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Genèse 3.16

Il dit à la femme : J'augmenterai beaucoup ta peine et ta grossesse ; tu enfanteras des enfants avec douleur, et tes désirs se tourneront vers ton mari, et il dominera sur toi.
Il dit à la femme : « J'augmenterai la souffrance de tes grossesses. C'est dans la douleur que tu mettras des enfants au monde. Tes désirs se porteront vers ton mari, mais lui, il dominera sur toi. »
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      Genèse 3

      16 La femme, par son péché, est condamnée à souffrir et à être assujettie ; les punitions à ce manquement, ont été déterminées après qu'elle ait succombé au désir de ses yeux, de sa chair et de son orgueil. Le péché n'apporte que souffrance et tristesse dans le monde, ce qui provoque des torrents de larmes. Ne cherchons pas l'origine de tous nos soucis quand nous vivons dans le péché. Le commandement divin « Il dominera sur toi » s'adresse aux épouses. Si l'homme n'avait pas péché, il aurait tout régi avec sagesse et amour ; de même, la femme aurait obéi avec douceur et humilité. Adam a fait porter la responsabilité de la faute à sa femme ; mais bien qu'Ève soit en faute d'avoir persuadé son mari de manger du fruit défendu, il revient à Adam de porter la responsabilité de l'avoir écoutée. Ainsi, au jour du Jugement, les indulgences demandées par les hommes quant à leurs frivolités, se retourneront contre eux. Dieu a montré son déplaisir envers Adam. Premièrement, en maudissant son environnement habitable. Dieu avait donné à la descendance humaine une terre où il faisait bon vivre ; celle-ci est maintenant souillée par le péché humain. Adam n'a pas été maudit, comme le serpent le fut, uniquement le sol en subit les conséquences. Deuxièmement son travail et ses plaisirs sont tachés d'amertume. Le travail est notre devoir, il doit être accompli avec fidélité ; toute pratique d'oisiveté finira par être condamnée. Les désagréments et la fatigue dus au travail ne sont qu'une juste rétribution que nous devons subir avec patience ; et ce n'est même pas la punition que nous devrions avoir à cause de notre péché.

      Bien que l'homme ne soit pas astreint à manger la poussière, comme le serpent, il en est réduit à se nourrir avec l'herbe des champs. Troisièmement, la durée de sa vie sera réduite ; si l'on considère tous les ennuis qui lui sont échus après la chute, c'est presque une faveur de lui avoir donné peu de jours à vivre ici-bas.

      Bien que la mort soit redoutable par nature, et bien triste, même à la fin d'une vie bien remplie, cela aboutit toujours par cette punition. Le péché a apporté la mort dans le monde : si Adam n'avait pas commis d'iniquité, il ne serait pas mort. Il a ouvert le chemin de la tentation, mais le Seigneur a pallié à sa faute. Quelle satisfaction admirative nous pouvons avoir, devant la mort et les souffrances expiatoires de notre Seigneur Jésus !

      Il a ainsi subi la sentence prévue à l'origine pour nos premiers parents. Est-ce que les douleurs de l'enfantement sont survenues par le péché ? Nous pouvons lire en, Isa 53:11 à quel point l'âme de Christ a souffert ; Il a souffert jusqu'à la mort, Actes 2:24. Est-ce que la servitude est survenue par le péché ? Christ est né sous la loi, Galates 4:4. Il a été fait malédiction pour nous, Il a été maudit dans Sa mort, Galates 3:13. Les épines sont-elles venues par le péché ?

      Notre Sauveur a été couronné d'épines, pour nous. Est-ce que la sueur est survenue par le péché ? Il a été couvert de sueur pour nous, il a été couvert de grumeaux de sang. Est-ce que la douleur est due au péché ? Il a été fait homme de douleur ; pendant Son agonie, Son âme a été au comble de la souffrance. Est-ce que la mort est survenue suite au péché ? Il a été obéissant jusqu'à la mort. Le remède est proportionnel à la blessure. Béni soit Dieu pour son Fils, notre Seigneur Jésus-Christ.

      Genèse 4

      Genèse 35

      16 Rachel avait passionnément demandé à Dieu : « Donne-moi des enfants, sinon je mourrai » ; au moment où elle a enfanté, elle est morte ! La mort du corps n'est que le départ de l'âme vers le monde spirituel. Quand il réalise que Dieu seul connaît vraiment ce qui peut être la meilleur part pour Son peuple, le chrétien, dans toutes les affaires de ce monde, sait que le chemin le plus sûr consiste à dire en son cœur : « C'est la volonté du Seigneur, qu'Il l'accomplisse dans Sa bonté, comme Il l'entend ». Notre sécurité et notre bien-être ne peuvent provenir de notre propre conduite mais de Sa volonté.

      Dans ses dernières paroles, Rachel a appelé son fils nouveau-né, Ben-Oni, le fils de ma douleur ; beaucoup d'enfants portent un nom qui représente les souffrances de leurs parents. Les enfants font souvent souffrir leurs mères ; ils se doivent, quand ils grandissent, de s'efforcer à être pour elle un sujet de joie, comme s'il était possible de se faire pardonner cette souffrance. Parce Jacob ne voulait pas garder en mémoire le douloureux souvenir de la mort de Rachel chaque fois qu'il appellerait son fils, il a changé son nom en Benjamin, « le fils de ma main droite » : le patriarche avait à cœur ce changement de nom ; cela représentait pour lui, tout ce qui lui était cher et en même temps, « la puissance de sa droite ».

      Nombres 30

      1 Samuel 4

      19 La femme de Phinées semblait être une personne pieuse. Elle était sur le point de mourir, et se lamentait de voir l'arche, véritable gloire d'Israël, dérobée par les Philistins. Qu'est-ce qui pouvait encore la réjouir ici-bas, alors qu'elle était sur le point de mourir ? Rien, sinon des nouvelles, d'origine spirituelle ou divine, qui auraient pu la réconforter, dans son triste état ; la mort est une étape trop importante, pour s'occuper de choses frivoles, quand on est sur le point de la franchir.

      Que pouvait représenter pour un enfant d'Israël, la perte de l'arche ? Quel plaisir pouvons-nous trouver dans les vaines satisfactions de ce monde, quand nous avons tout ce dont nous avons besoin dans la Parole de Dieu, dans Sa présence dans Sa Lumière et dans Son soutien ? Si l'Éternel, dans Sa gloire, nous ouvre la voie, toutes choses concourront à notre bien ! Malheur à celui qui ne veut pas Le suivre ! Malgré le fait que Dieu puisse ôter Sa gloire d'une nation, d'une ville ou d'une bourgade, tombées dans l'iniquité, Il ne les délaissera jamais totalement : Il dirigera Sa Lumière vers l'une, tout en laissant Son ombre planer sur d'autres.

      Esther 1

      Psaumes 48

      Esaïe 13

      Esaïe 21

      Esaïe 26

      Esaïe 53

      Jérémie 4

      Jérémie 6

      Jérémie 13

      Jérémie 22

      Jérémie 49

      Michée 4

      9 Beaucoup de nations se rassemblent contre Sion (Israël) pour se réjouir de ses calamités. Elles ne peuvent pas comprendre que le Seigneur les a rassemblées, comme l'on rassemble les gerbes prêtes à être battues ; elles ne peuvent saisir que Sion sera fortifiée afin de les mettre en pièces...

      Rien ne s'est encore passé ici-bas pour confirmer cette prophétie. Quand Dieu a un plan de conquête pour Son peuple, Il lui donne la force et la capacité pour l'accomplir.

      Les croyants en détresse doivent crier à Dieu par la prière, avec une foi fervente, et non dans un esprit de découragement...

      Jean 16

      1 Corinthiens 7

      1 Corinthiens 11

      1 Corinthiens 14

      34 Lorsque l'apôtre exhorte les femmes chrétiennes à s'informer sur des sujets religieux, auprès de leur mari à la maison, il montre que les familles croyantes doivent se réunir, afin de développer leur connaissance spirituelle.

      L'Esprit de Christ ne peut jamais se contredire lui-même ; si les révélations spirituelles que peuvent avoir les femmes, sont contraires à celles de l'apôtre, c’est qu’elles ne proviennent pas du même Esprit.

      La poursuite de la paix, de la vérité, et de l'ordre dans l'église, consiste à rechercher ce qui est bon pour cette dernière : savoir supporter ce qui n'est pas nuisible à son bien-être, en observant un bon comportement, de l'ordre et de la décence, lors des rassemblements.

      Ephésiens 5

      22 Les épouses doivent rester soumises à leurs maris, « dans » le Seigneur : cela implique qu’elles doivent les honorer et leur obéir, par amour pour eux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leurs épouses.

      L'amour de Christ pour l'église nous sert d’exemple : un exemple sincère, pur et constant, malgré les « chutes » éventuelles de cette dernière. Christ s'est donné Lui-même pour l'Église, afin qu'Il puisse la sanctifier en ce monde et la glorifier, plus tard, dans le ciel ; Il s’est sacrifié pour elle, afin de donner à tous ses membres, par l’influence du Saint-Esprit, (dont l'eau du baptême est la représentation extérieure), un principe de sainteté et les délivrer de toute culpabilité, de toute pollution spirituelle et de tout esclavage provoqué par le péché.

      L'Église et les croyants ne seront pas sans taches ni sans rides, tant qu'ils ne seront pas parvenus à connaître la gloire céleste. Seuls ceux qui sont sanctifiés, pourront ensuite être glorifiés.

      Les paroles mentionnées par l'apôtre, relatives au mariage, rappellent celles concernant Adam et Ève, dans la Genèse ; elles ont cependant un sens complémentaire, en ce qui concerne l'union entre Christ et Son église. Cette union est évidemment une allégorie.

      S’il peut y avoir des échecs et des chutes dans cette relation Christ-Église, à cause de notre nature humaine, cela ne change rien quant à l’existence réelle de cette union.

      Tous les devoirs concernant le mariage sont contenus dans l'unité et l'amour. Pendant qu’au sein de l’Église, nous adorons Christ et que nous nous réjouissons dans Son amour condescendant, les maris et leurs épouses apprennent ici quels sont leurs devoirs mutuels. Si cette ordonnance biblique était mieux respectée, les plus terribles épreuves conjugales pourraient être prévenues et leurs conséquences douloureuses seraient ainsi évitées.

      Colossiens 3

      18 Les épîtres, surtout destinées à afficher la gloire de la Grâce Divine, et à magnifier le Seigneur Jésus, montrent explicitement quels sont les devoirs de la vie chrétienne. En fait, nous ne devons jamais séparer nos privilèges, des devoirs que nous dicte l'Évangile.

      Les épouses doivent être soumises à leur mari. Il ne s’agit pas ici d’une soumission « aveugle », à un seigneur violent, ni à un tyran sévère, mais à leur propre mari, ce qui doit être un véritable engagement et un devoir affectueux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leur épouse avec une tendre et fidèle affection. Quant aux enfants obéissants, ce sont les plus aptes à prospérer. Les parents doivent les élever avec tendresse.

      Les serviteurs doivent s’appliquer à leur tâche et obéir aux ordres de leurs maîtres en tous points, accomplissant ainsi leur devoir envers Dieu, leur Maître céleste. Ils doivent être à la fois, justes et appliqués, sans préjugés égoïstes, sans hypocrisie, ni fausse conduite. Les serviteurs qui craignent Dieu sont justes et fidèles lorsqu'ils œuvrent sous le regard de leur maître, car ils savent que Dieu les regarde également. Ils travaillent avec diligence, efficacement et sans paresse ; ils accomplissent leur tâche dans la joie, satisfaits de constater que la Providence divine les a placés ainsi. Pour encourager de tels serviteurs, qu'ils sachent qu'en servant leurs maîtres, sous le regard de Christ, ils servent en fait ce Dernier, qui, à la fin, leur attribuera leur récompense glorieuse. Par contre, celui qui accomplit mal sa tâche recevra sa juste rétribution. Dieu punira le serviteur injuste, comme Il récompensera celui qui est fidèle ; il en va de même pour les maîtres qui agissent mal envers leurs subordonnés : le Juge de la terre agira en toute Justice envers ces maîtres et ces serviteurs. Les deux se tiendront sur une « balance », au jour du Jugement.

      La véritable piété pourrait vraiment rendre le monde heureux, si elle prédominait en tous lieux, influençant chaque situation et chaque relation de vie ! Mais les contestataires permanents, peu soucieux d’accomplir leurs devoirs, se trompent eux-mêmes, tout en adressant leurs reproches injustifiés à l'Évangile.

      1 Thessaloniciens 5

      1 Timothée 2

      Tite 2

      1 Pierre 3

      1

      Les devoirs des épouses et des maris. (1 Pierre 3:1-7)
      Les chrétiens exhortés à la bonne entente. (1 Pierre 3:8-13)
      Exhortés à la patience, sous les persécutions, à cause de la justice, comme Christ, qui a souffert patiemment. (1 Pierre 3:14-22)

      Une épouse doit être soumise à son mari, même si ce dernier n'obéit pas à la Parole.

      Nous voyons quotidiennement à quel point les hommes impies surveillent avec attention les faits et gestes de ceux qui professent la piété. Il n’est pas interdit à une femme de porter une parure, mais c'est le fait d’afficher de la vanité et d’en souligner la grande valeur qui est péché.

      Ceux qui manifestent leur piété doivent prendre soin que tout leur comportement réponde à leur confession. Bien peu de personnes témoignent d’une juste mesure pour ces deux nécessités de la vie courante : la nourriture et le vêtement ! À moins que la pauvreté les en empêche vraiment, de nombreuses personnes dans notre entourage, désirent faire des acquisitions qui sont au delà de leur nécessaire.

      Beaucoup exposent une certaine modestie de par leur attitude, plutôt que par leur réelle humilité ; certains ne sont guère limités matériellement, mais dépensent leur temps et leur argent dans de vaines bagatelles.

      L'apôtre conseille aux femmes chrétiennes, de revêtir une parure incorruptible, qui embellit l'âme : les grâces du Saint-Esprit. Cette « parure » sera vraiment utile pour ménager les affections et gagner l'estime d'un mari, et sera plus efficace que les divers ornements, vêtements à la mode, ou qu’un tempérament querelleur.

      Les chrétiens doivent accomplir leurs devoirs mutuels, d'un esprit bien disposé, et dans l'obéissance aux commandements divins. Les épouses doivent être soumises à leur mari, non dans la crainte, ou la servilité, mais par le désir de bien faire et de plaire à Dieu. Le devoir du mari envers son épouse implique le respect qui lui est dû, en maintenant son autorité, en la protégeant, et en plaçant sa confiance en elle. Ils sont tous deux héritiers de toutes les bénédictions de cette vie et de l’avenir, et doivent vivre pacifiquement l'un avec l'autre.

      La prière doit adoucir leur conversation. Et il n'est pas suffisant qu'ils prient en famille, mais le mari et l'épouse doivent prier d’une part ensemble, et d’autre part avec leurs enfants. Ceux qui sont habitués à cette pratique de la prière en commun, trouvent en cette dernière une telle douceur qu'ils ne seront pas entravés plus tard à ce sujet. Pour pouvoir beaucoup prier, il faut vivre dans la sainteté, et réciproquement !

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