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Matthieu 6.6

Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton PÚre qui est là dans le lieu secret ; et ton PÚre, qui voit dans le secret, te le rendra.
Mais toi, quand tu veux prier, va dans la piĂšce la plus cachĂ©e de la maison. Ferme la porte et prie ton PĂšre qui est lĂ , mĂȘme dans cet endroit secret. Ton PĂšre voit ce que tu fais en secret et il te rĂ©compensera.
Mais toi, quand tu pries, entre dans ton cabinet, et ayant fermé ta porte, prie ton PÚre qui est dans ce lieu secret ; et ton PÚre qui voit dans le secret te le rendra publiquement.
But you, when you pray, enter into your inner room, and having shut your door, pray to your Father who is in secret, and your Father who sees in secret will reward you openly.
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      GenĂšse 32

      24 Jacob se trouvait seul, en priÚre, longtemps avant que le jour ne se lÚve, il confiait à Dieu toutes ses craintes. Le texte décrit Dieu, sous l'apparence d'un homme, en train de lutter avec le patriarche. Quand l'Esprit nous aide dans nos infirmités et que parallÚlement, nous ne pouvons manifestement trouver les mots pour nous exprimer, alors la priÚre lutte en effet avec Dieu. Toutefois, dans l'épreuve ou le découragement, nous ne serons vainqueurs qu'en Christ ; étant en Lui, par la priÚre, nous aurons le dessus sur tous les ennemis qui nous entourent. Rien n'exige plus de vigueur et d'efforts incessants que la lutte. C'est une représentation de l'esprit de la foi et de la priÚre. Jacob a tenu bon ; cependant la lutte a continué pendant un certain temps, sans ébranler sa foi, ni la ferveur de sa priÚre. Il sera en fait béni, en ayant malgré tout, ses os démis.

      Ceux qui veulent jouir de la bĂ©nĂ©diction divine, doivent se rĂ©soudre Ă  ne tolĂ©rer aucun compromis. La priĂšre fervente est la seule qui soit efficace. L'Ange a honorĂ© le patriarche en changeant son nom. Jacob signifie « supplanter ». Il ne sera plus maintenant honorĂ© Ă  cause de son mĂ©tier et sa gestion astucieuse, mais Ă  sa vĂ©ritable valeur. Tu seras appelĂ© IsraĂ«l, « un prince avec Dieu », un nom encore plus important que ceux des grands hommes de cette Ă©poque. En effet, on est vĂ©ritablement un « prince » par le fait d'ĂȘtre avec Dieu ; ceux qui sont fervents dans la priĂšre sont vraiment honorables. Ayant Ă  ses cĂŽtĂ©s la Puissance divine, Jacob sera vraiment puissant parmi son entourage ; il prĂ©vaudra dans les affaires, et gagnera la faveur d'ÉsaĂŒ. Jacob donne un nouveau nom Ă  cet endroit. Il l'appelle Peniel, « face Ă  face avec Dieu », parce il avait vu en cet endroit l'aspect de Dieu, et obtenu Sa faveur.

      Ceux qui bénéficient de la merveilleuse présence divine, peuvent admirer Sa grùce à leur égard. L'ange qui a lutté avec Jacob était la deuxiÚme personne de la sainte trinité, qui a été par la suite, Dieu manifesté en chair, et qui, dans Sa nature humaine, s'appelle Emmanuel, Os 12:4,5. Jacob a été touché à la hanche. Par l'abondance de ces révélations divines, le patriarche a été enrichi. Le soleil s'est ensuite levé : pour cette ùme, en communion avec Dieu, cette expérience a été un véritable lever de soleil.

      2 Rois 4

      Psaumes 34

      EsaĂŻe 26

      20 Quand les dangers sont menaçants, il est bon de se retirer et de se tenir dissimulé ; si nous demandons Ă  Dieu de nous cacher, Il nous placera soit « sous » le ciel soit « au » ciel. Nous serons ainsi heureux et en sĂ©curitĂ©, mĂȘme au milieu des tribulations. Ce n'est que pour un temps, pendant une courte pĂ©riode ; une fois la tourmente est passĂ©e, tout redevient normal.

      Dieu siÚge sur le trÎne de la Grùce ; en cet endroit, Il rÚgne sereinement : quand Il punit, Il quitte alors cette place, car Il ne prend aucun plaisir à faire mourir les pécheurs.

      Aucune vĂ©ritĂ© n'est si souvent rĂ©pĂ©tĂ©e dans les Écritures que celle qui annonce la dĂ©termination divine, de punir les « ouvriers d'iniquité ». Sachons rester proches du Seigneur, et sĂ©parĂ©s du monde ; recherchons le rĂ©confort de la priĂšre personnelle. Un jour de vengeance va s'abattre sur le monde, mais avant qu'il n'arrive, nous devons nous attendre Ă  subir la tribulation et la souffrance. Mais si le chrĂ©tien est au courant de ces Ă©vĂšnements futurs, est-il pour autant troublĂ© et consterné ? Non, car il se repose en son Dieu !

      En plaçant sa confiance en Dieu, le croyant est en sûreté. Sachons donc attendre patiemment l'accomplissement des promesses divines !

      EsaĂŻe 65

      Matthieu 6

      Matthieu 14

      Matthieu 26

      36 Christ, Celui qui a Ă©tĂ© fait « expiation pour les pĂ©chĂ©s de l'humanité », s'est soumis Lui-mĂȘme Ă  la volontĂ© divine, dans un jardin de souffrance, (GethsĂ©manĂ©*) ; l'homme, de son cĂŽtĂ©, s'Ă©tait rĂ©voltĂ© contre Lui, dans un jardin de plaisir (Éden*). En cet endroit, Ă  GethsĂ©manĂ©, oĂč Il a souffert Son agonie, JĂ©sus prit avec lui uniquement ceux qui avaient Ă©tĂ© tĂ©moins de Sa transfiguration.

      Ceux qui sont le mieux prĂ©parĂ©s Ă  « souffrir avec Christ », sont ceux qui, par la foi, ont vu Sa gloire. Les mots utilisĂ©s dans ce texte expriment les sentiments ressentis par le Seigneur : le dĂ©couragement le plus total, l'effroi, l'angoisse et mĂȘme l'horreur ; tel est l'Ă©tat de celui qui est en proie aux diverses peines, accablĂ© de tristesse, et envahi par la terreur et la dĂ©tresse. JĂ©sus commença ici Ă  ĂȘtre vraiment affligĂ©, et Il allait rester dans cet Ă©tat jusqu'Ă  ce qu’Il s’écrie : « tout est accompli ».

      Il pria, s’il Ă©tait possible, que cette « coupe » puisse passer loin de Lui. Mais Il montra Son acceptation Ă  porter la charge de Ses souffrances infinies ; Il Ă©tait disposĂ© Ă  Se soumettre Ă  tout, pour notre rĂ©demption et notre salut.

      Selon cet exemple de Christ, nous devons « boire la coupe » la plus amĂšre que Dieu place entre nos mains ; bien que notre nature lutte pour tenter d’éviter l’épreuve, elle doit se soumettre. Nous devrions davantage tenter de suivre le sentier de la sanctification, malgrĂ© les peines possibles encourues, avec toute la satisfaction qui en dĂ©coule dans notre cƓur, plutĂŽt que celui de la facilitĂ©, qui consiste Ă  Ă©viter toute Ă©preuve. Il est bon de savoir que notre salut se trouve dans la main de Celui qui « ne sommeille ni ne dort ».

      Nous devons vraiment craindre d’ĂȘtre soumis Ă  la tentation, bien que ce soit le sort de tous. Pour ĂȘtre assurĂ©s de ne pas tomber en tel cas, nous devons veiller et prier, et continuellement regarder au Seigneur, pour qu'Il nous garde et qu’Il nous Ă©carte du danger.

      Indubitablement notre Seigneur avait une vue claire et complĂšte des souffrances qu'Il allait devoir endurer ; Il mentionna cependant cette Ă©preuve avec une grande dignitĂ©. Christ a Ă©tĂ© le « Garant » de notre Ăąme, Il s’est volontairement tenu comme responsable de nos iniquitĂ©s. En consĂ©quence Il a Ă©tĂ© fait « pĂ©ché » pour nous, et a souffert pour nos fautes, Lui, le Juste pour les injustes ; l'Écriture impute Ses souffrances terribles Ă  la main divine. JĂ©sus avait une pleine connaissance du mal infini du pĂ©chĂ©, et de l'ampleur immense de la culpabilitĂ© qu’Il devait expier Ă  notre place ; aucun esprit, aucune langue ne peuvent concevoir ni exprimer une telle vision, de la Justice et de la SaintetĂ© divines, provoquant la punition inhĂ©rente aux pĂ©chĂ©s des hommes.

      Durant cet instant, Christ souffrait de la tentation : il est probable que d’horribles pensĂ©es Lui furent suggĂ©rĂ©es par Satan, ce qui Ă©tait trĂšs dur Ă  supporter, face Ă  Sa SaintetĂ© parfaite. Fallait-il que le poids de cette culpabilitĂ© imputĂ©e soit lourd, pour abattre l'Ăąme de Celui dont il est dit : « Il soutenait toutes choses par Sa Parole puissante » ? Heb 1:3.

      Dans quelle misÚre doivent se trouver ceux qui restent avec leurs péchés non pardonnés ! Comment échapperont ceux qui négligent un si grand salut ?

      * ParenthÚse ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jean 1

      Jean 20

      Actes 9

      Actes 10

      9 Les prĂ©jugĂ©s de Pierre envers les « Gentils », l'auraient empĂȘchĂ© de rencontrer Corneille, si le Seigneur ne l'avait prĂ©parĂ© pour ce ministĂšre.

      Faire comprendre Ă  Pierre, qui Ă©tait Juif, que Dieu lui demandait de reconnaĂźtre comme purs ces animaux qui jusqu'Ă  prĂ©sent Ă©taient considĂ©rĂ©s comme impurs, pouvait signifier pour l’apĂŽtre que la loi de MoĂŻse Ă©tait abolie. Pierre devait heureusement connaĂźtre rapidement la signification de cette vision !

      Dieu connaĂźt quels sont les ministĂšres qui nous attendent, et comment nous y prĂ©parer ; nous comprendrons Ă  postĂ©riori les motifs de Son enseignement lorsque nous aurons vraiment l’occasion de passer Ă  l’Ɠuvre.

      Romains 8

      Ephésiens 3

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