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Exode 20.24

Tu m'élèveras un autel de terre, sur lequel tu offriras tes holocaustes et tes sacrifices d'actions de grâces, tes brebis et tes boeufs. Partout où je rappellerai mon nom, je viendrai à toi, et je te bénirai.
Vous fabriquerez pour moi un autel en terre. Là, vous m’offrirez vos moutons, vos chèvres et vos bœufs comme sacrifices complets et comme sacrifices de communion. Et moi, je viendrai vous bénir, partout où je montrerai ma présence.

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      Genèse 12

      Exode 20

      Lévitique 1

      1

      Dieu a institué diverses sortes d'offrandes et de sacrifices, afin d'assurer au peuple le pardon des offenses, à condition que le tout soit offert avec obéissance et avec une foi réelle.

      L'Éternel a aussi institué les sacrificateurs et les Lévites, en ayant défini leurs vêtements propres à leurs différents offices ; Il a dicté leur conduite à tenir et a indiqué par qui elle devait leur être octroyée. Les différentes fêtes, avec leur date respective, leur furent également prescrites. Tout cela a été indiqué à Israël pour bien montrer que le salaire du péché c'est la mort et que sans le sang de Christ, l'Agneau de Dieu innocent, il ne pouvait y avoir de pardon des fautes.

      * Les offrandes. (Lévitique 1:1,2) Préceptes à observer pour le bétail, (Lévitique 1:3-9) Pour le menu bétail et les oiseaux. (Lévitique 1:10-17)

      Lévitique 1:1,2 Les offrandes pour les sacrifices ont été une ordonnance propre à la véritable religion, depuis la chute de l'homme jusqu'à la venue de Christ. Mais jusqu'à ce que les Israélites n'arrivent dans le désert, rien de bien particulier n'avait été défini à ce sujet par l'Éternel. Le principe général de toutes ces ordonnances est clair : les sacrifices sont une image de Christ ; ils mettent au jour le devoir des croyants ainsi que le type et la nature de la communion à entretenir avec Dieu. Il n'y a guère de choses se rapportant au Seigneur Jésus, qui ne soient mentionnées par les Écritures, en particulier dans ces instructions données au peuple.

      Le livre du Lévitique débute par les lois relatives aux Sacrifices ; les plus anciens étaient les sacrifices d'offrandes brûlées : Dieu donna en effet à Moïse toutes les instructions à leur sujet. Il était clair que le peuple désirait apporter des offrandes à l'Éternel.

      La lumière naturelle qui illumine le monde, pousse l'homme à se tourner vers son Créateur, vers Dieu. Immédiatement après la chute, dans le livre de la Genèse, les sacrifices furent en effet décrétés.

      3 Dans les ordonnances données par le livre du Lévitique, les mystères du monde spirituel sont représentés par des éléments de la nature : les pratiques qui vont suivre, relatives aux sacrifices et aux offrandes, en sont une représentation. Sans cette idée sous-jacente, ces cérémonies sembleraient n'avoir aucun sens. Dans ces éléments, nous trouvons une représentation des souffrances du Fils de Dieu, sacrifié pour les péchés du monde entier. Le corps brûlé de l'animal, n'était qu'une piètre représentation du châtiment éternel que nous méritions tous ; en fait, c'est notre Seigneur Jésus qui a supporté corps et âme cette malédiction, lorsqu'Il est mort sous le poids de nos iniquités.

      Remarquons bien les éléments suivants : - La bête à sacrifier devait être sans défaut. Cela signifie que Christ était pur et parfait, capable de rendre sain Son peuple racheté. - La personne offrant le sacrifice devait le faire sans contrainte. Tout acte de piété, destiné à plaire à Dieu, doit être accompli avec amour. Christ s'est Lui-même volontairement offert, par amour pour nous. - La bête devait être offerte à la porte du tabernacle, sur l'autel de bronze des sacrifices. Cette offrande était ainsi sanctifiée : c'est une image du pécheur, incapable d'entrer en communion avec Dieu, sans être sanctifié par un sacrifice. - Celui qui offrait le sacrifice devait apposer sa main sur la tête de la victime : cela signifiait qu'il souhaitait que son offrande soit bien acceptée. - Le sacrifice devait être exécuté devant l'Éternel, selon un rite et une manière bien précis, en vue d'honorer Dieu. Cela signifie aussi pour les chrétiens, qu'ils doivent sacrifier tout ce qui vient de la chair : les affections corrompues comme les convoitises. - Les sacrificateurs devaient épandre le sang sur l'autel ; le sang étant la vie, c'est par lui que le péché pouvait être expié. C'est une image de la purification et de l'apaisement de nos consciences par l'aspersion du sang de Jésus-Christ, et ce par le biais de la foi. - La bête sacrifiée devait être divisée en plusieurs morceaux, pour être ensuite brûlée sur l'autel. Ce sacrifice consumé est aussi une image des horribles souffrances de Christ ; c'est également un modèle pour les chrétiens, qui doivent offrir leur être, dans le « feu de la sainteté », donnant ainsi leur esprit, leur âme et leur corps à Dieu. - Il est mentionné que le sacrifice était d'odeur agréable à l'Éternel : il en a été de même pour Christ qui est mort, en toute obéissance à Dieu, en vue de Lui offrir un sacrifice parfait ; les sacrifices spirituels des chrétiens ne peuvent être acceptés par Dieu qu'au travers de Christ, 1Pierre 2:5.

      10 Ceux qui ne pouvaient offrir un taureau, pouvaient apporter un mouton ou une chèvre ; quant à ceux qui ne pouvaient offrir aucun de ces animaux, ils avaient l'agrément divin s'ils amenaient une tourterelle ou un pigeon. Ces créatures n'étaient sélectionnées pour être sacrifiées, que si leur caractère était doux, calme et inoffensif ; cela nous rappelle l'innocence et l'humilité que l'on rencontrait dans la personne de Christ, ici-bas et qui devrait se trouver également chez les chrétiens.

      L'offrande du pauvre était également une image de l'expiation faite par Jésus-Christ, elle avait autant de valeur que la plus coûteuse : elle exprimait une réelle repentance, la foi et le dévouement à Dieu. Nous n'avons aucune excuse si nous négligeons notre devoir dans le service divin. De même qu'un Israélite pouvait offrir un taureau ou une chèvre, nous pouvons offrir à Dieu, qui Le premier, nous a déjà donné, le sacrifice de notre cœur brisé, ou celui de notre louange et de nos remerciements. Plus nous nous consacrons au service divin, plus nous nous engageons pour Lui, cherchant toute occasion pour accomplir de notre mieux, Sa volonté. En toutes choses Dieu pourvoit aux éléments nécessaires pour Son service, que ce soit le temps ou les moyens ; là où la providence divine a donné à l'homme une opulence de richesse, Dieu n'acceptera pas d'offrande qui ne soit faite avec un cœur contrit.

      Consacrons-nous, corps et âme, à Son service, quelle qu'en soit la difficulté requise ; entreprenons, accomplissons et souffrons pour notre Seigneur !

      Lévitique 3

      1

      Les sacrifices d'actions de grâce, pour le gros bétail. (Lévitique 3:1-5)
      Les sacrifices d'actions de grâce, pour le menu bétail. (Lévitique 3:6-17)

      Les sacrifices d'actions de grâce font référence à Dieu, Celui qui donne toutes choses. Ces sacrifices, faits sur l'autel, engageaient à la fois les sacrificateurs et celui qui apportait l'offrande. On les appelait « sacrifices d'actions de grâce » car en eux, Dieu et Son peuple se réjouissaient ensemble, en témoignage de leur communion mutuelle. Ces sacrifices étaient offerts dans un esprit de supplication. Si un homme était en instance d'une demande de grâce, il devait ajouter à sa prière le type de sacrifice mentionné dans ce texte. Christ est notre « Paix », notre « Offrande de Paix » ; nous ne pouvons être exaucés dans nos prières, avec en plus la paix dans le cœur, que par Son intermédiaire. Ces sacrifices d'actions de grâce étaient aussi offerts à titre de reconnaissance pour les bienfaits accordés par l'Éternel. Nous devons continuellement offrir à Dieu des sacrifices de louange, par l'intermédiaire de Christ, notre « Paix » ; et cela sera plus agréable à l'Éternel que l'offrande d'un taureau ou d'un bœuf !
      6 Nous sommes ici en présence d'un texte interdisant toute consommation de graisse ou de sang par les Israélites. Tout comme la graisse, les rognons ne devaient pas non plus être mangés. Il était interdit de consommer du sang, car c'était la part réservée à Dieu, à chaque sacrifice. Ce Dernier ne voulait pas que le sang qui avait servi à l'expiation des péchés, soit utilisé à titre de mets commun, Heb 10:29 ; ceci s'applique également à nous, malgré le fait que notre péché ait été expié parfaitement par notre Sauveur. Cela permettait aux Juifs de bien faire la distinction entre les choses communes et celles qui étaient sacrées ; cela permettait aussi de les préserver de toute déviation idolâtre.

      Le peuple était ainsi bien imprégné par la solennité que représentaient le sang versé et la graisse brûlée des sacrifices. Christ, le Prince de Paix, nous donne cette paix par le sang de la croix. En Lui, le croyant est réconcilié avec Dieu ; et ayant cette paix de Dieu en son cœur, le racheté est tout disposé à la partager avec les hommes. Que le Seigneur fasse abonder Sa grâce, Sa Miséricorde et Sa paix à quiconque désire porter le nom de chrétien !

      Nombres 6

      Deutéronome 7

      Deutéronome 12

      5 Le commandement ordonnant d'apporter TOUS les sacrifices à la porte du tabernacle, se plaçait maintenant dans le contexte des lois qui régissaient le peuple arrivant en terre promise. En effet, les Hébreux pouvaient maintenant prier et louer Dieu en quelque lieu que ce soit, dans toutes les synagogues. Chaque endroit que l'Éternel avait choisi pour l'établissement des tribus d'Israël devait en effet comporter un lieu de culte, afin qu'on y adore Son Nom. Tous ceux qui recherchaient pieusement Sa présence, en tant que Dieu et Roi d'Israël, pouvaient ainsi s'approcher de Son « habitation ».

      Aujourd'hui, au temps de l'évangile, nous ne disposons plus d'autels spécifiques pour offrir des sacrifices, mais nous avons accès directement à Christ, et à Lui seulement : nous n'avons pas un lieu d'adoration unique, mais, comme l'a annoncé le prophète, nous pouvons l'adorer avec de « l'encens spirituel », en n'importe quel endroit, Malachie 1:11.

      Notre Sauveur déclare alors que noue serons acceptés en tant que véritables adorateurs, des adorateurs sincères, sans être dans l'obligation de porter le regard vers une montagne ou vers Jérusalem, Jean 4:21. Dorénavant, chaque Israélite entrant en terre promise, pouvait honorer Dieu, être en communion avec Lui, tout en restant sous Sa Grâce bienveillante, sans avoir à présenter un sacrifice sur l'autel du tabernacle.

      Les tâches que nous accomplissons pour Dieu, doivent être exécutées dans la joie et la plénitude du cœur. Même nos enfants et nos serviteurs, si nous en possédons, doivent se réjouir devant Dieu ; les œuvres inhérentes à la piété, doivent être faites avec un véritable plaisir et non une tâche pénible ou une servitude. Les fidèles d'une assemblée doivent être mutuellement courtois et avoir de bonnes relations avec les serviteurs de Dieu, ces derniers devant leur servir d'exemple, tout en dispensant leur enseignement. Durant toute notre vie, nous avons besoin des conseils et de l'assistance de nos conducteurs spirituels, jusqu'à ce que nous arrivions au ciel, où, nous n'en aurons plus besoin. Soit que nous mangions, soit que nous buvions, quelle que soit notre occupation, nous avons le commandement de tout faire à la gloire de Dieu. Nous devons tout accomplir au Nom du Seigneur Jésus-Christ, et rendre grâce au Père, en Son Nom.

      Les enfants d'Israël ne devaient pas se consacrer à l'idolâtrie. Quel bien auraient-ils d'ailleurs pu tirer des profondeurs de l'enfer ? Nous avons, par contre, grâce à Christ, toute plénitude intérieure, et nous pouvons abonder, par la foi, en amour et en bonnes œuvres !

      Deutéronome 14

      Deutéronome 16

      Deutéronome 26

      2 Samuel 6

      12 Il était maintenant évident que l'homme qui avait l'arche près de lui, devenait vraiment prospère. Christ est vraiment la Pierre d’achoppement, le Rocher qui subit les scandales de ceux qui désobéissent à Ses Préceptes ; mais pour ceux qui croient, Il est la Pierre angulaire, choisie et précieuse, 1Pierre 2:6-8. Recherchons la véritable piété : « L'Arche », la Personne de Christ, est-elle une bénédiction dans d'autres foyers, là où Elle demeure ? Il est tout à fait possible de jouir dans notre maison, de la présence de Jésus et de Ses bénédictions, sans essayer de les trouver chez nos voisins !

      La première chose que David commença à faire, fut d'offrir des sacrifices à Dieu. Nous ne pouvons que prospérer dans nos entreprises, quand nous commençons par les placer devant Dieu, dans la diligence et dans Sa Paix. Nous sommes tellement indignes et nos œuvres si tortueuses, que toute notre joie dans la communion divine doit être associée au repentir et à la foi en notre Rédempteur, Celui qui nous a réconciliés par Son sang.

      Ce texte révèle que David a vivement manifesté sa joie. Nous devons servir Dieu de toute notre force et de toute notre âme, avec tous les moyens dont nous disposons. En cette occasion, David laissa de côté ses parures royales, pour revêtir un éphod de lin. Le roi pria ainsi, pour le peuple ; de plus, considéré comme un prophète, il bénit solennellement les siens au Nom de l'Éternel.

      1 Rois 8

      1 Rois 9

      2 Chroniques 6

      2 Chroniques 7

      2 Chroniques 12

      Esdras 6

      Néhémie 1

      Psaumes 74

      Psaumes 76

      Psaumes 78

      Psaumes 128

      Psaumes 132

      Psaumes 134

      Jérémie 7

      Malachie 1

      Matthieu 18

      Matthieu 28

      Jean 4

      1 Timothée 2

      8 Au temps de l'Évangile, la prière ne doit pas être seulement pratiquée dans un lieu spécifiquement réservé, mais chacun peut prier dans quelque endroit où il se trouve. Nous devons prier dans nos chambres, en famille, lors de nos repas, lorsque nous sommes en voyage, dans les rassemblements solennels, qu’ils soient publics ou privés. Nous devons prier pour les autres avec amour, l’esprit en paix, sans hypocrisie, ni colère. Nous devons prier avec foi, en chassant les doutes éventuels et les vaines pensées.

      Les femmes qui professent la piété doivent être vêtues avec modestie, sans apparat ni luxe. Les bonnes œuvres sont le meilleur des ornements ; celles-ci ont une grande valeur aux yeux de Dieu. La modestie et la simplicité sont plus de mise dans les vêtements que l'élégance et la mode ! IL serait bon que tous ceux qui enseignent sérieusement la piété, gardent une certaine simplicité vestimentaire. Ils devraient dépenser plus de temps et d'argent à soulager le malade et l'affligé que dans leur parure, voire ceux de leurs enfants.

      Ne pas exercer tout devoir inhérent à la piété équivaut à être coupable. Ces pensées ne sont pas sans importance, il s’agit en fait de commandements divins. Les meilleurs ornements de ceux qui professent la piété, sont leurs bonnes œuvres.

      D'après l’apôtre Paul, il n'est pas permis aux femmes d'enseigner dans l'église ; l'enseignement est en fait une fonction qui revêt une certaine autorité. Par contre, les femmes peuvent et doivent enseigner les principes de la véritable piété à leurs enfants, dans le cadre familial. Elles ne doivent pas penser être excusables de ne pas étudier le chemin qui mène au salut, bien qu'elles ne doivent pas usurper l'autorité paternelle. Le fait que la femme ait été créée après l’homme doit la garder dans la soumission, elle fut d’ailleurs la première à transgresser l’ordre divin...

      Ce texte se termine par une parole de réconfort : les femmes qui persévèreront dans la pondération, seront sauvées en ayant des enfants : le Messie est en effet né d'une femme ! Les douleurs particulières (l’enfantement) auxquelles les femmes sont assujetties, doivent amener les hommes à exercer leur autorité avec beaucoup de douceur, de tendresse, et d'affection !

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