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Exode 20.4

» Tu ne te feras pas de sculpture sacrĂ©e ni de reprĂ©sentation de ce qui est en haut dans le ciel, en bas sur la terre et dans l’eau plus bas que la terre.
« Ne fabrique pas de statues de dieux. Ne reprĂ©sente pas ce qu’il y a lĂ -haut dans le ciel, en bas sur la terre, ou dans l’eau sous la terre.
"You shall not make for yourselves an idol, nor any image of anything that is in the heavens above, or that is in the earth beneath, or that is in the water under the earth:
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Segond 21 » Tu ne te feras pas de sculpture sacrĂ©e ni de reprĂ©sentation de ce qui est en haut dans le ciel, en bas sur la terre et dans l’eau plus bas que la terre.

Segond 1910 Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.

Segond 1978 (Colombe) © Tu ne te feras pas de statue, ni de représentation quelconque de ce qui est en haut dans le ciel, de ce qui est en bas sur la terre, et de ce qui est dans les eaux plus bas que la terre.

Parole de Vie © « Ne fabrique pas de statues de dieux. Ne reprĂ©sente pas ce qu’il y a lĂ -haut dans le ciel, en bas sur la terre, ou dans l’eau sous la terre.

Français Courant © « Tu ne te fabriqueras aucune idole, aucun objet qui reprĂ©sente ce qui est dans le ciel, sur la terre ou dans l’eau sous la terre ;

Semeur © Tu ne te feras pas d’idole ni de reprĂ©sentation quelconque de ce qui se trouve en haut dans le ciel, ici-bas sur la terre, ou dans les eaux plus bas que la terre.

Darby Tu ne te feras point d'image taillée, ni aucune ressemblance de ce qui est dans les cieux en haut, et de ce qui est sur la terre en bas, et de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre.

Martin Tu ne te feras point d'image taillée, ni aucune ressemblance des choses qui sont là-haut aux cieux, ni ici-bas sur la terre, ni dans les eaux sous la terre.

Ostervald Tu ne te feras point d'image taillée, ni aucune ressemblance des choses qui sont là-haut dans les cieux, ni ici-bas sur la terre, ni dans les eaux sous la terre ;

HĂ©breu / Grec - Texte original © ŚœÖčÖŁÖœŚ ŚȘַ֜ŚąÖČŚ©Ś‚Ö¶ÖšŚ”ÖŸŚœÖ°ŚšÖžÖ„ÖŁ Ś€Ö¶ÖŁÖ™ŚĄÖ¶ŚœÖ™ Ś€ Ś•Ö°Ś›ÖžŚœÖŸŚȘ֌ְŚžŚ•ÖŒŚ ÖžÖĄÖ”Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€ÖŁŚš Ś‘֌ַŚ©ŚÖŒÖžŚžÖ·ÖŁÖ™Ś™ÖŽŚÖ™ Ś€ ŚžÖŽŚžÖŒÖ·ÖĄÖ”ŚąÖ·Śœ Ś•ÖœÖ·ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„ŚšÖ© Ś‘֌֞ŚÖžÖ–ÖšŚšÖ¶Ś„ ŚžÖŽŚȘ֌ַ֑֞֜Ś—Ö·ŚȘ Ś•Ö·ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„ÖŁŚš Ś‘֌ַŚžÖŒÖ·Ö–ÖŁŚ™ÖŽŚ Ś€ ŚžÖŽŚȘÖŒÖ·Ö„ÖŁŚ—Ö·ŚȘ ŚœÖžŚÖžÖœÖ—ŚšÖ¶Ś„

World English Bible "You shall not make for yourselves an idol, nor any image of anything that is in the heavens above, or that is in the earth beneath, or that is in the water under the earth:

La bible annotée Commentaire de Matthew Henry

Le second commandement
Ce que Dieu interdit ici, ce n'est plus seulement de faire une place Ă  une autre divinitĂ© Ă  cĂŽtĂ© de lui ; c'est de l'adorer lui-mĂȘme sous une forme indigne de lui. La dĂ©fense prĂ©cĂ©dente maintenait l'unitĂ© de Dieu ; celle-ci sauvegarde sa parfaite spiritualitĂ©. Comme nous l'avons vu, Achab et ManassĂ© pĂ©chaient contre le premier commandement en introduisant le culte de Baal et d'Astarté ; IsraĂ«l, et plus tard JĂ©roboam, contre le second, en figurant Dieu sous la forme du veau d'or. Il y avait chez les peuples anciens une tendance presque irrĂ©sistible Ă  reprĂ©senter la divinitĂ© qu'ils adoraient sous une forme matĂ©rielle, et en consĂ©quence aussi Ă  restreindre son culte Ă  certaines localitĂ©s. Dieu Ă©lĂšve la pensĂ©e de son peuple Ă  la hauteur de sa propre nature qui ne peut ĂȘtre enfermĂ©e dans aucune forme et limitĂ©e Ă  aucun espace.
Comparez Esaïe 40.18 : A qui comparerez-vous Dieu et quelle image ferez-vous de lui ?

Le passage DeutĂ©ronome 4.15 motive cette dĂ©fense par la maniĂšre mĂȘme en laquelle la loi a Ă©tĂ© donnĂ©e :
Car vous ne vites aucune ressemblance, au jour que l'Eternel, votre Dieu, vous parla en Horeb.

On a cru parfois que Dieu dĂ©fendait ici non seulement toute reprĂ©sentation de sa personne comme objet d'adoration, mais en gĂ©nĂ©ral la confection d'une image quelconque, taillĂ©e ou dessinĂ©e. Mais Dieu lui-mĂȘme a voulu qu'on plaçùt des chĂ©rubins taillĂ©s et brodĂ©s dans le Tabernacle, et il a ordonnĂ© de fabriquer le serpent d'airain. Ce qui suit au verset 5 :
Et tu ne te prosterneras point devant elles, montre suffisamment quel est le sens de ces mots : Tu ne te feras point d'image taillée...

Dans les cieux : les oiseaux et les astres ;
sur la terre : hommes, animaux ou plantes ;
sous la terre : les animaux qui vivent dans les eaux.

Un Dieu jaloux. La jalousie divine est un attribut de son amour. Si Dieu ne veut pas que l'on porte sur un autre l'adoration qui lui appartient Ă  lui seul, c'est que cet acte serait le commencement de la dĂ©gradation et de la corruption de celui-lĂ  mĂȘme qui s'y livrerait ; comparez Romains 1.21-32

Les crimes des pÚres sur les fils. Il n'est point dit que Dieu punisse les pÚres en la personne des fils ; mais qu'il punit leurs crimes jusque sur leurs fils ; comparez 34.7 ; Jérémie 32.18. Ces mots énoncent l'une des grandes lois du gouvernement divin dont toute l'histoire est l'illustration. Dans la vie des peuples et des familles l'on ne voit que rarement l'impiété et l'immoralité des pÚres punies dÚs la premiÚre génération ; ce n'est que lorsque le mal a mûri pendant plusieurs générations qu'il porte ses fruits amers et aboutit à la catastrophe.

Pour ceux qui me haïssent. Si l'on applique ces mots uniquement aux pÚres, l'on doit restreindre l'idée du chùtiment qui frappe les fils aux conséquences terrestres des égarements paternels, conséquences qui, si les fils viennent à se retourner vers Dieu, se changeront pour eux en salutaires épreuves. Mais si, comme cela est possible, ces mots s'appliquent non seulement aux pÚres, mais aussi aux fils, ils impliquent la participation de ceux-ci aux dispositions perverses des premiers. Les fils n'en portent pas moins pour cela le chùtiment des péchés des pÚres, puisque l'hérédité des penchants mauvais et les influences de l'éducation et de l'exemple ont contribué à les égarer, de sorte que, lorsque le jugement éclate, il s'exerce dans une proportion déterminée non seulement par les derniers péchés, mais par les péchés précédents de la race entiÚre. C'est cette loi dont Jésus fait une application saisissante au peuple juif dans la parole Luc 11.50 ; comparez aussi Romains 2.3-5 et 1Thessaloniciens 2.15-16.

Il est clair que chaque individu est toujours libre d'échapper, comme l'ont fait, par exemple, les apÎtres et les croyants juifs au temps de Jésus, à cette loi de solidarité, en rompant avec la disposition impie des pÚres. Dans ce sens reste toujours vraie la parole Ezéchiel 18.4 : L'ùme qui péchera sera celle qui mourra.
Quant à Deutéronome 24.16 : On ne fera point mourir les pÚres pour les enfants, ni les enfants pour les pÚres, c'est une rÚgle donnée en vue de la justice humaine.

Jusqu'à mille générations. D'autres entendent : jusqu'à des milliers à l'égard ou bien aussi pour l'amour de ceux qui m'aiment.
Mais ce sens n'est pas naturel en face du contraste évident avec la menace précédente. Le nombre mille représente une succession indéfinie de générations et fait contraste avec les trois ou quatre générations, qui ne représentent qu'une durée limitée.

Si les consĂ©quences des crimes des pĂšres atteignent mĂȘme leurs arriĂšre-petits-enfants, celles de la piĂ©tĂ© des pĂšres s'Ă©tendent Ă  l'avenir le plus lointain que nous puissions concevoir. Le peuple juif nous offre dans son histoire la preuve Ă©clatante de cette double application de la loi d'hĂ©rĂ©ditĂ©. L'exil de Babylone l'a frappĂ©, non pour les crimes de la derniĂšre gĂ©nĂ©ration seulement, mais pour ceux qu'avait accumulĂ©s toute son histoire antĂ©rieure (LĂ©vitique 26.39 ; 2Chroniques 36.15-21). Et la bĂ©nĂ©diction qui doit, finir par le ramener un jour Ă  Dieu, Ă  la fin de l'Ă©conomie actuelle, repose encore sur l'alliance que Dieu avait traitĂ©e avec les pĂšres, avec Abraham en particulier ; comparez MichĂ©e 7.20 ; Luc 1.54-55,73, et surtout Romains 11.28-29. Combien de fois n'est-il pas dit dans l'histoire des Rois que Dieu a Ă©pargnĂ©, dĂ©livrĂ©, pour l'amour de David, son serviteur. Comparez encore DeutĂ©ronome 7.9 ; Psaumes 115.14

Il faut bien se rappeler que cette menace et cette promesse sont des encouragements et des avertissements adressés aux pÚres, non aux enfants.

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Matthew Henry © traduction Dominique Osché
Tu ne te feras 06213 08799 point d’image taillĂ©e 06459, ni de reprĂ©sentation 08544 quelconque des choses 0834 qui sont en haut 04605 dans les cieux 08064, qui sont en bas sur la terre 0776, et qui sont dans les eaux 04325 plus bas que la terre 0776.

0776 - 'eretsterre, territoire, sol terre entiÚre: opposée à une partie, opposée aux cieux, les habitants de 


0834 - 'asher(relatif) lequel, qui, ce que conjonction et adverbe: que, quand, puisque, afin que, parce que, 


04325 - mayimeau, eaux urine danger, violence, choses transitoires, rafraĂźchissement

04605 - ma`alpartie la plus haute, partie supérieure adv au-dessus prep au sommet de, en haut, au-dessus, 


06213 - `asahfaire, façonner, accomplir, fabriquer (Qal) faire, Ɠuvrer, produire traiter (avec) agir, effectuer faire fabriquer produire 


06459 - pecelidole, image

08064 - shamayimciel, cieux les cieux visibles, le ciel la demeure des Ă©toiles l'univers visible, le ciel, 


08544 - tĕmuwnahforme, image, figure, ressemblance, reprĂ©sentation, similitude

08799Radical : Qal 08851 Mode : Imparfait 08811 Nombre : 19885

© Éditions CLÉ, avec autorisation

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      Exode 20

      4 ŚœÖčÖŁÖœŚ ŚȘַ֜ŚąÖČŚ©Ś‚Ö¶ÖšŚ”ÖŸŚœÖ°ŚšÖžÖ„ÖŁ Ś€Ö¶ÖŁÖ™ŚĄÖ¶ŚœÖ™ Ś€ Ś•Ö°Ś›ÖžŚœÖŸŚȘ֌ְŚžŚ•ÖŒŚ ÖžÖĄÖ”Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€ÖŁŚš Ś‘֌ַŚ©ŚÖŒÖžŚžÖ·ÖŁÖ™Ś™ÖŽŚÖ™ Ś€ ŚžÖŽŚžÖŒÖ·ÖĄÖ”ŚąÖ·Śœ Ś•ÖœÖ·ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„ŚšÖ© Ś‘֌֞ŚÖžÖ–ÖšŚšÖ¶Ś„ ŚžÖŽŚȘ֌ַ֑֞֜Ś—Ö·ŚȘ Ś•Ö·ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„ÖŁŚš Ś‘֌ַŚžÖŒÖ·Ö–ÖŁŚ™ÖŽŚ Ś€ ŚžÖŽŚȘÖŒÖ·Ö„ÖŁŚ—Ö·ŚȘ ŚœÖžŚÖžÖœÖ—ŚšÖ¶Ś„

      Exode 32

      1 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ·ÖŁŚšÖ°Ś Ś”ÖžŚąÖžÖ”Ś Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ‘Ö茩ŚÖ”Ö„Ś©Ś ŚžÖ茩ŚÖ¶Ö–Ś” ŚœÖžŚšÖ¶ÖŁŚ“Ö¶ŚȘ ŚžÖŽŚŸÖŸŚ”ÖžŚ”ÖžÖ‘Śš Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ§ÖŒÖžŚ”Ö”ÖšŚœ Ś”ÖžŚąÖžÖœŚ ŚąÖ·ÖœŚœÖŸŚÖ·Ś”ÖČŚšÖč֗ŚŸ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ茐ŚžÖ°ŚšÖ€Ś•ÖŒ ŚÖ”ŚœÖžŚ™Ś•Ö™ Ś§ÖŁŚ•ÖŒŚ Ś€ ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”Ś”ÖŸŚœÖžÖŁŚ Ś•ÖŒ ŚÖ±ŚœÖ覔֮֗Ś™Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€Śš Ś™Ö”ÖœŚœÖ°Ś›Ś•ÖŒÖ™ ŚœÖ°Ś€ÖžŚ Ö”֔Ś™Ś Ś•ÖŒ Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚ–Ö¶ÖŁŚ” Ś€ ŚžÖ茩ŚÖ¶ÖŁŚ” Ś”ÖžŚÖŽÖ—Ś™Ś©Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€Śš Ś”Ö¶ÖœŚąÖ±ŚœÖžÖ™Ś Ś•ÖŒÖ™ ŚžÖ”ŚÖ¶ÖŁŚšÖ¶Ś„ ŚžÖŽŚŠÖ°ŚšÖ·Ö”Ś™ÖŽŚ ŚœÖčÖ„Ś Ś™ÖžŚ“Ö·Ö–ŚąÖ°Ś Ś•ÖŒ ŚžÖ¶Ś”ÖŸŚ”ÖžÖ„Ś™ÖžŚ” ŚœÖœŚ•Ö范
      8 ŚĄÖžÖŁŚšŚ•ÖŒ ŚžÖ·Ś”Ö”֗Śš ŚžÖŽŚŸÖŸŚ”Ö·Ś“֌ֶ֙ŚšÖ¶ŚšÖ°Ö™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš ŚŠÖŽŚ•ÖŒÖŽŚ™ŚȘ֮֔Ś ŚąÖžŚ©Ś‚ÖŁŚ•ÖŒ ŚœÖžŚ”Ö¶Ö”Ś ŚąÖ”֖Ś’Ö¶Śœ ŚžÖ·ŚĄÖŒÖ”Ś›ÖžÖ‘Ś” Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַ֜Ś—ÖČŚ•Ś•ÖŒÖŸŚœŚ•Öč֙ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ–Ö°Ś‘֌ְŚ—Ś•ÖŒÖŸŚœÖ”Ś•Öč Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖŁŚŚžÖ°ŚšÖ”Ś•ÖŒ ŚÖ”Ö€ŚœÖŒÖ¶Ś” ŚÖ±ŚœÖ茔ֶ֙Ś™ŚšÖžÖ™ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֔Śœ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš Ś”ֶ֜ŚąÖ±ŚœÖ–Ś•ÖŒŚšÖž ŚžÖ”ŚÖ¶Ö„ŚšÖ¶Ś„ ŚžÖŽŚŠÖ°ŚšÖžÖœŚ™ÖŽŚŚƒ
      23 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖŁŚŚžÖ°ŚšŚ•ÖŒ ŚœÖŽÖ”Ś™ ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”Ś”ÖŸŚœÖžÖŁŚ Ś•ÖŒ ŚÖ±ŚœÖ覔֮֔Ś™Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš Ś™Ö”ŚœÖ°Ś›Ö–Ś•ÖŒ ŚœÖ°Ś€ÖžŚ Ö”֑Ś™Ś Ś•ÖŒ Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚ–Ö¶ÖŁŚ” Ś€ ŚžÖ茩ŚÖ¶ÖŁŚ” Ś”ÖžŚÖŽÖ—Ś™Ś©Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€Śš Ś”ֶ֜ŚąÖ±ŚœÖžÖ™Ś Ś•ÖŒÖ™ ŚžÖ”ŚÖ¶ÖŁŚšÖ¶Ś„ ŚžÖŽŚŠÖ°ŚšÖ·Ö”Ś™ÖŽŚ ŚœÖčÖ„Ś Ś™ÖžŚ“Ö·Ö–ŚąÖ°Ś Ś•ÖŒ ŚžÖ¶Ś”ÖŸŚ”ÖžÖ„Ś™ÖžŚ” ŚœÖœŚ•Ö范

      Exode 34

      17 ŚÖ±ŚœÖ茔֔քŚ™ ŚžÖ·ŚĄÖŒÖ”Ś›ÖžÖ–Ś” ŚœÖčÖ„Ś ŚȘÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö¶Ś”ÖŸŚœÖŒÖžÖœŚšÖ°Śƒ

      LĂ©vitique 19

      4 ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֎Ś€Ö°Ś Ś•ÖŒÖ™ ŚÖ¶ŚœÖŸŚ”ÖžÖŁŚÖ±ŚœÖŽŚ™ŚœÖŽÖ”Ś™Ś Ś•Ö”ÖœŚŚœÖ茔֔Ś™Ö™ ŚžÖ·ŚĄÖŒÖ”Ś›ÖžÖ”Ś” ŚœÖčÖ„Ś ŚȘÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö–Ś•ÖŒ ŚœÖžŚ›Ö¶Ö‘Ś ŚÖČŚ ÖŽÖ–Ś™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ„Ś” ŚÖ±ŚœÖ茔֔Ś™Ś›Ö¶ÖœŚŚƒ

      LĂ©vitique 26

      1 ŚœÖčÖœŚÖŸŚȘÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚ÖšŚ•ÖŒ ŚœÖžŚ›Ö¶ÖœŚ ŚÖ±ŚœÖŽŚ™ŚœÖŽÖ—Ś Ś•ÖŒŚ€Ö¶Ö€ŚĄÖ¶Śœ Ś•ÖŒŚžÖ·ŚŠÖŒÖ”Ś‘ÖžŚ”Ö™ ŚœÖčÖœŚÖŸŚȘÖžŚ§ÖŽÖŁŚ™ŚžŚ•ÖŒ ŚœÖžŚ›Ö¶Ö”Ś Ś•Ö°ŚÖ¶ÖŁŚ‘Ö¶ŚŸ ŚžÖ·Ś©Ś‚Ö°Ś›ÖŒÖŽÖ—Ś™ŚȘ ŚœÖčÖ€Ś ŚȘÖŽŚȘ֌ְŚ Ś•ÖŒÖ™ Ś‘֌ְŚÖ·ŚšÖ°ŚŠÖ°Ś›Ö¶Ö”Ś ŚœÖ°Ś”ÖŽÖœŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•Öș֖ŚȘ ŚąÖžŚœÖ¶Ö‘Ś™Ś”Öž Ś›ÖŒÖŽÖ›Ś™ ŚÖČŚ ÖŽÖ„Ś™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ–Ś” ŚÖ±ŚœÖ茔֔Ś™Ś›Ö¶ÖœŚŚƒ

      Deutéronome 4

      15 Ś•Ö°Ś ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖ·ŚšÖ°ŚȘ֌ֶքŚ ŚžÖ°ŚÖč֖Ś“ ŚœÖ°Ś Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖčŚȘÖ”Ś™Ś›Ö¶Ö‘Ś Ś›ÖŒÖŽÖŁŚ™ ŚœÖčÖ€Ś ŚšÖ°ŚÖŽŚ™ŚȘÖ¶ŚÖ™ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚȘ֌ְŚžŚ•ÖŒŚ ÖžÖ”Ś” Ś‘֌ְŚ™Ö—Ś•Ö覝 Ś“֌֎Ś‘֌ֶ֚Śš Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ§Ś” ŚÖČŚœÖ”Ś™Ś›Ö¶Ö›Ś Ś‘֌ְŚ—Ö茚֖֔Ś‘ ŚžÖŽŚȘ֌քŚ•Ö覚ְ Ś”ÖžŚÖ”ÖœŚ©ŚŚƒ
      16 Ś€ÖŒÖ¶ÖšŚŸÖŸŚȘ֌ַŚ©ŚÖ°Ś—ÖŽŚȘ֔Ś•ÖŒŚŸ Ś•Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚ÖŽŚ™ŚȘÖ¶Ö„Ś ŚœÖžŚ›Ö¶Ö›Ś Ś€ÖŒÖ¶Ö–ŚĄÖ¶Śœ ŚȘ֌ְŚžŚ•ÖŒŚ Ö·ÖŁŚȘ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚĄÖžÖ‘ŚžÖ¶Śœ ŚȘ֌ַŚ‘Ö°Ś ÖŽÖ„Ś™ŚȘ Ś–ÖžŚ›ÖžÖ–Śš ŚÖ„Ś•Öč Ś Ö°Ś§Ö”Ś‘ÖžÖœŚ”Śƒ
      17 ŚȘ֌ַŚ‘Ö°Ś ÖŽÖ•Ś™ŚȘ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ‘֌ְŚ”Ö”ŚžÖžÖ–Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš Ś‘֌֞ŚÖžÖ‘ŚšÖ¶Ś„ ŚȘ֌ַŚ‘Ö°Ś ÖŽŚ™ŚȘ֙ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚŠÖŽŚ€ÖŒÖŁŚ•Ö茚 Ś›ÖŒÖžŚ ÖžÖ”ŚŁ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚȘ֌֞ŚąÖ–Ś•ÖŒŚŁ Ś‘֌ַŚ©ŚÖŒÖžŚžÖžÖœŚ™ÖŽŚŚƒ
      18 ŚȘ֌ַŚ‘Ö°Ś ÖŽÖ•Ś™ŚȘ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚšÖ茞֖֔Ś©Ś‚ Ś‘֌֞ŚÖČŚ“ÖžŚžÖžÖ‘Ś” ŚȘ֌ַŚ‘Ö°Ś ÖŽÖ›Ś™ŚȘ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ“֌֞Ś’ÖžÖ„Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ‘֌ַŚžÖŒÖ·Ö–Ś™ÖŽŚ ŚžÖŽŚȘ֌ַքŚ—Ö·ŚȘ ŚœÖžŚÖžÖœŚšÖ¶Ś„Śƒ
      19 Ś•ÖŒŚ€Ö¶ŚŸÖŸŚȘ֌֎Ś©Ś‚֌֚֞Ś ŚąÖ”Ś™Ś Ö¶ÖœŚ™ŚšÖž Ś”Ö·Ś©ŚÖŒÖžŚžÖ·Ö—Ś™Ö°ŚžÖžŚ” Ś•Ö°ÖœÖ ŚšÖžŚÖŽŚ™ŚȘÖž ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö·Ś©ŚÖŒÖ¶ÖšŚžÖ¶Ś©Ś Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö·Ś™ÖŒÖžŚšÖ”֜Ś—Ö· Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö·Ś›ÖŒÖœŚ•Ö覛־Ś‘ÖŽÖ—Ś™Ś Ś›ÖŒÖč֚Śœ ŚŠÖ°Ś‘ÖžÖŁŚ Ś”Ö·Ś©ŚÖŒÖžŚžÖ·Ö”Ś™ÖŽŚ Ś•Ö°Ś ÖŽŚ“֌ַŚ—Ö°ŚȘ֌֛֞ Ś•Ö°Ś”ÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•ÖŽÖ„Ś™ŚȘÖž ŚœÖžŚ”Ö¶Ö–Ś Ś•Ö·ŚąÖČŚ‘Ö·Ś“Ö°ŚȘ֌֑֞Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖšŚš Ś—ÖžŚœÖ·ÖœŚ§ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ€Ś” ŚÖ±ŚœÖ茔ֶ֙Ś™ŚšÖžÖ™ ŚÖčŚȘ־֔Ś ŚœÖ°Ś›Ö覜֙ Ś”ÖžÖœŚąÖ·ŚžÖŒÖŽÖ”Ś™Ś ŚȘ֌ַ֖Ś—Ö·ŚȘ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”Ö·Ś©ŚÖŒÖžŚžÖžÖœŚ™ÖŽŚŚƒ
      23 Ś”ÖŽŚ©ŚÖŒÖžŚžÖ°ŚšÖŁŚ•ÖŒ ŚœÖžŚ›Ö¶Ö—Ś Ś€ÖŒÖ¶ÖœŚŸÖŸŚȘ֌֎Ś©ŚÖ°Ś›ÖŒÖ°Ś—Ś•ÖŒÖ™ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ‘֌ְŚšÖŽÖ€Ś™ŚȘ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ ŚÖ±ŚœÖčÖŁŚ”Ö”Ś™Ś›Ö¶Ö”Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚšÖ·Ö–ŚȘ ŚąÖŽŚžÖŒÖžŚ›Ö¶Ö‘Ś Ś•Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚ÖŽŚ™ŚȘÖ¶ÖšŚ ŚœÖžŚ›Ö¶Ö„Ś Ś€ÖŒÖ¶Ö™ŚĄÖ¶ŚœÖ™ ŚȘ֌ְŚžÖŁŚ•ÖŒŚ Ö·ŚȘ Ś›ÖŒÖč֔Śœ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚŠÖŽŚ•ÖŒÖ°ŚšÖžÖ– Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ„Ś” ŚÖ±ŚœÖčŚ”Ö¶ÖœŚ™ŚšÖžŚƒ
      24 Ś›ÖŒÖŽÖšŚ™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖŁŚ” ŚÖ±ŚœÖ茔ֶ֔Ś™ŚšÖž ŚÖ”Ö„Ś©Ś ŚÖ覛ְŚœÖžÖ–Ś” Ś”Ö‘Ś•ÖŒŚ ŚÖ”֖Śœ Ś§Ö·Ś ÖŒÖžÖœŚŚƒ
      25 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚȘŚ•ÖčŚœÖŽÖ€Ś™Ś“ Ś‘֌֞Ś ÖŽŚ™ŚÖ™ Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś Ö”ÖŁŚ™ Ś‘ÖžŚ ÖŽÖ”Ś™Ś Ś•Ö°Ś Ś•Ö茩ŚÖ·Ś Ö°ŚȘ֌ֶ֖Ś Ś‘֌֞ŚÖžÖ‘ŚšÖ¶Ś„ Ś•Ö°Ś”ÖŽŚ©ŚÖ°Ś—Ö·ŚȘ֌ֶ֗Ś Ś•Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚ÖŽÖ€Ś™ŚȘÖ¶Ś Ś€ÖŒÖ¶Ö™ŚĄÖ¶ŚœÖ™ ŚȘ֌ְŚžÖŁŚ•ÖŒŚ Ö·ŚȘ Ś›ÖŒÖč֔Śœ Ś•Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚ÖŽŚ™ŚȘÖ¶Ö„Ś Ś”ÖžŚšÖ·Ö›Śą Ś‘֌ְŚąÖ”Ś™Ś Ö”Ö„Ś™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖœŚ”ÖŸŚÖ±ŚœÖ茔ֶ֖Ś™ŚšÖž ŚœÖ°Ś”Ö·Ś›Ö°ŚąÖŽŚ™ŚĄÖœŚ•Ö范

      Deutéronome 5

      8 ŚœÖčÖŁÖœŚÖŸŚȘÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö¶Ö„Ś”ÖŸŚœÖ°ŚšÖžÖ„ÖŁ Ś€Ö¶ÖŁÖ™ŚĄÖ¶ŚœÖ™ Ś€ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚȘ֌ְŚžŚ•ÖŒŚ ÖžÖ”ÖĄŚ” ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€ÖŁŚš Ś‘֌ַŚ©ŚÖŒÖžŚžÖ·ÖŁÖ™Ś™ÖŽŚÖ™ Ś€ ŚžÖŽŚžÖŒÖ·Ö”ÖĄŚąÖ·Śœ Ś•Ö·ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„ŚšÖ© Ś‘֌֞ŚÖžÖ–ÖšŚšÖ¶Ś„ ŚžÖŽŚȘ֌֑֞֜Ś—Ö·ŚȘ Ś•Ö·ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš Ś‘֌ַŚžÖŒÖ·Ö–ÖŁŚ™ÖŽŚ Ś€ ŚžÖŽŚȘÖŒÖ·Ö„ÖŁŚ—Ö·ŚȘ ŚœÖžŚÖžÖœÖ—ŚšÖ¶Ś„Śƒ

      Deutéronome 27

      15 ŚÖžŚšÖŁŚ•ÖŒŚš Ś”ÖžŚÖŽÖĄŚ™Ś©Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš Ś™Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö¶Ś”Ö© Ś€Ö¶ÖšŚĄÖ¶Śœ Ś•ÖŒŚžÖ·ŚĄÖŒÖ”Ś›ÖžÖœŚ” ŚȘÖŒŚ•Ö茹ÖČŚ‘Ö·ÖŁŚȘ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ—Ś” ŚžÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”֛Ś” Ś™Ö°Ś“Ö”Ö„Ś™ Ś—ÖžŚšÖžÖ–Ś©Ś Ś•Ö°Ś©Ś‚ÖžÖŁŚ Ś‘֌ַŚĄÖŒÖžÖ‘ŚȘÖ¶Śš Ś•Ö°ŚąÖžŚ Ö§Ś•ÖŒ Ś›ÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ›Ś Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ°ŚšÖ–Ś•ÖŒ ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ

      1 Rois 12

      28 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ•ÖŒÖžŚąÖ·ÖŁŚ„ Ś”Ö·ŚžÖŒÖ¶Ö”ŚœÖ¶ŚšÖ° Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ·Ö•ŚąÖ·Ś©Ś‚ Ś©ŚÖ°Ś Ö”֖Ś™ ŚąÖ¶Ś’Ö°ŚœÖ”ÖŁŚ™ Ś–ÖžŚ”ÖžÖ‘Ś‘ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖŁŚŚžÖ¶Śš ŚÖČŚœÖ”Ś”Ö¶Ö—Ś ŚšÖ·Ś‘ÖŸŚœÖžŚ›Ö¶ŚÖ™ ŚžÖ”ŚąÖČŚœÖŁŚ•ÖčŚȘ Ś™Ö°ŚšŚ•ÖŒŚ©ŚÖžŚœÖ·ÖŽÖ”Ś Ś”ÖŽŚ ÖŒÖ”Ö€Ś” ŚÖ±ŚœÖ茔ֶ֙Ś™ŚšÖžÖ™ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֔Śœ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš Ś”Ö¶ŚąÖ±ŚœÖ–Ś•ÖŒŚšÖž ŚžÖ”ŚÖ¶Ö„ŚšÖ¶Ś„ ŚžÖŽŚŠÖ°ŚšÖžÖœŚ™ÖŽŚŚƒ

      2 Chroniques 33

      7 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖžÖ•Ś©Ś‚Ö¶Ś ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ€ÖŒÖ¶Ö„ŚĄÖ¶Śœ Ś”Ö·ŚĄÖŒÖ¶Ö–ŚžÖ¶Śœ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš ŚąÖžŚ©Ś‚ÖžÖ‘Ś” Ś‘֌ְŚ‘Ö”ÖŁŚ™ŚȘ Ś”ÖžŚÖ±ŚœÖ覔֮֗Ś™Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖšŚš ŚÖžŚžÖ·Ö€Śš ŚÖ±ŚœÖ覔֮Ś™ŚÖ™ ŚÖ¶ŚœÖŸŚ“֌֞Ś•ÖŽŚ™Ś“Ö™ Ś•Ö°ŚÖ¶ŚœÖŸŚ©ŚÖ°ŚœÖ覞ÖčÖŁŚ” Ś‘Ö°Ś Ö”Ś•Öč Ś‘֌ַŚ‘֌ַ֚Ś™ÖŽŚȘ Ś”Ö·Ś–֌ֶ֜Ś” Ś•ÖŒŚ‘ÖŽÖœŚ™ŚšŚ•ÖŒŚ©ŚÖžŚœÖ·ÖŽÖ—Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€Śš Ś‘֌֞Ś—Ö·Ö™ŚšÖ°ŚȘ֌֎Ś™Ö™ ŚžÖŽŚ›ÖŒÖ覜֙ Ś©ŚÖŽŚ‘Ö°Ś˜Ö”ÖŁŚ™ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֔Śœ ŚÖžŚ©Ś‚ÖŽÖ„Ś™Ś ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ©ŚÖ°ŚžÖŽÖ–Ś™ ŚœÖ°ŚąÖ”Ś™ŚœÖœŚ•Ö覝Śƒ

      Psaumes 97

      7 Ś™Ö”Ś‘ÖčÖ€Ś©ŚŚ•ÖŒ Ś€ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚąÖčÖŹŚ‘Ö°Ś“Ö”Ś™ Ś€Ö¶Ö—ŚĄÖ¶Śœ Ś”Ö·ŚžÖŒÖŽÖœŚȘÖ°Ś”Ö·ŚœÖ°ŚœÖŽÖ„Ś™Ś Ś‘֌֞ŚÖ±ŚœÖŽŚ™ŚœÖŽÖ‘Ś™Ś Ś”ÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•Ś•ÖŒÖŸŚœÖŚ•Öč Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚÖ±ŚœÖčŚ”ÖŽÖœŚ™ŚŚƒ

      Psaumes 115

      4 ŚąÖČ‍֭֜ŚŠÖ·Ś‘֌֔Ś™Ś”Ö¶Ś Ś›ÖŒÖ¶ÖŁŚĄÖ¶ŚŁ Ś•Ö°Ś–ÖžŚ”ÖžÖ‘Ś‘ ŚžÖ·ÖŚąÖČŚ©Ś‚Ö”֗Ś” Ś™Ö°Ś“Ö”ÖŁŚ™ ŚÖžŚ“ÖžÖœŚŚƒ
      5 Ś€ÖŒÖ¶ÖœŚ”ÖŸŚœÖžÖ­Ś”Ö¶Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™Ö°Ś“Ö·Ś‘֌֑֔ŚšŚ•ÖŒ ŚąÖ”Ś™Ś Ö·Ö„Ś™ÖŽŚ ŚœÖžÖŚ”Ö¶Ö—Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖŽŚšÖ°ŚÖœŚ•ÖŒŚƒ
      6 ŚÖžŚ–Ö°Ś Ö·ÖŁŚ™ÖŽŚ ŚœÖžÖ­Ś”Ö¶Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖžÖ‘ŚąŚ•ÖŒ ŚÖ·Ö„ŚŁ ŚœÖžÖŚ”Ö¶Ö—Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™Ö°ŚšÖŽŚ™Ś—ÖœŚ•ÖŒŚŸŚƒ
      7 Ś™Ö°Ś“Ö”Ś™Ś”Ö¶Ö€Ś Ś€ Ś•Ö°ŚœÖčÖŹŚ Ś™Ö°ŚžÖŽŚ™Ś©ŚÖ—Ś•ÖŒŚŸ ŚšÖ·Ö­Ś’Ö°ŚœÖ”Ś™Ś”Ö¶Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™Ö°Ś”Ö·ŚœÖŒÖ”֑Ś›Ś•ÖŒ ŚœÖčÖœŚÖŸŚ™Ö¶ÖŚ”Ö°Ś’֌֗Ś•ÖŒ Ś‘֌֎Ś’Ö°ŚšŚ•ÖčŚ ÖžÖœŚŚƒ
      8 Ś›ÖŒÖ°Ö­ŚžŚ•Ö茔ֶŚ Ś™ÖŽŚ”Ö°Ś™ÖŁŚ•ÖŒ ŚąÖ茩Ś‚Ö”Ś™Ś”Ö¶Ö‘Ś Ś›ÖŒÖčÖ­Śœ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ‘ÖŒÖ茘֣֔Ś—Ö· Ś‘֌֞Ś”Ö¶ÖœŚŚƒ

      Psaumes 135

      15 ŚąÖČŚŠÖ·Ś‘ÖŒÖ”ÖŁŚ™ Ś”Ö·Ö­Ś’ÖŒŚ•Ö覙֮Ś Ś›ÖŒÖ¶ÖŁŚĄÖ¶ŚŁ Ś•Ö°Ś–ÖžŚ”ÖžÖ‘Ś‘ ŚžÖ·ÖŚąÖČŚ©Ś‚Ö”֗Ś” Ś™Ö°Ś“Ö”ÖŁŚ™ ŚÖžŚ“ÖžÖœŚŚƒ
      16 Ś€ÖŒÖ¶ÖœŚ”ÖŸŚœÖžÖ­Ś”Ö¶Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™Ö°Ś“Ö·Ś‘֌֑֔ŚšŚ•ÖŒ ŚąÖ”Ś™Ś Ö·Ö„Ś™ÖŽŚ ŚœÖžÖŚ”Ö¶Ö—Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖŽŚšÖ°ŚÖœŚ•ÖŒŚƒ
      17 ŚÖžŚ–Ö°Ś Ö·ÖŁŚ™ÖŽŚ ŚœÖžÖ­Ś”Ö¶Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™Ö·ŚÖČŚ–ÖŽÖ‘Ś™Ś Ś•ÖŒ ŚÖ·ÖÖ—ŚŁ ŚÖ”Ś™ŚŸÖŸŚ™Ö¶Ś©ŚÖŸŚšÖ„Ś•ÖŒŚ—Ö· Ś‘֌ְŚ€ÖŽŚ™Ś”Ö¶ÖœŚŚƒ
      18 Ś›ÖŒÖ°Ö­ŚžŚ•Ö茔ֶŚ Ś™ÖŽŚ”Ö°Ś™ÖŁŚ•ÖŒ ŚąÖ茩Ś‚Ö”Ś™Ś”Ö¶Ö‘Ś Ś›ÖŒÖčÖ­Śœ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ‘ÖŒÖ茘֣֔Ś—Ö· Ś‘֌֞Ś”Ö¶ÖœŚŚƒ

      EsaĂŻe 40

      18 Ś•Ö°ŚÖ¶ŚœÖŸŚžÖŽÖ–Ś™ ŚȘ֌ְŚ“Ö·ŚžÖŒÖ°Ś™ÖŁŚ•ÖŒŚŸ ŚÖ”֑Śœ Ś•ÖŒŚžÖ·Ś”ÖŸŚ“֌ְŚžÖ–Ś•ÖŒŚȘ ŚȘ֌ַքŚąÖ·ŚšÖ°Ś›Ś•ÖŒ ŚœÖœŚ•Ö范
      19 Ś”Ö·Ś€ÖŒÖ¶Ö™ŚĄÖ¶ŚœÖ™ Ś ÖžŚĄÖ·ÖŁŚšÖ° Ś—ÖžŚšÖžÖ”Ś©Ś Ś•Ö°ŚŠÖ茚֖֔ŚŁ Ś‘֌ַŚ–֌֞Ś”ÖžÖŁŚ‘ Ś™Ö°ŚšÖ·Ś§ÖŒÖ°ŚąÖ¶Ö‘Ś ÖŒŚ•ÖŒ Ś•ÖŒŚšÖ°ŚȘÖ»Ś§Ö„Ś•ÖčŚȘ Ś›ÖŒÖ¶Ö–ŚĄÖ¶ŚŁ ŚŠŚ•ÖčŚšÖ”ÖœŚŁŚƒ
      20 Ś”Ö·ÖœŚžÖ°ŚĄÖ»Ś›ÖŒÖžÖŁŚŸ ŚȘ֌ְŚšŚ•ÖŒŚžÖžÖ”Ś” ŚąÖ”Ö„Ś„ ŚœÖčÖœŚÖŸŚ™ÖŽŚšÖ°Ś§Ö·Ö–Ś‘ Ś™ÖŽŚ‘Ö°Ś—ÖžÖ‘Śš Ś—ÖžŚšÖžÖ€Ś©Ś Ś—ÖžŚ›ÖžŚÖ™ Ś™Ö°Ś‘Ö·Ś§ÖŒÖ¶Ś©ŚÖŸŚœÖ”Ś•Öč ŚœÖ°Ś”ÖžŚ›ÖŽÖ„Ś™ŚŸ Ś€ÖŒÖ¶Ö–ŚĄÖ¶Śœ ŚœÖčÖ„Ś Ś™ÖŽŚžÖŒÖœŚ•Ö茘Śƒ

      EsaĂŻe 42

      8 ŚÖČŚ ÖŽÖ„Ś™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ–Ś” Ś”ÖŁŚ•ÖŒŚ Ś©ŚÖ°ŚžÖŽÖ‘Ś™ Ś•ÖŒŚ›Ö°Ś‘Ś•Ö覓֮Ś™Ö™ ŚœÖ°ŚÖ·Ś—Ö”ÖŁŚš ŚœÖčÖœŚÖŸŚÖ¶ŚȘ֌֔֔ŚŸ Ś•ÖŒŚȘÖ°Ś”ÖŽŚœÖŒÖžŚȘ֖֮Ś™ ŚœÖ·Ś€ÖŒÖ°ŚĄÖŽŚ™ŚœÖŽÖœŚ™ŚŚƒ
      17 Ś ÖžŚĄÖčÖ€Ś’Ś•ÖŒ ŚÖžŚ—Ś•Ö覹֙ Ś™Ö”Ś‘ÖčÖŁŚ©ŚŚ•ÖŒ Ś‘Öč֔Ś©ŚÖ¶ŚȘ Ś”Ö·Ś‘ÖŒÖ茘ְŚ—ÖŽÖ–Ś™Ś Ś‘֌ַŚ€ÖŒÖžÖ‘ŚĄÖ¶Śœ Ś”ÖžŚÖ覞ְŚšÖŽÖ„Ś™Ś ŚœÖ°ŚžÖ·ŚĄÖŒÖ”Ś›ÖžÖ–Ś” ŚÖ·ŚȘ֌ֶքŚ ŚÖ±ŚœÖčŚ”Ö”ÖœŚ™Ś Ś•ÖŒŚƒ

      EsaĂŻe 44

      9 Ś™ÖčÖœŚŠÖ°ŚšÖ”Ś™ÖŸŚ€Ö¶Ö€ŚĄÖ¶Śœ Ś›ÖŒÖ»ŚœÖŒÖžŚÖ™ ŚȘÖŒÖč֔Ś”Ś•ÖŒ Ś•Ö·Ś—ÖČŚžŚ•ÖŒŚ“Ö”Ś™Ś”Ö¶Ö–Ś Ś‘֌ַŚœÖŸŚ™Ś•Ö覱֑֮Ś™ŚœŚ•ÖŒ Ś•Ö°ŚąÖ”Ś“Ö”Ś™Ś”Ö¶ÖŁŚ Ś”Ö”Ś„Ö—ŚžÖŒÖžŚ„Ś”Ś„ Ś‘֌ַŚœÖŸŚ™ÖŽŚšÖ°ŚÖ›Ś•ÖŒ Ś•ÖŒŚ‘Ö·ŚœÖŸŚ™Ö”Ś“Ö°ŚąÖ–Ś•ÖŒ ŚœÖ°ŚžÖ·Ö„ŚąÖ·ŚŸ Ś™Ö”Ś‘ÖčÖœŚ©ŚŚ•ÖŒŚƒ
      10 ŚžÖŽÖœŚ™ÖŸŚ™ÖžŚŠÖ·Ö„Śš ŚÖ”֖Śœ Ś•ÖŒŚ€Ö¶ÖŁŚĄÖ¶Śœ Ś ÖžŚĄÖžÖ‘ŚšÖ° ŚœÖ°Ś‘ÖŽŚœÖ°ŚȘ֌֎֖Ś™ Ś”Ś•ÖčŚąÖŽÖœŚ™ŚœŚƒ
      11 Ś”Ö”Ö€ŚŸ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ—ÖČŚ‘Ö”ŚšÖžŚ™Ś•Ö™ Ś™Ö”Ś‘Öč֔Ś©ŚŚ•ÖŒ Ś•Ö°Ś—ÖžŚšÖžŚ©ŚÖŽÖ„Ś™Ś Ś”Ö”֖ŚžÖŒÖžŚ” ŚžÖ”ÖœŚÖžŚ“ÖžÖ‘Ś Ś™ÖŽÖœŚȘÖ°Ś§Ö·Ś‘֌ְŚŠÖ€Ś•ÖŒ Ś›Ö»ŚœÖŒÖžŚÖ™ Ś™Ö·ÖœŚąÖČŚžÖč֔Ś“Ś•ÖŒ Ś™ÖŽŚ€Ö°Ś—ÖČŚ“Ö–Ś•ÖŒ Ś™Ö”Ś‘ÖčÖ„Ś©ŚŚ•ÖŒ Ś™ÖžÖœŚ—Ö·Ś“Śƒ
      12 Ś—ÖžŚšÖ·Ö€Ś©Ś Ś‘֌ַŚšÖ°Ś–Ö¶ŚœÖ™ ŚžÖ·ÖœŚąÖČŚŠÖžÖ”Ś“ Ś•ÖŒŚ€ÖžŚąÖ·ŚœÖ™ Ś‘֌ַŚ€ÖŒÖ¶Ś—ÖžÖ”Ś Ś•ÖŒŚ‘Ö·ŚžÖŒÖ·Ś§ÖŒÖžŚ‘Ö–Ś•ÖčŚȘ Ś™ÖŽŚŠÖŒÖ°ŚšÖ”֑Ś”Ś•ÖŒ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ€Ö°ŚąÖžŚœÖ”֙Ś”Ś•ÖŒÖ™ Ś‘֌֎Ś–Ö°ŚšÖŁŚ•Ö茹ַ Ś›ÖŒÖ覗֔Ś•Öč Ś’֌ַŚÖŸŚšÖžŚąÖ”Ś‘Ö™ Ś•Ö°ŚÖ”ÖŁŚ™ŚŸ Ś›ÖŒÖč֔Ś—Ö· ŚœÖčŚÖŸŚ©ŚÖžÖ„ŚȘÖžŚ” ŚžÖ·Ö–Ś™ÖŽŚ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ™ŚąÖžÖœŚŁŚƒ
      13 Ś—ÖžŚšÖ·ÖŁŚ©Ś ŚąÖ”ŚŠÖŽŚ™ŚÖź Ś ÖžÖŁŚ˜ÖžŚ” Ś§ÖžŚ•Ö’ Ś™Ö°ŚȘÖžŚÖČŚšÖ”ÖŁŚ”Ś•ÖŒ Ś‘Ö·Ś©Ś‚֌ֶ֔ŚšÖ¶Ś“ Ś™Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”֙Ś”Ś•ÖŒÖ™ Ś‘֌ַŚžÖŒÖ·Ś§Ö°ŚŠÖ»ŚąÖ”Ś•ÖčŚȘ Ś•ÖŒŚ‘Ö·ŚžÖŒÖ°Ś—Ś•ÖŒŚ’ÖžÖ–Ś” Ś™Ö°ŚȘÖžŚÖłŚšÖ”֑Ś”Ś•ÖŒ Ś•Ö·ÖœŚ™ÖŒÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”֙Ś”Ś•ÖŒÖ™ Ś›ÖŒÖ°ŚȘÖ·Ś‘Ö°Ś ÖŽÖŁŚ™ŚȘ ŚÖŽÖ”Ś™Ś©Ś Ś›ÖŒÖ°ŚȘÖŽŚ€Ö°ŚÖ¶Ö„ŚšÖ¶ŚȘ ŚÖžŚ“ÖžÖ–Ś ŚœÖžŚ©ŚÖ¶Ö„Ś‘Ö¶ŚȘ Ś‘֌֞֜Ś™ÖŽŚȘŚƒ
      14 ŚœÖŽŚ›Ö°ŚšÖžŚȘÖŸŚœÖŁŚ•Öč ŚÖČŚšÖžŚ–ÖŽÖ”Ś™Ś Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ§ÖŒÖ·Ö€Ś— ŚȘ֌֎ŚšÖ°Ś–ÖžŚ”Ö™ Ś•Ö°ŚÖ·ŚœÖŒÖ”Ś•Ö覟 Ś•Ö·Ś™Ö°ŚÖ·ŚžÖŒÖ¶Ś„ÖŸŚœÖ–Ś•Öč Ś‘֌ַŚąÖČŚŠÖ”Ś™ÖŸŚ™ÖžÖ‘ŚąÖ·Śš Ś ÖžŚ˜Ö·Ö„Śą ŚÖč֖ŚšÖ¶ŚŸ Ś•Ö°Ś’Ö¶Ö„Ś©ŚÖ¶Ś Ś™Ö°Ś’Ö·Ś“֌֔֜ŚœŚƒ
      15 Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™ÖžÖ€Ś” ŚœÖ°ŚÖžŚ“ÖžŚÖ™ ŚœÖ°Ś‘ÖžŚąÖ”֔Śš Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ§ÖŒÖ·Ö€Ś— ŚžÖ”Ś”Ö¶ŚÖ™ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖžÖ”Ś—ÖžŚ ŚÖ·ŚŁÖŸŚ™Ö·Ś©Ś‚֌֎֖Ś™Ś§ Ś•Ö°ŚÖžÖŁŚ€ÖžŚ” ŚœÖžÖ‘Ś—Ö¶Ś ŚÖ·ŚŁÖŸŚ™ÖŽŚ€Ö°ŚąÖ·ŚœÖŸŚÖ”ŚœÖ™ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌֞֔Ś—Ś•ÖŒ ŚąÖžŚ©Ś‚ÖžÖ„Ś”Ś•ÖŒ Ś€Ö¶Ö–ŚĄÖ¶Śœ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚĄÖ°Ś’֌֞Ś“ÖŸŚœÖžÖœŚžŚ•Ö范
      16 Ś—Ö¶ŚŠÖ°Ś™Ś•Öč֙ Ś©Ś‚ÖžŚšÖ·ÖŁŚŁ Ś‘֌ְŚžŚ•ÖčÖŸŚÖ”֔Ś©Ś ŚąÖ·ŚœÖŸŚ—Ö¶ŚŠÖ°Ś™Ś•Öč֙ Ś‘֌֞Ś©Ś‚ÖžÖŁŚš Ś™Ö茐Ś›Ö”֔Śœ Ś™ÖŽŚŠÖ°ŚœÖ¶Ö„Ś” ŚŠÖžŚœÖŽÖ–Ś™ Ś•Ö°Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°Ś‘֌֑֞Śą ŚÖ·ŚŁÖŸŚ™ÖžŚ—Ö覝֙ Ś•Ö°Ś™Ö茐ŚžÖ·ÖŁŚš Ś”Ö¶ŚÖžÖ”Ś— Ś—Ö·ŚžÖŒŚ•ÖčŚȘ֖֮Ś™ ŚšÖžŚÖŽÖ„Ś™ŚȘÖŽŚ™ ŚÖœŚ•ÖŒŚšŚƒ
      17 Ś•ÖŒŚ©ŚÖ°ŚÖ”ÖŁŚšÖŽŚ™ŚȘ֔Ś•Öč ŚœÖ°ŚÖ”Ö„Śœ ŚąÖžŚ©Ś‚ÖžÖ–Ś” ŚœÖ°Ś€ÖŽŚĄÖ°ŚœÖ‘Ś•Öč *Ś™ŚĄŚ’Ś•Ś“ÖŸ**Ś™ÖŽŚĄÖ°Ś’֌֞Ś“ÖŸŚœÖ€Ś•Öč Ś•Ö°Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַ֙Ś—Ś•ÖŒÖ™ Ś•Ö°Ś™ÖŽŚȘÖ°Ś€ÖŒÖ·ŚœÖŒÖ”ÖŁŚœ ŚÖ”ŚœÖžÖ”Ś™Ś• Ś•Ö°Ś™Ö茐ŚžÖ·ŚšÖ™ Ś”Ö·ŚŠÖŒÖŽŚ™ŚœÖ”֔Ś ÖŽŚ™ Ś›ÖŒÖŽÖ„Ś™ ŚÖ”ŚœÖŽÖ–Ś™ ŚÖžÖœŚȘ֌֞Ś”Śƒ
      18 ŚœÖčÖ„Ś Ś™ÖžŚ“Ö°ŚąÖ–Ś•ÖŒ Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖžŚ‘ÖŽÖ‘Ś™Ś Ś•ÖŒ Ś›ÖŒÖŽÖŁŚ™ Ś˜Ö·Ö€Ś— ŚžÖ”ÖœŚšÖ°ŚŚ•ÖčŚȘ֙ ŚąÖ”ÖœŚ™Ś Ö”Ś™Ś”Ö¶Ö”Ś ŚžÖ”Ś”Ö·Ś©Ś‚Ö°Ś›ÖŒÖŽÖ–Ś™Śœ ŚœÖŽŚ‘ÖŒÖčŚȘÖžÖœŚŚƒ
      19 Ś•Ö°ŚœÖčŚÖŸŚ™ÖžŚ©ŚÖŽÖŁŚ™Ś‘ ŚÖ¶ŚœÖŸŚœÖŽŚ‘֌֗Ś•Öč Ś•Ö°ŚœÖčÖšŚ Ś“Ö·Ö„ŚąÖ·ŚȘ Ś•Ö°ŚœÖčÖœŚÖŸŚȘÖ°Ś‘Ś•ÖŒŚ ÖžŚ”Öź ŚœÖ”ŚŚžÖ覹֒ Ś—Ö¶ŚŠÖ°Ś™ÖžŚ•Öč Ś©Ś‚ÖžŚšÖ·ÖŁŚ€Ö°ŚȘ֌֎Ś™ Ś‘Ö°ŚžŚ•ÖčÖŸŚÖ”֗Ś©Ś Ś•Ö°Ö ŚÖ·ŚŁ ŚÖžŚ€ÖŽÖ€Ś™ŚȘÖŽŚ™ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ’֌ֶŚ—ÖžŚœÖžŚ™Ś•Ö™ ŚœÖ¶Ö”Ś—Ö¶Ś ŚÖ¶ŚŠÖ°ŚœÖ¶Ö„Ś” Ś‘ÖžŚ©Ś‚ÖžÖ–Śš Ś•Ö°ŚÖ茛֑֔Śœ Ś•Ö°Ś™ÖŽŚȘÖ°ŚšŚ•Öč֙ ŚœÖ°ŚȘŚ•Ö茹֔Ś‘ÖžÖŁŚ” ŚÖ¶ŚąÖ±Ś©Ś‚Ö¶Ö”Ś” ŚœÖ°Ś‘Ö„Ś•ÖŒŚœ ŚąÖ”֖Ś„ ŚÖ¶ŚĄÖ°Ś’֌֜Ś•Ö覓Śƒ
      20 ŚšÖ茹ֶ֣Ś” ŚÖ”֔Ś€Ö¶Śš ŚœÖ”Ö„Ś‘ Ś”Ś•ÖŒŚȘַ֖Śœ Ś”ÖŽŚ˜ÖŒÖžÖ‘Ś”Ś•ÖŒ Ś•Ö°ŚœÖčÖœŚÖŸŚ™Ö·ŚŠÖŒÖŽÖ€Ś™Śœ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ Ö·Ś€Ö°Ś©ŚŚ•Öč֙ Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™Ö茐ŚžÖ·Ö”Śš Ś”ÖČŚœÖ„Ś•Ö茐 Ś©ŚÖ¶Ö–Ś§Ö¶Śš Ś‘֌֎Ś™ŚžÖŽŚ™Ś ÖŽÖœŚ™Śƒ

      EsaĂŻe 45

      16 Ś‘֌քŚ•Ö茩ŚŚ•ÖŒ Ś•Ö°Ś’Ö·ÖœŚÖŸŚ ÖŽŚ›Ö°ŚœÖ°ŚžÖ–Ś•ÖŒ Ś›ÖŒÖ»ŚœÖŒÖžÖ‘Ś Ś™Ö·Ś—Ö°Ś“֌֞Ś•Ö™ Ś”ÖžŚœÖ°Ś›ÖŁŚ•ÖŒ Ś‘Ö·Ś›ÖŒÖ°ŚœÖŽŚžÖŒÖžÖ”Ś” Ś—ÖžŚšÖžŚ©ŚÖ”֖Ś™ ŚŠÖŽŚ™ŚšÖŽÖœŚ™ŚŚƒ

      EsaĂŻe 46

      5 ŚœÖ°ŚžÖŽÖ„Ś™ ŚȘÖ°Ś“Ö·ŚžÖ°Ś™Ö–Ś•ÖŒŚ ÖŽŚ™ Ś•Ö°ŚȘÖ·Ś©ŚÖ°Ś•Ö‘Ś•ÖŒ Ś•Ö°ŚȘÖ·ŚžÖ°Ś©ŚÖŽŚœÖ–Ś•ÖŒŚ ÖŽŚ™ Ś•Ö°Ś ÖŽŚ“Ö°ŚžÖ¶ÖœŚ”Śƒ
      6 Ś”Ö·Ś–֌֞ŚœÖŽÖ€Ś™Ś Ś–ÖžŚ”ÖžŚ‘Ö™ ŚžÖŽŚ›ÖŒÖŽÖ”Ś™ŚĄ Ś•Ö°Ś›Ö¶Ö–ŚĄÖ¶ŚŁ Ś‘֌ַŚ§ÖŒÖžŚ Ö¶ÖŁŚ” Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°Ś§Öč֑ŚœŚ•ÖŒ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°Ś›ÖŒÖ°ŚšÖ€Ś•ÖŒ ŚŠŚ•Ö茚֔ŚŁÖ™ Ś•Ö°Ś™Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”ÖŁŚ”Ś•ÖŒ ŚÖ”֔Śœ Ś™ÖŽŚĄÖ°Ś’֌ְŚ“Ö–Ś•ÖŒ ŚÖ·ŚŁÖŸŚ™ÖŽÖœŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•ÖŒÖœŚ•ÖŒŚƒ
      7 Ś™ÖŽÖ Ś©Ś‚֌֞ŚÖ»Ś”Ś•ÖŒ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ›ÖŒÖžŚȘÖ”ÖšŚŁ Ś™ÖŽŚĄÖ°Ś‘֌ְŚœÖ»ÖœŚ”Ś•ÖŒ Ś•Ö°Ś™Ö·Ś ÖŒÖŽŚ™Ś—Ö»Ö€Ś”Ś•ÖŒ ŚȘÖ·Ś—Ö°ŚȘ֌֞Ś™Ś•Ö™ Ś•Ö°Ś™Ö·ÖœŚąÖČŚžÖč֔Ś“ ŚžÖŽŚžÖŒÖ°Ś§Ś•Ö覞֖Ś•Öč ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖžŚžÖŽÖ‘Ś™Ś©Ś ŚÖ·ŚŁÖŸŚ™ÖŽŚŠÖ°ŚąÖ·Ö€Ś§ ŚÖ”ŚœÖžŚ™Ś•Ö™ Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™Ö·ŚąÖČŚ Ö¶Ö”Ś” ŚžÖŽŚŠÖŒÖžŚšÖžŚȘ֖Ś•Öč ŚœÖčÖ„Ś Ś™Ś•Ö茩ŚÖŽŚ™ŚąÖ¶ÖœŚ ÖŒŚ•ÖŒŚƒ
      8 Ś–ÖŽŚ›Ö°ŚšŚ•ÖŒÖŸŚ–Öč֖ŚŚȘ Ś•Ö°Ś”ÖŽŚȘÖ°ŚÖ茩ŚÖžÖ‘Ś©ŚŚ•ÖŒ Ś”ÖžŚ©ŚÖŽÖ„Ś™Ś‘Ś•ÖŒ Ś€Ś•Ö茩ŚÖ°ŚąÖŽÖ–Ś™Ś ŚąÖ·ŚœÖŸŚœÖ”ÖœŚ‘Śƒ

      Jérémie 10

      3 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ—Ö»Ś§ÖŒÖ„Ś•ÖčŚȘ Ś”ÖžÖœŚąÖ·ŚžÖŒÖŽÖ–Ś™Ś Ś”Ö¶ÖŁŚ‘Ö¶Śœ Ś”Ö‘Ś•ÖŒŚ Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚąÖ”Ś„֙ ŚžÖŽŚ™ÖŒÖ·ÖŁŚąÖ·Śš Ś›ÖŒÖ°ŚšÖžŚȘ֔Ś•Öč ŚžÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”Ö„Ś” Ś™Ö°Ś“Ö”Ö„Ś™ÖŸŚ—ÖžŚšÖžÖ–Ś©Ś Ś‘֌ַ֜ŚžÖŒÖ·ŚąÖČŚŠÖžÖœŚ“Śƒ
      4 Ś‘֌ְŚ›Ö¶Ö„ŚĄÖ¶ŚŁ Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś–ÖžŚ”ÖžÖ–Ś‘ Ś™Ö°Ś™Ö·Ś€ÖŒÖ”֑Ś”Ś•ÖŒ Ś‘֌ְŚžÖ·ŚĄÖ°ŚžÖ°ŚšÖ§Ś•ÖčŚȘ Ś•ÖŒŚ‘Ö°ŚžÖ·Ś§ÖŒÖžŚ‘Ö›Ś•ÖčŚȘ Ś™Ö°Ś—Ö·Ś–֌ְŚ§Ö–Ś•ÖŒŚ Ś•Ö°ŚœÖ„Ś•Ö茐 Ś™ÖžŚ€ÖŽÖœŚ™Ś§Śƒ
      5 Ś›ÖŒÖ°ŚȘÖčÖšŚžÖ¶Śš ŚžÖŽŚ§Ö°Ś©ŚÖžÖ„Ś” Ś”Ö”֙ŚžÖŒÖžŚ”Ö™ Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ Ś™Ö°Ś“Ö·Ś‘֌֔֔ŚšŚ•ÖŒ Ś ÖžŚ©Ś‚Ö„Ś•Ö茐 Ś™ÖŽŚ ÖŒÖžŚ©Ś‚Ö–Ś•ÖŒŚ Ś›ÖŒÖŽÖŁŚ™ ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖŽŚŠÖ°ŚąÖžÖ‘Ś“Ś•ÖŒ ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֎֜Ś™ŚšÖ°ŚÖ€Ś•ÖŒ ŚžÖ”Ś”Ö¶ŚÖ™ Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖžŚšÖ”֔ŚąŚ•ÖŒ Ś•Ö°Ś’Ö·ŚÖŸŚ”Ö”Ś™Ś˜Ö”֖Ś™Ś‘ ŚÖ”Ö„Ś™ŚŸ ŚŚ•ÖčŚȘÖžÖœŚŚƒ
      8 Ś•ÖŒŚ‘Ö°ŚÖ·Ś—Ö·Ö–ŚȘ Ś™ÖŽŚ‘Ö°ŚąÖČŚšÖŁŚ•ÖŒ Ś•Ö°Ś™ÖŽŚ›Ö°ŚĄÖžÖ‘ŚœŚ•ÖŒ ŚžŚ•ÖŒŚĄÖ·Ö„Śš Ś”ÖČŚ‘ÖžŚœÖŽÖ–Ś™Ś ŚąÖ”Ö„Ś„ Ś”ÖœŚ•ÖŒŚŚƒ
      9 Ś›ÖŒÖ¶ÖŁŚĄÖ¶ŚŁ ŚžÖ°ŚšÖ»Ś§ÖŒÖžÖžŚą ŚžÖŽŚȘ֌ַŚšÖ°Ś©ŚÖŽÖŁŚ™Ś©Ś Ś™Ś•ÖŒŚ‘ÖžÖ—Ś Ś•Ö°Ś–ÖžŚ”ÖžŚ‘Ö™ ŚžÖ”ÖœŚŚ•ÖŒŚ€ÖžÖ”Ś– ŚžÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”Ö„Ś” Ś—ÖžŚšÖžÖ–Ś©Ś Ś•ÖŽŚ™Ś“Ö”ÖŁŚ™ ŚŠŚ•Ö茚֑֔ŚŁ ŚȘ֌ְŚ›Ö”Ö€ŚœÖ¶ŚȘ Ś•Ö°ŚÖ·ŚšÖ°Ś’֌֞ŚžÖžŚŸÖ™ ŚœÖ°Ś‘Ś•ÖŒŚ©ŚÖžÖ”Ś ŚžÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”Ö„Ś” Ś—ÖČŚ›ÖžŚžÖŽÖ–Ś™Ś Ś›ÖŒÖ»ŚœÖŒÖžÖœŚŚƒ
      14 Ś ÖŽŚ‘Ö°ŚąÖ·Ö€Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚÖžŚ“ÖžŚÖ™ ŚžÖŽŚ“֌ַ֔ŚąÖ·ŚȘ Ś”Ö茑֎քŚ™Ś©Ś Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚŠŚ•Ö茚֖֔ŚŁ ŚžÖŽŚ€ÖŒÖžÖ‘ŚĄÖ¶Śœ Ś›ÖŒÖŽÖ›Ś™ Ś©ŚÖ¶Ö„Ś§Ö¶Śš Ś ÖŽŚĄÖ°Ś›ÖŒÖ–Ś•Öč Ś•Ö°ŚœÖčŚÖŸŚšÖ„Ś•ÖŒŚ—Ö· Ś‘֌֞֜ŚŚƒ
      15 Ś”Ö¶ÖŁŚ‘Ö¶Śœ Ś”Ö”֔ŚžÖŒÖžŚ” ŚžÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”֖Ś” ŚȘ֌ַŚąÖ°ŚȘ֌ֻŚąÖŽÖ‘Ś™Ś Ś‘֌ְŚąÖ”Ö„ŚȘ Ś€ÖŒÖ°Ś§Ö»Ś“֌֞ŚȘ־֖Ś Ś™Ö茐Ś‘Ö”ÖœŚ“Ś•ÖŒŚƒ
      16 ŚœÖčÖœŚÖŸŚ›Ö°ŚÖ”֜ŚœÖŒÖ¶Ś” Ś—Ö”ÖŁŚœÖ¶Ś§ Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֗Ś‘ Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ™Ś•Ö茊֔րŚš Ś”Ö·Ś›ÖŒÖ覜֙ Ś”Ö”Ś•ÖŒŚ Ś•Ö°Ś™ÖŽÖšŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֔Śœ Ś©ŚÖ”֖Ś‘Ö¶Ś˜ Ś Ö·ÖœŚ—ÖČŚœÖžŚȘ֑Ś•Öč Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ„Ś” ŚŠÖ°Ś‘ÖžŚÖ–Ś•ÖčŚȘ Ś©ŚÖ°ŚžÖœŚ•Ö范

      Ezéchiel 8

      10 Ś•ÖžŚÖžŚ‘Ś•Ö茐֟ Ś•ÖžÖœŚÖ¶ŚšÖ°ŚÖ¶Ś”Ö’ Ś•Ö°Ś”ÖŽŚ ÖŒÖ”ÖšŚ” Ś›ÖžŚœÖŸŚȘ֌ַŚ‘Ö°Ś ÖŽÖœŚ™ŚȘ ŚšÖ¶Ö€ŚžÖ¶Ś©Ś‚ Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś”Ö”ŚžÖžŚ”Ö™ Ś©ŚÖ¶Ö”Ś§Ö¶Ś„ Ś•Ö°Ś›ÖžŚœÖŸŚ’֌֎ŚœÖŒŚ•ÖŒŚœÖ”֖Ś™ Ś‘ÖŒÖ”ÖŁŚ™ŚȘ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֑Śœ ŚžÖ°Ś—Ö»Ś§ÖŒÖ¶Ö„Ś” ŚąÖ·ŚœÖŸŚ”Ö·Ś§ÖŒÖŽÖ–Ś™Śš ŚĄÖžŚ‘ÖŽÖ„Ś™Ś‘ Ś€ ŚĄÖžŚ‘ÖŽÖœŚ™Ś‘Śƒ

      Actes 17

      29 ÎłÎ­ÎœÎżÏ‚ Îżáœ–Îœ áœ‘Ï€ÎŹÏÏ‡ÎżÎœÏ„Î”Ï‚ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ ÎżáœÎș áœ€Ï†Î”ÎŻÎ»ÎżÎŒÎ”Îœ ÎœÎżÎŒÎŻÎ¶Î”ÎčÎœ Ï‡ÏÏ…Ïƒáż· áŒą áŒ€ÏÎłÏÏáżł áŒą λίΞῳ, Ï‡Î±ÏÎŹÎłÎŒÎ±Ï„Îč τέχΜης Îșα᜶ áŒÎœÎžÏ…ÎŒÎźÏƒÎ”Ï‰Ï‚ áŒ€ÎœÎžÏÏŽÏ€ÎżÏ…, τ᜞ ÎžÎ”áż–ÎżÎœ ΔጶΜαÎč áœ…ÎŒÎżÎčÎżÎœ.

      Actes 19

      26 Îșα᜶ ÎžÎ”Ï‰ÏÎ”áż–Ï„Î” Îșα᜶ ጀÎșÎżÏÎ”Ï„Î” ᜅτÎč Îżáœ ÎŒÏŒÎœÎżÎœ áŒ˜Ï†Î­ÏƒÎżÏ… ጀλλᜰ σχΔΎ᜞Μ Ï€ÎŹÏƒÎ·Ï‚ Ï„áż†Ï‚ áŒˆÏƒÎŻÎ±Ï‚ ᜁ Î Î±áżŠÎ»ÎżÏ‚ Îżáœ—Ï„ÎżÏ‚ Ï€Î”ÎŻÏƒÎ±Ï‚ ΌΔτέστησΔΜ ጱÎșαΜ᜞Μ áœ„Ï‡Î»ÎżÎœ, Î»Î­ÎłÏ‰Îœ ᜅτÎč ÎżáœÎș Δጰσ᜶Μ ÎžÎ”Îżáœ¶ ÎżáŒ± ÎŽÎčᜰ χΔÎčÏáż¶Îœ ÎłÎčÎœÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÎč.
      27 Îżáœ ÎŒÏŒÎœÎżÎœ ÎŽáœČ Ï„ÎżáżŠÏ„Îż ÎșÎčΜΎυΜΔύΔÎč áŒĄÎŒáż–Îœ τ᜞ ÎŒÎ­ÏÎżÏ‚ Δጰς áŒ€Ï€Î”Î»Î”ÎłÎŒáœžÎœ áŒÎ»ÎžÎ”áż–Îœ, ጀλλᜰ Îșα᜶ τ᜞ Ï„áż†Ï‚ ÎŒÎ”ÎłÎŹÎ»Î·Ï‚ ΞΔ៶ς ገρτέΌÎčÎŽÎżÏ‚ ጱΔρ᜞Μ Δጰς ÎżáœÎžáœČÎœ λογÎčÏƒÎžáż†ÎœÎ±Îč, ΌέλλΔÎčÎœ τΔ Îșα᜶ ÎșαΞαÎčÏÎ”áż–ÏƒÎžÎ±Îč Ï„áż†Ï‚ ÎŒÎ”ÎłÎ±Î»Î”ÎčÏŒÏ„Î·Ï„ÎżÏ‚ Î±áœÏ„áż†Ï‚, áŒŁÎœ ᜅλη áŒĄ áŒˆÏƒÎŻÎ± Îșα᜶ áŒĄ ÎżáŒ°ÎșÎżÏ…ÎŒÎ­ÎœÎ· σέÎČΔταÎč.
      28 ገÎșÎżÏÏƒÎ±ÎœÏ„Î”Ï‚ ÎŽáœČ Îșα᜶ ÎłÎ”ÎœÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÎč Ï€Î»ÎźÏÎ”Îčς ÎžÏ…ÎŒÎżáżŠ ጔÎșÏÎ±Î¶ÎżÎœ Î»Î­ÎłÎżÎœÏ„Î”Ï‚Î‡ ÎœÎ”ÎłÎŹÎ»Î· áŒĄ ጌρτΔΌÎčς áŒ˜Ï†Î”ÏƒÎŻÏ‰Îœ.
      29 Îșα᜶ áŒÏ€Î»ÎźÏƒÎžÎ· áŒĄ πόλÎčς Ï„áż†Ï‚ ÏƒÏ…ÎłÏ‡ÏÏƒÎ”Ï‰Ï‚, áœ„ÏÎŒÎ·ÏƒÎŹÎœ τΔ áœÎŒÎżÎžÏ…ÎŒÎ±ÎŽáœžÎœ Δጰς τ᜞ ÎžÎ­Î±Ï„ÏÎżÎœ ÏƒÏ…ÎœÎ±ÏÏ€ÎŹÏƒÎ±ÎœÏ„Î”Ï‚ Î“ÎŹÏŠÎżÎœ Îșα᜶ áŒˆÏÎŻÏƒÏ„Î±ÏÏ‡ÎżÎœ ΜαÎșΔΎόΜας, συΜΔÎșÎŽÎźÎŒÎżÏ…Ï‚ Î Î±ÏÎ»ÎżÏ….
      30 Î Î±ÏÎ»ÎżÏ… ÎŽáœČ ÎČÎżÏ…Î»ÎżÎŒÎ­ÎœÎżÏ… Î”áŒ°ÏƒÎ”Î»ÎžÎ”áż–Îœ Δጰς τ᜞Μ ÎŽáż†ÎŒÎżÎœ ÎżáœÎș ΔጎωΜ αᜐτ᜞Μ ÎżáŒ± ÎŒÎ±ÎžÎ·Ï„Î±ÎŻÎ‡
      31 τÎčÎœáœČς ÎŽáœČ Îșα᜶ Ï„áż¶Îœ ገσÎčÎ±ÏÏ‡áż¶Îœ, ᜄΜτΔς Î±áœÏ„áż· Ï†ÎŻÎ»ÎżÎč, πέΌψαΜτΔς πρ᜞ς αᜐτ᜞Μ παρΔÎșÎŹÎ»ÎżÏ…Îœ Όᜎ ÎŽÎżáżŠÎœÎ±Îč ጑αυτ᜞Μ Δጰς τ᜞ ÎžÎ­Î±Ï„ÏÎżÎœ.
      32 áŒ„Î»Î»ÎżÎč ÎŒáœČÎœ Îżáœ–Îœ áŒ„Î»Î»Îż τÎč ጔÎșÏÎ±Î¶ÎżÎœ, ጊΜ Îłáœ°Ï áŒĄ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ± ÏƒÏ…ÎłÎșΔχυΌέΜη, Îșα᜶ ÎżáŒ± Ï€Î»Î”ÎŻÎżÏ…Ï‚ ÎżáœÎș ។ΎΔÎčσαΜ Ï„ÎŻÎœÎżÏ‚ ጕΜΔÎșα συΜΔληλύΞΔÎčσαΜ.
      33 ጐÎș ÎŽáœČ Ï„ÎżáżŠ áœ„Ï‡Î»ÎżÏ… συΜΔÎČÎŻÎČασαΜ áŒˆÎ»Î­ÎŸÎ±ÎœÎŽÏÎżÎœ Ï€ÏÎżÎČαλόΜτωΜ αᜐτ᜞Μ Ï„áż¶Îœ áŒžÎżÏ…ÎŽÎ±ÎŻÏ‰Îœ, ᜁ ÎŽáœČ áŒˆÎ»Î­ÎŸÎ±ÎœÎŽÏÎżÏ‚ ÎșÎ±Ï„Î±ÏƒÎ”ÎŻÏƒÎ±Ï‚ τᜎΜ Ï‡Î”áż–ÏÎ± ጀΞΔλΔΜ áŒ€Ï€ÎżÎ»ÎżÎłÎ”áż–ÏƒÎžÎ±Îč Ï„áż· ÎŽÎźÎŒáżł.
      34 ጐπÎčÎłÎœÏŒÎœÏ„Î”Ï‚ ÎŽáœČ ᜅτÎč áŒžÎżÏ…ÎŽÎ±áż–ÏŒÏ‚ ጐστÎčÎœ φωΜᜎ áŒÎłÎ­ÎœÎ”Ï„Îż ÎŒÎŻÎ± ጐÎș Ï€ÎŹÎœÏ„Ï‰Îœ áœĄÏ‚ ጐπ᜶ ᜄρας ÎŽÏÎż ÎșραζόΜτωΜ· ÎœÎ”ÎłÎŹÎ»Î· áŒĄ ጌρτΔΌÎčς áŒ˜Ï†Î”ÏƒÎŻÏ‰Îœ.
      35 ÎșÎ±Ï„Î±ÏƒÏ„Î”ÎŻÎ»Î±Ï‚ ÎŽáœČ ᜁ ÎłÏÎ±ÎŒÎŒÎ±Ï„Î”áœșς τ᜞Μ áœ„Ï‡Î»ÎżÎœ Ï†Î·ÏƒÎŻÎœÎ‡ ጌΜΎρΔς ጘφέσÎčÎżÎč, Ï„ÎŻÏ‚ ÎłÎŹÏ ጐστÎčÎœ ጀΜΞρώπωΜ ᜃς Îżáœ ÎłÎčΜώσÎșΔÎč τᜎΜ áŒ˜Ï†Î”ÏƒÎŻÏ‰Îœ πόλÎčÎœ ΜΔωÎșÏŒÏÎżÎœ Îżáœ–ÏƒÎ±Îœ Ï„áż†Ï‚ ÎŒÎ”ÎłÎŹÎ»Î·Ï‚ ገρτέΌÎčÎŽÎżÏ‚ Îșα᜶ Ï„ÎżáżŠ ÎŽÎčÎżÏ€Î”Ï„ÎżáżŠÏ‚;

      Romains 1

      23 Îșα᜶ ጀλλαΟαΜ τᜎΜ ΎόΟαΜ Ï„ÎżáżŠ áŒ€Ï†ÎžÎŹÏÏ„ÎżÏ… ΞΔοῊ ጐΜ áœÎŒÎżÎčώΌατÎč ΔጰÎșÏŒÎœÎżÏ‚ Ï†ÎžÎ±ÏÏ„ÎżáżŠ áŒ€ÎœÎžÏÏŽÏ€ÎżÏ… Îșα᜶ πΔτΔÎčÎœáż¶Îœ Îșα᜶ τΔτραπόΎωΜ Îșα᜶ áŒ‘ÏÏ€Î”Ï„áż¶Îœ.

      Apocalypse 9

      20 Κα᜶ ÎżáŒ± λοÎčÏ€Îżáœ¶ Ï„áż¶Îœ ጀΜΞρώπωΜ, ÎżáŒł ÎżáœÎș ጀπΔÎșÏ„ÎŹÎœÎžÎ·ÏƒÎ±Îœ ጐΜ Ï„Î±áż–Ï‚ Ï€Î»Î·ÎłÎ±áż–Ï‚ ταύταÎčς, ÎżáœÎŽáœČ ΌΔτΔΜόησαΜ ጐÎș Ï„áż¶Îœ áŒ”ÏÎłÏ‰Îœ Ï„áż¶Îœ χΔÎčÏáż¶Îœ Î±áœÏ„áż¶Îœ, ጔΜα Όᜎ Ï€ÏÎżÏƒÎșÏ…ÎœÎźÏƒÎżÏ…ÏƒÎčÎœ τᜰ ΎαÎčΌόΜÎčα Îșα᜶ τᜰ ΔጎΎωλα τᜰ χρυσ៶ Îșα᜶ τᜰ áŒ€ÏÎłÏ…ÏáŸ¶ Îșα᜶ τᜰ χαλÎș៶ Îșα᜶ τᜰ λίΞÎčΜα Îșα᜶ τᜰ ΟύλÎčΜα, ጃ Îżáœ”Ï„Î” ÎČλέπΔÎčÎœ ΎύΜαΜταÎč Îżáœ”Ï„Î” ጀÎșÎżÏÎ”ÎčÎœ Îżáœ”Ï„Î” πΔρÎčÏ€Î±Ï„Î”áż–Îœ,

      Apocalypse 13

      14 Îșα᜶ πλαΜ៷ Ï„Îżáœșς ÎșÎ±Ï„ÎżÎčÎșÎżáżŠÎœÏ„Î±Ï‚ ጐπ᜶ Ï„áż†Ï‚ Îłáż†Ï‚ ÎŽÎčᜰ τᜰ ÏƒÎ·ÎŒÎ”áż–Î± ጃ ጐΎόΞη Î±áœÏ„áż· Ï€ÎżÎčáż†ÏƒÎ±Îč ጐΜώπÎčÎżÎœ Ï„ÎżáżŠ ÎžÎ·ÏÎŻÎżÏ…, Î»Î­ÎłÏ‰Îœ Ï„Îżáż–Ï‚ ÎșÎ±Ï„ÎżÎčÎșÎżáżŠÏƒÎčÎœ ጐπ᜶ Ï„áż†Ï‚ Îłáż†Ï‚ Ï€ÎżÎčáż†ÏƒÎ±Îč ΔጰÎșόΜα Ï„áż· ÎžÎ·ÏÎŻáżł, ᜃς ጔχΔÎč τᜎΜ Ï€Î»Î·ÎłáœŽÎœ Ï„áż†Ï‚ ÎŒÎ±Ï‡Î±ÎŻÏÎ·Ï‚ Îșα᜶ ጔζησΔΜ.
      15 Îșα᜶ ጐΎόΞη Î±áœÏ„áż· ÎŽÎżáżŠÎœÎ±Îč Ï€ÎœÎ”áżŠÎŒÎ± Ï„áż‡ ΔጰÎșόΜÎč Ï„ÎżáżŠ ÎžÎ·ÏÎŻÎżÏ…, ጔΜα Îșα᜶ Î»Î±Î»ÎźÏƒáżƒ áŒĄ ΔጰÎșᜌΜ Ï„ÎżáżŠ ÎžÎ·ÏÎŻÎżÏ… Îșα᜶ Ï€ÎżÎčÎźÏƒáżƒ ጔΜα áœ…ÏƒÎżÎč ጐᜰΜ Όᜎ Ï€ÏÎżÏƒÎșÏ…ÎœÎźÏƒÏ‰ÏƒÎčÎœ Ï„áż‡ ΔጰÎșόΜÎč Ï„ÎżáżŠ ÎžÎ·ÏÎŻÎżÏ… áŒ€Ï€ÎżÎșÏ„Î±ÎœÎžáż¶ÏƒÎčÎœ.

      Apocalypse 14

      9 Κα᜶ áŒ„Î»Î»ÎżÏ‚ áŒ„ÎłÎłÎ”Î»ÎżÏ‚ Ï„ÏÎŻÏ„ÎżÏ‚ ጠÎșÎżÎ»ÎżÏÎžÎ·ÏƒÎ”Îœ Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚ Î»Î­ÎłÏ‰Îœ ጐΜ Ï†Ï‰Îœáż‡ ÎŒÎ”ÎłÎŹÎ»áżƒÎ‡ Εጎ τÎčς Ï€ÏÎżÏƒÎșÏ…ÎœÎ”áż– τ᜞ ÎžÎ·ÏÎŻÎżÎœ Îșα᜶ τᜎΜ ΔጰÎșόΜα Î±áœÏ„ÎżáżŠ, Îșα᜶ λαΌÎČÎŹÎœÎ”Îč Ï‡ÎŹÏÎ±ÎłÎŒÎ± ጐπ᜶ Ï„ÎżáżŠ ÎŒÎ”Ï„ÏŽÏ€ÎżÏ… Î±áœÏ„ÎżáżŠ áŒą ጐπ᜶ τᜎΜ Ï‡Î”áż–ÏÎ± Î±áœÏ„ÎżáżŠ,
      10 Îșα᜶ αᜐτ᜞ς Ï€ÎŻÎ”Ï„Î±Îč ጐÎș Ï„ÎżáżŠ ÎżáŒŽÎœÎżÏ… Ï„ÎżáżŠ ÎžÏ…ÎŒÎżáżŠ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ Ï„ÎżáżŠ ÎșΔÎșÎ”ÏÎ±ÏƒÎŒÎ­ÎœÎżÏ… ጀÎșÏÎŹÏ„ÎżÏ… ጐΜ Ï„áż· Ï€ÎżÏ„Î·ÏÎŻáżł Ï„áż†Ï‚ áœ€ÏÎłáż†Ï‚ Î±áœÏ„ÎżáżŠ, Îșα᜶ ÎČασαΜÎčÏƒÎžÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč ጐΜ πυρ᜶ Îșα᜶ ΞΔίῳ ጐΜώπÎčÎżÎœ áŒ€ÎłÎłÎ­Î»Ï‰Îœ áŒÎłÎŻÏ‰Îœ Îșα᜶ ጐΜώπÎčÎżÎœ Ï„ÎżáżŠ áŒ€ÏÎœÎŻÎżÏ….
      11 Îșα᜶ ᜁ ÎșαπΜ᜞ς Ï„ÎżáżŠ ÎČασαΜÎčÏƒÎŒÎżáżŠ Î±áœÏ„áż¶Îœ Δጰς Î±áŒ°áż¶ÎœÎ±Ï‚ αጰώΜωΜ ጀΜαÎČÎ±ÎŻÎœÎ”Îč, Îșα᜶ ÎżáœÎș áŒ”Ï‡ÎżÏ…ÏƒÎčÎœ áŒ€ÎœÎŹÏ€Î±Ï…ÏƒÎčÎœ áŒĄÎŒÎ­ÏÎ±Ï‚ Îșα᜶ ΜυÎșτός, ÎżáŒ± Ï€ÏÎżÏƒÎșÏ…ÎœÎżáżŠÎœÏ„Î”Ï‚ τ᜞ ÎžÎ·ÏÎŻÎżÎœ Îșα᜶ τᜎΜ ΔጰÎșόΜα Î±áœÏ„ÎżáżŠ, Îșα᜶ Δጎ τÎčς λαΌÎČÎŹÎœÎ”Îč τ᜞ Ï‡ÎŹÏÎ±ÎłÎŒÎ± Ï„ÎżáżŠ áœ€ÎœÏŒÎŒÎ±Ï„ÎżÏ‚ Î±áœÏ„ÎżáżŠ.

      Apocalypse 16

      2 Κα᜶ áŒ€Ï€áż†Î»ÎžÎ”Îœ ᜁ Ï€Ïáż¶Ï„ÎżÏ‚ Îșα᜶ ጐΟέχΔΔΜ τᜎΜ φÎčÎŹÎ»Î·Îœ Î±áœÏ„ÎżáżŠ Δጰς τᜎΜ Îłáż†ÎœÎ‡ Îșα᜶ áŒÎłÎ­ÎœÎ”Ï„Îż ጕλÎșÎżÏ‚ ÎșαÎș᜞Μ Îșα᜶ Ï€ÎżÎœÎ·ÏáœžÎœ ጐπ᜶ Ï„Îżáœșς áŒ€ÎœÎžÏÏŽÏ€ÎżÏ…Ï‚ Ï„Îżáœșς áŒ”Ï‡ÎżÎœÏ„Î±Ï‚ τ᜞ Ï‡ÎŹÏÎ±ÎłÎŒÎ± Ï„ÎżáżŠ ÎžÎ·ÏÎŻÎżÏ… Îșα᜶ Ï„Îżáœșς Ï€ÏÎżÏƒÎșÏ…ÎœÎżáżŠÎœÏ„Î±Ï‚ Ï„áż‡ ΔጰÎșόΜÎč Î±áœÏ„ÎżáżŠ.
      Hébreu : © Westminster Leningrad Codex - tanach.us --- Grec : © 2010 by the Society of Biblical Literature and Logos Bible Software - sblgnt.com
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