaumes 69.29 ; Daniel 12.1 et plusieurs passages du Nouveau Testament.

      33

      Dieu répond à Moïse qu'il ne peut le rejeter puisqu'il n'a pas pris part au péché du peuple. Et, comme Dieu ne peut pas rejeter Moïse, il suit de là qu'il ne peut non plus rejeter le peuple. Nulle part n'apparaßt aussi magnifiquement la hardiesse et la puissance de l'intercession que l'amour inspire.

      34

      Si Dieu renonce à rejeter le peuple ce n'est pas dire pourtant qu'il le réhabilite. Entre l'abandonner tout à fait et redevenir son Dieu, il y a un intermédiaire : c'est de continuer à le conduire, mais au moyen d'un agent d'ordre inférieur. C'est là le sens du verset 34 expliqué ensuite plus clairement par 33.1-4

      Va maintenant, conduis ce peuple. C'est l'ordre de départ immédiat de Sinaï pour Canaan.

      Voici, mon ange ira. Ce terme mon ange (mon envoyĂ©) est assez gĂ©nĂ©ral pour pouvoir ĂȘtre appliquĂ© de diffĂ©rentes maniĂšres. Dans 23.20,23 ce nom renfermait la plus grande, des promesses. Car l'ange que Dieu promettait Ă  MoĂŻse d'envoyer avec lui pour conduire le peuple, n'Ă©tait rien moins que l'Ange en qui est son nom, la parfaite rĂ©vĂ©lation de son essence, en particulier de sa saintetĂ© (verset 21), la manifestation suprĂȘme de Dieu dans laquelle Dieu serait lui-mĂȘme. Mais ici le terme mon ange ira signifie au contraire : Un quelconque de mes envoyĂ©s ; pour moi, je cesse d'ĂȘtre moi-mĂȘme votre conducteur. Ce sens ressort clairement de 33.3-4. Si Dieu ne veut plus, les guider lui-mĂȘme, c'est par mĂ©nagement pour ce peuple, trop mal disposĂ© pour que la prĂ©sence de l'Eternel dans son sein ne l'exposĂąt pas Ă  ĂȘtre consumĂ© Ă  chaque instant. Il enverra donc, avec eux un ĂȘtre dont le contact immĂ©diat et journalier ne sera plus pour eux un danger permanent. On comprend la dĂ©solation du peuple Ă  l'ouĂŻe de ce message qui constate sa dĂ©gradation (33.4)

      Cependant Dieu n'abandonne pas entiĂšrement les rĂȘnes. Il se rĂ©serve d'intervenir si les circonstances l'exigent : Et au jour oĂč je jugerai... Le moment pourra venir, mĂȘme malgrĂ© cette abdication partielle, oĂč il exercera lui-mĂȘme le jugement dĂ©finitif.

      35

      Ce verset n'indique point un fait nouveau qui ne serait pas raconté ; c'est simplement la formule qui résume le chùtiment précédent exécuté par les Lévites.

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