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Exode 3.16

Va rassembler les anciens d'IsraĂ«l et dis-leur : ‘L'Eternel, le Dieu de vos ancĂȘtres, m'est apparu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Il a dit : Je m'occupe de vous et de ce qu'on vous fait en Egypte.
Va, et assemble les anciens d'IsraĂ«l, et dis-leur : L'Éternel, le Dieu de vos pĂšres, m'est apparu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac, et de Jacob, disant : Certainement je vous ai visitĂ©s, et j'ai vu ce qu'on vous fait en Égypte ;
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      GenĂšse 1

      GenĂšse 21

      1

      Naissance d'Isaac, la joie de Sara. (GenĂšse 21:1-8)
      Ismaël se moque d'Isaac. (GenÚse 21:9-13)
      Agar et Ismaël sont chassés ; Ils sont sauvés et réconfortés par un ange. (GenÚse 21:14-21)
      L'alliance d'Abimélec avec Abraham. (GenÚse 21:22-34)

      Isaac a Ă©tĂ© un des rares personnages de l'Ancien Testament Ă  ĂȘtre aussi dĂ©sirĂ© par ses parents. Il a Ă©tĂ©, pour ainsi dire, une image de Christ, la Semence promise par le Dieu Saint, si attendue par les hommes pieux de cette Ă©poque. Isaac est nĂ© au temps préétabli, conformĂ©ment Ă  la promesse divine.

      Les grĂąces promises par l'Éternel arrivent vĂ©ritablement au temps qu'Il a prescrit, Ă  savoir, au meilleur moment. Isaac signifie « celui qui rit » ; il y avait de bonnes raisons de donner un tel nom Ă  cet enfant, chapitre \\#17:17;18:13\\. Quand la lumiĂšre, par sa force, rĂ©conforte notre Ăąme, il est bon de se rappeler Ă  quel point le dĂ©but du jour Ă©tait bien sombre. Quand Sara reçu la promesse, elle rit, Ă  la fois parce qu'elle doute et manque de confiance en Dieu.

      Quand Celui-ci nous accorde Ses misĂ©ricordes, nous commençons quelquefois par avoir une attitude nĂ©gative, au lieu de nous rappeler les douleurs et la honte qui nous assaillaient dans notre Ă©tat dĂ©sastreux de pĂ©chĂ©, Ă  la poursuite de choses vaines. Cette misĂ©ricorde divine finit par donner Ă  Sara une joie merveilleuse. Les faveurs de l'Éternel, conformes Ă  Ses promesses envers les siens, finissent par surpasser tout ce que ceux-ci auraient pu imaginer : qui aurait pu croire que l'homme puisse recevoir de telles bĂ©nĂ©dictions au vu de son triste mĂ©rite ? Qui aurait pu dire que Dieu enverrait Son Fils, afin que Celui-ci vienne mourir pour nous, et qu'Il enverrait Son Esprit pour nous sanctifier ou Ses anges pour nous soutenir ? Qui aurait pu penser que tant de pĂ©chĂ©s seraient pardonnĂ©s, tant de bienfaits accordĂ©s et tant de promesses exaucĂ©es ? Le texte nous rĂ©vĂšle ici quelques dĂ©tails sur le dĂ©but de la vie d'Isaac. L'Éternel, par la bĂ©nĂ©diction qu'Il accorde lors de la naissance des enfants, et par la protection qu'Il leur manifeste tout au long de leur jeunesse, doit ĂȘtre louĂ© pour tout le soin et la Providence qu'Il accorde. Voir Psaume 22:9,10;Ho 11:1,2.

      GenĂšse 50

      Exode 2

      Exode 3

      16 Les chances de persuasion de MoĂŻse auprĂšs des anciens d'IsraĂ«l auraient pu ĂȘtre grandes et Dieu, qui dans Sa grĂące, incite le cƓur et ouvre les oreilles, aurait bien pu dĂ©cider au sujet des Égyptiens : « Ils Ă©couteront ma voix » ; ainsi, Il aurait ainsi trĂšs bien pu pousser le penchant de Pharaon, en faveur des enfants d'IsraĂ«l. Mais l'Éternel a dit Ă  MoĂŻse que ce dernier devait ĂȘtre amenĂ© Ă  se prĂ©senter vainement devant Pharaon, pour exposer ses plaintes et tenter de le persuader.

      Le patriarche, par la Puissante main de Dieu, va faire toutes sortes de prodiges. Dieu lui annonce que ses opposants, incrĂ©dules Ă  Sa Parole, seront finalement vaincus et que le peuple d'Égypte donnera aux enfants d'IsraĂ«l de nombreux et riches prĂ©sents, lors de leur dĂ©part. Dans cette triste situation de tyrannie du peuple d'IsraĂ«l, nous pouvons voir le cĂŽtĂ© abject et misĂ©rable des pĂ©cheurs. Le peuple Ă©lu a supportĂ© ce terrible joug jusqu'Ă  ce que l'Éternel envoie Sa dĂ©livrance.

      Par le biais de l'Ă©vangile, Dieu nous adresse l'enseignement de Son Esprit. Les hommes en recherche de dĂ©livrance, peuvent ainsi bĂ©nĂ©ficier de cette grĂące. Satan est alors incapable de retenir ces Ăąmes ; elles peuvent ensuite aller de l'avant, armĂ©es de leurs dons spirituels, pour la gloire de Dieu et le service de l'Église

      Exode 4

      Exode 13

      Exode 15

      Exode 18

      Exode 24

      Ruth 1

      6 AprĂšs la mort de ses deux fils, Naomi pensa devoir retourner dans son pays. Quand la mort surgit dans une famille, on peut parfois remettre certaines choses en ordre.

      La terre est remplie d'amertume, alors que les cieux ne peuvent nous apporter que des merveilles. Naomi semble avoir été une personne pieuse, ayant la foi. Elle congédia ses belles-filles avec insistance, aprÚs avoir vraisemblablement prié. Quand des amis sont sur le point de partir, il trÚs pertinent de les « porter » dans la priÚre. Naomi les renvoya donc affectueusement.

      Quand des parents doivent nous quitter, sachons leur témoigner tout notre amour. Naomi a-t-elle bien fait de dissuader ses belles-filles de la suivre, alors qu'elle aurait pu les sauver de l'idolùtrie de Moab, afin qu'elles se tournent vers le Dieu d'Israël, dans la foi et l'adoration ? Sans aucun doute, c'était ce que qu'elle désirait avant tout ; mais elle ne voulait pas continuer à faire subir à ses belles-filles la tristesse résultant de la perte de leur époux.

      Ceux qui s'engagent dans le service d'une religion, en essayant d'entraĂźner avec eux leurs amis, plus ou moins Ă  titre de compagnie, ne feront que les conduire vers de piĂštres vocations.

      Si les belles-filles de Naomi dĂ©cidaient de suivre cette derniĂšre, ce devait ĂȘtre Ă  la suite d'un choix dĂ©libĂ©rĂ©, en considĂ©rant bien, aprĂšs mĂ»re rĂ©flexion, quel serait le « prix » Ă  payer. Il en est de mĂȘme pour ceux qui veulent se consacrer au service du Seigneur : ils doivent choisir entre « demeurer confortablement dans une maison, auprĂšs d'un (e) Ă©poux (se) », avec toute la satisfaction et la sĂ©curitĂ© terrestres que cela peut apporter, ou demeurer avec Christ, qui invite les Ăąmes Ă  Ɠuvrer pour Lui ; il faut espĂ©rer que ces derniĂšres feront le bon choix, Christ, malgrĂ© les Ă©preuves Ă©ventuelles qu'elles pourront rencontrer !

      Psaumes 8

      Matthieu 26

      Luc 1

      Luc 19

      Actes 11

      Actes 15

      Actes 20

      17 Les anciens des premiĂšres assemblĂ©es savaient que Paul n'Ă©tait pas un intriguant, ni un Ă©goĂŻste. Ceux qui veulent avant tout servir le Seigneur avec efficacitĂ©, doivent le faire dans l’humilitĂ©.

      L’apĂŽtre annonçait clairement l’Évangile, de façon Ă  ce qu'il soit bien perçu. C’était un prĂ©dicateur Ă©loquent, persuasif, cherchant Ă  ce que son auditoire comprenne bien son message ; il voulait aussi, par son tĂ©moignage, avertir ceux qui rejetaient la VĂ©ritĂ©. Paul Ă©tait un prĂ©dicateur actif ; il avait pour but que ses auditeurs s’interrogent, quant Ă  la nature de leur cƓur et de leur vie. Il se donnait de la peine pour accomplir son ministĂšre, il Ă©tait trĂšs actif et fidĂšle ; il n'a pas mĂ©nagĂ© ses propos, lorsque cela s’avĂ©rait nĂ©cessaire, insistant sur la prĂ©dication de la croix. C’était un vĂ©ritable Ă©vangĂ©liste, n’annonçant aucune doctrine douteuse, ni politique ; il prĂȘchait la foi et la repentance.

      Pour rĂ©sumer son ministĂšre, il prĂȘchait le don du salut, par la repentance envers Dieu et la foi en notre Seigneur JĂ©sus-Christ, avec tous les fruits et les consĂ©quences que cela engendre. Sans cette repentance, aucun pĂ©cheur ne peut Ă©chapper Ă  la condamnation divine, se privant ainsi de la vie Ă©ternelle.

      Ne pensons surtout pas que Paul ait quittĂ© l'Asie par peur de la persĂ©cution ! S’attendant manifestement Ă  ĂȘtre attaquĂ©, il Ă©tait cependant bien rĂ©solu Ă  continuer sa marche, assurĂ© qu’il Ă©tait guidĂ© par la direction Divine.

      Remercions Dieu pour le fait qu’il nous est impossible de savoir ce qui nous arrivera dans le futur. Pour l'enfant de Dieu, il est suffisant de savoir que la force du Seigneur est immuable, et il ne cherche pas Ă  savoir ce que l’avenir lui rĂ©serve. La puissance du Saint-Esprit lie le vrai chrĂ©tien Ă  son devoir. MĂȘme lorsqu'il s’attend Ă  la persĂ©cution et Ă  la dĂ©tresse, l'Amour de Christ le pousse Ă  continuer.

      Aucun incident de parcours n'a Ă©cartĂ© Paul de son travail ; rien ne l'a privĂ© de la consolation spirituelle qui l’attendait. Notre raison de vivre consiste Ă  savoir que nous connaĂźtrons bientĂŽt la fĂ©licitĂ© Ă©ternelle !

      Quand Paul vit que les anciens d’ÉphĂšse Ă©taient persuadĂ©s qu’ils le voyaient pour la derniĂšre fois, il leur rappela qu’ils devaient veiller sur le troupeau spirituel : l’apĂŽtre, durant son ministĂšre, leur a toujours prĂȘchĂ© avec intĂ©gritĂ© toute les vĂ©ritĂ©s de la doctrine divine. Il leur a prĂȘchĂ© l'Évangile dans son intĂ©gralité ; il a accompli fidĂšlement son travail, supportant toutes les attaques de ses opposants.

      Hébreux 2

      1 Pierre 2

      1 Pierre 5

      1

      Les anciens sont exhortés et encouragés. (1 Pierre 5:1-4)
      Les jeunes chrétiens doivent se soumettre aux anciens et avec humilité et patience, à Dieu ; ils doivent rester sobres, vigilants, et fermes dans la foi. (1 Pierre 5:5-9)
      PriĂšres pour leur croissance et leur affermissement. (1 Pierre 5:10-14)

      Dans ce texte, l'apĂŽtre Pierre n'ordonne pas, mais il exhorte, il ne cherche pas Ă  gouverner tous les dirigeants d’églises, ni ces derniĂšres. Pierre, comme d’autres apĂŽtres, fut particuliĂšrement honorĂ© d'avoir Ă©tĂ© tĂ©moin des souffrances de Christ ; les vĂ©ritables chrĂ©tiens auront le privilĂšge de participer Ă  la gloire cĂ©leste qui sera rĂ©vĂ©lĂ©e.

      Les pauvres chrĂ©tiens de l’époque, dispersĂ©s et souffrants, faisaient nĂ©anmoins partie du troupeau cĂ©leste, ils Ă©taient rachetĂ©s pour Dieu par le grand Berger ; ils vivaient dans un amour saint et dans la communion fraternelle, selon la volontĂ© divine. Ils sont Ă©galement « hĂ©ritiers » de Dieu ; ils sont mis Ă  part, choisis, pour faire partie de Son propre peuple, pour bĂ©nĂ©ficier de Sa faveur et pour se consacrer Ă  Son service.

      Christ est le Berger, le chef du troupeau et « l’hĂ©ritage » entier de Dieu. Tous Ses fidĂšles serviteurs recevront une couronne de gloire, qui ne peut flĂ©trir et infiniment plus prĂ©cieuse et plus honorable que toute l'autoritĂ©, la richesse et les plaisirs de ce monde !

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