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Genèse 3.17

To Adam he said, "Because you have listened to your wife's voice, and have eaten of the tree, of which I commanded you, saying, 'You shall not eat of it,' cursed is the ground for your sake. In toil you will eat of it all the days of your life.
To Adam he said, "Because you have listened to your wife's voice, and have eaten of the tree, of which I commanded you, saying, 'You shall not eat of it,' cursed is the ground for your sake. In toil you will eat of it all the days of your life.
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      Genèse 2

      16 Ne cherchons jamais à contrecarrer la sainte volonté de Dieu. L'homme n'avait pas seulement la liberté de profiter des fruits du paradis terrestre, il bénéficiait également de la vie éternelle. Il y avait toutefois une barrière, une condition liée à son obéissance : par la transgression, il se plaçait sous le jugement et la désapprobation de son Créateur, avec tous les terribles impacts que cela pouvait engendrer ; il devint ainsi sujet à la douleur, à la maladie et à la mort. Pire que cela, il a terni la sainteté divine, et perdu tout le bénéfice qu'il pouvait en tirer ; il a souffert à cause de sa passion pour le péché, et a dû subir la vengeance terrifiante de son Créateur ; cet état pénalise maintenant l'âme immortelle de l'homme.

      L'interdiction de manger du fruit d'un arbre spécifique a été sagement ordonnée à nos premiers parents. Dans leur état d'innocence, seuls êtres humains sur terre, quel avantage avaient-ils à transgresser les commandements divins ? Cet acte montre que toute la race humaine a été concernée par cette épreuve, suite à la chute de nos premiers parents. Le fait de douter de la véracité de ces choses revient à nier des faits évidents, aussi bien que la révélation divine ; l'homme est pécheur, cela se voit dès ses premiers pas, puis tout au long de sa vie : il est toujours prêt à faire le mal. De ce fait, il subit le mécontentement divin et donc, est sujet à la souffrance et à la mort. Les Écritures associent toujours l'homme au péché et, en conséquence, à son état misérable ; toutes ces choses sont bien réelles, elles s'adressent aux hommes de toutes les nations.

      Genèse 3

      6 Observons biens les étapes qui mènent à la transgression : aucune d'elles n'élève l'homme, mais au contraire, toutes le conduisent dans la fosse de la perdition. Au début, « Elle vit ». Un grand nombre de péchés provient de ce que l'on voit. Ne regardons pas à ce qui peut nous conduire dangereusement à la convoitise, Matthieu 5:28. Ensuite, « Elle prit ». Elle a commis cet acte de son propre chef.

      Satan peut tenter mais ne peut forcer à agir ; Il peut nous faire convoiter l'attrait négatif du péché mais Il ne peut nous y faire sombrer Lui-même, de force, Matthieu 4:6. Après, « Elle mangea ». Quand elle vit le fruit, au début, Ève pensait qu'elle ne le prendrait peut-être pas ; ou quand elle le prit, elle a peut-être pensé qu'elle ne le mangerait pas : mais elle finit par le consommer. Il est sage de s'arrêter au premier signe du péché et de s'en éloigner avant de le commettre. Ensuite, Ève en donna aussi à son mari. Ceux qui sont sur une pente dangereuse tentent d'entraîner les autres avec eux. En négligeant l'arbre de la vie, qu'il avait le droit de manger, et en consommant celui de la connaissance, qui lui, était interdit, Adam a pleinement montré qu'il se moquait de ce que Dieu lui avait dit et de ce qu'Il lui avait recommandé de ne pas faire. Il n'a fait que ce qu'il lui plaisait de faire. Son péché s'appelle tout simplement la désobéissance, Romains 5:19 ; une désobéissance au commandement divin.

      Il n'a eu aucune circonstance atténuante, mais au contraire, une pleine liberté pour accomplir totalement sa propre volonté. Il s'est détourné rapidement. Il a entraîné toute sa postérité dans le péché et la ruine. Qui peut minimiser le mal du péché commis par Adam ?

      Adam et Ève se sont aperçus, un peu tard, de leur folie, en mangeant du fruit interdit. Ils ont vu le bonheur qu'ils ont perdu, et la misère dans laquelle ils sont tombés. Le Dieu plein d'amour qu'ils ont connu a été bafoué, Sa grâce et Sa faveur ont été écartées. Observez bien à quel point le péché mène à la honte et amène les problèmes ; où qu'il entre, tout est détruit. Tôt ou tard il apporte la confusion ; ce sentiment de tristesse peut conduire, soit à la vraie repentance, qui se terminera dans la gloire céleste, soit au mépris de l'ordre divin qui fera comparaître le méchant devant Dieu, au jour du jugement. Notez à quel point de folie sont rendus ceux qui ont péché. Ils sont plus occupés par le souci de plaire aux hommes que par celui d'obtenir le pardon divin. Les hommes s'efforcent de couvrir et de diminuer la gravité de leurs péchés ; toutes ces tentatives sont vaines et frivoles ; ils sont comme nos premiers parents qui se sont vêtus de feuilles de figuier, faisant ainsi le maximum pour masquer leur faute : avouons qu'il nous est facile de faire de même. Avant de commettre le péché, Adam et Ève acceptaient les visites divines, pleines de grâces, avec joie et humilité ; maintenant ces visites sont devenues pour eux une véritable terreur. Il ne fait aucun doute qu'ils étaient remplis de confusion.

      Tout cela révèle la fausseté du tentateur et ses méthodes frauduleuses. Satan a promis la sécurité à Adam et Ève, mais en fait, ils en étaient bien dépourvus ! Nos parents furent désormais misérables et incapables de se réconforter mutuellement !

      Genèse 5

      1 Samuel 15

      24 Il y avait plusieurs signes d'hypocrisie dans le repentir de Saül : - Il implora uniquement Samuel, et semblait se préoccuper de son avis, et de gagner sa faveur. - Il tenta de se disculper, même en admettant sa faute, ce qui n'est jamais la voie de la vraie repentance. - Tous ses efforts tendaient à sauver sa réputation, et à préserver son intérêt à régner sur le peuple.

      Les hommes sont inconstants et changent souvent d'avis, ce qui ne peut que les affaiblir et leur faire manquer leurs objectifs : c'est alors que l'imprévisible se produit, contrecarrant tous leurs plans. Mais la marche avec Dieu ne va pas dans ce sens : la « Force d'Israël » (l'Éternel) ne faillira jamais !

      Job 5

      6 Éliphaz rappelle à Job, qu'aucune affliction ne survient par hasard, donc qu'elle ne peut être négligée. On ne peut pas distinguer aussi facilement la différence entre la prospérité et l'adversité, que celle entre le jour et la nuit, l'été et l'hiver ; ces deux états arrivent selon la volonté et la bienséance de Dieu. Nous ne devons pas attribuer nos afflictions à notre mauvaise fortune, elles nous sont envoyées directement par Dieu ; elles ne découlent pas non plus nécessairement de nos péchés ou d'une certaine malchance, car elles proviendraient alors de nous-mêmes. L'homme est né dans le péché, et doit donc en subir les conséquences. Il n'y a rien en ce monde qui puisse justifier ce pourquoi nous sommes nés, et rien ne peut vraiment nous appartenir, sinon le péché et l'épreuve. En fait, les transgressions que nous commettons ne sont que les étincelles qui s'échappent de la fournaise de la corruption originelle. Telles sont la faiblesse de nos corps, et la vanité de tous nos plaisirs, lorsque nos ennuis surgissent comme des étincelles qui jaillissent ça et là ; on peut dire que nous ne manquons pas de problèmes, le dernier se termine à peine, que déjà le suivant est là ! Éliphaz reproche à Job de ne pas rechercher Dieu, et de se rebeller contre Lui.

      Quelqu'un est-il dans la souffrance ? Qu'il prie ! C'est le chemin de la paix du cœur, un baume pour chaque blessure. Éliphaz parle de la pluie, que nous pouvons considérer comme une chose anodine ; si l'on songe, par contre, comment elle est produite, et ce qu'elle engendre ensuite, nous devons alors constater qu'il s'agit d'une réalisation bonne et puissante.

      Trop souvent le grand Auteur de tous les bienfaits dont nous jouissons et la manière avec laquelle Il nous les accorde, ne sont pas remarqués, parce que nous les recevons comme des choses naturelles. Quand la Providence agit, les expériences de certains sont de réels encouragements pour d'autres, cela leur permet de garder l'espoir, lors des périodes les plus sombres ; car la Gloire de Dieu envoie de l'aide au délaissé, et de l'espérance au malheureux. Devant toutes ces choses, les pécheurs les plus audacieux sont confondus et forcés de reconnaître la Justice des démarches divines.

      Job 14

      1

      Job parle de la vie de l'homme. (Job 14:1-6)
      Il médite sur la mort de l'homme. (Job 14:7-15)
      Par le péché, l'homme est corrompu. (Job 14:16-22)

      Job s'étend sur la condition de l'homme, il s'adresse également à Dieu. Chaque homme, de la lignée d'Adam, a une vie de bien courte durée. Toute manifestation de sa beauté, de son bonheur, et de sa splendeur, est réduite à néant par la maladie ou la mort, comme la fleur qui est fauchée ; l'homme ne fait que passer, comme l'ombre. Comment peut-il être possible que la conduite d'un homme puisse être pure, quand son cœur est par nature, souillé ? Ce texte prouve que Job a compris la doctrine du péché original et y a cru. Il semble que le patriarche ait exprimé une prière : pourquoi le Seigneur ne devrait-il pas le traiter selon ses propres œuvres, au lieu de le considérer selon Sa miséricorde et Sa grâce. La durée de notre vie est déterminée par les plans et les décrets divins. Notre temps est dans Ses mains, les puissances de la nature sont sous Sa domination ; par Lui nous vivons et nous nous déplaçons. Il est très utile de méditer sérieusement sur la brièveté et l'incertitude de la vie humaine et sur la nature bien fade de tous les plaisirs terrestres. Il est encore plus important d'observer la cause et le remède du mal. Avant d'être né de nouveau, aucune pensée religieuse ne demeure en nous, rien ne peut émaner de nous-mêmes. Même le peu de bonté qui pourrait nous animer est détourné par le péché. Nous devrions donc nous humilier devant Dieu, et nous reposer entièrement sur Sa miséricorde, sur la sécurité qu'Il nous offre. Nous devrions rechercher chaque jour le renouveau de l'Esprit Saint, et regarder au ciel, seul endroit où l'on trouve la perfection dans la sainteté et le bonheur.

      Job 21

      17 Job avait décrit jusqu'à présent la prospérité du pécheur ; ici, dans ce texte, il s'oppose à ce que maintenaient ses amis, au sujet de la ruine qui peut atteindre certains, ici-bas. Le patriarche s'en remet à la Sainteté et à la Justice divines. Au temps de leur prospérité, les pécheurs prennent à la légère tout ce qui concerne Dieu, ou la sagesse de certains. Du haut de la grandeur et de la puissance éventuelles de tels hommes, il n'y a cependant qu'un pas entre eux et la ruine. Job se réfère à la différence de destinée que l'on peut remarquer entre l'homme méchant et ceux qui suivent la Sagesse divine.

      Dieu est Juge sur terre, Il fait toutes choses bien. Il y a une différence de proportion énorme entre le temps présent et l'éternité : si l'enfer est le sort réservé à chaque pécheur, peu importe si ce dernier chante toute sa vie ou soupire dans la douleur. De deux hommes iniques, si l'un meurt dans un palace et l'autre dans une prison, la vermine, qui elle ne meurt pas et le feu éternel du jugement, feront inexorablement leur tâche à leur égard. Ainsi, les différences dans ce monde ne doivent pas nous laisser perplexes.

      Psaumes 90

      7 Les afflictions des saints proviennent quelquefois de l'amour de Dieu ; mais les réprimandes des pécheurs et des croyants au sujet de leurs péchés doivent être perçues comme étant directement produites par le déplaisir de Dieu. Les péchés secrets sont connus de Dieu et seront considérés comme tels.

      Remarquez la folie de ceux qui veulent essayer de masquer leurs péchés en vain. Les années qui se sont écoulées ne peuvent être revécues ; il en est de même avec les paroles qui, une fois émises, sont irrémédiablement lancées. Notre vie n'est que labeur et difficultés, nos années sont comptées. Nous voyons que tout cela doit être considéré avec respect. Les anges qui ont péché connaissent la puissance de la colère de Dieu ; les pécheurs en enfer la connaissent aussi ; mais qui d'entre nous peut réellement la décrire ? Seuls quelques-uns uns la considèrent réellement à sa juste mesure. Ceux qui considèrent leur péché et regardent à la lumière de Christ ne connaîtront pas la colère de Dieu. Qui parmi nous peut oser demeurer devant ce feu dévorant ?

      Psaumes 127

      Ecclésiaste 1

      Ecclésiaste 2

      Ecclésiaste 5

      Esaïe 24

      Jérémie 7

      Matthieu 22

      Matthieu 25

      Luc 19

      Jean 16

      Romains 3

      19 Il est vain de vouloir rechercher la justification par les œuvres de la loi. Tous les hommes doivent plaider coupable. L’âme qui est fautive devant Dieu, se trouve dans un terrible état ; nul homme ne peut être justifié par la loi qui le condamne pour ne pas l’avoir respectée. La corruption de notre nature enrayera toujours toute tentative de justification par nos propres œuvres.

      Romains 8

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